Franck Tanguy reçoit Laurent Artur du Plessis, Serge Federbusch, Thomas Whyte et Patrick Yvars.
Au programme des débats :
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Franck Tanguy reçoit Laurent Artur du Plessis, Serge Federbusch, Thomas Whyte et Patrick Yvars.
Au programme des débats :
Bonne nouvelle : la dénisphère a perdu. Ou presque. Les mensonges des désinformateurs se retournent contre eux. Les Français, longtemps trompés par le récit officiel et la diabolisation des contradicteurs, constatent les désastres qui les accablent. Les gens ne se laissent plus abuser, pour la plupart, par les dénégationnistes qui récusent les réalités dérangeantes. Le 15 mai, j’avais noté, par hasard, ce rappel à l’ordre anodin de Jean-Jacques Bourdin à son interlocuteur, sur Sud-Radio : « Je ne peux pas vous laisser dire (…) ! ». Or ce leitmotiv, repris par beaucoup de modérateurs de débats, est symbolique d’un abus d’autorité qui ne passe plus. Le scandale suscité, lundi, par le commentaire de Patrick Cohen sur France 5, à propos du drame de Crépol (Drôme) illustre l’irritation croissante d’une opinion qui sait débusquer désormais les mécanismes du bidouillage des faits.
“Cachons les prisonniers russes. Peut-être que Dieu épargnera alors nos fils”, disait Maria Langthaler. Un reportage spécial d’Argumenti i Fakti sur cet exploit inconnu d’une paysanne allemande.
“Les gamins de quinze ans de la Hitlerjugend se vantaient de qui avait tué plus d’innocents. L’un a même sorti de sa poche une liasse d’oreilles coupées pour les montrer à son copain - tous les deux ont ri. Un fermier a trouvé un Russe qui se cachait dans une étable avec des moutons, et l’a poignardé avec un couteau - l’homme s’est débattu dans des convulsions, et la femme du tueur a égratigné le visage du mourant.
La présence de jeunes militants identitaires dans le quartier de la Monnaie, à Romans-sur-Isère, fait couler de l'encre.
Leur idée de battre le pavé n’était peut-être pas celle du siècle : ils voulaient dénoncer le meurtre de Thomas, à l’endroit même d'où la majorité des suspects sont originaires.
Bernard Germain
Je n’ai jamais vu une situation aussi claire mais surtout aussi caricaturale que celle que nous vivons suite aux événements tragiques intervenus à Crépol, au cours desquels Thomas a trouvé la mort.
Une manifestation de jeunes patriotes simplement révoltés – à juste titre – par ce meurtre a eu lieu à Romans pour demander justice pour Thomas.
La presse bien-pensante, mais aussi malheureusement celle de droite, a nommé ces jeunes l’ultra-droite, ajoutant très souvent ultra violente. Franchement, c’est juste scandaleux. Qui peut indiquer avec des exemples concrets les violences commises par ces jeunes ? Personne ne le peut pour une raison simple : il n’ont commis aucune violence.
Pas un blessé à déplorer, pas une dégradation, pas un véhicule abîmé ou incendié. Rien.
La trêve qui était en vigueur depuis le 24 novembre entre Israël et le Hamas dans la bande de Gaza a expiré ce vendredi matin, marquant la reprise des hostilités. Israël accuse le Hamas d'avoir violé l'accord en lançant une roquette peu avant la fin de la trêve. En réponse, l'armée israélienne a mené des frappes aériennes dans le nord de Gaza. Cette escalade survient malgré les efforts de prolongation de la trêve et a conduit à la réinstauration de restrictions précédemment levées. Par ailleurs, six otages israéliens ont été libérés par le Hamas durant la nuit, suivant deux libérations antérieures, dans le cadre d'un échange avec des prisonniers palestiniens. La reprise des frappes israéliennes a entraîné la mort d'au moins 32 Palestiniens.
Avec les soins dont les coûts augmentent avec un reste à charge.
Avec les gens qui restent sur les parkings des urgences partout en France dans des ambulances.
Avec l’interdiction de rentrer dans les services d’urgence pour accompagner les malades et l’hôpital devenant un boîte noire sans témoin gênant.
Avec la pénurie de personnels soignants.