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l'information nationaliste - Page 4698
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DIMANCHE 9 DÉCEMBRE : VENEZ NOMBREUX À LA TABLE-RONDE DE TERRE & PEUPLE
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Si les Européens n’arrêtent pas l’invasion migratoire en cours, ils disparaîtront et leur civilisation avec eux (fin)( Voici la deuxième et dernière partie) - La fin probable de la civilisation européenne
 Les cinq conséquences catastrophiques de l’invasion Les conséquences catastrophiques de l’invasion migratoire sont au nombre de cinq (voir cette chronique). L’augmentation forte de la population qui résulte de l’immigration massive entraîne premièrement une dégradation continue des conditions de vie quotidienne : hausse du prix du logement dans les agglomérations, pollution, bétonnisation, thrombose des transports… Elle provoque deuxièmement une pression à la baisse des salaires et à la dégradation des conditions d’emploi dans tous les secteurs où les emplois sont occupés majoritairement par des immigrés, en situation régulière ou non. Elle entraîne troisièmement la dégradation des services publics, l’envolée des impôts et la dégradation constante des comptes publics. Les principaux services publics (sécurité sociale, hôpitaux, école, logement social) sont en voie d’implosion, débordés par le nombre, par les besoins sociaux des immigrés, par leur comportement et la pression qu’ils exercent. Le financement de l’immigration de masse est également l’une des causes principales du matraquage socio-fiscal qui pèse pour l’essentiel sur les Français moyens de souche : les prélèvements obligatoires, supportés pour l’essentiel par « la classe moyenne », représentent désormais 45 % du revenu national annuel, ce qui constitue un record mondial. Ce matraquage n’empêche pas la dégradation des comptes publics (déficits et dette) de se poursuivre. Celle-ci va de toute évidence déclencher prochainement un processus de régression des prestations, allocations et pensions de retraite servies à la population de souche. L’invasion migratoire, quatrièmement, est la source principale et presque exclusive de la délinquance massive (vols, braquages, rackets, agressions « gratuites », viols, actes émeutiers, insultes et menaces, « incivilités » …) à laquelle viennent s’ajouter les actes terroristes. 3,5 millions de délits et de crimes sont officiellement enregistrés chaque année, soit près de 10 000 par jour. Selon les enquêtes dites de victimation, ce nombre déjà énorme est en réalité trois fois plus élevé, la plupart des victimes ne se faisant pas connaître. En outre un nombre croissant de points du territoire, les « zones sensibles », échappent désormais à la loi commune et sont désormais passés sous le contrôle des caïds et des imams, avec l’assentiment des pouvoirs publics. La France et l’Europe sont en voie d’ensauvagement, de tiers-mondisation et d’islamisation. L’invasion migratoire entraîne, cinquièmement, un processus de mise en minorité progressive des Français de souche européenne dans leur propre pays. Ces Français de souche doivent supporter d’ores et déjà une cohabitation obligée avec les immigrés dans tous les lieux et les moments de la vie quotidienne : logement, transports, écoles et universités, hôpitaux, maisons de retraite, services publics…. Pour éviter les incidents, ils doivent en permanence rester vigilants, surveiller leur expression, s’interdire d’exprimer leur opinion et baisser les yeux en public. Au rythme pris par l’invasion, les Français de souche européenne seront mis en minorité dans les classes d’âge les plus jeunes – les moins de trente ans – d’ici deux décennies. Trois camps en présence désormais, protagonistes de la guerre civile qui commence Il y a désormais trois France, qui sont les protagonistes de la guerre civile qui a commencé (voir cette chronique). Le premier camp est celui des immigrationnistes, qui veulent aller au bout du processus de mondialisation et d’immigration massive. Ce camp immigrationniste