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l'information nationaliste - Page 700

  • Monteux (84): du matériel pédopornographique est retrouvé chez Younès Bourohi, ex-élu délégué “à la jeunesse” en marge de sa mise en examen pour “agression sexuelle, viol, etc.” il reste libre

    Vaucluse – Un ancien élu de Monteux mis en examen pour viol et agression sexuelle

    L’enquête avait commencé après la plainte d’une jeune femme réfugiée politique à l’automne dernier. L’ancien conseiller municipal délégué à la jeunesse et ancien président de la Mission locale a été placé sous contrôle judiciaire.

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  • L’Europe d’une guerre à l’autre (VIII-4) – L’étrange Grande Guerre

    Par Nikolay STARIKOV  ORIENTAL REVIEW

    Partie I

    Partie II

    Partie III

    Au moment où le commandement russe avait commencé à se heurter à des difficultés pendant l’offensive allemande de 1915, ils avaient vainement essayé d’obtenir au moins une aide réelle de la part des Alliés. Cependant, à la différence de leurs adversaires, les actions des pays de l’Entente continuaient à manquer de coordination, ce qui explique la passivité et la répugnance des Anglais et des Français à attirer une partie des forces allemandes sur eux. Mais ne recevant absolument aucun soutien, la Russie insista pour résoudre les problèmes de coordination des actions. Sous la pression de Saint-Pétersbourg, une conférence militaire interalliée eut lieu à Chantilly le 7 juillet 1915. Après presque une année d’actions militaires des pays de l’Entente, c’était la première fois (!) qu’ils tentaient de coordonner plus étroitement les plans stratégiques pour obtenir la victoire finale dans la guerre. Lors de la toute première session, le général français Joffre déclara que «le manque de coordination des actions des alliés» pourrait conduire les «Austro-Allemands» à concentrer leurs principales attaques sur chacune des armées alliées et à les retirer de la bataille l’une après l’autre”. La solution qui s’offrait à elle était simple et logique: l’armée alliée à laquelle l’attaque principale de l’ennemi était dirigée devait recevoir l’aide des autres membres de l’Entente. Le chef virtuel du renseignement militaire russe, le colonel Ignatiev, dont le frère représentait la Russie à la conférence, a écrit: “Malgré les belles déclarations, il n’a pas été possible de créer un organe central interallié de coordination, en grande partie par la faute de l’Angleterre, les contradictions entre les participants s’étant avérées trop grandes”.

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  • Les services de renseignements allemands prédisent une attaque russe contre l’OTAN à partir de 2026

    Un rapport classifié des services de renseignement allemands indique les intentions militaires potentielles de la Russie envers l'OTAN dans les années à venir, à partir de 2026, selon Business Insider. L’analyse suggère que la Russie se prépare à un conflit à grande échelle avec l’Occident, comme en témoignent la réorganisation de son armée, les mouvements de troupes et le déploiement de missiles dans la partie occidentale du pays.

    Selon les informations de Business Insider, « l’analyse des services de renseignement allemands circule actuellement au sein du gouvernement allemand . On observe donc une intensification significative de la production d’armes russe, qui pourrait conduire la Russie à doubler sa puissance militaire au cours des cinq prochaines années par rapport à aujourd’hui, notamment dans le domaine des armes conventionnelles.»

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  • Une restalinisation exemplaire

    240315

    Le 11 mars, Sébastien Falletti, correspondant du Figaro en Asie, alertait ses lecteurs du fait qu'en Chine, "Xi Jinping assoit encore plus son pouvoir personnel sur le régime communiste".

    Dernier tour de vis observable à Pékin : ce jour-là la conférence de presse annuelle du premier ministre Li Qiang était annulée sans explication. Or, depuis 36 ans, cet exercice devenu traditionnel coïncidait avec la clôture de l’Assemblée nationale populaire. Ceci jusqu'alors pouvait rendre, approximativement crédible la petite apparence de démocratie et de transparence économique du pays. L'illusion se voyait désormais supprimée, y compris pour les années à venir. Place aux pleins pouvoirs du parti communiste.

