Il affirme que le président Macron a tout inventé et qu'il n'y aura pas d'offensive militaire de pays de l'OTAN contre la Russie.
La Grèce, la Pologne, l’Autriche et la Suède ont également démenti la "fake news", du président français.
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Il affirme que le président Macron a tout inventé et qu'il n'y aura pas d'offensive militaire de pays de l'OTAN contre la Russie.
La Grèce, la Pologne, l’Autriche et la Suède ont également démenti la "fake news", du président français.
En complément de cette professionnalisation des chefs de file des musulmans, d’autres mesures ont été évoquées lors de cette conférence de presse. L’une d’entre elles concerne les cimetières. Le ministre de l’Intérieur s’est engagé à ce que les musulmans ne rencontrent plus de complications au moment de recevoir une sépulture - certains maires refusaient un carré réservé aux musulmans au sein duquel les tombes doivent être tournées vers La Mecque dans les cimetières de leur commune. La dernière mesure est une mesure financière. Le budget alloué à la sécurité des lieux de culte musulmans a en effet été doublé, selon les dires de Gérald Darmanin, atteignant à présent la somme d’un million d’euros.
La CIA a construit «12 bases d’espionnage secrètes» en Ukraine et mené une guerre fantôme au cours de la dernière décennie, confirme un rapport Bombshell du NYT publié le 25 février.
La citation
«Dimanche, le New York Times a publié des révélations selon lesquelles les renseignements américains ont non seulement joué un rôle déterminant dans la prise de décision en temps de guerre en Ukraine, mais ont également créé et financé des centres d’espionnage de haute technologie de commandement et de contrôle, et ce bien avant l’invasion russe du 24 février, il y a deux ans.
Alors que Bruno Le Maire a revu l'objectif de croissance française pour 2024 à 1% et qu'il cherche à faire 10 milliards d'euros d'économie, 16 millions d'euros sont dépensés dans un livret à destinations des écoliers.
Entre 2004 et 2013, des dizaines de jeunes filles ont été victimes de violences et d’abus sexuels dans la région de Rochdale, au nord-ouest de l’Angleterre. Un rapport de 173 pages vient d’être publié sur ce scandale de pédophilie. Une ex-inspectrice de police nous révèle les graves lacunes de l’enquête et estime que les mêmes erreurs se répètent.
par Patrick Martin
Au cours des deux dernières années, presque toutes les références dans les médias américains à l’invasion de l’Ukraine par la Russie en février 2022 ont été précédées du mot obligatoire : «non provoqué».
Le public était censé accepter qu’il s’agissait de la première guerre de l’histoire sans antécédents historiques ni motifs économiques, la première guerre entièrement fondée sur la psychologie d’un seul homme, le président russe Vladimir Poutine.
Cependant, le week-end du deuxième anniversaire de la guerre, le New York Times a publié un long article révélant que l’invasion russe de l’Ukraine le 24 février 2022 a été provoquée par une campagne systématique et généralisée d’agression des services de renseignement militaires des États-Unis.
Franco-russe, je me souviens encore de ce sentiment de gêne qui me travaillait, enfant, à chaque fois que j’entendais parler de la guerre partiotique de 1812. Si j’avais eu le malheur de naître à cette époque, qu’aurais-je fait ? Comme, en certains cas, le sens des réalités n’est pas négociable, je finissais par me ranger du côté russe car, après tout, qui était l’envahisseur ? Le barbare ? Je me souviens des réflexions que m’avaient inspirée la biographie de la bonne vieille Comtesse de Ségur dont le père, Fédor Rostopchine, gouverneur de Moscou entre 1812 et 1814, ordonna la mise à feu de Moscou. Si j’avais été à sa place, me demandais-je, aurais-je pu épouser un Français ? Prenant un peu plus de recul, 25 ans plus tard, je me repose la question mais en d’autres termes : est-ce que les Russes ont bien raison de ravaler une rancune normalement indigeste alors que, si l’on inverse un certain nombre de scénarios, on se rend compte que jamais l’Occident n’aurait absous la Russie. Imaginons que les trois-quarts de Paris eussent été brûlés pour éviter que l’envahisseur russe ne s’en empare !
Ces derniers jours, on a un peu tout vu, en termes d’agriculture. Le plus médiatique ? Cette tentative totalement ratée du président de la République, qui a voulu jouer à Chirac et n’a réussi qu’à faire du Ceaușescu en bout de piste. Débat ridicule en bras de chemise (probablement parce qu’il imagine que les agriculteurs n’ont jamais de veste), évacuation misérable sous les assauts des paysans en colère… et jusqu’à ces moments surréalistes, captés par l’œil des caméras, dans lesquels, tour à tour, il perd ses nerfs face à une jeune fille ou explique comment il comprend le programme du Rassemblement national. Pour lui, le RN est le « parti du Frexit », alors que « sans Europe, il n’y a pas d’agriculture ». C’est dire deux bêtises en une phrase, ce qui ne surprendra pas les admirateurs de ce Président surdoué, qui fait tout beaucoup plus vite que tout le monde.
Dans cette capsule, Eric Verhaeghe rappelle que la crise agricole survient essentiellement du fait de la politique de sanction contre le gaz russe, qui fait flamber le prix des intrants agricoles de plus de 50 % et étrangle les agriculteurs. Mais, visiblement, ni Emmanuel Macron ni Jordan Bardella n'ont envie d'en parler.