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tradition - Page 374

  • Nantes : Les opposants au projet de loi autorisant le mariage homosexuel agressés

    Nantes : Les opposants au projet de loi autorisant le mariage homosexuel agressés

    NANTES (NOVOpress Breizh) – A l’appel de l’association LMPT 44 (La Manifestation Pour Tous), près d’un millier de personnes se sont retrouvées en famille à Nantes samedi dernier avec leurs vélos ou leurs trottinettes, pour effectuer un parcours dans le centre ville. Une manifestation pacifique qui n’a pas été du goût de tout le monde.

    Comme lors des précédents rassemblements, les organisateurs entendaient faire une manifestation pacifique dans le cadre du débat démocratique et populaire sur le projet de loi relatif au mariage homosexuel. Partis de la place Viarme, les familles, venues en nombre, ont rejoint la Préfecture avant de gagner la place Royale, dans une ambiance conviviale, détendue et bon enfant.

    Alors qu’il arrivait à proximité de la Préfecture, le cortège a  croisé des manifestants rassemblés  à l’appel, entre autre, de l’Union démocratique bretonne (UDB)  en soutien de Djamal, le chômeur qui s’est immolé devant une agence Pôle Emploi la semaine dernière.

    Alors qu’ils continuent pacifiquement leur chemin, les familles du cortège LMPT 44 ont été violemment prises à parti par quelques participants de ce rassemblement  qui, après les avoir insultées et traitées de  « fâchistes »,  « nazis », « homophobes » (sic), les ont agressées physiquement. Les policiers, présents sur les lieux, ont du s’interposer pour protéger les membres du cortège.

    Cette agression fera dire à l’un de ces derniers : « Alors que le gouvernement met en avant des mesures sociétales – du type “mariage pour tous” – au lieu de traiter sérieusement, par exemple, les conséquences sociales du chômage, la réaction de ces manifestants témoigne de leur degré de conscience politique : proche du zéro ».

    Crédit photo : DR

    http://fr.novopress.info

  • Etre Allemand ou Turc, il faut choisir

    (extrait) Angela Merkel, qui entreprend un voyage en Turquie le week-end prochain, s’est dépêchée de tuer dans l’œuf le débat naissant sur la double nationalité. Celui-ci avait été initié par la ministre de la justice, qui a récemment proposé de faciliter l’accès à la double nationalité.

    Ce n’est pas d’actualité, a immédiatement rétorqué ce mardi Steffen Seibert, porte-parole d’Angela Merkel. (…)

    Alors que l’Allemagne ne reconnaissait que le droit du sang, la gauche a, en 2000, introduit un peu de souplesse. Les enfants nés en Allemagne de parents étrangers peuvent désormais garder les deux nationalités jusqu’à leur majorité. Mais entre 18 et 25 ans, ils doivent choisir.

    Source   http://www.fdesouche.com

  • Mobilisations contre le “mariage” homosexuel : pour obtenir un résultat politique, il faut mener une action politique

    Catherine Rouvier, docteur d’Etat en Droit public et en Sciences politiques de l’Université Paris II, a publié une thèse d’histoire des idées politiques sur Gustave Le Bon, l’auteur de la Psychologie des foules, paru en 1895. Elle déclare :

    Bonjour Madame, qu’a pensé la spécialiste de la psychologie des foules que vous êtes des manifestations contre le « mariage pour tous » ?

    Le déroulement de la manifestation ; la nature même des mots d’ordre et des chants ; la couleur rose apaisante et inoffensive des panneaux, des tee-shirts, des écharpes ; la scission des cortèges, venus de trois endroits différents, ce qui diluait l’effet de masse ; le caractère très lent de la marche, souvent stoppée par de longues minutes passées dans le froid, ce qui minimisait l’échauffement des corps mais aussi des esprits ; tout était fait pour que ne se produise pas de phénomène de foule, c’est-à-dire la fusion des individualités en un « moi collectif » animé d’une pensée commune, et parcouru de sentiments contagieux comme la colère ou l’enthousiasme. Or, seule la puissance invincible d’une véritable “foule” au sens psychosociologique du terme peut faire peur à un gouvernement jusqu’à le faire plier, comme ce fut le cas en 1984.
    Que faudrait-il, le 24 mars, pour que les gentils manifestants se changent en foule ?

