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tradition - Page 248

  • Des sentinelles à Bordeaux

    Hier soir, 15 Sentinelles étaient présentent, accompagnées en pensées par de nombreuses autres, sur la place Pey Berland entre la Cathédrale Saint André et l'Hôtel de ville pour rendre un hommage sincère à tous nos soldats et leurs familles de la guerre de 14 -18.

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  • La quatrième marche de la fierté tourangelle perturbée par l’extrême gauche

    TOURS (NOVOpress) – Lundi 11 novembre, la quatrième marche de la fierté tourangelle, organisée par les enracinées tourangeaux de Vox Populi, a été perturbée par l’extrême gauche. Certains gauchistes projetant des projectiles sur les participants, voire s’attaquant à plusieurs jeunes filles.

    Dans un communiqué, Vox Populi précise : « Plusieurs centaines d’individus (dont un certain nombre venaient de Paris, de Bretagne ou encore du Limousin pour en découdre) ont tenté une démonstration de force pour intimider les participants à notre marche et empêcher le déroulement de celle-ci. Plusieurs de ces manifestants d’extrême-gauche ont tranquillement défilé dans les rues de Tours le visage masqué ou en tenant des manches de pioche maquillés en hampe de drapeaux. »

     

    D’autant qu’« alors que leurs intentions violentes étaient manifestes, les forces de l’ordre ont laissé plusieurs groupes issus de ce cortège s’approcher de notre manifestation. Et ce qui devait arriver arriva… Plusieurs participants à notre marche ont été visés par des projectiles provenant des rues adjacentes à notre parcours. A un certain moment, [Pierre-Louis Mériguet a] même dû personnellement intervenir avec des militants de Vox Populi pour faire reculer un groupe qui s’en prenait à des jeunes femmes présentes dans notre rassemblement. Il aura fallu cet accrochage pour que la police sorte enfin de sa passivité ! »

    Face à ces agressions, les médias, notamment la Nouvelle République, se sont livrés à de la désinformation, minorant le caractère violant des gauchistes et sortant de son contexte la riposte des militants de Vox Populi.

    Cependant, Pierre-Louis Mériguet a pu rétablir les faits lors d’entretiens télévisuels.


    Quant à la Nouvelle République, l’avocat de Pierre-Louis Mériguet a adressé un droit de réponse.

    http://fr.novopress.info/144925/la-quatrieme-marche-de-la-fierte-tourangelle-perturbee-par-lextreme-gauche/#more-144925

  • Thibaud de Bernis : « La droite devrait être un rempart de la Famille »

