La direction de Science po Paris a conclu un accord avec les manifestants anti-Israël qui occupent et bloquent le fonctionnement de cette école depuis plusieurs semaines. Les termes de cet accord ne paraissent pas encore clairement connus : levée des sanctions, condamnation d’Israël, fin de certaines collaborations [à vérifier]… Voici donc un ancien fleuron de l’université française qui bascule en officine idéologique anti-Israël. L’école libre des sciences politiques a été créée après la défaite de 1870 pour renouveler les élites dirigeantes françaises, devenant l’Institut d’Etudes politiques (ou science po) à la Libération. La scolarité, pendant longtemps, était dominée par un concours d’entrée extrêmement sélectif, puis trois années d’études intenses qui s’accompagnaient souvent d’un cursus parallèle ou complémentaire (droit, histoire, science éco).
l'information nationaliste - Page 505
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Science po, le désastre absolu
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Pourquoi la Grande-Bretagne et l’URSS ont envahi l’Iran alors que les nazis approchaient de Moscou
par Boris EgorovLes troupes soviétiques et britanniques ne se sont pas réunies pour la première fois à Wismar en mai 1945, comme la plupart des gens le croient. En 1941, les pays alliés ont envahi conjointement et divisé l’Iran.Durant le catastrophique été 1941, la Wehrmacht a occupé la majeure partie de la région balte, la Biélorussie, la moitié de l’Ukraine, s’est approchée de Leningrad (aujourd’hui Saint-Pétersbourg) et menaçait Moscou. De manière surprenante, malgré la menace pesant sur la Russie, les dirigeants soviétiques ont décidé d’ouvrir un nouveau front à des milliers de kilomètres de l’Europe, contre l’Iran.
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Le salaire décent, une réponse à la question sociale ?
Illustration ci-dessus trouvée sur la toile, sur le site de Famille Chrétienne.
Dans un précédent article, je dénonçais l’hubris capitalistique de M. Tavares et des rémunérations peu raisonnables au regard de la décence sociale. Mais, que faire face à ces excès qui semblent devenus si naturels que l’on en oublie parfois ce que devraient être la mesure et, au-delà, la justice sociales ? Plutôt que d’évoquer, à nouveau, la politique d’État possible face à cette situation, il me semble intéressant, cette fois-ci, de regarder ce que les grandes entreprises elles-mêmes peuvent faire pour remettre un peu de social dans l’économie : le cas de Michelin peut servir d’exemple utile et inciter à réfléchir à un « autre modèle »…
Certains, à la lecture des lignes précédentes (cf article précédent sur l’indécence sociale), hausseront les épaules et me taxeront peut-être d’utopiste (version sympathique) ou de démagogue (version classique), voire de dangereux gauchiste (version stupide). Et pourtant ! Si M. Tavares est le symbole d’une indécence sociale qu’il convient de dénoncer, sans doute parce qu’il représente et incarne le capitalisme dans ce qu’il peut avoir de plus odieux (1), il est des patrons qui n’ont pas son cynisme et son avidité, preuve s’il en faut que c’est un système idéologique et son esprit dominant qu’il faut combattre et non les chefs d’entreprise ou les cadres de celle-ci qui n’en sont, trop souvent (mais pas toujours, heureusement !), que le reflet ou les exécutants rendus dociles par l’intérêt ou la peur de ne plus valoir (ou paraître ?) aux yeux de la société contemporaine.
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Monsieur Macron nous parle de son monde, mais pas du nôtre !
Et dans son monde, la France n’existe plus. Elle est d’ores et déjà remplacée par l’Europe.
Et ce mot d’Europe revient constamment dans ce discours technocratique. Par contre, aucune référence quant aux peuples européens. Ils ont purement et simplement été gommés, comme si, par magie, un unique peuple européen né de son imagination était apparu.
Il est frappant de voir que l’Europe, que l’on voulait bâtir sur les valeurs de la démocratie et la paix, se transforme aujourd’hui en une sorte d’État totalitaire dans lequel des personnalités non-élues donc non soumises à la souveraineté populaire, décideront seuls de notre façon de vivre.
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Voilà pourquoi les mercenaires, surtout US, sont pris au dépourvu en Ukraine, selon l'un d'eux
© Photo Unsplash / Maxime DoréLe conflit de haute intensité en Ukraine démoralise les mercenaires occidentaux, avant tout américains, qui n'y sont pas préparés, a déclaré à Business Insider un vétéran américain.De nombreux mercenaires occidentaux arrivés en Ukraine et qui comptaient bénéficier des même avantages que dans d'autres conflits, ont été tués parce qu'ils n'avaient pas l'expérience du terrain nécessaire pour se battre, a déclaré à Business Insider un vétéran américain ayant combattu en Ukraine et en Irak. -
Robert le Pieux : l'enracinement dynastique, avec Yves Sassier
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République et démocratie en France, une histoire trouble
Un bureau de vote en 1891 (tableau d’Alfred Bramtot).Quiconque a un peu de culture politique sait que « République » et « démocratie » ne sont pas des termes synonymes et interchangeables. La République populaire de Chine, la République de Cuba ne sont pas démocratiques. A contrario, le Royaume-Uni, l’Espagne, le Danemark sont des monarchies démocratiques. Il n’est même pas besoin d’aller chercher les exemples à l’étranger : la Première République ne fut pas démocratique (1) ; alors que le Second Empire fut démocratique (bien que les élections furent sévèrement encadrées). -
Faire basculer cette Europe là !
On se souvient du NON des Français au traité européen de Maastricht en 2005, qui contrariait les plans d’une élite, déjà à la manœuvre, pour la promotion de l’Europe qui nous est donnée à voir aujourd’hui. Echaudé par ce NON, Nicolas Sarkozy, qui s’était fendu d’un discours menaçant sur un nouvel ordre mondial « auquel personne, je dis bien personne, ne pourra s’opposer », avait décidé de faire ratifier le traité de Lisbonne, qui n’était jamais qu’une reprise de celui de Maastricht refusé, uniquement par les parlementaires, réunis en congrès à Versailles. Tablant sur le fait que les parlementaires seraient suffisamment déconnectés, ou « déconnectables » de leurs électeurs, pour ne pas voter comme eux. Ce fut chose faite. Mais un juriste, Patrice André, fait sensation sur les réseaux sociaux, en révélant récemment que la procédure veut que, par son vote, le congrès autorise le président à ratifier, c’est à dire, signer le traité de Lisbonne, or Sarkozy ne l’a jamais signé.
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Face au « Pas de vague », c’est Mila la révoltée qui a raison
N’en déplaise à Caroline Fourest, figure solennelle de la « gauche républicaine », c’est Mila la révoltée qui a raison. Déboulant le 8 avril sur RMC, la jeune femme de 21 ans a lancé : « J’ai la haine, la rage », parlant de l’emprise islamiste grandissante sur la France. Ce jour-là, la résistance à la charia qui vient et à l’avachissement de la République a pris le visage de cette guerrière blonde et tatouée, qui vécut sous protection policière pour avoir traité l’islam de « religion de merde » il y a quatre ans. Or l’essayiste Fourest, qui batailla utilement contre Tariq Ramadan, reproche à Mila son manque de « nuances ».
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Débat Bardella-Hayer : cela aurait pu être pire…