Bonne nouvelle : ici et là, des Français se rebiffent. Ils deviennent réactionnaires. Un effet de masse est prévisible. Il suffit de constater l’affolement des censeurs, gardiens de la pensée immobile, pour s’en persuader. Partout, l’exaspération populaire se libère des interdits idéologiques qui empêchent de décrire les réalités et d’avancer dans les réformes. Certes, « réactionnaire » est un mot empli d’une poussière passéiste. Pour cette raison, il est récusé par les partis de droite, qui veulent pourtant rompre avec les « Trente calamiteuses ». C’est à peine si ces mouvements osent se définir conservateurs, et encore moins nostalgiques. Le terme mériterait pourtant d’être brandi, au sens où l’entendait Marc Fumaroli : « Une aptitude à résister au conformisme du temps ».
l'information nationaliste - Page 741
-
Le temps est venu de ne plus craindre d’être « réac »
-
Élections européennes : à défaut de Souverain, votons souverainiste !
Les élections européennes sont pour tous les Français soucieux de l’intérêt national une occasion, certes incomplète et imparfaite, d’infléchir le projet européen. Ce projet – la suppression des souverainetés nationales au profit d’une entité supranationale fondée sur les principes de libre circulation des biens, des personnes, des capitaux et des marchandises –, que nous dénonçons depuis son origine, est non seulement une aberration en soi, mais elle a, de plus, largement fait la preuve de son caractère inutile, voire néfaste, notamment en matière d’économie, d’agriculture ou d’immigration.
-
Le Nouveau Passé-Présent : Le pouvoir au féminin
Dans toute l’Europe, du Moyen-Age à l’époque moderne, des femmes furent au pouvoir, à la tête de royaumes ou d’empires puissants. À l’exception certes du royaume de France, où empêchées par une loi salique, exhumée, non pour des raisons de misogynie, mais plutôt pour de basses raisons de politique politicienne, les femmes ne pouvaient accéder au trône. Pourtant, notre Histoire regorge aussi de femmes de pouvoir.
-
La propagande ukrainienne est reprise par nos médias
Le site d’information en ligne Omerta reçoit Eric Denécé, le patron du Centre Français de Recherche sur le Renseignement (CF2R) pour un état des lieux du conflit en Ukraine (30 minutes)
Lien permanent Catégories : actualité, géopolitique, international, magouille et compagnie 0 commentaire -
Elon Musk défie l'organisme de surveillance en ligne de l'Australie concernant la suppression de contenus lié à l'attaque au couteau d'un évêque à Sydney-Ouest
Elon Musk et son réseau social X défient les ordres de l'organisme de surveillance en ligne de l'Australie visant à supprimer du contenu lié à l'attaque présumée d'un évêque lundi soir à Sydney-Ouest. La commissaire à la sécurité en ligne a en effet émis un avis exigeant le retrait de publications dépeignant "une violence gratuite ou offensante".
-
VILLAGE RUSSIE - J'AI VU LES ENTREPRISES US REMPLACER LES FRANCAISES EN 2014
-
Derrière la révolte paysanne, le réveil d’une nation ?
Par Gérard Leclerc
La France vit au diapason de ses paysans en colère. Voilà peut-être longtemps qu’elle ne s’est pas trouvée unanime dans le soutien d’une cause, il est vrai, vitale. On parle de souveraineté alimentaire en péril à juste raison. Qu’est-ce qu’une nation qui n’assume plus sa propre subsistance et dont la paysannerie se trouve réduite à peau de chagrin, comme si elle n’était plus qu’un appendice résiduel d’un pays dominé par ses métropoles urbaines ? Eh bien, non ! La révolte unanime de nos campagnes est en train de réveiller une nation qui redécouvre qu’il n’est pas de pays sans paysans, ces gardiens de notre espace et de nos paysages.
-
Attal « obsédé » par les musulmans : Cyrielle Chatelain et le refrain de l’islamophobie
-
Jean-Yves Camus à propos des manifs anti-Le Pen d’ avril 2002 : . «On n”a pas songé à l’époque à répondre à la montée du vote FN. On a seulement voulu crier au danger. F comme fasciste, N comme nazi… C’était le degré zéro de la réflexion politique !»
Pour d’autres, c’est l’année 2015 qui constitue l’année charnière. Comme cette avocate rennaise à la retraite, qui préfère demeurer anonyme. Née dans une famille radicale-socialiste, elle a «bouffé du curé tous les dimanches» depuis son enfance et considère aujourd’hui encore que la laïcité est l’un des combats les plus importants à mener. Sa mère, très active au PS, l’initie à la vie citoyenne, l’emmène assister au dépouillement des votes. Le jour de l’élection de Mitterrand, mère et fille étaient allées à la mairie de Laval fêter la victoire… et ont vite rebroussé chemin, quand elles ont entendu chanter «L’Internationale» : c’était leur ligne rouge. En 2002, cette dame a voté Chevènement au premier tour. L’affiche du second tour lui fait un choc : «mes parents ont connu la Seconde Guerre mondiale, ça a réactivé cette idée dans notre esprit». Elle manifeste contre le FN, vote Chirac à contrecœur.
-
Viktor Orbán : « Pas d’immigration, pas de théorie du genre, pas de guerre ! »
“Sans la Hongrie, sans le peuple hongrois, il n’y a pas de liberté en Europe“, a affirmé le Premier ministre Orbán, sur un ton de défi face à ce qu’il perçoit comme les dangers croissants des politiques de l’Union européenne. Lors de cet événement, au cours duquel des membres du Fidesz ont également prononcé des discours, le Premier ministre Orbán a insisté sur la nécessité de lutter pour protéger la paix, la sécurité et les réalisations économiques de la Hongrie contre les batailles idéologiques qui se déroulent à Bruxelles.