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  • Marine à Coblence

    Parmi les stars politiques présentes, le président du PVV Geert Wilders (Pays-Bas) et Marine Le Pen ont été les plus sollicités par les journalistes.

    Ce samedi 21 janvier 2017, Marine Le Pen a participé à Coblence, en Allemagne, au sein du centre de congrès situé le long du Rhin, à un meeting et à une conférence de presse du groupe politique du Parlement européen Europe des Nations et des Libertés (ENL), qui rassemble les divers alliés du Front national.

    Parmi les stars politiques présentes, le président du PVV Geert Wilders (Pays-Bas) et Marine Le Pen ont été les plus sollicités par les journalistes. Le parti organisateur, l’Alternative pour l’Allemagne (AfD), a aligné sa dirigeante Frauke Petry et le député européen Marcus Pretzell, tandis que le FPÖ a envoyé son secrétaire général Harald Vilimsky (Autriche). Le dirigeant de la Ligue du Nord Matteo Salvini (Italie) a aussi pris la parole.

    Le rassemblement s’est tenu sous le slogan « Liberté pour l’Europe » et sous haute protection policière, au lendemain de l’investiture de Donald Trump aux États-Unis et alors que le Premier ministre conservateur britannique madame Theresa May a choisi une forme dure de Brexit, ce qui a, bien entendu, apporté de l’eau au moulin des patriotes. Marine Le Pen a déclaré :

    « 2016 a été l’année au cours de laquelle le monde anglo-saxon s’est réveillé. 2017 sera, j’en suis sûre, celle du réveil des peuples d’Europe continentale. »

    Elle a ajouté :

    « Il faut passer à l’étape suivante, l’étape où nous ne nous contentons plus d’être une minorité au Parlement européen, l’étape où nous serons majoritaires dans les urnes à chaque élection. »

    Cette année, un scrutin présidentiel est prévu en France ainsi que des législatives aux Pays-Bas et en Allemagne. Par conséquent, cette réunion a attiré de nombreux médias. Lors de la conférence de presse, Marine Le Pen – en pleine forme – et Frauke Petry sont apparues en public l’une à côté de l’autre. Les journalistes du système ont, pour la plupart, posé des questions présentant peu d’intérêt, mais ayant surtout pour objectif de tenter de déstabiliser les représentants de partis présents, ce qui n’a pas été le cas. Interrogé sur le fait que les partis patriotiques pourraient ne pas percer électoralement en 2017, Geert Wilders a répondu que le génie est sorti de la bouteille et n’y retournera pas, que les journalistes le veuillent ou non.

    La réunion s’est déroulée non loin du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie au sein duquel des élections pour le Parlement de cette entité sont prévues le 14 mai 2017 – la liste de l’AfD y étant conduite par Marcus Pretzell -, ainsi que de lieux qui ont marqué au XIXe siècle l’histoire du nationalisme allemand porté, à l’époque, par le courant libéral avec pour objectif de réaliser l’unification allemande et des revendications de liberté (droit d’association, de réunion, liberté d’expression) et de justice sociale en opposition à l’Allemagne morcelée des princes défendue par les conservateurs : le château de Hambach a accueilli, en 1832, une fête réunissant le mouvement révolutionnaire allemand et Francfort-sur-le-Main a été le haut lieu de la révolution de 1848.

    http://www.bvoltaire.fr/lionelbaland/marine-a-coblence,308529

  • Journal du Lundi 23 Janvier 2017 : Société / Succès de la Manif pro-vie

  • "La percée électorale récente du FN ne doit rien à une prétendue dédiabolisation"

    Excellente réflexion de Christophe Servan sur Boulevard Voltaire :

    6a00d83451619c69e201b7c8cce85f970b.png"La diabolisation du FN est aussi forte qu’en 2002 mais le peuple ne marche plus. Je lis souvent dans la presse, à propos de Florian Philippot, qu’il a été l’artisan de la dédiabolisation du FN et c’est irritant, car la dédiabolisation du FN est un mythe.

    J’en veux pour preuve que, pas plus tard qu’hier, on annonçait sur BFM TV que la chancelière allemande Angela Merkel allait rencontrer François Fillon lundi, mais refusait toute entrevue avec Marine Le Pen. Une semaine plus tôt, c’est Lord Llewellyn, l’ambassadeur du Royaume-Uni en France, qui déclarait que son gouvernement ne souhaitait pas « tisser des liens » (sic) avec la candidate de l’extrême droite française.

    Chez nous, en France, c’est un secret de polichinelle que les banques se sont passé le mot pour boycotter le FN ; une décision stupide puisque ces prêts-relais aux partis politiques sont très bien rémunérés et sans risque avec les partis majeurs. Enfin, sur les plateaux de télé, les téléspectateurs sont témoins que les représentants du FN continuent d’être traités différemment des autres invités et, dans les débats entre observateurs supposés neutres du type « C dans l’air », faire obstacle au FN est présenté comme un objectif normal, presque scientifiquement rationnel, comme si le FN était la peste. Si vous croyez que le processus de dédiabolisation est en cours, vous vous trompez : il n’a jamais vraiment commencé.