    En priorité, il faut deux choses : des mots d’ordres et un chef. [...]
    Le message, pour générer l’action, doit être simple, clair, univoque. On ne peut pas faire dire à une foule qu’on souhaite mobiliser vraiment deux choses à la fois
    , surtout si elles sont presque exclusives l’une de l’autre. Sinon le message est brouillé, donc inefficace. Ainsi, en l’espèce, on ne pouvait pas, d’un côté, refuser d’appeler « mariage » la légalisation de la vie commune de deux hommes ou de deux femmes et refuser que cette union ait les mêmes conséquences que celle d’un homme et d’une femme ; et, d’un autre coté, reprendre à son compte le terme même qui justifie ces revendications : la lutte contre l’homophobie. Donc mettre sur les tracts appelant à manifester, sous le mot d’ordre principal, « manif’ pour tous » (qui était déjà un clin d’œil amical à l’appellation fallacieuse de « mariage pour tous » des adversaires – ce qui n’est pas très bon), un second mot d’ordre : « lutter contre l’homophobie », lequel brouillait le message.

    [...] Virginie Telenne, alias Frigide Barjot, s’est attirée (…) la sympathie et la reconnaissance des catholiques en soutenant le pape Benoît XVI dans les médias à une époque où ceux-ci ne faisaient que relayer les critiques de toutes sortes et les attaques les plus violentes contre le « pape allemand ». Mais elle l’a fait en utilisant le personnage de parodiste, forgé pour elle par son mari Basile de Koch alias Bruno Telenne (qui, lui, reste dans la dérision dans sa manifestation « le mariage pour personne » en marge de la manifestation officielle). Or, ce surnom a une connotation positive, puisqu’il évoque Brigitte Bardot, gloire nationale, très belle actrice, femme attachante, passionnée de la cause animale. Mais dans le même temps, il a la connotation péjorative à cause de deux adjectifs peu valorisants : « frigide » et « barjot ». Or le sujet est grave et comme le notait déjà La Bruyère : « Le caractère des Français demande du sérieux dans le souverain ». Un chef doit être « auréolé de prestige » , ce que la dérision exclut de facto. Il n’est pas là pour plaire, et il ne doit pas craindre d’être accusé de ne pas être « gentil ».

    [...] Jean-François Copé a manifesté, mais interviewé par les journalistes pendant la manifestation, il a dit que ce qui le gênait surtout, c’était la GPA et la PMA, plus que le texte lui-même : message non clair, là encore. Monsieur Guaino a fait un beau témoignage, émouvant, sur sa propre difficulté à avoir vécu une enfance sans père. Mais il a atténué considérablement l’effet produit en protestant lui aussi longuement contre l’« homophobie » comme s’il était accusé et non accusant. François Fillon a été le plus clair, parlant lui aussi d’abrogation, mais brièvement, dans une intervention liminaire au vote à l’Assemblée, non médiatisée. Quand aux centristes, entre ceux qui « se sont trompés de bouton » et « ceux qui étaient sortis au moment du vote » (zut, pas de chance, c’est déjà voté !), on ne les voit pas en leaders sur ce sujet !

    Quelles sont les autres conditions du succès ?

