Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

tradition - Page 248

  • Trisomie 21 : Eléonore demande des excuses

    Communiqué des Amis d'Eléonore :

    "Une journée pour penser aux familles et aux personnes ayant une trisomie 21 c’est bien, mais il reste 364 autres jours pour leur donner une chance d’accueil et d’inclusion dans la société.

    Le but n’est pas encore atteint, quand un neurobiologiste ose dire sur l’antenne de France inter que « les personnes trisomiques sont des poisons dans la famille » (Jean-Didier Vincent 5 octobre 2012 à la Tête au carré).

    Le but n’est pas encore atteint, quand le Comité Consultatif Nationale d’Ethique autorise la commercialisation des tests génétiques fœtaux sur sang maternel permettant un dépistage prénatal précoce de la trisomie 21. Ces tests n’ayant pas pour but de dépister pour soigner, mais de dépister pour éliminer.

    Le but n’est pas encore atteint quand le ministère de la santé met en place un dispositif d’évaluation du dépistage actuel et élabore un fichage des femmes enceintes pour une amélioration du processus.

    Le Collectif Les Amis d’Eléonore

    Dit la fierté des parents devant les progrès de leurs enfants.

    Dit la joie que nos enfants apportent au quotidien par leur vitalité et leur souci constant des autres.

    Dit la tendresse et la complicité qui existe entre les frères et sœurs.

    Dit que l’aventure d’accueillir un enfant ayant une trisomie 21 vaut la peine d’être vécue.

    Le Collectif les Amis d’Eléonore, créé en 2010 au moment des débats sur les lois de bioéthique, veut faire changer les regards sur les personnes ayant une trisomie.

    Eléonore, porte parole du Collectif est une jeune femme de 27 ans, porteuse de trisomie 21 qui démontre au quotidien que la vie est possible.

    Eléonore a posté une vidéo de réponse à Jean-Didier Vincent qui a déjà été vue par plusieurs milliers de personnes. www.facebook.com/lesamisdeleonore

    Un an après, Eléonore n’a pas oublié et exige, au nom de toutes les personnes atteintes de trisomie 21, des excuses de la part de Jean-Didier Vincent.

    Eléonore demande un renversement des politiques de santé pour développer la recherche et l’accompagnement des personnes et des familles.

    Le collectif les Amis d’Eléonore attend des réponses et non pas du mépris."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • 11 Novembre 2013 : communiqué de soutien aux jeunes interpellés d’André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    La jeunesse en révolte

    Le 11 novembre 1940 étudiants et lycéens ont défié l’occupant sur les Champs-Élysées et à l’Arc de Triomphe. Pourquoi ? Essentiellement parce qu’ils étaient des patriotes humiliés par la défaite et que leur jeunesse les poussait à l’action.

    Le 11 novembre 2013, on célébrait l’armistice victorieux de 1918 et les survivants de 1940 se réunissaient devant la plaque qui leur est consacrée sur les Champs-Élysées. Mais il y eut aussi des jeunes gens qui s’en prirent au chef de l’État et le sifflèrent.

    Pourquoi ? Parce qu’ils étaient aussi des patriotes humiliés, indignés par la dégradation et l’abaissement de leur patrie dont ils rendaient responsable, ainsi qu’il est normal, le chef de l’État, précisément parce qu’il est le chef et, par là même, responsable. Ils le manifestèrent en le sifflant, ce qui était sans doute une impolitesse mais rien de plus. Au demeurant le Figaro du 13 novembre soulignait que nombre de chefs d’É- tat ont eu à en essuyer de pires et qu’aucun ne fut à l’abri de l’outrage. Pensons égale- ment à la couverture de l’hebdomadaire Marianne traitant le président Sarkozy de «  voyou ». Aucune poursuite judiciaire ne fut alors engagée.

    Dans le cas présent, il serait scandaleux de vouloir traîner devant les tribunaux de jeunes patriotes que leurs sentiments et leur jeunesse même ont poussés à réagir comme le firent leurs aînés dans un tout autre contexte il est vrai. Leur condamnation par la justice serait une navrante injustice. Il faut donc protester par tous les moyens en notre pouvoir et dé- fendre ces jeunes gens qui sont l’avenir de notre patrie.

