Aux lendemains du premier tour d’élections législatives, les Eveilleurs reçoivent Marion Maréchal. Tout juste élue député au Parlement européen, l’ancien député du Vaucluse revient sur son nouveau mandat, sur une campagne législative à nulle autre pareille et sur l’union nationale qu’elle soutient :
l'information nationaliste - Page 697
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Le retour du clivage droite-gauche, sur le thème de l’identité
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Ententes Macronie-NFP : Véronique Genest a la nausée
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Les difficultés ne font que commencer : elles sont innombrables !
Bernard Plouvier
Il n’est nullement assuré que les historiens de l’avenir s’intéressent à la dissolution de la Chambre par un Macron aux abois, fin juin 2024. En revanche, ils chercheront à comprendre comment les Français ont laissé des politiciens détruire leur pays en cinquante années de folie furieuse :
• Loi Veil autorisant l’avortement de complaisance, donc la chute dramatique de la natalité autochtone
• Décret de regroupement national des travailleurs immigrés pour relancer la consommation intérieure, ouvrant la voie à l’invasion extra-européenne
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1er tour des législatives : l’analyse et la suite !
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« Hollande va voter au bras de se femme ayant un sac Hermès à 15 000 euros ! Alors les gueux, vous n’avez pas de goût ? ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Dans mon petit coin de Normandie, je vis avec cette France dite d’en bas qu’ils ne veulent pas voir là haut à Paris dans les Palais dorés de la République.
Ici, dans ma petite ville qui, vu de la capitale, n’est qu’un gros village de 9 900 habitants, 31 % des gens n’ont pas de diplôme. 27 % ont un CAP ou un BEP, et 6 % le brevet des collèges.
En réalité seul 15 % des gamins atteignent le bac. 7 % des habitants disposent d’un bac +2 et ce sera la même chose pour un bac +5 ou plus. 7 % également.
Le revenu moyen des gens est, ici, inférieur à la moyenne nationale comme dans bon nombre de coins de notre France périphérique ou rurale oubliée de nos élites.
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La revanche de la France périphérique
Notre chroniqueur n’est pas vraiment surpris par le refus de Mélenchon de débattre avec Bardella : le lider maximo n’a rien à craindre, rhétoriquement parlant, du petit coq du RN, mais débattre avec lui, ce serait reconnaître la légitimité de son parti, et de tous ceux qui ont voté et voteront pour lui. Or, dans la tête des extrémistes du Camp du Bien, les 11 millions de Français qui ont voté pour cette droite que l’on dit extrême n’existent pas : ils sont rayés de la liste des vivants.J’ai vécu un quart de siècle à Paris (de 1972 à 1998), j’y ai naturellement gardé quelques amis — du moins le croyais-je.
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La petite bourgeoisie immigrationniste contre la classe ouvrière française
Le clan des immigrationnistes
Le bloc immigrationniste Macron-Mélenchon-Medef aggravera-t-il la situation immigrationniste, ou le RN et ses alliés y mettront-ils un terme ou en réduiront-ils les flux ?
La Commission européenne réclame depuis des années l'arrivée des dizaines de millions de migrants soi-disant pour faire face à la décroissance démographique dans l'UE.L'exemple japonais s'inscrivant en faux contre une telle assertion, il s agit d'un prétexte destiné à masquer la vraie raison qui consiste à neutraliser les classes ouvrières occidentales réfr actaires à la dérégulation générale voulue par la super classe financière des « très riches » (F. Hollande), détenteurs du système bancaire international : FED, FMI, BRI, etc., etc., c'est-à-dire du pouvoir économique.
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Hérouvillette (14) : Un temple gallo-romain dormait sous la future déviation
Les archéologues ont mis au jour les fondations d’un sanctuaire gallo-romain sous la future déviation d’Hérouvillette (Calvados). Photos et anecdotes d’un site archéologiques d’exception.
Parmi les “bonnes surprises” du chantier, un chemin dallé a été découvert.
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Seules les droites unies peuvent sauver la France française
Confirmation : Emmanuel Macron ne comprend rien à la France qu’il préside. Il ne la voit pas dans ses profondeurs provinciales qu’il méprise. En décidant, l’orgueil blessé, de dissoudre l’Assemblée le 9 juin, il était persuadé de retrouver une majorité absolue pour son camp. C’est évidemment une défaite personnelle qu’il a dû encaisser hier soir, à l’issue du premier tour des législatives, avec un Bloc national à 33,15 %, un Nouveau front populaire à 27,99 % et une coalition macroniste à 20,83 %. Dimanche après-midi, c’est pourtant un Macron déguisé en rocker (blouson, jean, casquette à visière, lunette noire) qui fanfaronnait au bras de son épouse dans les rues du Touquet. De cette image trop travaillée, sans doute faut-il retenir néanmoins son côté voyou frimeur qui-arrive-en-ville. Chez ce narcisse au bord de la noyade, les coups les plus vils sont à attendre pour sauver sa peau.
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« Elections. Comme prévu, un effondrement est une simplification rapide ! Le choix entre le RN et LFI ». L’édito de Charles SANNAT
Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Suite à un problème de mise en ligne hier lundi, voici l’édito que certains n’ont peut-être pas pu lire.
Comme prévu, nous en arrivons aux choix globalement entre LFI et le RN.
Entre la droite de droite et la gauche de gauche.
Positions polarisées.
Cette mise a égalité entre les RN et LFI a rythmé la soirée électorale et rythmera sans doute la semaine chargée que nous allons vivre.