est lui-même composé de plusieurs strates. La première est celle des dirigeants, qui organisent l’immigration. Ceux qui l’applaudissent et y collabore avec enthousiasme forment une deuxième strate. Les immigrationnistes les plus nombreux sont les résignés. L’immigration ne les enchante pas. Ils cherchent d’ailleurs à s’en protéger pour eux-mêmes. Mais, pour des raisons morales, par crainte de déclencher des affrontements majeurs ou afin maintenir le statu quo le plus longtemps possible, ils refusent la mise en œuvre d’une politique d’arrêt de l’invasion. Sans enthousiasme, ils continuent à voter pour les partis immigrationnistes et font le choix de se taire, afin de préserver leur carrière, leur statut social, leur réputation, leur pension de retraite, leur épargne et leur tranquillité (voir cette chronique). Le deuxième camp est celui des immigrés, allié pour l’heure aux immigrationnistes. Parmi les immigrés les islamistes radicaux sont pressés d’en découdre. La majorité cependant sont « modérés » car ils savent que le temps joue pour eux, que leur nombre ne cesse d’augmenter et que leur prise de contrôle de l’Europe surviendra inévitablement à moyen terme. Dans ces conditions il n’y a aucune chance pour que la situation s’améliore et ce pour une raison toute simple : les immigrés ne souhaitent aucunement s’intégrer. Une grande partie même nous hait, comme les textes de rap le montrent depuis plus de trente ans. Qu’ils soient des braves gens ou des racailles, les immigrés sont tous conscients de leur force, de leur nombre et de notre immense faiblesse. Ils sont tous tout à fait conscients de participer à un processus historique de revanche et de conquête de l’Europe (voir cette chronique). Ceux qui veulent résister à l’invasion forment le troisième camp. Ces dissidents du Système sont pour l’heure largement minoritaires : ils sont 10,6 millions à avoir voté pour Marine Le Pen en 2017, soit deux fois moins que les électeurs de M. Macron. ** Trois scénarios sont désormais envisageables. Le Système parviendra-t-il à ses fins, en dissolvant définitivement l’Europe dans un monde occidental libéral-libertaire et métissé, dominé par les Etats-Unis ? L’Europe, recouverte par les populations africaines et orientales, sombrera-t-elle dans le chaos et l’islamisation, échappant par là-même à l’orbite américaine ? Un sursaut des populations européennes se produira-t-il, qui conduira à l’arrivée de pouvoirs forts se donnant pour objectif de préserver la civilisation, le territoire et les peuples européens, de les restaurer dans leurs droits et de mettre fin au Système ? Dans cette dernière hypothèse, l’agenda de ces nouveaux pouvoirs s’imposerait de lui-même : arrêter l’immigration et procéder à une remigration massive ; répudier la tutelle américaine ; juger, dans le cadre d’un nouveau Nuremberg, la classe dirigeante européenne pour Haute trahison… 
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Les gilets jaunes du 17 Novembre dans toute la Francehttps://www.lesalonbeige.fr/les-gilets-jaunes-du-17-novembre-dans-toute-la-france/ 
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Mai 68 contre lui-même Par Philippe Granarolo Professeur de Khâgne (h) Philosophe Rémi HUGUES, Mai 68 contre lui-même (Edilivre, octobre 2018) Avec Mai 68 contre lui-même, Rémi Hugues vient combler un manque : celui de l’étonnant vide éditorial qui a marqué les cinquante ans de mai 68. Une question, « À qui profite le crime ? », et deux mots, « farce » et « paradoxe », me semblent résumer l’originalité de son ouvrage. Répondant à l’injonction de Barjavel *, l’auteur choisit de se situer à une échelle autre qu’hexagonale : en lieu et place de l’approche franco-française retenue par la plupart des commentateurs, il opte pour une analyse géopolitique des événements. Pour ce faire, il rappelle des faits économiques oubliés de la plupart : en mars 68, une crise du dollar liée à la crise de l’or relaya une crise historique de la Livre sterling. Le système monétaire élaboré en 1944 à Bretton Woods tremblait sur ses bases