    Thibaud de Bernis préside l'antenne parisienne, récemment créée, du Cercle Charles Péguy, centre de formation politique qui fonctionne à Lyon depuis 1963. Ce cercle pourra compter sur la contribution d'intellectuels comme Chantal Delsol et Gérard Leclerc.
    Monde et Vie : Thibaud de Bernis, vous venez de créer le Cercle Charles Péguy, officiellement lancé le 10 octobre dernier à la mairie du Ve arrondissement, à Paris. Vous souhaitez en faire un centre de formation politique. La jeunesse actuelle souffre-t-elle d'un défaut de culture politique ?
    Thibaud de Bernis : Pendant longtemps la jeunesse parisienne, pour une grande part, s'est détournée de la politique, par dégoût, ennui ou désintérêt. Ceux qui, investis dans des partis depuis longtemps, ne conçoivent que les enjeux électoraux et la cuisine politicienne quotidienne, perdent bien souvent de vue les enjeux véritables, le pourquoi de leur engagement, les raisons de défendre tel ou tel point de vue et leur importance. La pratique politique s'est détachée de plus en plus des idées, c'est ce lien que nous souhaitons retisser. Une solide formation doctrinale est essentielle si nous souhaitons reconquérir le pouvoir politique. Être « politique », c'est d'abord croire fermement en des principes et savoir les défendre, avoir une vision de la société et non seulement renvoyer à celle-ci sa propre image par des sondages, vouloir atteindre un objectif commun et se donner, dans l'unité, les moyens d'y parvenir. Nous avons donc créé avec une petite équipe ce cercle, qui, en plus d'avoir pour but de contribuer à la reconstruction d'une droite authentique en rappelant les principes qui la fondent, en mettant en lumière les références et les pratiques qui furent les siennes, entend également être un lieu de rencontres, d'échanges et de réflexions qui puisse réunir les différents courants de droite pour, à travers la contradiction, redécouvrir notre socle commun.
    La pensée de Péguy lui-même, d'abord socialiste et dreyfusard avant de rejeter le monde moderne et de se rapprocher des milieux nationalistes, n'est pas la plus caractéristique de la droite. Les notions de droite et de gauche vous paraissent-elles encore avoir un sens ? Selon vous, comment évoluent-elles ?
    Les notions oui, mais les partis de moins en moins. Ces derniers semblent avoir en grande partie abandonné le terrain des idées et usent de slogans qui manquent de fond. Au lieu de convaincre, ils préfèrent bien souvent plaire à tout le monde et communiquer plutôt que débattre. L'héritage de « droite » est à redécouvrir, à repenser, car il ne peut être figé mais doit avancer au gré des réflexions et de la pratique. Le choix de Péguy est avant tout dû à sa capacité à nous faire aimer notre pays, par sa poésie et sa pensée. Les définitions de la droite et de la gauche ont fluctué avec le temps, mais le monde politique reste divisé selon ces notions, les Français continuent à s'y référer et toutes les tentatives de dépassement de ce clivage ont été un échec. Elles diffèrent et sont marqués par des références philosophiques opposées, il faut les rappeler et s'y référer pour défendre notre vision de la société.
    Les fameux vers de Péguy, « Heureux ceux qui sont morts pour la terre charnelle... », célèbrent l'enracinement et la patrie. Ces valeurs appartiennent-elles à la droite ?
    Ce sont des valeurs qui doivent être résolument défendues par la droite. Le monde dans lequel nous vivons est de plus en plus cosmopolite, les pouvoirs qui nous dirigent de plus en plus lointains, l'organisation de la société française de plus en plus administrative. Il faut revenir au réel, au connu, c'est pourquoi l'enracinement est une idée à défendre, le principe de subsidiarité doit être appliqué réellement et le jacobinisme combattu. Par là nous répondrons aux grands maux de notre temps que sont l'individualisme et l'isolement, les liens sociaux pourront se retisser et l'homme retrouver sa vocation à la liberté et à la responsabilité. Ces valeurs et beaucoup d'autres doivent être portées par la « droite » et ceux qui s'en prévalent aujourd'hui en ont bien souvent oublié le sens profond.
    Péguy a écrit : « Il n'y a qu'un aventurier au monde, et cela se voit très notamment dans le monde moderne : c'est le père de famille. » La famille, aujourd'hui attaquée de toutes parts, doit-elle être considérée comme le dernier refuge, ou rempart, de la vraie droite ?
    C'est d'abord la droite qui est aujourd'hui, ou devrait être, un des derniers remparts de la Famille. Ces derniers mois, nous avons vu l'institution familiale attaquée et il a fallu que ce soit la société civile qui s'organise pour la défendre, les politiques ont suivi. La droite d'un seul cœur aurait dû, dès l'annonce de ce projet de loi, s'ériger contre celui-ci : si elle ne l'a pas fait, c'est aussi qu'elle avait perdu de vue les principes qui la fonde. Néanmoins, en quelques mois, on a vu surgir de toute part des gens qui se sont engagés dans ce formidable mouvement contre la dénaturation du mariage. Ils si sont engagés en politique sur un sujet donné, mais y ayant goûté, s'étant mobilisés, ils sont le terreaute la reconstruction de la droite et de la reconquête de notre pays.
    Propos recueillis par Hervé Bizien Monde&Vie

  • Journée-formation à Lorient le 24 novembre : "un gars, une fille, des identités dépassées?"

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  • Clause de conscience des maires : certains socialistes auraient-ils des regrets ?

    François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, président du groupe socialiste au Sénat, était interviewé hier par Ruth Elkrief :

     

    "Nous n'interdisons, et nous n'en avons pas le pouvoir, ni la volonté, à personne de manifester, de s'opposer, mais on ne le fait pas le 11 novembre. On respecte les lois : quand elles sont votées, ce sont les lois de la République, ce sont les lois de tous. Et donc, on respecte les lois. Même si on ne les aime pas, on les applique. On pouvait à la rigueur comprendre la difficulté pour certains, en raison de leur foi, de leurs croyances, sur le mariage pour tous. On pouvait aller jusque là, jusqu'à une clause de conscience. Mais, pour ce qui est des rythmes scolaires, etc., la loi, elle doit s'appliquer à tous.

    Ruth Elkrief  : La clause de conscience a été refusée, sur le mariage pour tous.

    Oui, mais certains l'avaient évoquée ...donc on pouvait comprendre que certains fassent appel à cela sur un sujet de cette importance."

    Louise Tudy

    ( Le CPE en 2006 a bien été enlevé suite aux manifestations de rue, seule la gauche a le droit de remettre en cause les lois ????) Pat

     

  • Exclu: notre interview d’une des Sentinelles Belgique

     

    sentinelles belgique 2Depuis quelques semaines, nous voyons apparaître des Sentinelles en Belgique pour s’opposer au projet de loi sur l’extension de l’euthanasie, en discussion au Sénat. L’une d’elles a accepté de répondre à nos questions. Paul Forget est étudiant en droit à l’Université Saint-Louis à Bruxelles. Nous avons abordé  le projet de loi, la création du mouvement, la réceptivité du public…

    1) Tout d’abord, même si notre site a déjà abordé la question de l’euthanasie en Belgique, pourriez-vous succinctement parler du projet de loi relatif à son extension discuté au Sénat ?