    Changer de style. Le souci de satisfaire une mode « festive » et son métier, le spectacle, ont conduit Frigide à organiser une sorte de parodie de gay pride avec chars, chants, musique disco et techno, « tubes » de l’été… La scène dressée sur le Champ-de-Mars évoquait un theâtre, une émission de télé-divertissement, pas un meeting politique. Seul le jeune Xavier Bongibault a eu un mot politique. Il a comparé Hollande à Hitler parce qu’il veut « enfermer les homos dans une définition dictée par leurs choix sexuels ». Mais pour cette remarque, à l’efficacité médiatique immédiate, il s’est fait tancer par Frigide, et s’est tout de suite excusé. Ce choix du festif et du non-politique n’est pas mobilisateur, car il maintient les manifestants dans le bien-être des retrouvailles de ceux-qui-pensent-comme-eux, et les bercent de la certitude fallacieuse d’une opinion largement répandue. Se réunir devient alors le but de la réunion. Par ailleurs, à cette foule qui attendait des mots d’ordre parce qu’elle avait reçu un choc – celui d’un projet de loi ouvrant le mariage à deux hommes entre eux ou à deux femmes entre elles – la réponse apportée par Frigide Barjot a été de dire que c’était pas vrai, qu’à un enfant il faut un papa et une maman, que les enfants naissent d’un homme et d’une femme. Et la foule a récité ou chanté cela un peu comme une litanie ou une comptine apaisante et auto-convaincante. Mais on ne lui a pas demandé (et on le lui a même interdit – les mots d’ordre et chants étant limités et imposés) de dire que ce n’est pas bien. Pour obtenir un résultat politique, il faut mener la foule vers une action politique.

    [...] Alors oui, on peut en effet imaginer qu’une foule immense réunie à nouveau le 24 Mars, sans flons flons, en un immense ruban compact comme en 1984 – et non divisée en trois cortèges, avec des slogans, banderoles et chants non pas imposés par le rose bonbon mais décidés par des chefs d’établissements scolaires, des religieux, des paroissiens, des chefs de syndicats et de partis, qui défileront suivis de leurs adhérents ou ouailles, dans une gravité et une colère véritable contre la dénaturation de notre modèle sociétal. Ceux qui l’imposent pourraient faire changer le cours des choses.

    [...] Autre modification nécessaire : il ne faudra pas isoler par un « cordon sanitaire » les manifestants du reste de la rue comme çela a été fait le 13 janvier. Pour que la foule agisse, qu’elle remporte le combat qu’elle livre, il faut que la rue puisse la rejoindre, la suivre, s’y agréger, il faut que la rue réagisse. Pour et contre, pourquoi pas ? La manifestation de Civitas du 18 novembre a été portée à la connaissance du monde entier en moins de 2 heures par les médias à cause de l’attaque des Femen. Il ne s’agit pas de provoquer les incidents, mais il faut laisser les adversaires montrer ce qu’ils sont et ce qu’ils veulent. La présence de la police doit suffire à éviter les débordements.

    [...] Dans le cas présent, des milliers d’officiers municipaux sont opposés à ce projet. Devront-ils se démettre de leurs fonctions, renoncer à leur mandat parce qu’ils se seront mis en infraction en refusant d’appliquer cette loi et donc de « marier » des hommes entre eux ou des femmes entre elles ? Un joli but politique serait alors atteint pour l’actuelle majorité : démission garantie de tous les maires catholiques de droite, et des élus « réfractaires » de gauche ! Ne vaudrait-il pas mieux prendre les devants, et que les maires disent comme Mirabeau qu’ils sont dans leur mairie « par la volonté du peuple et qu’ils n’en sortiront que par la force des baïonnettes », mais qu’on ne les forcera pas à faire cet acte contraire à leur conscience ? [...]”

    Des milliers de prêtres et de religieuses devront-ils tomber sous le coup de la loi, astreints à des amendes conséquentes pour avoir simplement dit ce que la religion qui est leur vocation et leur vie leur enjoint de dire sur ce sujet ? L’Eglise va-t-elle demain être mise hors-la-loi ? (…)

    source : Le rouge et le noir

    http://fr.altermedia.info

  • “Benoît XVI : il est parti en beauté !” par Dominique Venner

    PARIS (via le site de Dominique Venner) - La renonciation annoncée par Benoît XVI le 11 février a été unanimement saluée avec respect comme un acte de courage et d’humilité. Ayant senti que les forces allaient lui manquer pour exercer son « ministère d’évêque de Rome », il a décidé de se retirer. Décision inédite, que l’on dirait stoïcienne, en contradiction avec la conception sacrale de l’élection pontificale. Sans doute le pape est-il élu par des hommes, mais l’intervention de l’Esprit saint lui donne en principe la force d’assumer cette charge quelles que soient les faiblesses inhérentes à sa nature, ce qui était jusque-là la règle implicite.

