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  • Refus de parodie de mariage : Marie-Claude Bompard relaxée

    Le tribunal correctionnel de Carpentras a relaxé aujourd'hui le maire de Bollène (Vaucluse), Marie-Claude Bompard, poursuivie pour avoir refusé d'unir deux femmes en 2013.

    La cour a déclaré “irrecevable” la citation directe de l'association Mousse, qui lutte contre les discriminations à l'égard des LGBT. Elle a condamné cette dernière à verser 3000 euros au maire de Bollène pour une procédure qu'elle a jugée “abusive”.

    Voilà de quoi encourager les maires à faire valoir leur objection de conscience.

    par Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2017/03/refus-de-parodie-de-mariage-marie-claude-bompard-relax%C3%A9e.html

  • Un grand entretien entre Carl Lang, Président du Parti de la France, et Pierre Cassen, Président de Riposte laïque

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    Entretien de Carl Lang avec Pierre Cassen de Riposte Laïque. Si le président du Parti de la France ne se présente pas à cette élection, ça ne signifie pas qu’il n’en pense rien…

    Riposte Laïque : Comment le président du Parti de la France juge-t-il l’élection présidentielle française, ses multiples rebondissements, à six semaines du premier tour ?

    Carl Lang : En premier lieu, je tiens à vous remercier de me permettre d’exprimer mon point de vue dans vos colonnes et à vous apporter mon soutien pour votre engagement persévérant et courageux de résistance à l’islamisation de la France.

    Concernant cette campagne présidentielle un peu folle, elle est la résultante de plusieurs surprises. Tout d’abord, à droite, le schéma initial et programmé par la nomenklatura médiatique appuyée par les instituts de sondages était la candidature d’Alain Juppé. Il se trouve que malgré une participation active d’une partie de la gauche en faveur d’Alain Juppé, les électeurs de la primaire de la droite et du centre ont déjoué tous les pronostics et assuré la victoire surprise de François Fillon. Voilà ce qui peut se passer lorsqu’on laisse la parole au peuple : il arrive que le pays réel se rebelle contre la caste médiatique et le pays virtuel. Ce résultat fut une très mauvaise surprise pour les maîtres et gourous de la république « d’en haut », celle qui méprise et déteste la France « d’en bas ». Juppé était en effet, au centre droit de l’échiquier, l’homme choisi par les réseaux mondialistes.

    A gauche, la surprise est venue de la non candidature à sa réélection de François Hollande qui a ainsi laissé une partie de la gauche gouvernementale en état de choc. Par ailleurs, malgré sa morgue habituelle et son ambition frénétique, le calamiteux bilan gouvernemental n’a pas permis à l’ancien Premier ministre Manuel Valls de s’imposer à la primaire de la gauche. Résultat : il n’y a plus personne pour défendre le bilan du quinquennat socialiste et le PS se divise entre le frondeur Hamon et le lâcheur Macron, eux-mêmes concurrencés par l’agitateur agité, Mélenchon.

    Dans cette bataille à gauche la nomenklatura médiatique et les réseaux qui la contrôlent ont fait clairement le choix d’Emmanuel Macron. Il incarne parfaitement leur rêve de nouvelle société philosophiquement et économiquement ultra-libérale, mondialiste, cosmopolite et antinationale.

    Pour résumer, la caste dominante avait au départ deux cordes à son arc ; une de centre droit avec Juppé et une de centre gauche avec Macron. Il ne reste plus dans la course que Macron. L’étape suivante du scénario consiste donc à assurer son élection en éliminant le concurrent qui est pour lui le plus dangereux au deuxième tour de l’élection présidentielle, c’est-à-dire François Fillon.

    L’ancien Premier ministre de Nicolas Sarkozy qui a fourni lui-même un certain nombre de bâtons pour se faire battre avec le contrat de son épouse a de surcroît fait une déclaration qui le condamne au lynchage politico- médiatico- judiciaire : il a déclaré qu’il était « gaulliste et chrétien ». Nous avons tous bien compris que ce n’était pas son gaullisme qui posait problème… Par ailleurs, il se trouve qu’il n’est pas un ennemi de Poutine. Cela fait beaucoup et fait de lui l’homme politique à abattre.

    Fillon est donc devenu, pour des raisons politiques, géopolitiques et tactiques la principale cible de ceux qui veulent la victoire de Macron. Il me parait clair que l’Elysée est directement à la manœuvre dans cette affaire. Comment expliquer autrement toutes les fuites et l’extraordinaire célérité du parquet financier qui, 48 heures après l’article du Canard enchaîné auditionnait les premiers témoins. Quelle remarquable efficacité !