tel un château de cartes. Le monde libéral était aux abois, ce qui conduit l’auteur à supposer que mai 68 fut « une rupture réussie avec ce qui perdurait de rapports communautaires et traditionnels, vestiges du précapitalisme, qui conservaient en France encore une place prépondérante » (p. 14). Cette formule résume la thèse de Rémi Hugues : mai 68 fut l’œuvre des puissances économiques étrangères pour faire rentrer la France dans le rang au moment où commençait à s’imposer la troisième forme du capitalisme (sa forme ultralibérale), celle qui régit la planète cinquante ans plus tard. On peut cependant regretter qu’aucune enquête approfondie ne soit menée qui pourrait étayer cette hypothèse. Le seul élément concret mis en avant dans l’ouvrage est le rappel de l’étrange interview accordée par la BBC à Daniel Cohn-Bendit le 12 juin 68. Que les événements de mai aient eu pour conséquence un profond recul de la France et son entrée dans la logique ultralibérale à laquelle elle avait jusqu’alors résisté est incontestable : mais cela suffit-il à nous faire accepter comme évident qu’un chef d’orchestre menait la danse en dehors de nos frontières ? Se référant régulièrement au modèle de l’analyse marxienne de la révolte de 1848, l’auteur prend appui sur une célèbre formule de Marx affirmant que la farce succède toujours à la tragédie sur la scène de l’histoire. Mais cette admiration justifiée pour la grille marxienne n’entrave-t-elle pas le recours à de nouveaux concepts nécessaires pour éclairer ce qui demeure une énigme ? On accordera néanmoins à l’auteur que la farce s’est poursuivie, puisque depuis cinquante ans les comédies étudiantes se sont succédé sans toutefois déclencher un nouveau mai 68. Le mixte de communisme totalitaire et d’anarchisme hédoniste propre à mai 68 demeure cinquante ans après un composé inexpliqué. Que les événements de mai, mis en route par des adolescents qui se présentaient comme les ennemis radicaux de la société de consommation, aient contribué à la victoire définitive de celle-ci, est un bien étrange paradoxe **. Il fallait sans doute que le PC soit mis au pas pour qu’une troisième forme de capitalisme s’impose en France comme elle avait commencé à le faire dans le monde anglo-saxon. L’énigme est loin d’être résolue. Mais l’essai de Rémi Hugues a le mérite d’éclairer pour la première fois de nombreuses zones d’ombre. Il pourrait servir de point de départ à l’analyse historique plus ambitieuse que nous attendons et que l’auteur sera peut-être l’un des plus habilités à conduire. * C’est à René Barjavel qu’est confié le soin d’ouvrir cette enquête. L’auteur du Grand secret y pointait du doigt les grandes puissances qui haïssaient la France de l’époque, au premier chef le monde anglo-saxon, Angleterre et États-Unis, sans écarter pour autant la Chine. ** Le 24 février 2018 s’est tenu à La Garde un colloque dont j’étais l’organisateur sur le thème « Révolution(s) » (colloque qui fit exception au vide que j’évoquais au début de mon texte). La vidéo de mon exposé « À propos d’un grand écart jamais surmonté - mai 68 », qui est en harmonie avec de nombreux arguments développés par Rémi Hugues, peut être visionnée sur YouTube à l’adresse suivante :https://www.youtube.com/watch?v=0iTu-iOEkao&t=479s Docteur d’Etat ès Lettres et agrégé en philosophie, Philippe Granarolo est professeur honoraire de Khâgne au lycée Dumont d’Urville de Toulon et membre de l’Académie du Var. Spécialiste de Nietzsche, il est l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment Nietzsche : cinq scénarios pour le futur (Les Belles Lettres, 2014), Le manifeste des esprits libres (L’Harmattan, 2017) et dernièrement Les carnets méditerranéens de Friedrich Nietzsche. Nous vous conseillons son site internet. Suivre surTwitter : @PGranarolo L'ouvrage de Rémi Hugues ... (Cliquer sur l'image)  Retrouvez la série d'articles de Rémi Hugues pour Lafautearousseau en cliquant sur le lien suivant ... Dossier spécial Mai 68
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#GiletsJaunes CONTRE "RAP-TOUT" !