    Actuellement, malgré de graves problèmes éthiques dénoncés par des professionnels du droit et de la santé ainsi que des dérives – fréquentes euthanasies sans consentement, de prisonniers, de mineurs et déments – dont aucune n’ont jamais été déposées devant la justice par la commission de contrôle, il est question d’étendre la loi de 2002 (dépénalisant l’euthanasie pour les adultes), aux enfants et aux déments. Sous réserve de l’accord de médecins, un enfant pourrait obtenir la mort, avec ou sans le consentement de ses parents, ainsi qu’on le voit dans l’une des propositions de loi : http://www.senate.be/www/webdriver?MItabObj=pdf&MIcolObj=pdf&MInamObj=pdfid&MItypeObj=application/pdf&MIvalObj=83890023#page=1&zoom=auto,0,591

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  • La FECJM veut fonder des écoles catholiques indépendantes

    L'abbé Régis Spinoza précise à L'Homme Nouveau les tenants de sa nouvelle fraternité religieuse enseignante, la Fraternité Enseignante des Cœurs de Jésus et de Marie (FECJM) :

    "[C]’est une association privée (canon 299 §1) qui bénéficie d’une vigilance morale dans son gouvernement exercée par le très révérend père abbé de Notre-Dame de Randol. À ce stade, elle ne peut pas incardiner les membres. La FECJM a donc une existence de facto. Les clercs qui souhaitent intégrer la FECJM devront solliciter une autorisation auprès de leur ordinaire. Pour les autres membres comme frères ou laïcs, l’intégration se fera selon les prescriptions de la FECJM. Les statuts d’une Association privée comme la Fraternité sont une première étape, statuts que l’Église, dans sa prudence, a établis afin de voir si la fondation répond à un besoin pour le salut des âmes. Si l’œuvre venait à se développer, signe de la Providence, nous ferons appel à une autorité légitime, d’abord pour demander une « laudatio » puis une « commendatio », selon les étapes établies par l’Église et fixées par le canon 299 §2, en attendant une éventuelle « recognitio » canonique.

    Aujourd’hui, la FECJM propose un projet d’évangélisation de la jeunesse par les écoles et les activités de jeunesse exclusivement au sein d’un établissement scolaire indépendant, L’Angélus, qui a ouvert ses portes en septembre 2010. Le reste, si je puis dire, appartient au bon Dieu… [...]

    Le but est de fonder des écoles indépendantes (hors contrat ayant un même projet éducatif et pédagogique, et, de préférence, des internats). Par conséquent, il s’agit de développer un réseau d’écoles indépendantes. Existe aussi la volonté de développer un centre de formation pédagogique pour les ecclésiastiques, religieux et laïcs enseignant dans les collèges et lycées. Nous allons vers une réelle carence de professeurs formés et qualifiés, malgré le travail extraordinaire de la Fondation pour l’École. L’Église a toujours eu un rôle essentiel dans l’éducation de la jeunesse et cela s’est concrétisé par le passé grâce aux grands ordres enseignants qui, actuellement, périclitent par manque de vocations. De plus, du moins en France, ces institutions ont-elles gardé comme objectif premier l’évangélisation de la jeunesse en tenant des écoles libres ? Je ne le crois pas. Je ne veux pas faire de conclusions trop hâtives et maladroites mais chacun peut constater que la présence sacerdotale et religieuse dans les établissements scolaires appartenant aux congrégations religieuses est très insuffisante. [...]

    Je suis encore prêtre de l’Institut du Bon Pasteur puisqu’incardiné au sein de celui-ci. La FECJM a été fondée en août 2013 alors que l’IBP était gouverné par dom Forgeot qui était informé de ce projet. J’ai sollicité, tout en assumant la responsabilité de la Fraternité enseignante, auprès du Supérieur Général de l’IBP un temps de réflexion. [...]

