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(…) Sur les grands écrans de la salle d’audience du tribunal de Cherbourg défilaient les images d’une voiture entraînant de plus en plus vite un homme le bras passé dans la portière côté conducteur…
Jusqu’à ce que, ne pouvant plus courir assez vite, l’homme se trouve éjecté brutalement sur la chaussée, face sue le bitume, et y reste inanimé, le conducteur de la voiture accélérant à nouveau pour quitter les lieux.
Auteur des premières biographies d’Elisabeth Feodorovna, d’Ileana de Roumanie, de sainte Catherine de Lesna, du grand-duc Nicolas Romanov, et de Ménélik II l’unificateur, soleil de l’Éthiopie (2021), Jean-Paul Besse est docteur d’État en histoire. Spécialiste de l’Europe centrale et orientale, il a été professeur invité des universités serbes et de Nijni Novgorod. Chevalier de la Légion d’honneur, primé par l’Académie française, il enseigne à l’Institut Saint-Pie X. Jean-Paul Besse nous offre une nouvelle biographie dans un style relevé et accrochant .
D'abord interdit par le pouvoir macronien, le rassemblement parisien en mémoire de Thomas a finalement été autorisé suite au recours devant le tribunal administratif déposé par les organisateurs. Bravo à eux, c'est une baffe de plus pour le sinistre Damanin, l'apprenti tyran de la place Beauvau.
Le 2 décembre est une date importante pour tout amoureux de Napoléon. En effet, nous commémorons en ce jour l’anniversaire du sacre de l’Empereur en 1804 mais aussi sa victoire d’Austerlitz en 1805 qui permit à l’Empire français de devenir un temps le maître de l’Europe. Mais que s'est-il passé, ce 2 décembre 1805, sur les plaines gelées de l’ancien Empire autrichien ?
Depuis ce qu’il est convenu d’appeler « le drame de Crépol », les politiciens de tous bords se succèdent sur les plateaux de télévision. Certains jouent toujours la même partition (presque tous, à vrai dire). D’autres n’hésitent pas à « dire les termes », comme disent les jeunes, quitte à faire ce que l’on pourrait appeler de la surenchère (Reconquête, par la voix de Marion Maréchal, ou Éric Zemmour) : ils participent à la popularisation des expressions « Français de papiers » ou « racisme anti-Blanc » et n’hésitent pas à relativiser la « menace » que représentent les 80 patriotes sans armes venus à Romans-sur-Isère, dont l'un a été lynché par des racailles sans que cela n'émeuve plus que cela. D’autres, encore - c’est le cas du RN -, font du crypto-macronisme, comme Jean-Philippe Tanguy sur LCI, ce 1er décembre. Le RN a un boulevard devant lui. On a compris qu’il était définitivement dédiabolisé. De là à approuver Gérald Darmanin quand il dissout des groupes identitaires, de là à considérer que ces groupes sont une menace pour quiconque, il y a tout de même un pas. Espérons que cela leur serve, au moins…
L’alliance de la gauche aura tenu à peine plus d’un an. « Il n’y a plus de Nupes, alors on fait semblant qu’il y en a toujours une (…) Ce qu’on a construit est déjà détruit », a avoué Jean-Luc Mélenchon, au lendemain d’une réunion publique à Rochefort (Charente-Maritime), ce jeudi 30 novembre, rapporte Le Figaro.
Après avoir gaspillé des dizaines de milliers d’hommes dans des batailles sans espoir, le comique ukrainien a finalement reconnu que les «contre-attaques» performatives de son armée et les défenses jusqu’au-dernier-homme n’avaient aucun sens.
«Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a appelé à un renforcement plus rapide des principales lignes de défense, alors que la contre-offensive de Kiev est dans l’impasse et que l’on craint que la Russie ne tente de s’emparer de nouveaux territoires.
La lutte des tribuns révolutionnaire contre les femmes avait commencée bien avant la Révolution de 1789. Dans son ouvrage écrit entre 1782 et 1788 « Notes scientifiques et anecdotes », Gilbert Romme donne le ton : « Je ne veux pas qu’une femme soit savante, mais je désire qu’elle en sache assez pour se plaire à la conversation des gens instruits ». Cet homme politique qui fut à l’origine du Calendrier républicain était dans le ton général de l’Esprit des Lumières au sujet des femmes. Nous ne reviendrons pas sur les écrits misogynes d’un Voltaire, d’un Diderot et de tous les médecins-philosophes qui ont fondé la pensée misogyne des Lumières qui conduira à l’exclusion des femmes de la vie politique, puis au Code Napoléon qui les privera de tout statut social jusque dans la décennie 1960.