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Effondrements à Marseille: la rue veut la tête de Gaudin Une marche de la colère réclame la démission du maire par Jean-Paul Brighelli « Gaudin assassin ! » Pas de partis, pas de syndicats. Les banderoles en bonne et due forme étaient rares, les gens brandissaient des bouts de cartons sur lesquels étaient griffonnés les messages.  ©JPB ©JPBC’était une manifestation prolétaire. Improvisation et spontanéité. Juste l’expression de la colère. De l’impossible travail de deuil. 
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17 novembre réussi. Et maintenant ?Jean-François Touzé Délégué national du Parti de la France Malgré les pitoyables mesurettes cosmétiques annoncées par le Premier ministre, malgré les tentatives d'intimidation de l’exécutif ou le matraquage déstabilisateur de la propagande médiatique, malgré l’inorganisation d'un mouvement resté spontané, puissant dans sa révolte mais sans structure, sans porte parole, sans coordination, sans encadrement ni planification, en dépit du caractère hétéroclite des soutiens aux analyses antagonistes et au comportement suiviste, la mobilisation des Gilets jaunes ce 17 novembre aura été forte et considérable. Mis à part des incidents regrettables et parfois dramatiques dans lesquels la responsabilité des manifestants ne saurait être mise en cause, la journée d'action fut une incontestable réussite tant par le nombre des manifestants très évidemment sous-estimé par le ministère de l’Intérieur, que par l’étendue territoriale des actions. Rien pourtant qui ne soit, pour le moment, en mesure d'ébranler les murs du pouvoir. Rien qui ne puisse faire trembler le Système sur ses bases. Les réseaux sociaux montrent ainsi leurs limites qui permettent l'expression d’une révolte et de réussir une action ponctuelle mais ne peuvent agir sur la durée : vecteurs d'initiatives et caisses de résonance utiles ils ne sauraient se substituer aux mouvements organisés dés lors qu'il s’agit de sortir du virtuel et de la simple démonstration de défoulement pour venir durablement sur le terrain avec des objectifs définis et une stratégie établie. Le gouvernement aurait cependant grand tort de se rassurer et de croire le danger écarté : les causes de la colère des Français - colère qui ne tient pas seulement, loin de là, à la hausse des taxes sur le carburant – subsistent et le mécontentement ne peut aller qu'en s’accroissant. Il trouvera tôt ou tard une traduction décisive et organisée à ce « ras le bol » en voie de généralisation. Le combat continue donc. Le Parti de la France qui soutenait pleinement et sans arrière pensée l'appel à la mobilisation et dont un très grand nombre de militants formés et disciplinés ont participé aux actions dans toute la France, continuera d’appuyer et d'encourager le spontanéisme de la colère qui devra nécessairement prendre d’autres formes, une persistance des blocages au-delà du raisonnable n’ayant aucun sens Il invite néanmoins tous ceux qui veulent inscrire leur légitime révolte dans une vraie démarche politique et globale à prendre contact avec lui pour que s'initie enfin le grand mouvement de libération fiscale, de changement réel, de rétablissement des droits du peuple, de restauration sécuritaire, de reconquête identitaire et de relèvement national dont le Pays a besoin. Et bientôt, les Gilets Bleu Blanc Rouge ! 