    Grâce à cette stratégie, la gauche social-libérale espère réussir le tour de force de rester au pouvoir et ce malgré le renoncement du président sortant et son fiasco gouvernemental. Ce serait ainsi leur divine surprise.

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  • Toutes les vidéos du voyage au Tchad de Marine Le Pen

    Marine Le Pen a effectué un voyage de deux jours au Tchad, où elle a été reçue par le président Idriss Déby, ainsi que par le président de l’Assemblée nationale, Haroun Kabadi. La présidente du Front national est également allée à la rencontre des militaires français engagés dans l’opération Barkhane. Une visite placée sous le signe de la francophonie et de la lutte contre le « fondamentalisme islamique ».

  • Mosquées radicales : Joachim Véliocas invité de radio Méridien Zéro

  • JULIUS EVOLA : « LE RACIALISME COMME ANTI-UNIVERSALISME »

    Du point de vue proprement politique, d’abord, ce serait une erreur de considérer le racialisme comme élément hétérogène, rattaché pour des raisons contingentes à l’idéologie fasciste. La doctrine en question, correctement comprise, peut au contraire représenter un renforcement et un autre instrument du Fascisme, en tant que créateur d’une nouvelle civilisation antiuniversaliste, antirationaliste, anti-individualiste. Elle peut ainsi représenter une nouvelle étape, liée par un rapport d’étroite cohérence aux précédentes, de la Révolution.

    En effet, sous son aspect politique le plus général et le plus communément connu, le racisme s’entend à déterminer le type humain prédominant dans une communauté nationale donnée, à le préserver de toute altération, de toute contamination, à l’intensifier, à y faire correspondre un sentiment déterminé, un orgueil déterminé, qui développera, tonifiera, rendra plus concret et « organique » le sentiment national – plus général. Il s’agit ainsi, en premier lieu, d’une continuation de tout ce que le fascisme a cherché à réaliser depuis son avènement en matière de politique et d’hygiène sociales, et d’autre part, d’école de virilité et de force pour le peuple italien, et surtout pour les nouvelles générations. La conquête de l’empire africain a eu pour conséquence naturelle l’instauration d’un nouvel ensemble de mesures protectrices et prophylactiques, procédant d’exigences analogues ; par ailleurs, il convenait évidemment que, au contact d’autres peuples, l’Italien saisisse pleinement les différences, sa dignité et sa force.

    Sous un second aspect, interne, celui-là, le racialisme se présente comme une autre « puissance » du nationalisme, car le sentiment « racial » – même lorsque cette expression équivaut plus à un mythe qu’à une idée bien précise – est évidemment quelque chose de plus que le sentiment national. Comme mythe politique, la « race » est la nation vivante, qui n’est pas plus enfermée dans d’abstraites limites juridiques et territoriales qu’elle ne se réduit à une simple identité de civilisation, de langue, d’histoire. Le sentiment « racial » est plus profond que tout cela ; de tout cela, il est à la racine ; il est inséparable d’un sentiment de continuité, il éveille des résonances profondes dans l’être humain. C’est cette vérité-là qui se reflète même dans la sagesse populaire, dans des expressions comme « la voix du sang », « la race ne ment pas », « il a de la race », « vengeance », « la faute du sang ».

    Ainsi, la nouvelle doctrine ranime un sentiment dont les racines plongent dans des formes de communauté au fond pré-nationale, dans la communauté propre à la lignée, à la gens, à la fratrie, à la famille patriarcale ou même patricienne, où il correspondait effectivement et positivement à une unité vraiment commune de sang. Dans sa conception moderne, la nation se présente déjà comme une unité de type différent, définie par d’autres éléments, en plus de la simple consanguinité, tant directe qu’indirecte. Ces considérations suffisent à faire apparaître clairement que, pour pouvoir légitimement passer du sentiment national à la conscience raciale, si l’on ne veut pas se limiter au « mythe », c’est-à-dire à une idée dont la validité réside moins dans sa vérité et dans son fondement objectif que dans son pouvoir suggestif, il faut en venir à une conception de la race assez différente de celle, élémentaire, qui est définie par le sang et, en général, par l’élément purement biologique, car il faut tenir compte, en elle, d’une série d’autres facteurs.

