La presse française et les instituts de sondages ne se sont pas « trompés », comme le racontent les analystes, à propos de l’élection américaine et de la victoire de Trump. Ils sont simplement dévoilé leur vraie nature. Ils ne sont ni presse, ni instituts de sondages, ils sont influenceurs et ils ont usé de leur poids médiatique, largement subventionné, pour tenter de nous imposer Kamala, de manière à perpétuer leur idéologie du moment, une gauche dévoyée, devenue woke. Ce faisant ils n’ont pas compris que ce ne sont pas les Français qui élisent le président américain et à les voir et les entendre, on avait l’impression que si. Ils pourraient faire un mea-culpa ? Pensez-donc. Ils se remettent en ordre de marche pour débiter avec des airs sentencieux, les pires prédictions et les pires traits de caractère pour les années à venir de la présidence Trump. Ils comptent quoi, ce faisant ? Faire annuler l’élection américaine par les électeurs Français ? Convaincre les Français qu’une part de nationalisme à la Trump ne serait pas bonne pour eux ?
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La démocratie, c’est quand on vote pour nous…
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L’Irlande en route vers des élections législatives anticipées : un scrutin clé le 29 novembre
Le Premier ministre irlandais, Simon Harris, a officiellement annoncé la tenue d’élections générales anticipées le 29 novembre 2024. Avec cette décision, Fine Gael, le parti de centre-droit dirigé par Harris, espère capitaliser sur la faiblesse actuelle de Sinn Féin et conforter sa place au gouvernement en coalition avec Fianna Fáil et le Parti Vert.
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L’excuse de minorité
La réalité militante est souvent marquée par une certaine tristesse, alimentée par des échecs répétés au fil des décennies. Je n’ai jamais applaudi à ce que certains considèrent comme des sursauts d’espoir : les qualifications de Jean-Marie et Marine Le Pen pour le second tour d’une Présidentielle ou les succès du Rassemblement National lors d’élections dites intermédiaires. Ces faits n’ont guère changé la situation catastrophique de la France. Loin de représenter de véritables tournants, ils révèlent au contraire les limites de l’électoralisme face aux crises majeures qui frappent notre pays.
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« L’écureuil Peanut revenu d’entre les morts vient de battre Kamalaty Jane Harris ! ». L’édito de Charles SANNAT
Voici l’édito que je vous avais préparé hier mais qui n’a été publié en raison d’un problème informatique que je ne m’explique toujours pas!! Entre temps une nouvelle vidéo de Peanut l’écureuil venant hanter Kamala est sortie.
Incroyable.
Dieu, je peux vous le dire, à vraiment beaucoup d’humour!
Quelques instants avant que Kamal Harris ne prenne la parole hier pour son discours confirmant sa défaite, un écureuil s’est invité sur l’estrade comme vous pouvez le voir sur la vidéo ci-dessous.
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Communiqué d’Action française – Scrutin états-unien
« En démocratie, c’est le peuple qui choisit. » Mais les démocrates considèrent qu’il vote mal s’il ne choisit pas leurs champions. Les États-uniens viennent de le démontrer une deuxième fois en réélisant Donald Trump à la tête de leur pays : majorité des suffrages, majorité des grands électeurs, majorité au Sénat et à la chambre, la victoire est nette. Mais les États-Unis ne sont pas la France et nous ne pouvons que regretter cette marque d’aliénation intellectuelle, qui consiste à s’enthousiasmer de cette victoire, comme une certaine droite nationale, ou, comme le centre et la gauche, à la déplorer comme une catastrophe de portée mondiale. Les États-Unis sont également forts de cette américanisation des esprits, qu’on ne s’attendrait pas à trouver chez des patriotes.
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Le RPF applaudit le retour de Trump
Trump est revenu, avec parmi ses supports le plus impressionnant homme d’affaire / ingénieur / innovateur / « disrupteur » du monde : Elon Musk. Donald Trump est élu 47ème Président des USA dans un « Come Back » qui tient de l’exploit.
Le vote conservateur pro-Trump est stupéfiant d’intensité, le candidat gagnant même le vote populaire, une première depuis 2004 pour le Parti républicain.
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La victoire de Trump, ou la fin d’un monde tyrannique
La Nouvelle vague conservatrice balaye le vieux monde progressiste. La nette victoire de Donald Trump, officialisée ce mercredi à 8h25 en Floride par le gagnant, entouré de ses proches, porte un coup d’arrêt au despotisme de la gauche prolophobe et donneuse de leçons. Le séisme américain aura ses répercussions en France auprès d’un camp du Bien méprisant pareillement les faibles et injuriant les contestataires. C’est une révolution que la victoire de Trump a enclenchée. Elle est l’aboutissement d’une colère populaire souvent décrite ici. Ce bouleversement est également la revanche des parias, à travers la consécration démocratique du premier d’entre eux.
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L'exemple américain ?
La victoire annoncée de Donald Trump aux élections est d’abord une victoire de l’identité américaine face au monde cosmopolite que veulent imposer les thuriféraires de la mondialisation économique et du grand brassage ethnique. En terme clair, c'est la victoire de l’Amérique profonde contre l’Etat profond incarné par les golden boys apatrides, les dégénérés wokistes, les lobbys bellicistes et autres LGBT en furie des deux côtes (Est et Ouest). C’est aussi une victoire contre les médias aux ordres et les donneurs de leçons patentés qui n’avaient pas mots assez durs pour insulter Trump et ses électeurs… la presse française ayant atteint des sommets dans ce domaine.
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Le premier discours de Donald Trump, après l’annonce de sa victoire
« L’Amérique n’a jamais rien vu de pareil. Je mettrai fin à toutes les guerres » a déclaré Donald Trump, le 47e Président des États-Unis, lors de ce premier discours après les résultats de sa victoire.
Donald Trump monte sur scène au Palm Beach Convention Center avec toute sa famille pour le premier discours en tant que 47e président
Le public crie à l’unisson « USA, USA » alors que Donald Trump monte sur scène au Palm Beach Convention Center pour le premier discours en tant que 47e Président des Etats-Unis. Avec le nouveau Président, il y a Melania, tous ses enfants, son vice-Président DJ Vance, Elon Musk, Tulsi Gabbard, et les autres grands soutiens de Tump.
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Les mondialistes ont raté leur coup : c’est Trump le 47e président des Etats-Unis !
Au moment où j’écris ces lignes, Donald Trump a déjà bénéficié du vote de 266 grands électeurs et il en faut 270 pour être élu président des États-Unis. Autant dire que le match est plié. L’artificielle Kamala Harris a donc été battue à plate couture, avec ses tailleurs de grands couturiers et son mépris californien. Le peuple américain a décidé de reprendre son destin en main, et la tâche qui attend le 47e Président des États-Unis est immense. Et ce, malgré la campagne ahurissante de dénigrement de tout le système.