
Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Le candidat de la strèmedroate à la présidentielle polonaise, Sławomir Mentzen (Confédération), arrivé troisième avec 14,8% des voix, invite les deux candidats du second tour à s’exprimer sur sa chaîne YouTube :
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Lu sur le blog d’Yves Daoudal :
Le candidat de la strèmedroate à la présidentielle polonaise, Sławomir Mentzen (Confédération), arrivé troisième avec 14,8% des voix, invite les deux candidats du second tour à s’exprimer sur sa chaîne YouTube :
La triche est devenue la norme démocratique en Europe. Les mondialistes ne reculent devant rien pour gagner les élections. Un candidat souverainiste n’a plus aucune chance.
On se souvient qu’en 2020 Donald Trump avait été délesté de plusieurs millions de voix au cours de la nuit électorale la plus ahurissante de l’histoire des États-Unis.
L’élection présidentielle polonaise s’annonce serrée. Rafal Trzaskowski, le candidat libéral et pro-européen allié du Premier ministre Donald Tusk, n’a recueilli que 31,16 % des voix au premier tour.
Un pays ne peut pas défendre la démocratie en la détruisant. Il ne peut pas non plus lutter contre l’ingérence en devenant le saboteur en chef. Ce ne sont pas des paradoxes. C’est la réalité politique de la Roumanie post-électorale de 2025, où la volonté du peuple a été piétinée par une union de technocrates, une pression des services de renseignement étrangers et un fiat judiciaire. Ce n’est pas la démocratie. Il s’agit d’une imitation de la démocratie, conçue pour des raisons optiques et des résultats contrôlés.
Par Adègne Nova
Première élection présidentielle en Roumanie de fin 2024 : Călin Georgescu 22.94%, Elena Lasconi 19.18%, Marcel Ciolacu 19.15%, George Simion 13.86%, Nicolae Ciucă 8.79%, Mircea Geoană 6.32%, Hunor Kelemen 4.50%, Cristian Diaconescu 3.10%, Cristian Terheş 1.04%, Ana Birchall 0.46%, Ludovic Orban 0.22%, Sebastian Popescu 0.16%, Alexandra Păcuraru 0.16%, Silviu Predoiu 0.12%. Bon, Călin n’a pas l’heur de plaire à Ursula… critique à l’égard de l’Empire et de l’OTAN, opposé à aider l’Ukraine, ce n’est pas comme ça qu’on entre dans les p’tits papiers de la Bruxelloise.
Au programme ce soir, triste retour sur l’élection présidentielle roumaine. Le candidat mondialiste a remporté la victoire face au souverainiste de remplacement Simion. Une élection qui s’érigera en démonstration des ingérences étrangères, à commencer par celle de l’Elysée.
Selon l’ensemble des médias, et les résultats officiels, le candidat européiste Nicusor Dan aurait gagné le deuxième tour de la présidentielle en Roumanie, avec un score estimé à 54 % des voix. Le taux de participation serait passé de 53 % à 65 %. Les médias de propagande exultent, et se réjouissent de la défaite de l’extrême droite, oubliant de rappeler que c’est Calin Georgescu qui aurait dû être élu président au deuxième tour, en décembre dernier. Mais du côté de George Simion et du camp nationaliste, on conteste le résultat de ces élections, et se proclame vainqueur. Cette contestation se poursuivra-t-elle dans la rue ? Nous le saurons dans les heures et les jours qui viennent.
Résultats à environ 23h30 (heure française) :
L’extrême droite représentée par le parti Chega («Assez»), qui continue de progresser par rapport au dernier scrutin, atteint pour la première fois la barre de 20% des voix et talonne l’opposition socialiste.
A la une de cette édition, l’élection présidentielle en Roumanie avec le souverainiste George Simion favori, quelques mois après l’annulation du précédent scrutin.
Au cœur d’un printemps encore hésitant, une enquête signée Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio vient jeter sur la scène politique un clair-obscur révélateur, comme on en voit parfois au théâtre, quand les projecteurs se déplacent non pas au gré des mérites, mais des angles de vue. Il ne s’agit pas ici de sondages d’intention de vote – art déjà périlleux –, mais de l’exercice, plus brumeux encore, du pronostic populaire : qui, parmi la cohorte bigarrée des prétendants, « fera » candidature à la présidentielle de 2027 ?