
Retailleau agace, parce qu’il appuie là où ça fait mal, sur les items devenus dogmatiques, à tel point qu’on peut les répéter à l’envi sans que personne ne vous fasse la remarque que vous racontez n’importe quoi. Telle Carole Delga, présidente, tout de même, de la région Occitanie, répétant sans sourciller sur France-Info cette sentence devenue culte : « Ce sont de pauvres gens, ils ne savent pas où aller, ils fuient des guerres et la France a le devoir de les accueillir ». C’est beau comme du Zola, mais ça n’a ni queue ni tête. Ce ne sont pas de pauvres gens, ce sont la plupart du temps, des hommes jeunes et en pleine forme, qui pourraient travailler dans leurs pays et qui ont payé plusieurs milliers d’Euros à des passeurs.