    J’ai toujours souhaité servir Dieu et l’Église dans le cadre scolaire puisque j’ai enseigné au sein de l’Éducation nationale puis dans une école catholique sous contrat et enfin dans des écoles indépendantes. [...] Lorsque je suis entré à l’IBP, j’ai clairement annoncé au Supérieur général mes intentions."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Pourquoi j’étais sur les Champs-Elysées ce 11 novembre

    « La mémoire n’interdit pas l’action. Elle la justifie ».
    Pourquoi me suis-je retrouvée ce lundi matin vers 11 heures sur les Champs-Elysées ? Parce que j’avais déniché un bonnet rouge dans un sac de montagne ? Oui, mais pas seulement. Parce que j’aime les chevaux, les fanfares et les beaux militaires ? Oui, mais pas seulement. Parce qu’un beau soleil d’automne flamboyait sur Paris ? Oui, mais pas seulement. Parce que quelques alertes avaient sonné ici ou là, annonçant un peu de chahut après les commémorations ? Oui, mais pas seulement. (A.L.B)
    J’étais sur les Champs-Elysées parce que je subodorais que les médias allaient vite faire œuvre de désinformation. Des « très méchants » auraient voulu, ont-ils dit, s’approcher du président. Vous voulez rire, avec une double rangée de barrières tout du long de l’avenue et des gendarmes ou des CRS tous les cinq mètres ! Avec des barrières dès la rue de Tilsitt et la rue Balzac ? Avec des dizaines de fourgons dans les rues adjacentes ? Avec les vitres teintées, allez donc savoir dans quelle voiture Hollande a redescendu les Champs…
    En fait, « pourquoi ? », ce n’est pas la bonne question. La vraie question, c’était : « Pour qui ? »
    Pour ceux et celles qui, refoulés sur simple délit de faciès, n’ont même pas pu arriver sur les Champs-Elysées. Pour ces jeunes gens en colère qui ont été violemment jetés à terre par des policiers en civil puis embarqués vers le commissariat de la rue de l’Evangile. Parce qu’ils portaient ce fameux bonnet rouge. Voire parce que leur drapeau – français ou breton – était un peu trop voyant, leur coupe de cheveux un peu courte, leur démarche trop volontaire… Pour ces familles et ces couples plus âgés qui, n’osant ni siffler ni huer, chuchotaient en assistant, l’air désemparé, à ces interpellations musclées.
    Mais, répètent en chœur les médias du système, on ne manifeste pas les jours de commémoration. Cela ne se fait pas. Le 11-Novembre, ce n’est pas le 14-Juillet. En effet. Sauf que personne n’a bougé lors de la cérémonie. Sauf que les petits « bleuets » de France fleurissaient au revers des manteaux. Sauf que ni les ambassadeurs, ni les grands invalides, ni la Garde républicaine n’ont été hués. La France bien élevée a des principes et le sifflet sélectif.
    Mais aussi, et surtout, si j’étais ce 11 novembre sur les Champs-Elysées, c’est que je tenais à défendre la mémoire de ceux qui ont façonné cette France que nous aimons. A défendre le souvenir de ceux dont j’ai vu passer les ombres, il y a quelques semaines, en arpentant les coteaux des Eparges. Pour que la France de demain, celle dont nos enfants et petits-enfants hériteront, ne soit pas trop différente de celle que nos aïeux nous ont transmise. Parce que la mémoire n’interdit pas l’action. Elle la justifie.
    Anne-Laure Blanc, Mère… et grand-mère, 1/11/2013
    Source : Boulevard Voltaire
    http://www.polemia.com/pourquoi-jetais-sur-les-champs-elysees-ce-11-novembre/

  • L’hommage aixois à Guy Steinbach

     

    Samedi matin 9 novembre, les partisans de Maryse Joissains, le maire d’Aix-en-Provence, ont été complètement ahuris de voir se regrouper des personnes portant des insignes à fleurs de lys devant leur permanence électorale.

     

    Mais ils n’avaient pas à s’inquiéter. Ce rassemblement n’était pas destiné à s’immiscer dans les pauvres combinaisons municipales aixoises.

    Les royalistes qui s’étaient donné rendez-vous en haut du cours Mirabeau étaient là pour rendre hommage à Guy STEINBACH, le doyen des Camelots du Roi, ancien secrétaire général de la Restauration Nationale et président de l’Association Marius Plateau (anciens combattants d’AF) qui est décédé jeudi 7.

    Avec une très grande réactivité, Maxime et Stanislas avaient monté cette cérémonie en plein centre d’Aix.

    A midi, jeunes militants avec drapeaux fleurdelysés et anciens portant leur plaque de Camelot formèrent un carré devant la statue du roi René.

    Lecture fut faite de la biographie du militant exemplaire que fut Steinbach et d’un texte définissant ce qu’est un Camelot du Roi.

    Après avoir entonné "La Royale", les participants allèrent en cortège à la chapelle des Oblats pour déposer une gerbe et dire une prière.

    Cette manifestation, la seule à avoir eu lieu avant les obsèques de Guy Steinbach, a montré à la fois le dynamisme de l’Action Française-Provence, son esprit militant et son attachement aux leçons et aux exemples de nos aînés.

    Le combat pour la France et le Roi continue !

    D’autres photos sur le blog de l’Action française Provence