    André Pertuzio, Vice-président de l’Amicale des Résistants du 11 Novembre 1940

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?11-Novembre-2013-communique-de

  • A propos de la petite fille caillassée à Nancy

    Suite à mon post, Gabrielle Cluzel a mené son enquête :

    "L’histoire se déroule samedi après-midi, à Nancy. À l’appel de l’association anti-IVG « SOS Tout-Petits », une vingtaine de Lorrains se sont rassemblés place de l’Alliance afin d’y réciter un « rosaire pour la vie ». Une famille de Metz est spécialement venue pour l’occasion avec ses quatre enfants. Sur place, un cordon impressionnant de CRS et, surtout, tout autour, une soixantaine d’antifas. Trois fois plus nombreux, donc, que ceux contre lesquels ils sont venus protester.

    Comme le reste du petit groupe, la famille messine égrène pacifiquement son chapelet. Leur voix est rapidement couverte par les insultes et les cris qui fusent. Lorsqu’ils se mettent à chanter, l’agressivité des antifas monte d’un cran et les injures s’amplifient. Et puis d’un coup, vers 15 h, des jets de projectiles. Qui s’interrompent quelques instants pour reprendre de plus belle. Des objets divers, et des cailloux. Les CRS, impassibles, continuent de faire les Casques bleus. Mais soudain, le troisième enfant de la famille venue de Metz, une petite fille de quatre ans, fond en larmes. Une pierre l’a touchée à la tête. Elle cache son front dans le manteau de sa maman, un front qui saigne, orné d’un gros œuf de pigeon.

    Les parents, quoique bien secoués, n’ont pas porté plainte. Pas plus qu’ils n’ont accepté l’offre d’un représentant des Renseignements généraux sur place de les escorter jusqu’à la voiture familiale. Pourquoi ? Parce que, selon le père de famille, cela n’aurait servi à rien sinon, dit-il, à « les ficher ». Il faut dire – car il ne s’en cache pas –, qu’il n’a plus confiance dans la police, ayant été lui-même, il y a quelques mois, à Metz, plaqué au sol par les CRS lors de l’inauguration du tramway « Mettis » pour un petit drapeau de la Manif pour tous, puis parqué durant deux heures avec d’autres grands délinquants dans son genre. Une réaction instinctive qui en dit long sur le climat de confiance dans lequel vivent actuellement certaines familles françaises dans leur propre pays.

    Dernier détail : la mère de famille est d’origine gabonaise. Pour des antifas, réputés attachés à la lutte contre le racisme, on peut dire qu’ils ont bien visé. C’est sans doute, voyez-vous, qu’il en va de la diversité comme du reste, il y a la bonne diversité et il y a la mauvaise. Et celle qui récite des chapelets ne mérite sans doute rien d’autre qu’être lapidée, même si elle n’a que quatre ans… Un peu de mesure, chers amis ! Les antifas ne sont que de grands maladroits. De gentils anarchistes qui n’ont pas le compas dans l’œil et n’auraient jamais pensé blesser une petite fille. Allez, n’y pensons plus, un peu d’arnica, et la bosse va se résorber. Et ne tentez pas d’imaginer le tollé si d’autres que les antifas avaient commis pareille « maladresse », c’est très mauvais pour votre ulcère d’estomac !"

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/a-propos-de-la-petite-fille-caillass%C3%A9e-%C3%A0-nancy.html

  • Succès de la Marche pour la vie en Espagne

    Lu ici :

    "La IV Marche pour la Vie a rassemblé plusieurs dizaines de milliers personnes dans les principale rues de Madrid (Espagne), demandant au gouvernement du Parti populaire en Espagne pour accomplir la promesse de campagne et d'abroger la loi sur l'avortement toujours en cours dans le pays. Malgré le froid et la pluie à Madrid, des milliers de personnes se sont jointes à l'appel de Derecho a Vivir et Hazte Oir, ils ont commencé Place de la Puerta del Sol pour finir dans la Place de Neptuno formant une grande marée rouge en faveur de la vie.

    En même temps des rassemblements pro vies ont été organisées dans près de 50 villes de toute l’Espagne en demandant au gouvernement de Mariano Rajoy d’abroger la loi de l’avortement. En Tête du cortège une grande bannière avec le slogan de la Marche « Espagne est pour zéro avortement » Pour une Vie entière sans interruption avec la protection de la vie de la conception. [...]"

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • La droite est morte, vive la droite !

    Ni droite, ni gauche ! De tels slogans peuvent être aperçus ici ou là, sur des tracts ou autocollants de mouvements au demeurant plutôt sympathiques. Là où le bât blesse, c’est que l’expression devient si banale qu’on en perd parfois de vue le sens original.