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  • Langues régionales, de l’immigration et identité nationale (2013)

    Trente députés bretons de gauche ont signé une proposition de loi visant à ratifier la Charte européenne des langues régionales ou minoritaires. Cette ratification faisait partie des engagements de François Hollande lors de la campagne présidentielle. Mais une révision de la constitution est nécessaire.
    Or, après que le Conseil d’État a rendu un avis négatif sur l’avant-projet de loi constitutionnelle du gouvernement, François Hollande a décidé d’enterrer l’idée de ratifier la charte, comme l’explique le député UMP Marc Le Fur : «À la première escarmouche avec le Conseil d’Etat, le Président de la République rend les armes et abandonne sa promesse alors qu’il existe un grand nombre de lois qui ont été adoptées et promulguées avec un avis contraire du Conseil d’Etat. Ce n’est pas une question juridique, c’est une question de courage politique. » […]

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  • Quel pays de l’OTAN n’a pas de troupes en Ukraine ? Les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, le Canada et la Pologne en ont déjà

    Les discussions européennes sur l’envoi de troupes occultent le fait que plusieurs pays de l’OTAN ont déjà des troupes sur le terrain.

    SLT

    par Ted Snider

    La guerre en Ukraine a atteint la croisée des chemins tant redoutée. L’Ukraine est en train de perdre la guerre, et aucune quantité d’armes ou d’aide ne changera cela. L’Occident doit soit accepter cette évaluation et pousser l’Ukraine à la table des négociations, soit envoyer plus que des armes et de l’aide. Il va devoir intensifier son soutien et envoyer des troupes, au risque d’une confrontation directe avec la Russie et du scénario catastrophe qu’il tente d’éviter depuis les premiers jours de la guerre.

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  • Macron et l’Ukraine : analyse d’un charabia

     16 mars 2024

    Le discours présidentiel sur l’Ukraine, au premier abord, semble relever de la prestation théâtrale, sur un mode auquel le président nous a habitués : parler pour le rien dire. 

    Mais avec la transcription à l’écrit et l’analyse mot à mot, les incohérences apparaissent pleinement et on se pince pour se dire qu’il est le président et que ses mots engagent toute la nation. Morceaux choisis :

    « Nous avons mis trop de limites dans notre vocabulaire. Nous ne sommes pas dans l’escalade. Nous ne sommes pas en guerre contre la Russie mais, soyons clairs, on ne doit pas la laisser gagner ». Qu’est ce à dire ? On ne va pas se battre, mais la Russie ne doit pas gagner ? Il fait comment ?

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  • L’Empire du mensonge: Olivier Véran et Jacques Attali, revus par Charles Gave et Léonard.

  • L’échec du taux d’exécution des OQTF : l’ancien directeur central de la Police aux frontières témoigne

    L’échec du taux d’exécution des OQTF : l’ancien directeur central de la Police aux frontières témoigne

    Commissaire général de police, Fernand Gontier a été directeur central de la Police aux frontières (PAF) de 2017 à 2022. Aujourd’hui directeur honoraire des services actifs de la Police nationale, il est interrogé par l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID). Extraits :

    […] Parmi les instruments de mesure les plus fréquemment utilisées pour évaluer l’efficacité de la politique d’éloignement, le taux d’exécution des OQTF [Obligation de quitter le territoire français] apparaît avoir pris une place centrale dans le débat public. Quel regard portez-vous sur la pertinence d’un tel indicateur et ses éventuels défauts ?

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  • Ukraine : La France a déjà perdu à Odessa

    Le président français Emmanuel Macron est devenu un peu fou :

    «La crédibilité de l’Europe sera détruite si on laisse la Russie gagner en Ukraine, a averti Emmanuel Macron, qui défend son refus d’exclure l’envoi de troupes dans le pays.

    La guerre en Ukraine est «existentielle pour notre Europe et pour la France», a déclaré M. Macron lors de l’interview sur France 2 et TF1.

    «Pensez-vous que les Polonais, les Lituaniens, les Estoniens, les Roumains, les Bulgares pourraient rester en paix une seconde [en cas de victoire russe en Ukraine] ?», a-t-il demandé. «Si la Russie gagne cette guerre, la crédibilité de l’Europe sera réduite à zéro»».

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