
Cette semaine, Paris fête Ganesh, LFI peine à défendre l’abaya, des Blancs osent rendre hommage antiraciste ! Et Mélenchon plus chauvin que jamais... mais pas comme vous l'imaginez.
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.
Les transformations du monde s’accélèrent à un train d’enfer depuis le 24 février 2022. La crise en Ukraine s’embourbe depuis près de 18 mois et les politiques de sanctions à l’égard de la Russie ont fait intégrer à tous les pays en voie de développement les dangers de s’arrimer aux Etats-Unis. L’Occident, sous l’égide de Washington, est devenu peu à peu un repoussoir pour tous les pays souverains qui aspirent à le rester ou ceux qui aspirent à le devenir. Le continent africain ne fait pas exception. La France, malgré son poids colossal notamment grâce à sa langue, a perdu pieds. Les coups d’Etat s’enchainent et les réactions diplomatiques sont plus catastrophiques les unes que les autres. Pendant que l’Occident creuse sa tombe, les BRICS, eux, bâtissent le monde de demain avec une philosophie bien différente de coopération.
Les étudiantes ne seront plus autorisées à porter l’abaya dans les salles d’examen, a annoncé la Commission saoudienne d’évaluation de l’éducation et de la formation (ETEC).
David Van Hemelryck, fondateur de l’association Destitution et référendum et pilote un ULM avec une banderole “Destitution” à travers la France, est interrogé dans l’émission Ligne Droite sur Radio courtoisie :
https://lesalonbeige.fr/destitution-de-macron-il-sillonne-la-france-a-bord-de-son-ulm/
La justice française a prononcé un non-lieu en faveur des trois gendarmes impliqués dans la mort d'Adama Traoré en 2016, une affaire devenue emblématique des débats sur les "violences policières" et le "racisme" en France. La famille du défunt a immédiatement annoncé faire appel de cette décision, critiquant des "contradictions, des incohérences et de graves violations du droit" dans le jugement.
Le huis clos de douze heures s’est terminé ce jeudi à 3 heures du matin. Les rencontres de Saint-Denis, menées par Emmanuel Macron, pourraient « marquer l’histoire politique », a estimé Olivier Véran, le porte-parole du gouvernement : la Macronie n’a jamais eu peur des mots, ni des mascarades liées à la perpétuation de la politique-spectacle. L’ « initiative politique d’ampleur », promise par le chef de l’Etat pour la fin août, aura surtout été l’occasion pour le président de se replacer au centre du débat politique, dans une mise en scène d’union nationale. Reste l’image symbolique d’une classe politique physiquement claquemurée dans un entre soi qui l’isole le plus souvent du monde réel et de la vie des gens ordinaires.
Bernard Germain
Le journal Le Poher, vous savez, c’est le petit journal gauchiste situé non loin de Callac et dont le directeur Erwan Chartier a réussi depuis 6 mois à «survivre» à tous les complots fascistes dont il était la cible. Le journal qui était soi-disant l’objet de mails injurieux et menaçants, de coups de téléphone anonymes non moins menaçants et même victime d’une alerte à la bombe.
D’abord, on est bien contents de savoir qu’il va bien et qu’il a échappé aux tueurs de la fachosphère. Franchement ça fait plaisir. Enfin une bonne nouvelle.
On passage, on notera deux choses : d’abord que, curieusement, tout ce cirque s’est arrêté lorsqu’ils ont su que le procès que Erwan Chartier et sa journaliste me faisaient était repoussé à la fin de cette année et que ce ne serait pas comme prévu à la date du 3 mars au Tribunal de Lorient.