    Tout a été dit sur les soucis qui auraient aggravé un état de santé déjà défaillant. Les machinations, complots et scandales ne sont pas une nouveauté dans l’histoire du Saint Siège. Après des affaires de pédophilie au sein de l’Église, les fuites de courriers confidentiels impliquant le propre majordome de pape (Vatileaks), les accusations de « blanchiment » visant la banque du Vatican (IOR) et son directeur Ettore Tedeschi, contraint de démissionner, l’échec des tentatives répétées de résorption du schisme traditionaliste, il semble que l’énergie et le temps n’ont pas été accordés au Souverain Pontife pour mettre de l’ordre dans une institution complexe où les défaillances humaines et les luttes de pouvoir ont toujours pesé lourd. Par surcroit, Benoît XVI avait une conscience aigue de la « fatigue du christianisme », thème souvent abordé durant son pontificat et repris le 11 octobre 2012 pour la célébration du cinquantième anniversaire du concile Vatican II. Un thème que le cardinal Ratzinger avait déjà développé peu avant son élection, à Rome, lors du Chemin de croix, en 2005 : « Ton Église nous semble souvent une barque prête à couler, une barque qui prend l’eau de toute part. Dans ton champ, nous voyons plus d’ivraie que de bon grain. Les vêtements et le visage si sale de ton Église nous effraient, mais c’est nous-mêmes qui les salissons ! »

    Ce n’est pas la première fois dans sa longue histoire que la papauté est confrontée à des scandales qui contredisent l’image d’une religion d’amour et de pauvreté. Contradictions qui l’ont souvent fragilisée sans la détruire (1). D’un point de vue strictement historique (le mien), il est fascinant d’observer la permanence de cette institution à travers tant de siècles, de périls et de papes indignes ou scandaleux. Cela attire l’attention sur la capacité des institutions à durer en dépit des défaillances humaines de leurs représentants. De ce point de vue, l’Église catholique n’est en rien une exception. Bien d’autres grandes religions ont perduré à travers les millénaires, l’hindouisme, le bouddhisme, l’orthodoxie chrétienne, le judaïsme, l’islam, sans compter le confucianisme ou la franc-maçonnerie.

    Plusieurs fois, j’ai donné mon interprétation d’historien sur la permanence des grandes religions comparée à la caducité des institutions politiques. Dans Le Choc de l’Histoire, j’ai développé une réflexion opposant la durée des religions intemporelles au brutal effondrement des grandes religions politiques du XXe siècle (communisme, fascisme, national-socialisme) qui, après avoir mobilisé l’enthousiasme ou le fanatisme de foules immenses, ont soudain disparu ne laissant subsister que des cendres mortes (2). Contrairement aux religions politiques, les religions intemporelles ne sont pas soumises au verdict des résultats. Ce qu’elles offrent est d’ordre moral, imaginatif ou spirituel, sans obligation de résultats tangibles. Ce qu’elles offrent ne se périme pas. Elles ne proposent pas une société idéale, une revanche historique ou un rêve de grandeur et de puissance. La plupart du temps, elles comblent l’imagination de leurs fidèles (ce que l’on appelle la foi), c’est-à-dire l’une des attentes les plus fortes de la nature humaine.

    Dans un numéro récent de La Nouvelle Revue d’Histoire (n° 63), j’avais anticipé sur l’actualité créée par Benoît XVI. Notre dossier était consacré au « Conflit du Trône et de l’Autel ». Dans l’éditorial de ce numéro (novembre-décembre 2012), j’expliquais les raisons historiques qui avaient permis, au IVe siècle de notre ère, à une secte religieuse d’origine juive de devenir la religion obligatoire de l’Empire romain et de devenir ainsi l’héritière improbable de Rome et de la romanité. Cela s’était fait après une véritable mutation interne parfaitement décrite par Benoît XVI dans son discours de Ratisbonne du 12 septembre 2006 (3). Le pape y avait insisté sur la « rencontre » fondatrice du message évangélique et de la pensée grecque qui l’avait précédé. C’était une façon de rappeler l’antériorité et l’importance de l’héritage grec et romain dans la formation de la civilisation européenne.