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Quand Edouard Philippe parle à la TV, les gilets jaunes viennent bloquer les locaux 138 personnes parlent à ce sujet 138 personnes parlent à ce sujet#Urgent #Paris des #GiletsJaunes tentent de bloquer en ce moment les locaux de #FranceTélévision où s'exprime en direct le #PremierMinistre #EdouardPhilippe sur la crise. #17novembre #17novembre2018 #18novembre #Vtc 
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Liberté de la presse : quand Vladimir Poutine fait la leçon à Emmanuel Macron … En marge des célébrations du 11 Novembre, le président Poutine s’est permis d’envoyer une belle pique à Emmanuel Macron au micro de RT France, dont les équipes sont interdites à l’Élysée. « Nos collègues occidentaux ont toujours dit que l’un des principes essentiels de la démocratie était la liberté de l’information. Mais est-ce démocrate que de constituer des listes de médias et de décider quels sont les bons et les mauvais médias ? C’est inacceptable. Parce que si nous voulons respecter le libre accès à l’information, nous ne pouvons pas fermer des médias sur décision administrative. Si on n’est pas d’accord avec quelque chose, il faut présenter un point de vue opposé donnant aux citoyens la possibilité d’y voir plus clair et de décider par eux-mêmes où est la vérité et où cette vérité est déformée. » Que voilà, en effet, une belle leçon envoyée au Président français ! Cela paraît totalement farfelu qu’une telle réprimande soit faite par un ancien officier du KGB devenu conseiller de Boris Eltsine pour la sécurité et qui, à ce titre, n’encouragea certainement pas la liberté de la presse soviétique. Mais l’affront n’en est que plus grand ! Et pourquoi s’offusquer que RT France soit ou non financé par le gouvernement russe ? Notre chaîne France 24 l’est bien à 100 % par le gouvernement français. Alors, que penser de ce tweet signé Emmanuel Macron, publié ce lundi soir, après une entrevue avec le fondateur de Facebook : « Aujourd’hui, Internet est beaucoup mieux utilisé par les extrêmes, les régimes autoritaires ou la propagande terroriste que par nos démocraties. C’est une réalité contre laquelle nous devons lutter » ? Le Président qui demande à la Justice de décider, pendant la période électorale, de la réalité d’une information diffusée sur Internet est-il un Président démocrate ? Ce Président qui a demandé à Mark Zuckerberg d’élaborer avec Facebook des propositions sur la lutte contre les contenus haineux… Lundi, au Forum sur la gouvernance de l’Internet, organisé par l’UNESCO, il a longuement expliqué qu’il fallait que nos valeurs fondamentales ne soient pas attaquées par les réseaux sociaux. Oubliant de citer les ravages que fait le fondamentaliste islamique. « Il faut réguler l’information, a-t-il répété, c’est la condition pour que vive l’Internet libre, ouvert et sûr. » Pensée bizarre du « en même temps » ! « Si nous ne régulons pas Internet, nous bousculons les fondements de la démocratie. » Parole, parole. Du charabia… Toujours est-il qu’avec la loi sur les « fake news » que les députés ont votée en octobre pour faire face, selon Mme Nyssen, « à la multiplication des tentatives de manipulation » (car, bien sûr, nous savons tous que le gouvernement ne nous manipule pas à longueur de journée et d’antenne), voilà une nouvelle menace sur la liberté de pensée et de parole. N’est-il pas dangereux de savoir que Macron souhaite « ne pas laisser aux plates-formes numériques le soin de définir les limites de la liberté d’expression » ? Il ne s’agit pas, pour nous journalistes libres, de défendre les contenus « haineux, racistes, antisémites, homophobes ou sexistes », comme les appelle Emmanuel Macron, mais tout est mesure de jugement. Quid des propos violemment racistes contre les Blancs ? Quid de ceux, antisémites, de certains imams ou jeunes de banlieues ? Quid des vidéos violentes diffusées sur les réseaux sociaux par des jeunes en manque de valeurs ? Mais comme l’a déclaré le président Poutine, lundi, à Paris, ce n’est pas une mesure administrative qui doit faire taire la vérité telle que peut la ressentir un internaute, un journaliste ou un média. Ou alors, nous sortons de la démocratie pour doucement entrer en dictature. 