    6a00d83451619c69e201b8d25717fd970c-320wi.pngFaut-il en conclure que la dédiabolisation est hors d’atteinte et qu’il est vain de courir après ? Vers la fin des années 70 (...) la lutte contre l’antisémitisme et la lutte contre le racisme ont été portées au pinacle des valeurs de la République. Ces deux péchés originels, il fallait leur trouver une réalité visible pour que la manœuvre soit crédible ; c’est Jean-Marie Le Pen qui en fit les frais. Aussi, l’anti-lepénisme est-il devenu, chez nombre de personnes particulièrement soucieuses de leur image de marque (artistes, journalistes, politiques, champions sportifs, etc.) une religion et, comme toute religion, un marqueur identitaire si puissant qu’il transcende la raison. Par mimétisme, nombre de Français ordinaires y sont venus et l’entre-deux-tours des élections présidentielles de l’année 2002 en marqua l’apogée.

    La percée électorale récente du FN ne doit donc rien à une prétendue dédiabolisation, mais à l’incroyable faiblesse des partis de gouvernement et surtout aux faits (la crise économique et l’immigration) qui lui ont donné raison.

    Petit à petit, l’électorat traditionnel du parti s’est enrichi des électeurs les plus exposés aux difficultés de la vie, ceux qui ont pris la mondialisation comme une gifle et qui sont devenus imperméables aux beaux discours moralisateurs des élites parisiennes (...) Certains, à droite, estiment que l’on peut faire du lepénisme en dehors du FN. Si c’est pour conserver une liberté de parole incompatible avec la discipline du parti, la démarche est sensée. Si c’est dans l’espoir de créer des passerelles avec l’aile droite des Républicains, elle est vaine. Nicolas Dupont-Aignan avait un jour dit qu’il se rapprocherait de Marine Le Pen le jour où celle-ci couperait avec son père. Elle l’a fait mais lui n’a pas changé d’un iota. C’est dire la puissance du politiquement correct.

    La conclusion est que la dédiabolisation comme stratégie électorale est vouée à l’échec. Pis : elle peut se retourner contre ses auteurs si ceux-ci en viennent à perdre leur âme. La crise, qui ne peut que s’aggraver, et le remplacement des générations fortement imprégnées d’idéologie politiquement correcte par de nouvelles, plus pragmatiques et plus méfiantes, feront le travail, lentement mais sûrement."

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les différends discours entendus à la marche pour la vie

    Discours de Jean-Pierre Maugendre à la Marche pour la vie "Notre époque est celle d’une monstrueuse hypocrisie"

     

    Discours de Cécile Edel à la Marche pour la vie : "la vie est au-dessus des lois mais la loi doit servir la vie !"

     

    Discours de Charles Beigbeder à la Marche pour la vie: " la dérive liberticide du gouvernement est le signe du crépuscule de son idéologie"

     

    Discours de Benoît Sévillia à la Marche pour la vie, pour les Eveilleurs d'Espérance

     

    Frère Clément-Marie : "Demain, en France, nous irons en prison pour avoir rappelé que l’embryon est une personne humaine"

  • Éléments N°164 : Gauche-droite, c’est fini !

    el_164_gauche-droite-fini.jpg

    Depuis que la gauche s’est employée à remplacer son ancien électorat par des catégories extérieures aux catégories nationales et à favoriser avant tout la mondialisation des échanges, deux dynamiques nouvelles sont à l’œuvre dans le paysage politique européen. (…)

    La première dynamique est la dynamique identitaire. Elle peut s’exprimer à gauche comme à droite. En dépit de tout ce qui les oppose, elle comprend aussi bien les nationalistes identitaires que les tenants du multiculturalisme. Dans l’un et l’autre cas, la notion décisive est celle d’ethnos, c’est-à-dire de personnalité historique ou ethnoculturelle, considérée comme non négociable.

    La seconde dynamique est celle du populisme. Elle ne se confond pas avec la précédente, même si elle peut parfois la rejoindre. À la façon du boulangisme, le populisme mêle lui aussi des éléments de gauche et de droite. Mais surtout, il ne se réclame pas seulement du peuple-ethnos, mais avant tout du peuple-démos, c’est-à-dire du peuple politique, et subsidiairement du peuple-plebs, c’est-à-dire des couches dominées. En France, il correspond sociologiquement aux classes populaires et aux éléments de la classe moyenne menacés de déclassement, et géographiquement à la « France périphérique » par opposition aux métropoles mondialisées.

    Le populisme s’appuie sur le principe de la souveraineté populaire et dénonce ses limitations par la démocratie libérale et l’État de droit. Déçus par la mondialisation comme par les institutions européennes, physiquement hostiles à la privatisation du sens de l’existence comme à l’avènement d’un homme hors-sol, dépouillé de ses racines et de sa mémoire, révulsés par les mouvements migratoires, hantés par la peur de la désagrégation de la sociabilité qui leur est propre, mus surtout par un puissant ressentiment envers les élites, les populistes s’efforcent d’articuler une nouvelle demande sociale : demande de repères en matière de mœurs, demande de cadres protecteurs, demande d’une politique qui ne se ramène pas à la gestion, demande d’une démocratie réelle, demande d’autorité.

