
La loi DALO (Droit au logement opposable), adoptée en 2007 sous Nicolas Sarkozy, a parfois été critiquée comme un “appel d’air” pour les flux migratoires. Ces critiques, souvent émises par des opposants politiques ou des analystes, reposent sur l’idée que la loi, en garantissant un logement décent à toute personne en difficulté (y compris les migrants en situation régulière), pourrait inciter davantage de migrants à venir en France.