Selon l’ensemble des médias, et les résultats officiels, le candidat européiste Nicusor Dan aurait gagné le deuxième tour de la présidentielle en Roumanie, avec un score estimé à 54 % des voix. Le taux de participation serait passé de 53 % à 65 %. Les médias de propagande exultent, et se réjouissent de la défaite de l’extrême droite, oubliant de rappeler que c’est Calin Georgescu qui aurait dû être élu président au deuxième tour, en décembre dernier. Mais du côté de George Simion et du camp nationaliste, on conteste le résultat de ces élections, et se proclame vainqueur. Cette contestation se poursuivra-t-elle dans la rue ? Nous le saurons dans les heures et les jours qui viennent.
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Le peuple roumain doit refuser dans la rue la victoire des tricheurs européistes
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Législatives au Portugal : score historique du parti nationaliste Chega, en passe de devenir la seconde force politique du pays
Résultats à environ 23h30 (heure française) :
L’extrême droite représentée par le parti Chega («Assez»), qui continue de progresser par rapport au dernier scrutin, atteint pour la première fois la barre de 20% des voix et talonne l’opposition socialiste.
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Roumanie : un vote face à l’UE - JT du vendredi 16 mai 2025
A la une de cette édition, l’élection présidentielle en Roumanie avec le souverainiste George Simion favori, quelques mois après l’annulation du précédent scrutin.
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Présidentielle 2027 : Le crépuscule des icônes et l’ombre portée des écrans
Au cœur d’un printemps encore hésitant, une enquête signée Ifop-Fiducial pour Le Figaro et Sud Radio vient jeter sur la scène politique un clair-obscur révélateur, comme on en voit parfois au théâtre, quand les projecteurs se déplacent non pas au gré des mérites, mais des angles de vue. Il ne s’agit pas ici de sondages d’intention de vote – art déjà périlleux –, mais de l’exercice, plus brumeux encore, du pronostic populaire : qui, parmi la cohorte bigarrée des prétendants, « fera » candidature à la présidentielle de 2027 ?
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Roumanie : Valérie Hayer veut faire battre le candidat nationaliste !
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Larcher et Braun-Pivet préparent en douce un accord Macronie-LR pour 2026…
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Roumanie : l'électrochoc George Simion qui met l'Union européenne en panique - Régis le Sommier
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Raz-de-marée natio en Roumanie : finalement, ce n’était pas dû à l’ingérence russe…
George Simion, aux portes du pouvoir
Les choses se suivent et se ressemblent. Le 4 mai 2025, George Simion, leader de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), a balayé ses adversaires lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, obtenant 40 % des voix. Călin Georgescu, l’autre figure de la droite roumaine, n’avait réalisé « que » 23 % lors des élections de novembre 2024, élections annulées par le Conseil constitutionnel qui avait argué de possibles ingérences russes via le réseau chinois TikTok, ingérences jamais prouvées. La candidature de Georgescu aux présidentielles de 2025 avait été invalidée pour les mêmes raisons. Écœurés par ces pratiques dignes de l’époque Ceaucescu, les Roumains ont voté en masse pour Simion qui a par ailleurs dit pendant la campagne qu’au cas où il serait élu, il nommerait Georgescu Premier ministre.
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Déroute des européistes en Roumanie
George Simion, chef du parti de droite souverainiste Alliance pour l’unité des Roumains (AUR), est arrivé, dimanche 4 mai, largement en tête du premier tour de l’élection présidentielle en Roumanie avec plus de 40 % des voix. Il sera opposé au second tour, le 18 mai, au maire de Bucarest, le centriste et pro-européen Nicusor Dan, arrivé deuxième avec 21 % des voix.
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Roumanie : leçon française d’une insurrection électorale
Dans son obsession à faire taire le peuple, l’oligarchie européiste creuse sa tombe. Les Roumains, en portant hier soir George Simion spectaculairement en tête du premier tour de la présidentielle (plus de 40% des voix), ont refusé les intimidations morales d’une Union européenne supranationale. Sous son influence la Cour constitutionnelle roumaine avait invalidé discrétionnairement, le 6 décembre, la victoire au premier tour (23%) du souverainiste Calin Georgescu, qualifié d’extrême droite et de pro-Poutine par les censeurs. Simion a fait campagne en refusant de participer aux débats du système médiatique. Cette insurrection électorale reste à confirmer le 18 mai. Cependant, elle intervient alors qu’en Allemagne le renseignement intérieur a, vendredi, qualifié Atlernative für Deutschland (afD), deuxième parti politique du pays, de mouvement « extrémiste de droite confirmé ». Il lui est reproché son opposition à l’immigration musulmane.