    Ce point sera amplement traité par la suite. Pour l’instant, sur la base de ce que l’on a indiqué, nous dirons que l’idée raciale, en tant qu’idée politique, présente les mêmes dangers qu’un nationalisme de type démagogique, exclusif et particulariste.
    Les avantages se rapportent à la complète opposition à tout mythe égalitaire et évolutionniste, à la réfutation de l’idéologie démo-maçonnique et de la philosophie des lumières, relatives à l’identité et à l’égale dignité de tout ce qui a forme humaine. Selon la doctrine raciale, l’humanité, le genre humain est une fiction abstraite – ou la phase finale, conservable seulement comme limite, mais jamais entièrement réalisable, d’un processus d’involution, de désagrégation, d’écroulement. En règle générale, la nature humaine est au contraire différenciée, différenciation qui se reflète justement, entre autres, dans la diversité des sangs et des races. Cette différence représente l’élément principal. Elle est non seulement la condition naturelle des êtres, mais encore une valeur éthique, c’est-à-dire quelque chose de bien en soi et qu’il faut défendre et protéger. Sous certains aspects, tous les hommes montrent certainement quelque chose de commun. Mais ceci ne doit pas prêter à équivoque.

    Le racialisme, à cet égard, se présente comme une volonté – que l’on pourrait bien appeler classique – de « forme », de « limite » et d’individuation. Il exhorte à ne pas considérer comme essentiel tout ce qui, représentant le général, l’informe, l’hybride, équivaut en réalité à un « moins », à un résidu de matière non encore formée. Comme on l’a indiqué, tout ce qui est commun ne vient au premier plan, n’apparaît comme « valeur » et en quantité d’ « immortels principes », que dans les périodes de régression et de décomposition ethnico-culturelle, où, justement, la « forme » retourne à l’informe. L’« universalisme » – compris, selon l’emploi abusif, mais malheureusement devenu courant, du terme, comme internationalisme et cosmopolitisme – il ne faut pas le considérer, à cet égard, comme une idée parmi d’autres, mais comme l’écho et presque l’indice barométrique d’un climat de chaos ethnique et de dénaturation des types. Il n’y a que dans un tel climat qu’il est « vrai » : en tant qu’image de la réalité.

    Que le racialisme, à cet égard, renforce le nationalisme dans ses aspects positifs, c’est bien évident. L’un et l’autre représentent une réaction salutaire, aussi bien contre le mythe démocratique que contre le mythe collectiviste, celui de la masse prolétarienne sans patrie et sans visage ; ils représentent une victoire de la quantité, du « cosmos » sur le chaos, et, comme on vient de le dire, de la forme sur l’informe. Sous tous ses autres aspects positifs, que nous déterminerons, le racisme reflète toujours ces significations-là, et, selon ces significations, c’est une doctrine et un « mythe » qu’il faut juger, du point de vue traditionnel, « en ordre ». Du point de vue politique, d’autre part, le réveil du sentiment national et racial est une des conditions préliminaires indispensables à la réorganisation cohérente de toutes ces forces qui, à travers la crise du monde moderne, étaient sur le point de se disperser et de sombrer dans le bourbier d’une indifférenciation mécanico-collectiviste et internationaliste. Cette tâche est une question de vie ou de mort pour l’avenir de la civilisation européenne tout entière.

    Julius Evola

    Synthèse de doctrine de la race (1941)

    Première partie : La race comme idée révolutionnaire

    1. Le racialisme comme anti-universalisme

    Édition de L’homme Libre, p. 19-22.

    Source : Front de la Contre-Subversion

    https://la-dissidence.org/2017/03/15/julius-evola-le-racialisme-comme-anti-universalisme/

  • Plus c’est c.., plus ça passe?

    Une attaque à la voiture  en plein cœur de Londres hier à fait cinq morts et des dizaines de blessés (dont trois jeunes Français), selon un mode opératoire encouragé par l’Etat islamique et calqué sur le massacre au camion fou lancé dans la foule à Nice le 14 juillet dernier. L’assaillant, un jamaïcain converti à l’islam, déjà  condamné pour financement du terrorisme, a été abattu après être descendu de son véhicule pour  poignarder  à mort un policier. Un an jour pour jour après les attentats de Bruxelles, l’attaque commise  dans cette ville-monde, cosmopolite de longue date mais dont le visage a été radicalement  transformé par les très importants flux  migratoires de ces dernières  décennies, prend une résonance particulière. Les sociologues ont pointé l’exil continu des catégories populaires autochtones fuyant Londres,  ce qui a facilité l’élection du nouveau maire Sadiq Khan,  évolution d’une capitale qui, à l’instar de nombreuses autres villes anglaises, voit des  quartiers entiers désormais régis par la charia, soumis au communautarisme. Toutes choses qui ne manquent pas d’inquiéter nos voisins britanniques, comme elles  inquiètent les Français et tous les Européens victimes de cette conséquence directe  du mondialisme. 