    Refus de la querelle des partis

    Royalistes, nationalistes, patriotes de tout poil sont familiers de l’expression « ni droite, ni gauche ». Pour les camarades royalistes d’Action française, la formule sera « Ni droite, ni gauche : Monarchie populaire » ; pour les frontistes : « Ni droite, ni gauche : Front national ».

    L’avantage de ce concept, c’est qu’il permet de rejetter la querelle des partis et de mettre en avant un projet national visant le Bien commun. Là où l’alternance droit-gauche n’a accouché depuis quarante ans qu’à des catastrophes pour notre Patrie française, la formule prend tout sens, renvoyant dos à dos socialistes et partisans de l’UMP-UDI, jadis RPR-UDF. [...]

    La suite sur Le Rouge et le Noir

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-droite-est-morte-vive-la-droite

     
  • Des sentinelles à Bordeaux

    Hier soir, 15 Sentinelles étaient présentent, accompagnées en pensées par de nombreuses autres, sur la place Pey Berland entre la Cathédrale Saint André et l'Hôtel de ville pour rendre un hommage sincère à tous nos soldats et leurs familles de la guerre de 14 -18.

    6a00d83451619c69e2019b0130d3ff970c-800wi.jpg


     

  • La quatrième marche de la fierté tourangelle perturbée par l’extrême gauche

    TOURS (NOVOpress) – Lundi 11 novembre, la quatrième marche de la fierté tourangelle, organisée par les enracinées tourangeaux de Vox Populi, a été perturbée par l’extrême gauche. Certains gauchistes projetant des projectiles sur les participants, voire s’attaquant à plusieurs jeunes filles.

    Dans un communiqué, Vox Populi précise : « Plusieurs centaines d’individus (dont un certain nombre venaient de Paris, de Bretagne ou encore du Limousin pour en découdre) ont tenté une démonstration de force pour intimider les participants à notre marche et empêcher le déroulement de celle-ci. Plusieurs de ces manifestants d’extrême-gauche ont tranquillement défilé dans les rues de Tours le visage masqué ou en tenant des manches de pioche maquillés en hampe de drapeaux. »

     

    D’autant qu’« alors que leurs intentions violentes étaient manifestes, les forces de l’ordre ont laissé plusieurs groupes issus de ce cortège s’approcher de notre manifestation. Et ce qui devait arriver arriva… Plusieurs participants à notre marche ont été visés par des projectiles provenant des rues adjacentes à notre parcours. A un certain moment, [Pierre-Louis Mériguet a] même dû personnellement intervenir avec des militants de Vox Populi pour faire reculer un groupe qui s’en prenait à des jeunes femmes présentes dans notre rassemblement. Il aura fallu cet accrochage pour que la police sorte enfin de sa passivité ! »

    Face à ces agressions, les médias, notamment la Nouvelle République, se sont livrés à de la désinformation, minorant le caractère violant des gauchistes et sortant de son contexte la riposte des militants de Vox Populi.

    Cependant, Pierre-Louis Mériguet a pu rétablir les faits lors d’entretiens télévisuels.


    Quant à la Nouvelle République, l’avocat de Pierre-Louis Mériguet a adressé un droit de réponse.

    http://fr.novopress.info/144925/la-quatrieme-marche-de-la-fierte-tourangelle-perturbee-par-lextreme-gauche/#more-144925

  • Thibaud de Bernis : « La droite devrait être un rempart de la Famille »

