l'information nationaliste - Page 696
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L'Affaire de Gisors : le trésor des Templiers ? - Avec Jean-Patrick Pourtal
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L’Europe d’une guerre à l’autre (IX) – Comment les Britanniques ont “libéré” la Grèce
Par Nikolay STARIKOV ORIENTAL REVIEW
Les premières troupes aéroportées de l’armée britannique débarquèrent en Grèce le 4 octobre 1944. L’objectif principal de l’Angleterre dans ce pays n’était cependant pas de vaincre les forces allemandes, loin de là, mais de réaliser une avance rapide pour rencontrer les troupes soviétiques du maréchal Tolboukhine, qui venaient juste de mener avec succès une opération pour libérer la Yougoslavie. Ne rencontrant aucune résistance de la part des troupes allemandes, les Anglais s’empressèrent d’occuper le territoire libéré pour ne pas laisser entrer les Russes en Grèce.
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Ne pas préférer Aya Nakamura n’est sûrement pas une faute morale
Dans Valeurs Actuelles, le père Danziec réagit à la polémique autour de Aya Nakamura :
« Choisir, c’est renoncer » explique-t-on aux enfants. Les parents responsables savent que l’apprentissage de la gestion de ses frustrations fait partie du b.a.-ba de l’éducation. Mais décider, faire un choix, implique aussi de se positionner. Or l’actuelle dictature du politiquement correct modifie désormais les perspectives.
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Europe ou France, il faut choisir
Combat royaliste 14
Par Philippe Germain
Pour l’école d’Action française « la patrie d’abord, voilà le principe. La France sans mais, sans si, sans condition » (Charles Maurras). C’est pourquoi elle s’oppose aux partisans progressistes de l’Europe véritable de Bruxelles, ainsi qu’aux néo-droitistes accro à l’aubade d’une Europe imaginaire. Ces deux pôles idéologiques sont objectivement alliés car si Emmanuel Macron veut une « souveraineté européenne », Alain de Benoist l’espère.
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La Courneuve : récit d’une instrumentalisation menée par l’extrême gauche
© Capture écran Twitter Wandrille de Guerpel -
Une femme violée en pleine rue à Clermont-Ferrand (63). Placement en détention provisoire d’Haoussouba D., un migrant sans-papiers
L’homme de 31 ans, sans domicile fixe, ni titre de séjour, suspecté d’avoir violé une femme, vers 2 heures du matin, ce samedi 16 mars, rue du Torpilleur-Sirocco, dans le quartier de Croix-de-Neyrat, à Clermont-Ferrand, a été présenté à un juge d’instruction, dimanche.
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Les profs récoltent aujourd’hui ce qu’ils ont semé
Chronique de Paysan Savoyard
(n° 314 – Mars 2024)
Madame Castera ne fut ministre de l’éducation que quelques semaines mais elle aura été à la hauteur de sa fonction moins longtemps encore : durant les quelques minutes où elle a déclaré que l’éducation nationale était minée par les absences d’enseignants.
Elle avait évidemment raison : l’absentéisme massif des enseignants est l’un des symptômes de l’effondrement de l’éducation nationale. Selon les témoignages qui peuvent être recueillis, ce sont entre un quart et un tiers des heures d’enseignement qui ne sont pas assurées en collège et en lycée (la situation paraît moins dégradée à l’école primaire). S’ajoutent à ces absences ponctuelles non remplacées, les cours non assurés parce que les postes d’enseignants sont tout simplement vacants, le ministère éprouvant des difficultés croissantes à recruter.
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« Le grand tournant arrive et ça secoue ! » Myriam Palomba et Florian Philippot
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La pensée manichéenne attise une guerre absurde
La pensée manichéenne est le fléau du siècle. Elle est partout à l’œuvre. L’intelligentsia elle-même est contaminée par cette régression mentale, quand de beaux esprits préfèrent encore se réfugier dans le camp du Bien et ses anathèmes qui interdisent le débat. Il y a quatre ans, avec le premier confinement contre le Covid (17 mars 2020), la pensée obligée jurait vouloir « préserver des vies ». Ceux qui alertaient contre les atteintes aux libertés individuelles et dénonçaient la fabrication d’une propagande apocalyptique étaient qualifiés de « complotistes » et d’« obscurantistes ». Des penseurs médiatiques, prétendument défenseurs de la nuance, étaient parmi la meute.
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Éducation nationale : « Choc des savoirs » pour « choc des civilisations »
Quand il était ministre de l’Éducation, Gabriel Attal avait évoqué le « choc des savoirs » pour laisser à penser à une volonté de relever le niveau scolaire de l’éducation nationale, et certaines personnes qui n’ont pas bien compris les tenants et aboutissants du système éducatif de nos enfants en phase terminale de survie et en soins palliatifs y ont cru. En réalité, rien de plus faux ! Du vent ! Comme d’habitude !
Des ministres différents, une même incompétence
En effet, nous sommes arrivés au terme d’une entreprise de destruction de l’institution scolaire de nos enfants achevée par Jean-Michel Blanquer, et non seulement le redressement est impossible, mais il n’est pas voulu, et les ministres appelés à se succéder à la tête de ce ministère ne sont là que pour achever la mise en œuvre de cette destruction tout en nous donnant l’illusion du contraire : que ce soit Attal, Ndiaye, Oudéa-Castéra, Belloubet ou quelque autre marionnette, nous aurons toujours le suivi de la même politique.
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