La gauche ? C’est le refuge des puissants et l’obstacle à la révolte des opprimés. Cette inversion des rôles, qui rend la droite dépositaire de la question sociale, se lit aux Etats-Unis comme en France. C’est pourquoi la perspective d’une réélection de Donald Trump, à l’issue du scrutin de mardi, est déjà un désaveu pour les « progressistes », confrontés à leur trahison des faibles. Des deux côtés de l’Atlantique, les maîtres de ballet crachent les mêmes insultes sur le peuple qui refuse d’obéir. Quand L’Humanité titre : « Le péril fasciste » sous la photo de Trump, Kamala Harris soutient semblablement : « Oui, nous pouvons le dire, la vision de Donald Trump est celle du fascisme ». Quand Joe Biden laisse échapper son mépris pour les électeurs républicains en les comparant à des « ordures », Alain Minc les qualifie de « sous-développés ». Ce même promoteur de la « mondialisation heureuse » avait dit en 2016, parlant du référendum britannique approuvant le Brexit : « Ce référendum n’est pas la victoire d’un peuple sur les élites mais celle de gens peu formés sur des gens éduqués ».
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Pourquoi la victoire de Trump serait révolutionnaire
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Élections US : Les mécanismes de la fraude
par Manlio Dinucci
Le système des élections présidentielles
1. Les deux plus grands partis, républicain et démocrate, choisissent le candidat aux présidentielles à travers les élections primaires qui se tiennent dans les 50 États. Elles se déroulent dans des modalités diverses selon les États. Dans certains, les candidats sont choisis dans des votations secrètes, dans d’autres dans des réunions ouvertes, les caucuses. Dans certains États ne peuvent participer au caucus que les inscrits au parti qui l’organise, dans d’autres peuvent participer et voter même des non-inscrits ou des inscrits au parti rival.
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Présidentielle US : la lutte s’intensifie
Les joutes verbales de la bataille électorale aux États-Unis sont en train d’atteindre des sommets d’une violence inédite. Les candidats utilisent une rhétorique offensante, haineuse, raciste et dégradante, une semaine avant l’élection du nouveau président US du 5 novembre.
L’actuel chef de l'État, le démocrate Joe Biden, a - par inadvertance - qualifié les partisans américains du candidat républicain Donald Trump d’« ordures », tandis que la démocrate Hillary Clinton, qui a perdu les élections de 2016, a comparé les rassemblements électoraux de Trump « avec les réunions nazies en 1939 ». Il est évident que de telles déclarations désobligeantes ne font que polariser davantage la société américaine déjà profondément politiquement divisée, contribuant, ainsi, à la croissance de l’intolérance, mais aussi de la haine intrasociale et raciale entre les supporters des deux partis, aux conséquences imprévisibles.
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La victoire du Rêve géorgien aux législatives pour le désarroi de l’Occident
Les élections législatives se sont achevées en Géorgie. Selon les résultats officiels, c'est le parti au pouvoir Rêve géorgien qui a remporté la victoire. D'après la Commission électorale centrale, après le dépouillement de 99,6% des bulletins, il a obtenu 54,2% des voix, contre 37% pour l'opposition.
L'opposition et la présidente Salomé Zourabichvili ont qualifié les résultats du vote de falsifiés et ont appelé leurs partisans à manifester. Pour les forces soutenues par les États-Unis et l'UE, c'est une réaction attendue et désormais traditionnelle lorsque les résultats des élections ne leur conviennent pas. Reste à savoir quelle politique adoptera la Géorgie.
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Trump vs Harris. Pennsylvanie, Etat clef, vote amish clef également
Alors que le suspens est à son comble pour les élections américaines, la Pennsylvanie sera un Etat clef pouvant déterminer la victoire finale entre Harris et Trump.
Aux dernières élections, Biden n’avait remporté que 80 000 voix de plus que Trump.
4 ans ont passé.
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Soutien du Parti de la France à Donald Trump : en avant vers la victoire le 5 novembre !
À quelques jours de l'élection présidentielle américaine du 5 novembre, le Parti de la France réaffirme son soutien à Donald Trump. Dans une période marquée par des tensions géopolitiques exacerbées et un véritable défi civilisationnel pour le monde Blanc, Donald Trump incarne la souveraineté nationale, la préservation de la paix et la défense des libertés fondamentales.
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Orban: le peuple géorgien n’a pas permis à son pays de devenir une deuxième Ukraine
La Géorgie ne voulait pas être «une deuxième Ukraine» et a choisi la paix avec la Russie.
«Le peuple géorgien a pris une décision: il a voté pour la paix. Il n’a pas permis à son pays de devenir une deuxième Ukraine. Nous soutiendrons les efforts de la Géorgie pour l’intégration européenne et le développement des relations entre la Hongrie et la Géorgie», a écrit Orban sur sa page Facebook.
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Les élections en Géorgie provoquent des tensions entre le gouvernement conservateur et des dirigeants de l’Union européenne (pas Orban)
Le parti conservateur Georgian Dream, au pouvoir en Géorgie depuis douze ans, a remporté les élections parlementaires du samedi 28 octobre avec 54 % des voix, soit 89 sièges. Bien que le scrutin ait été déclaré libre et équitable par la commission électorale, les alliances pro-Bruxelles, qui ont obtenu 38 % des voix et 61 sièges, contestent les résultats en les qualifiant de « volés ». Cette victoire de la ligne souverainiste et conservatrice a entraîné des critiques de la part de dirigeants l’Union européenne, menaçant d’entraver la candidature de la Géorgie à l’adhésion européenne, tandis que l’opposition pro-européenne prépare des manifestations.
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États-Unis : les catholiques vont-ils assurer la réélection de Trump ?
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Dernière minute : les élections en Géorgie, un scénario bien connu des «révolutions de couleur» mais ça risque de ne pas marcher
par Danielle Bleitrach
Nous avons semble-t-il ce soir en Géorgie une opération typique de la CIA, quasi caricaturale… En effet, depuis le début de la soirée nous avons eu droit à la proclamation de la victoire de l’opposition de la part de la présidente, une Française placée là pour être la marionnette des USA – Donc la dite présidente en s’appuyant sur les résultats supposés d’un sondage à la sortie des urnes qui donne la victoire à 51,9% des partis pro-européens unis face au parti gouvernemental pro-russe pour affirmer que l’opposition l’emporte alors que les résultats partiels sous contrôle international disent le contraire.