    La priorité pour nos élites reste bien d’enrayer la montée du populisme et  pour se faire les incarnations les plus caricaturales de la folle idéologie  immigrationniste ne manquent jamais de donner de la voix… sans même s’apercevoir du caractère contre-productif de leurs diatribes. Mardi 21 mars, sur BFM TV, l’influent Julien Dray, conseiller de Hollande,  ex trotskyste, membre fondateur de SOS racisme, affilié  au Grand Orient,  atteignait en quelques minutes le  Point Godwin en évoquant le débat présidentiel de la veille sur TF1. Cet  acheteur compulsif d’objets de luxe de Paris à Tel-Aviv – on se souvient d’investigations accablantes sur son train de vie – a déployé une  balourdise  pachydermique qu’il imagine certainement encore être de la finesse : « Il faut démontrer a-t-il dit,  que (la) politique (de Marine Le Pen, NDLR)  est dangereuse. Il ne faut pas la laisser pérorer en donnant le sentiment qu’elle s’est banalisée. Elle n’est pas banale. Elle a été, si vous me permettez l’expression et sans référence historique parce qu’on va me dire ça y est vous ressortez… elle a été totalement nationale-socialiste. »  Plus c’est con, plus ça passe?

    François Hollande lui, à en croire l’Obs, s’inquiète surtout de débat télévisés qui confrontent directement les politiciens du Système avec leurs détracteurs. « Si j’avais été candidat, aurait-il dit,  jamais je n’aurais accepté d’y participer ! Ce genre de confrontation favorise toujours les plus démagogiques et les plus populistes (sic). Il va donc jouer en faveur de Marine Le Pen. Il y a un réel danger ». Selon Le Canard enchaîné de ce mercredi, le président socialiste insiste :  « ça va installer Le Pen » lui donner  un gain de  « visibilité » et de « crédibilité » avant le second  tour.

    Le  débat sur TF1 lundi soir a été jugé sévèrement  par  la presse allemande, dont les dirigeants progressistes  ont fait de M. Macron, l’un de leur vassal favori. « Vu d’Allemagne, le débat (de lundi soir)  semble d’abord se résumer à un duel : celui entre Emmanuel Macron et Marine Le Pen, d’abord parce que ces deux-là sont aujourd’hui les mieux placés dans les sondages. D’un côté la phrase choc de la candidate du Front National, je ne veux pas être la vice-chancelière de madame Merkel, a retenu l’attention, comme de l’autre le positionnement pro-européen du candidat d’En Marche! (…). Pour la Südeutsche Zeitung, les vainqueurs, ce sont les extrêmes. Marine Le Pen, la populiste europhobe, a servi à son électorat un discours clair contre les étrangers et les islamistes (…). Emmanuel Macron semble pourtant avoir laissé plusieurs titres de la presse allemande sur leur faim. Emmanuel Macron avait beaucoup à perdre, analyse la FAZ, mais il a réussi à se maintenir en place. Le quotidien de Francfort ajoute cependant :  il n’était pas évident de rester attentif à ce que disait Macron. Il veut renouveler les visages et les habitudes mais il ne propose pas d’idées. Même sévérité de la part de la Südeutsche Zeitung :  Macron s’est montré nerveux .  Il parle beaucoup. Mais après plus de trois heures d’émission, il n’y a eu aucun moment, aucune idée avec laquelle Macron a dominé le débat. Et la SZ de conclure : Même quand il parle beaucoup, on ne retient aucune idée concrète ».

    Aucune idée concrète ? Cela  convient tout à fait aux pontes du gouvernement qui se rallient à cette machine à recycler les tenants d’une vieille politique démonétisée qu’incarne le mouvement En Marche !. Tout  dernièrement ce sont les Secrétaires d’Etat  Barbara Pompili (Biodiversité) et  Thierry Braillard (Sports),  qui ont fait allégeance au candidat de MM. Minc et Attali,  avant le ralliement attendu  du ministre de la Défense Jean-Yves Le Drian  « qui  nourrit (déjà)  Macron de fiches sur les affaires de défense, glisse un proche du ministre ».