    François Fillon n’est pas un populiste. Il s’adresse avant tout aux bourgeois retraités qui forment le socle de l’électorat de droite, et qui aspirent à la fois à un paisible conservatisme des mœurs et à un libéralisme modéré. Mais c’est là que le bât blesse. Ceux qui se réclament de cette improbable alliance se retrouvent un jour ou l’autre dans une position intenable : s’ils appliquent un programme libéral, qui comprend l’ouverture des frontières, la politique des droits individuels et la soumission de l’entreprise aux exigences des propriétaires du capital, ils déçoivent les conservateurs ; s’ils appliquent un programme conservateur, qui implique la protection de la société, le maintien des frontières et le primat de l’intérêt national, ils déçoivent les libéraux.

    La question qui se pose est alors celle-ci : peut-on encore, sans tomber dans l’incohérence, être à la fois conservateur et libéral aujourd’hui ?

    Au sommaire du N°164 d’Eléments

    • Entretien exclusif avec Marcel Gauchet
      « La bien-pensance engendre la crétinisation »
    • Populisme, la grande peur des élites, par Alain de Benoist

    Dossier : Droite-gauche, c’est fini !

    • Politique-fiction : Le Pen-Mélenchon au second tour
    • L’obsolescence programmée du clivage droite-gauche
    • Pourquoi les vrais socialistes font la guerre à la gauche
    • Entretien avec Charles Robin
    • Rencontre avec Bernard Langlois, membre fondateur d’Attac et de Politis

    Et aussi…

    • L’AF et ses dissidents
    • Les nouvelles têtes à claques du libéralisme
    • La France buissonnière de Sylvain Tesso
    • Littérature : entretien avec Louis Jeanne
    • La leçon de Gabriel Matzneff
    • Tintin : retour au pays des Soviets
    • À la redécouverte de Thomas Sankara
    • Après nous le déluge ? La réponse de Sloterdijk
    • Philosophie : L’esprit dépend-il de la matière ?
    • L’esprit des lieux : Venise

    http://www.voxnr.com/7782/elements-n164-gauche-droite-cest-fini

  • Un incubateur d’entreprises interdit aux Français mais payé par les Français !

    Source : Boulevard Voltaire – « Un incubateur d’entreprises interdit aux Français mais payé par les Français ! « 

    Cet incubateur est réservé exclusivement aux réfugiés et aux migrants.

    Vous souhaitez être accompagné dans la réalisation d’un projet culturel ? Vous rêvez de créer votre entreprise ? Vous vous sentez déclassé socialement suite à une longue période de chômage ? Vous êtes même peut-être SDF ?

    SINGA France vous accueille dans ses locaux parisiens du XIe arrondissement. Dans ces modestes locaux de 450 m2 refaits à neuf, l’association met GRATUITEMENT et SANS CONDITION à votre disposition tous les outils et toutes les compétences nécessaires à la réalisation de votre projet de création d’entreprise.

    À vrai dire, il y a quand même une condition : VOUS NE DEVEZ PAS ÊTRE FRANÇAIS ! En effet, cet incubateur est réservé exclusivement aux réfugiés et aux migrants.

    Cette association ne gère pas que cet incubateur.
    Elle propose des solutions d’hébergement chez l’habitant pour les réfugiés (SDF français « go home » ou, justement, « go out ») et développe une application pour smartphone permettant de mettre en relation hébergeurs et migrants. Vous noterez, au passage, que nos migrants ont un smartphone, alors que mon père n’en a pas.

    L’association, créée en 2012, a ainsi trouvé des logements pour 380 réfugiés et accueille, cette année, sa deuxième promotion de 12 « entrepreneurs ».

    Modestes résultats pour cette association au budget de plus de 610.000 € (dont 123.000 € de salaires chargés, 20.000 € de fournitures et matériaux, 12.000 € pour la location des bureaux, 11.000 € en voyages et missions, 2.500 € de titres restaurant et 1.400 € de téléphone et Internet) en 2015 !

    D’ailleurs, d’où vient cette manne financière ? Les dirigeants de l’association rappellent fièrement les partenariats privés obtenus auprès de sociétés comme Free, Vinci ou Carrefour. L’étude de leur budget 2015 révèle également une subvention de la région Île-de-France de 20.000 € (merci, M. Huchon), une subvention de 80.000 € de la ville de Paris (merci, Mme Hidalgo) et, pour finir, une subvention de 200.000 € versée par la FAMI (Fonds asile migration et intégration), fonds sous tutelle du gouvernement via le ministère de l’Intérieur (merci, M. Valls).

    Bref, 610.000 € financés pour moitié par les Français pour une association qui leur est interdite.

    Les contribuables apprécieront !

    Sources : comptes annuels 2015 de l’association SINGA France

    Région IDF – Commission permanente du 8 octobre 2015 – Dossier 15018542

    Laurent Sailly

    http://fr.novopress.info/

  • 50 000 marcheurs pour demander le retrait du texte sur le délit d'entrave

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    Michel Janva