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Les équilibres commencent à se stabiliser au sein du Parlement européen, un mois après les élections européennes. Le Parti populaire européen (PPE), au sein duquel siègent Les Républicains menés par François-Xavier Bellamy, reste la première force politique à Strasbourg, avec 188 députés. Derrière, en deuxième place, on trouve toujours le groupe des Socialistes et Démocrates, avec 136 élus.
Veuillez pardonner mon retard, j’ai peu écrit ces derniers temps sur l’Ukraine. Certes, vous accuserez à raison ma paresse, la politique intérieure, mais tentons une autre excuse plus originale. Après, tout, vous m’accorderez bien un peu de propagande pour vous donner une meilleure idée de ma personne et ainsi me montrer digne de cette époque de décadence !
Après le sommet de Suisse, le politique a repris la main et le militaire est dans la phase actuelle, sensiblement moins décisif. Il convenait donc d’analyser les conséquences.
Sur le front, il se passe beaucoup de chose en comparaison avec la période où la chute d’une rue dans un village était un événement digne de la une des journaux du monde entier est passé. Désormais, il tombe des quartiers régulièrement et la perte de l’une ou de l’autre agglomération est devenue routinière.
Le front républicain ce sont des possédés – au sens de Dostoïevski – qui se liguent avec des possédants – au sens de Marx – pour faire barrage aux dépossédés – au sens de Guilluy et Camus. L’analyse décapante de Jean Montalte.
L’épiphanie s’est produite ainsi : je voguais sur les réseaux sociaux. M’apparut alors, au hasard des algorithmes, qui font si bien les choses, une intervention du sociologue bourdieusien Geoffroy de Lagasnerie, nous livrant une de ces analyses dont je raffole comme d’un plaisir coupable. Je mets ce plaisir au même rang qu’une visite chez un cousin éloigné abonné à Mediapart, auquel je rappelle, en toute innocence, que la chanson No pasarán commence par un appel à la lutte contre les maures importés par Franco, qui vaudrait à son parolier de passer devant la 17e chambre correctionnelle pour incitation à la haine raciale, sur le signalement d’un antifasciste professionnel, de nos jours.
Courageux Orban, le président hongrois, à peine à la présidence de l’union européenne, a pris son bâton de pèlerin pour essayer de faire sortir l’Europe d’une guerre qui ne sert à rien. Il est parti voir Poutine, puis Xi JingPing, tenter simplement de renouer le dialogue. Mais il n’a pas de mandat européen pour négocier évidemment, tout passe par la grande prêtresse qui marchande des millions de vaccins par SMS sans consulter personne et elle n’est pas contente, évidemment, signe qu’elle veut la guerre. Tout comme les autres protagonistes européens, dont le nôtre, Macron, qui n’est pas non plus content, lui aussi, veut la guerre mais on le savait. L’avion d’Orban est pisté, surveillé et le président hongrois est marqué à la culotte, signe que cette Europe fait la guerre à l’extérieur, mais aussi à l’intérieur, contre ses propres membres qui n’ont pas décidé de marcher au pas.
En politique comme en amour, il y a l’art et la manière. D’un côté, les mélenchonistes arrivent en terrain conquis, comme si la France était leur ; il est vrai qu’il y a peu, Jean-Luc Mélenchon assurait que la République, c’était lui. Bref, on oublie les préliminaires, quitte à prendre Marianne à la hussarde.
La Russie, actuellement aux prises avec des sanctions occidentales sans précédent, attend avec impatience l’arrivée de son allié de toujours, le Premier ministre indien Narendra Modi. Il s’agira de la première visite de Modi en Russie depuis 2019, année où il a participé au Forum économique oriental à Vladivostok.
La tradition des sommets annuels entre l’Inde et la Russie a débuté en octobre 2000, lors de la visite du président Vladimir Poutine en Inde. Depuis lors, les deux pays ont maintenu un partenariat stratégique cohérent et solide. Le dernier sommet de ce type a eu lieu en décembre 2021, lorsque le président Poutine s’est rendu à New Delhi pour sa neuvième rencontre avec Modi.
Interrogé dans Le Figaro, Dominique Reynié analyse les législatives :
[…] Ce que les commentaires ont nettement minoré est la forte progression du vote RN, non seulement par rapport aux législatives de 2022 mais aussi par rapport au premier tour du 30 juin 2024. En nombre d’électeurs comme en nombre de députés, le RN est le premier parti de France, ce que les élections européennes avaient établi.
« Elle est à moitié traumatisée. » C’est parce qu’il en a « ras le bol » que ce monsieur choisit de témoigner. Sa femme, âgée de 89 ans, a été agressée par un homme en centre-ville d’Alençon (Orne), mardi 9 juillet 2024.
Patrice Riou, suppléant Reconquête dans la 4e circonscription des Côtes d'Armor (là où se situe Callac).
Sollicité et encadré par une patriote chevronnée, j’avais assisté en 2021 à la naissance de Reconquête, sous l’impulsion de gens très bien que j’estimais particulièrement. Adhérant totalement à la démarche d’Éric Zemmour et militant alors sur ma circonscription, j’avais participé de façon très active aux élections présidentielles de 2022, puis aux élections législatives qui ont suivi en tant que suppléant de la candidate retenue.
Le groupe local que nous formions avait continué la lutte ensuite, avec l’aide inestimable de Riposte Laïque notamment (mais aussi Breizh Info et Synthèse nationale cliquez ici…), en s’opposant victorieusement, à Callac, au projet Horizon, soutenu par l’équipe municipale en place, d’implanter des dizaines de familles de migrants.