    Invité hier de  Radio Classique,  le député socialiste du Finistère Richard Ferrand, secrétaire général d’En Marche!,  a indiqué qu’« Emmanuel Macron poursuit l’objectif de devancer Marine Le Pen au premier tour de l’élection présidentielle.  Il faut créer une dynamique qui nous place au premier tour en tête, pour ne pas donner le visage de l’extrême droite à l’Europe et au monde entier. C’est pourquoi nous voulons amplifier notre dynamique, non pas seulement comme objectif électoral mais comme objectif d’hygiène démocratique » (sic). Une hygiène, qu’elle soit démocratique ou intellectuelle,  qui laisse à désirer chez M. Ferrand, lui qui s’est ridiculisé dernièrement en recyclant de vieux fantasmes malpropres sur l’existence d’un  complot russe  contre la candidature de M. Macron. Et dire, constate Bruno Gollnisch,   que ce sont les mêmes qui nous accusent de complotisme quand nous pointons, et là de manière autrement plus prosaïque, étayée et évidente,  la collusion d’intérêts étrangers, l’ensemble des soutiens dont disposent les adversaires euroatlantistes d’une France souveraine, libre et enracinée. 

    https://gollnisch.com/2017/03/23/plus-cest-c-plus-ca-passe/

  • Dédiabolisation du FN : ce n’est pas encore gagné ! La preuve par les faits…

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    Voici une liste de provocations coupables menées durant ces trois derniers mois contre le parti patriote (locaux et militants).

    Je viens de lire un article sur Boulevard Voltaire qui ne pouvait que me faire réagir. Pascal Célérier, contributeur du site que j’apprécie particulièrement, nous explique que :

    « Désormais, il se pourrait que le vote caché, le vote honteux, ce ne soit plus le vote Front national, devenu aussi « tendance » que son antithèse, le vote Macron, mais bien le vote Fillon. »

    ​‌Par ces mots, il semble croire que toutes les personnes votant Marine le clament expressément. Vous pensez que le vote FN est dédiabolisé ? Permettez-moi de ne pas le croire.

    J’ai passé plus d’un an à collecter, pour un manuscrit sur les « Maudits du système », les multiples cas dont j’ai eu connaissance, où des sympathisants et des militants du FN se sont vus rejetés, insultés et parfois agressés par des militants de gauche ou des racailles manipulés. Pour s’en convaincre, le test est facile à réaliser : combien de citoyens, proches de nos idées, au hasard d’une conversation, se disent d’emblée partisans de Marine ? Certainement une minorité. Ils sont encore nombreux ceux qui ont peur des réactions hostiles, voire violentes, dans un cadre professionnel, familial ou de voisinage.

    Quand les sympathisants des Républicains ou de l’UDI s’expriment, cela n’entraîne contre eux aucune réaction agressive. En revanche, les réactions violentes contre les frontistes sont nombreuses et ne sont pas que verbales.

    Voici une liste de provocations coupables menées durant ces trois derniers mois contre le parti patriote (locaux et militants). Bien entendu, vous n’en avez jamais entendu parler ni à la radio ni sur les chaînes télévisées :

    – Il y a deux jours à Alençon, la permanence du Front national a été incendiée. Le local de 25 m2 a subi des dégâts matériels importants, trois occupants de l’immeuble (selon l’hebdomadaire L’Orne Hebdo), qui abrite également des habitations, ont été légèrement incommodés par les fumées et ont été transportés à l’hôpital. Le procureur d’Alençon a confirmé que le feu était volontaire.

    – Vannes, le 16 février, deux prévenus, âgés de 18 et 19 ans, agressent dans la soirée, pour des raisons politiques, un colleur d’affiche du Front national et le menacent de mort à l’aide d’un pistolet factice (Le Télégramme).

    – Le même 16 Février à 20 h, agression en plein centre de Lille du responsable FNJ et de deux jeunes militants, alors qu’ils collaient des affiches « Lille Bleu Marine » (La Voix du Nord).

    – Le 15 mars, une militante reçoit un coup au visage alors qu’elle collait des affiches près de la gare de Boulogne-sur-Mer. Elle a le nez cassé, son agresseur a pris la fuite.

    – Fin janvier, à Montreuil (93), des militants du Front national sont agressés devant la mairie, l’adjointe au maire EELV s’en réjouit.

    – Enfin, peut-on comparer les concerts de casseroles de quelques militants d’extrême gauche lors des meetings de Fillon avec les véritables scènes d’émeutes de Nantes lors de la réunion de la candidate patriote ? Comment mettre en parallèle de simples accrochages verbaux avec l’attaque de cars de militants frontistes par des bandes armées et cagoulées ?

    Non, Monsieur Célérier, s’il y a un vote caché, ce n’est pas celui des « fillonistes » mais celui d’un nombre non négligeable d’électeurs de Marine qui, par crainte d’être montrés du doigt, ne s’expriment malheureusement que dans les urnes.

    http://www.bvoltaire.fr/dediabolisation-fn-nest-gagne-preuve-faits/