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Si les Européens n’arrêtent pas l’invasion migratoire en cours, ils disparaîtront et leur civilisation avec euxChronique de Paysan Savoyard (n°212 – novembre 2018) La première chronique de ce blog a 10 ans. Je profite de ce petit anniversaire pour publier une nouvelle version du texte « de référence », qui vise à synthétiser le propos d’ensemble du blog. La France et l’Europe sont en train d’être envahies par une immigration originaire pour l’essentiel d’Afrique et du Proche-Orient. Cette immigration de masse est voulue et organisée par la classe dirigeante occidentale. Si l’invasion migratoire n’est pas interrompue d’urgence et si une grande partie des immigrés ne regagnent pas leur pays d’origine, la population de souche européenne va devenir minoritaire sur son propre territoire d’ici le milieu du siècle. La civilisation européenne aura alors disparu. - L’invasion de l’Europe
 Pour ce qui est de la France, l’immigration non européenne a commencé à la fin des années cinquante, avec l’arrivée de travailleurs maghrébins souhaitée par le patronat. L’accueil des familles dans les années soixante-dix puis celui des demandeurs d’asile du monde entier depuis les années deux-mille ont transformé cette immigration en invasion. L’invasion migratoire suit plusieurs canaux. L’immigration légale tout d’abord : les immigrés non européens supplémentaires qui s’installent légalement en France métropolitaine sont 200 000 par an (voir cette chronique). L’immigration illégale est d’au moins 100 000 par an (dont 70 000 demandeurs d’asile déboutés mais non expulsés ; voir cette chronique). Les naissances originaires de l’immigration non européenne atteignent 300 000 par an en France métropolitaine, soit 40 % du total des naissances. Ce taux est en progression constante (voir cette chronique). Au total, compte-tenu des décès et des quelques départs, le nombre net des immigrés non européens supplémentaires qui naissent ou s’installent en France métropolitaine est actuellement compris entre 4 et 500 000 par an (voir cette chronique). Quant au nombre des immigrés non européens déjà installés en France métropolitaine, il ne fait pas l’objet, cela va sans dire, de statistiques officielles. En se fondant sur les flux annuels et sur la comparaison avec les taux de natalité des pays de l’ouest européen qui échappaient jusqu’à très récemment à l’immigration, on peut considérer que ce nombre est compris entre 15 et 18 millions, en se situant probablement dans le haut de cette fourchette. - L’invasion migratoire est voulue et organisée par la classe dirigeante
 Cette immigration invasive ne constitue en rien un phénomène irrépressible, comme il en est par exemple des tremblements de terre ou des raz-de-marée : l’invasion migratoire est voulue. Elle est souhaitée, encouragée, accompagnée, organisée par la classe dirigeante européenne et occidentale. Soixante ans de politique immigrationniste Malgré la pression démographique africaine il serait tout à fait possible de mettre fin à l’invasion, en France comme ailleurs en Europe : en n’accordant plus de visas ; en renvoyant les clandestins et les délinquants ; en réservant la nationalité et les prestations sociales aux seuls Français d’origine européenne ; en accordant une aide incitative au départ… Depuis soixante ans maintenant, les gouvernements font l’inverse. Ils ont adopté, confirmé et multiplié les mesures, les lois et les décisions destinées à provoquer, à encourager et à organiser l’immigration : délivrance massive de visas et de titres de séjour ; accès aux services publics, au logement social et aux allocations de toutes natures dans les mêmes conditions que les Français de souche européenne ; accueil et prise en charge des demandeurs d’asile qui se présentent à la frontière ; attribution massive de la nationalité à la naissance ou par naturalisation… Tout dernièrement, la loi asile et immigration, destinée officiellement à favoriser la reconduite des migrants en situation irrégulière, comprend en réalité différentes mesures qui visent à augmenter encore l’immigration : installation en France des frères et sœurs des réfugiés mineurs ; maintien des étudiants étrangers en France à l’issue de leurs études ; venue en France de jeunes « au pair » (voir cette chronique). La classe dirigeante accompagne sa politique immigrationniste d’une propagande de tous les instants et annonce sans détours qu’elle a l’intention de poursuivre dans la même voie. Expliquant que l’immigration va augmenter du fait des guerres qui se produisent en