    Thibaud de Bernis préside l'antenne parisienne, récemment créée, du Cercle Charles Péguy, centre de formation politique qui fonctionne à Lyon depuis 1963. Ce cercle pourra compter sur la contribution d'intellectuels comme Chantal Delsol et Gérard Leclerc.
    Monde et Vie : Thibaud de Bernis, vous venez de créer le Cercle Charles Péguy, officiellement lancé le 10 octobre dernier à la mairie du Ve arrondissement, à Paris. Vous souhaitez en faire un centre de formation politique. La jeunesse actuelle souffre-t-elle d'un défaut de culture politique ?
    Thibaud de Bernis : Pendant longtemps la jeunesse parisienne, pour une grande part, s'est détournée de la politique, par dégoût, ennui ou désintérêt. Ceux qui, investis dans des partis depuis longtemps, ne conçoivent que les enjeux électoraux et la cuisine politicienne quotidienne, perdent bien souvent de vue les enjeux véritables, le pourquoi de leur engagement, les raisons de défendre tel ou tel point de vue et leur importance. La pratique politique s'est détachée de plus en plus des idées, c'est ce lien que nous souhaitons retisser. Une solide formation doctrinale est essentielle si nous souhaitons reconquérir le pouvoir politique. Être « politique », c'est d'abord croire fermement en des principes et savoir les défendre, avoir une vision de la société et non seulement renvoyer à celle-ci sa propre image par des sondages, vouloir atteindre un objectif commun et se donner, dans l'unité, les moyens d'y parvenir. Nous avons donc créé avec une petite équipe ce cercle, qui, en plus d'avoir pour but de contribuer à la reconstruction d'une droite authentique en rappelant les principes qui la fondent, en mettant en lumière les références et les pratiques qui furent les siennes, entend également être un lieu de rencontres, d'échanges et de réflexions qui puisse réunir les différents courants de droite pour, à travers la contradiction, redécouvrir notre socle commun.
    La pensée de Péguy lui-même, d'abord socialiste et dreyfusard avant de rejeter le monde moderne et de se rapprocher des milieux nationalistes, n'est pas la plus caractéristique de la droite. Les notions de droite et de gauche vous paraissent-elles encore avoir un sens ? Selon vous, comment évoluent-elles ?
    Les notions oui, mais les partis de moins en moins. Ces derniers semblent avoir en grande partie abandonné le terrain des idées et usent de slogans qui manquent de fond. Au lieu de convaincre, ils préfèrent bien souvent plaire à tout le monde et communiquer plutôt que débattre. L'héritage de « droite » est à redécouvrir, à repenser, car il ne peut être figé mais doit avancer au gré des réflexions et de la pratique. Le choix de Péguy est avant tout dû à sa capacité à nous faire aimer notre pays, par sa poésie et sa pensée. Les définitions de la droite et de la gauche ont fluctué avec le temps, mais le monde politique reste divisé selon ces notions, les Français continuent à s'y référer et toutes les tentatives de dépassement de ce clivage ont été un échec. Elles diffèrent et sont marqués par des références philosophiques opposées, il faut les rappeler et s'y référer pour défendre notre vision de la société.
    Les fameux vers de Péguy, « Heureux ceux qui sont morts pour la terre charnelle... », célèbrent l'enracinement et la patrie. Ces valeurs appartiennent-elles à la droite ?
    Ce sont des valeurs qui doivent être résolument défendues par la droite. Le monde dans lequel nous vivons est de plus en plus cosmopolite, les pouvoirs qui nous dirigent de plus en plus lointains, l'organisation de la société française de plus en plus administrative. Il faut revenir au réel, au connu, c'est pourquoi l'enracinement est une idée à défendre, le principe de subsidiarité doit être appliqué réellement et le jacobinisme combattu. Par là nous répondrons aux grands maux de notre temps que sont l'individualisme et l'isolement, les liens sociaux pourront se retisser et l'homme retrouver sa vocation à la liberté et à la responsabilité. Ces valeurs et beaucoup d'autres doivent être portées par la « droite » et ceux qui s'en prévalent aujourd'hui en ont bien souvent oublié le sens profond.
    Péguy a écrit : « Il n'y a qu'un aventurier au monde, et cela se voit très notamment dans le monde moderne : c'est le père de famille. » La famille, aujourd'hui attaquée de toutes parts, doit-elle être considérée comme le dernier refuge, ou rempart, de la vraie droite ?
    C'est d'abord la droite qui est aujourd'hui, ou devrait être, un des derniers remparts de la Famille. Ces derniers mois, nous avons vu l'institution familiale attaquée et il a fallu que ce soit la société civile qui s'organise pour la défendre, les politiques ont suivi. La droite d'un seul cœur aurait dû, dès l'annonce de ce projet de loi, s'ériger contre celui-ci : si elle ne l'a pas fait, c'est aussi qu'elle avait perdu de vue les principes qui la fonde. Néanmoins, en quelques mois, on a vu surgir de toute part des gens qui se sont engagés dans ce formidable mouvement contre la dénaturation du mariage. Ils si sont engagés en politique sur un sujet donné, mais y ayant goûté, s'étant mobilisés, ils sont le terreaute la reconstruction de la droite et de la reconquête de notre pays.
    Propos recueillis par Hervé Bizien Monde&Vie