    Pour cette raison et quelques autres, malgré sa constante repentance au sujet de la Shoah, ses tentatives de rapprochement avec l’islam et ses appels en faveur des immigrés extra-européens, alors que s’écarte volontairement Benoît XVI, on ne peut se garder d’un sentiment d’estime à l’égard de celui que la postérité regardera peut-être comme le dernier pape européen.

    Dominique Venner

    Notes :
    1. On peut se reporter entre autres à l’intéressante Histoire de la papauté, sous la direction d’Yves-Marie Hilaire, préfacé par le cardinal Poupard (Tallandier, 2003).
    2. Le Choc de l’Histoire (Via Romana, 2011), p. 155 et s. (chapitre Mystique et politique).
    3. J’ai longuement commenté le discours de Ratisbonne de 1966 dans La NRH n° 27, p. 15

    http://fr.novopress.info

  • Crâne alibi

    Il n'est pas de site royaliste sauf un - vous y êtes - qui n'ait fait ses choux gras de la tête momifiée d'Henri IV. On (oui c'est anonyme, laisse comprendre Royauté-News) vient de créer ex-nihilo un Conseil pour les Funérailles du Chef d'Henri IV. Osons croire que la messe mortuaire sera célébrée à Notre-Dame de Paris où le roi mort passa une première fois et que les cours européennes délégueront ! Jusqu'à présent l'authentification de la pièce par comparaison des ADN aux frais de l'aîné des Capétiens n'a abouti qu'à la remettre au coffre dans une chambre forte dont je tairai le nom. J'ai lu incidemment que Mgr Henri était fort rigolard de cette affaire qui n'a servi qu'à faire mousser son contempteur à nul autre effet que d'avoir une demi-colonne dans le journal, lui même ayant obtenu la sienne en réplique. Plutôt que ce duel archi-rejoué - scène 3 Utrecht 153ème Clac ! - on aurait attendu de nos messeigneurs qu'ils enfonçassent la porte de notre insondable Connerie, sans tourner clef ni poignée, mais d'un grand coup de latte à la Monluc. Car il y a urgence.
    Je ne sais si les chiffres vous lassent comme le prétendent les fabricants d'opinion qui nous prennent pour des cafres, mais ils se gâtent en continu, et augurent de lendemains qui chantent en grec. D'ailleurs François Normal est allé à Athènes pour s'en faire une idée et au passage, s'essayer à l'insulte tragique, un registre peu travaillé en diplomatie, puisqu'il va proposer à l'Etat noyé jusqu'aux yeux dans la Dette et dont le peuple bouffe des rats, la vente en leasing de deux frégates de génération FREMM. C'est vrai qu'il a fait HEC.

    une Fremm à 640M€/pièce, lisse

    La cambrure avantageuse du chef français était au comble du ridicule à vouloir faire le grand frère attentionné si l'on sait que toute l'affaire est entre les mains de la chancellerie de Berlin et que les chiffres du premier émetteur de dette de l'Eurogroup (nous) sont catastrophiques : déficits publics tous accrus, dette souveraine et sociale en gonflement régulier, récession économique établie, déficit commercial honteux. L'Italie dont nous nous moquons avec condescendance finit 2012 avec un excédent commercial de 11 milliards d'euros !
    Qu'en disent nos princes ? Que dalles ! Gueux ! Mgr Henri, qui devrait choisir un autre sujet, a reçu Le Figaro dans ses appartements parisiens pour manifester son effroi de l'apocalypse qu'ouvre le mariage gay ; son fils, Vendôme, a bravé la froidure de la Porte Maillot pour participer à la Manif pour Tous contre cette avancée sociétale ; le cousin d'Amérique a signé une belle lettre confirmant son émoi, même si l'Espagne a depuis longtemps franchi la ligne rouge. Merci à tous déjà, mais on est loin du compte. Il ne faut pas retourner à son bénéfice le leurre qu'utilise le pouvoir à masquer son impéritie, pour éviter de se compromettre sur les grands sujets décisifs toujours prégnants derrière ce fumigène socialiste. Il faut parler régime politique, calibre de l'Etat, modèle économique, modèle social, place du pays dans l'Europe institutionnelle, rang diplomatique assumé, etc... sans se priver peut-être d'élaborer un vrai Projet pour la France, ou ce qu'il en restera !

