Tout au long du XXe siècle, et, avant l’actuelle renaissance, avec le renouveau des premiers temps du Fascisme jusqu’aux Accords du Latran (11 février 1929), l’Italie a vu se manifester ce que le professeur Piero Di Vona a appelé, pour clarifier les choses, « le Traditionalisme romain ». Cet ensemble jusqu’il y a peu hétérogène, regroupant diverses personnalités, revues et tendances, n’est nullement monolithique ; il constitue plutôt une mouvance qui réussit à assumer différentes facettes d’un héritage ancien.
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Les courants de la Tradition païenne romaine en Italie
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Culture classique et tradition
La forme de culture que l’on appelle classique en Occident est un phénomène assez particulier. Une première distinction doit être faite entre la culture traditionnelle, qui existe dans toutes les civilisations même les plus primitives, et la culture classique qui n’existe que dans certaines civilisations particulièrement évoluées. Les valeurs de ces deux formes de l’héritage du passé ne coïncident pas nécessairement et sont même parfois opposées.
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Saint-Nicolas. La traditionnelle fête chrétienne de nouveau attaquée par les ethno-masochistes [Vidéo]
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L’Institut Iliade réédite un ouvrage de défense des identités
« Discriminer ou disparaître » est une alternative douloureuse dans une société où la simple constatation d’une différence nous est interdite sous couvert de lutte contre les discriminations. « Sexisme », « racisme », « transphobie », « grossophobie » : autant d’accusations qui menacent le simple constat d’une différence. Pour les tartuffes de la pensée unique, il faut nier la réalité : supprimer les sexes, les races, bref toute altérité.
Ce fétichisme de l’anti-discrimination entraîne ainsi la création d’un être indifférencié et interchangeable, sans sexe, sans couleur, sans famille ni histoire. L’individu, alors réduit à sa simple fonction de producteur et de consommateur, devient un objet de commerce qui s’achète et se vend comme au marché aux esclaves, et se retrouve finalement sans aucune défense face au Big Brother étatique et économique.
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Quoi de nouveau ? La Tradition !
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Saint-Charles Borromée. Une grande figure de la Chrétienté
Carlo Borromeo naît en 1538 à Arona, dans le Nord de l’Italie. Sa statue haute de trente-trois mètres est couronnée d’une immense tête, où peuvent se tenir six personnes, qui découvrent alors le superbe panorama du lac Majeur et de son pittoresque archipel. Les îles Borromées portent le nom de l’illustre famille dont provient celui qui allait devenir un des plus influents prélats d’un XVIe siècle religieusement très agité. Par sa mère, Carlo est également un Médicis, comme son oncle Pie IV, le pape qui achèvera le concile de Trente en 1563.
Le jeune Carlo entre à la faculté de théologie de Pavie. Les murs de la cité des Visconti résonnent encore des fureurs d’une bataille célèbre en 1525. Le roi de France François 1er et l’Empereur Charles-Quint s’y affrontèrent. La victoire sourit au second nommé.
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Le nombre d’or
Le nombre d’or (1,618) divise le cercle en deux arcs de 138 et 222 degrés, inégaux mais unis par la « divine proportion » chère aux pythagoriciens.
La première partie du livre de Pierre Delmas se situe dans le droit fil de la grande arithmosophie antique. Dans la seconde partie de son ouvrage, l’astrologue reprend le dessus au détriment de l’historien et du chercheur. Comme la plupart de ses confrères, il sème la confusion en voulant séduire plutôt que démontrer.
Au lieu d’aligner une série probante de liens entre l’angle de 138 degrés et la naissance d’un certain nombre de célébrités, Pierre Delmas recourt à des angles d’or « dérivés » dont l’un (69 degrés) fait double emploi avec le quintile (72 degrés) ou l’autre (42 degrés) marche sur les plates-bandes du semi-carré (45 degrés).
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L’animal et la mort, de Charles Stépanoff
À une période où les débats sont vifs sur les questions de production industrielle de viande, de souffrance animale, et plus généralement de notre rapport au monde du vivant, Charles Stépanoff nous livre ici une étude anthropologique tout à fait éclairante, centrée sur l’étude des pratiques de la chasse.
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La Mort : l'ultime frontière de la pensée ? - Les Sciences Occultes
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Apulée et la « reine du Ciel »
Nicolas Bonnal
La royauté et la suprématie de la Femme dans le Graal ont toujours possédé une dimension ésotérique. Les origines païennes – au sens éminemment traditionnel du terme – sont bien établies et elles sont liées aux religions à mystères liées aux deux grandes déesses de l’Antiquité, Aphrodite-vénus et Cérès-Déméter. Aucun texte n’est plus instructif ni inspirateur que l’Âne d’or d’Apulée, dans lequel nos écrivains du Graal ont puisé à foison. C’est Evola qui nous a donné l’idée de nous y référer férocement (dans notre Chevalerie hyperboréenne), dans sa préface du Mythe du Graal.