Afrique et au Moyen-Orient, du fait également des désordres climatiques et environnementaux, la classe dirigeante nous avertit : les populations européennes n’auront d’autre choix que d’absorber cette immigration supplémentaire et d’accepter l’augmentation des efforts et des crédits consacrés à l’intégration (voir par exemple cet édito du Monde). M. Macron n’avait pas caché pendant sa campagne qu’il considérait l’immigration comme « une chance d’un point de vue économique, culturel, social ». L’immigrationnisme a une motivation économique : accroître les profits Cette politique d’encouragement de l’immigration massive a deux motivations. La première est économique : il s’agit d’augmenter les profits de la classe dirigeante. Celle-ci veut organiser un monde, occidental du moins, géré comme un ensemble unique, sans frontières, à l’intérieur duquel capitaux, biens, services et main-d’œuvre circulent librement. Libre circulation des capitaux et suppression des droits de douane ont permis de mettre en œuvre différents mécanismes qui sont autant de sources de profit pour les détenteurs du capital : délocalisations, dumping fiscal, financiarisation, élargissement du marché favorable aux groupes de grande taille… Quant à l’immigration elle permet de dégrader le niveau des salaires et les conditions de travail des emplois non délocalisables. Elle permet également d’augmenter le nombre des consommateurs, étendant là encore les dimensions du marché. La mondialisation économique, dont l’immigration de masse est l’un des éléments, a commencé il y a une trentaine d’années. Elle a entraîné une envolée des profits : les riches sont beaucoup plus nombreux ; et ils se sont très fortement enrichis (voir notamment cet article et cette chronique). L’immigrationnisme a une motivation idéologique : mettre en œuvre l’universalisme La deuxième motivation de l’immigration massive organisée par la classe dirigeante est idéologique (voir cette chronique) : la classe dirigeante européenne occidentale est universaliste et favorable dès lors à un monde sans frontières. Parmi les principales composantes de l’idéologie moderne, celle des Lumières, qui a inspiré la révolution française, l’individualisme et l’universalisme sont intimement liés : libre de toute appartenance, l’individu n’est redevable envers aucun groupe, communauté ou institution. En particulier il n’a pas d’allégeance envers une patrie ou un territoire national : il doit donc pouvoir circuler librement et s’installer là où il le désire. En prenant le pouvoir il y a deux cents ans, les modernes ont entendu rompre en tout point avec la société traditionnelle. La lutte des modernes contre ce qui peut subsister de la société traditionnelle se poursuit aujourd’hui : mariage homo et PMA, pour combattre la famille ; laïcité pour lutter contre la religion chrétienne ; exaltation du progrès par haine de la tradition ; promotion du mondialisme pour abattre les patries…. A cet égard, l’immigration de masse est à la fois le moyen de mettre en œuvre l’universalisme et de remporter une victoire définitive contre la « réaction » et la tradition : l’homme moderne, l’homme nouveau, sera un nomade, sans appartenance nationale ni identitaire. Un totalitarisme doucereux et sournois s’est mis en place Le Système mondialiste, immigrationniste et libéral-libertaire mis en place par la classe dirigeante en France, en Europe et dans le monde occidental, présente toutes les caractéristiques du totalitarisme (voir cette chronique). L’idéologie y est prédominante. Le système de pouvoir permet de contrôler toutes les institutions et organisations. La propagande est omniprésente. La société est neutralisée et les dissidents pourchassés. Le Système cherche à contrôler les esprits, en conduisant chacun à adhérer à ses valeurs et à ses objectifs. S’il est de nature totalitaire, le Système n’est certes pas encore aussi féroce que l’ont été ses devanciers, le communisme et le nazisme : on peut parler d’un totalitarisme doucereux et sournois. Au demeurant, il ne lui sera probablement pas nécessaire de parvenir jusqu’aux extrêmes que le communisme et le nazisme ont atteints. Son objectif ultime en effet n’est pas le contrôle total des sociétés européennes mais leur destruction même par absorption dans un Système mondial : voulant construire un monde sans frontières qui partage le même système d’économie de marché et les mêmes valeurs universelles libérales-libertaires, le Système vise à diluer le peuple européen dans un peuple nouveau, universel, composé notamment des immigrés du monde entier. À suivre 




