Les plus vieux parlent d’en faire « un nouveau Larzac ». Ceux qui n’ont pas connu les chemises à fleurs d’Antoine et les moustaches de José Bové, au siècle dernier, se réfèrent à Notre-Dame des Landes.
Le Marais poitevin est, ainsi, devenu la terre d’élection d’une extrême gauche en mal de représentation et l’occasion d’un défoulement de ses troupes cagoulées. Au nom de l’écologie, cela va de soi.