    Alors gentils princes messeigneurs, veuillez remettre le crâne du Vert Galant au conservateur du Château de Pau, et ouvrir en vos différents instituts des séances de travail sur les questions qui saignent, ressortissant au domaine régalien, dit en passant, et nous épargner "ma vie, mon oeuvre", le segment historique étant jusqu'ici peu rempli. M'est avis que si Henri de Navarre retournait parmi nous, il botterait le cul de la grande fratrie bourbonnienne en leur demandant qu'est-ce qu'ils glandent foutrrrebleu ! Et si nous étions sérieux, ensemble ?

    Le Roi au siège de Paris

    http://royalartillerie.blogspot.fr/

  • Hongrie : un nationaliste donne son avis lors d'une manif d'étudiants gauchistes.

    http://lionelbaland.hautetfort.com/

  • « LE RETOUR DES GUEUX. LE REVEIL DES LIONS » suivi du « PLAN JACQUES CARTIER », de Claude Perrin

    « LE RETOUR DES GUEUX. LE RÉVEIL DES LIONS » : UN LIVRE DE RÉSISTANCE IDENTITAIRE
     
    Comme partout en Europe, l’anarchie s’est répandue sur le territoire où Claude Perrin situe l’action de son roman. Le tsunami de l’immigration-invasion, la décomposition des institutions publiques, la disparition des cadres habituels ont permis à des bandes de pillards de faire régner une terreur sans fin.¢
    Tel est le cadre dans lequel Claude Perrin place les personnages de son roman : des hommes, une femme qui refusent d’accepter l’inacceptable, la soumission, l’esclavage. Ils choisissent donc de se battre. Et s’organisent en réseaux de solidarité pour survivre et conduire la résistance, afin de préparer, un jour, la reconquête.
    Le lecteur va vivre à leurs côtés des moments intenses, des épisodes hauts en couleur, qui l’inciteront à se préparer mentalement et physiquement à l’avenir, le proche avenir qui s’annonce chaotique.
    On est là dans la veine du Camp des saints de Jean Raspail – mais en plus optimiste, heureusement, puisque Claude Perrin annonce à ceux qui sont capables d’entendre son message que la renaissance est au bout du chemin. Pour ceux qui auront choisi la lutte.
    « LE PLAN JACQUES CARTIER »
    Le plan vous convie à une nouvelle série d’aventures faisant suite au rassemblement qui concluait Le retour des gueux, le réveil des lions.
    Sous autorité militaire, après longue concertation sur la situation tant en France que de par la monde, de valeureux volontaires vont mener des actions insolites visant notamment à se débarrasser du carcan anglo-américain, mais aussi à s’attacher au sort malheureux de ce qui fut la Provence de Mistral, Daudet et Giono. Des moyens inédits fournis notamment grâce à la solide amitié liant la France à la vieille et sainte Russie vont permettre de lever le puissant système de contrôle mondial édifié par l’Oncle Sam.
    Des personnages hauts en couleurs, comme ce commandant de sous-marin Russe et cette exubérante Québécoise, donnent un relief particulier à cet épisode mouvementé.¢
    Offre promotionnelle 25 euros
    pour les deux romans de Claude Perrin
    "Le retour des gueux. Le réveil des lions"
    et sa suite "Le plan Jacques Cartier"
    25 €, port compris
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