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  • La loi de censure est prête

    6a00d83451619c69e201b8d2d99ed7970c-800wi.jpgAnnoncé par Emmanuel Macron lors des vœux à la presse, «le texte de loi est quasiment prêt»assure-t-on au ministère de la Culture. Le cabinet de Françoise Nyssen y travaille depuis le mois de septembre. Il sera présenté dans les prochains jours, sous la forme d’une proposition de loi, par un député de la majorité sous le nom de «loi de fiabilité et de confiance de l’information»...

    Le texte ne consistera pas en une simple modification de la loi de juillet 1881. Au ministère de la culture, on ne cache pas l'idée qu'il s'agit de censurer le numérique et cet espace de liberté qu'est internet, afin de favoriser le monopole des médias subventionnés :

     «Notre sujet n’est pas de définir ce qu’est une fausse nouvelle. Le vrai sujet est l’univers, les tuyaux, les canaux de diffusion des fausses nouvelles aujourd’hui».

    Deux «vecteurs» sont ciblés : «le numérique au sens large», notamment les réseaux sociaux (Facebook) et les sites de partage de vidéo (Youtube), ainsi que «les médias sous influence d’un Etat étranger» (comme RT ou Sputnik).

    La proposition de loi contiendra trois grandes dispositions :

    • La première, dans le champ de l’audiovisuel, permettra au Conseil supérieur de l’audiovisuel (CSA) de «suspendre», voire de «révoquer» la convention d’un média sous influence d’un Etat étranger dont l’autorité indépendante jugerait qu’il propage une fausse nouvelle. Et un média sous influence de l'Etat français ?...
    • La deuxième disposition concernera les plateformes numériques. Facebook, Twitter et autres Youtube seront dans l’obligation de publier par qui et pour quel montant les «contenus d’information» dits «sponsorisés» l’ont été. Et le montant des subventions à la presse ?
    • La troisième disposition vise à armer le droit d’un outil législatif permettant de saisir un juge des référés «pour faire cesser la diffusion massive et artificielle d’une fausse nouvelle». C’est à ce juge qu’il reviendra de qualifier qu’une nouvelle est fausse... 

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Zoom - Gilles Lebreton : Avec le FN pour la liberté d'expression

  • Viktor Orbán tient bon sur l’immigration

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    Le Premier ministre belge Charles Michel a commencé les hostilités en affirmant que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accueillir des demandeurs d’asile.
    Dans une entrevue accordée au quotidien Le Soir, Charles Michel a évoqué l’envoi d’un ultimatum aux pays refusant d’accepter des immigrants clandestins. En substance, si à l’issue du Conseil Européen de juin aucun accord a été trouvé entre l’Union Européenne et les pays d’Europe centrale alors ces derniers se verraient imposer de force les décisions adoptées lors du Conseil.

    Le président hongrois Viktor Orbán a promis de faire passer les intérêts de la Hongrie avant les demandes de Bruxelles. C’est ainsi que via une vidéo postée sur Facebook il a déclaré :

    Notre gouvernement a pris position. Pour nous la Hongrie passe avant. Nous nous battrons contre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie ainsi que celle de l’Europe.

  • Une crise agricole mise en sourdine - Journal du Lundi 12 Février 2018

  • EN ATTENDANT LE GRAND SOIR

    20007848-23666286.jpgDu bon usage de la modernité. En préambule de cette chronique qui paraîtra le mercredi, il importe d’expliciter son titre générique. Pourquoi attendre le grand soir et faut-il l’attendre ? 

    Depuis le XIXe siècle le Grand Soir incarne le romantisme révolutionnaire, l’attente messianisme du grand changement politique qui met fin soit à l’exploitation et/ou le désordre. Les différentes expériences révolutionnaires et surtout communistes du siècle passé (le XXe) ont malheureusement sonné le glas du Grand Soir même nationaliste… Cela veut-il dire qu’il n’y aura pas un jour une révolution ? Non et nul ne peut l’affirmer. C’est la raison pour laquelle il importe de décrire le monde tel qu’il est, y compris dans sa face sombre, mais aussi de mettre en lumière les espoirs, les petits matins signes de victoire pour nos idées, la France et l’Europe. 
    L’auteur de ces lignes est un adhérent récent du Parti de la France, non pas qu’il ne soit devenu récemment un militant de la cause nationale mais parce que tout simplement après quelques pérégrinations dans la mouvance nationale et nationaliste il était devenu un « mariniste » de raison depuis 2011-2012. Certes, j’avais vu et lu les critiques formulées par Carl Lang et les autres cadres du PdF envers Marine Le Pen, mais la fille de Jean-Marie Le Pen semblait incarner une certaine modernisation nécessaire du combat national, du moins du combat électoral. Les avancées et les victoires jusqu’aux régionales de 2015 incitaient à suivre MLP et le FN malgré des réticences de plus en plus pesantes notamment dès 2015-2016 que ce soit sur l’abandon des fondamentaux identitaires, l’obsession à coller Mélenchon à abandonner une vraie justice sociale au nom d’un socialisme des années 70 mal dégrossi. C’est ainsi que je faisais remarquer à des militants actifs de la campagne présidentielle de MLP que le slogan « la France apaisée » sans mention FN ou nom de MLP ne voulait rien dire, surtout après les attentats de 2015, et qu’il était sidérant et surtout révoltant de voir Mélenchon adopter le slogan parfait : la France insoumise, associé à un code couleur très tricolore… Et là on me répond que cette campagne (la France apaisée) n’est pas pour moi, ou ceux qui pensent comme moi… Donc au premier tour le FN et sa candidate ne veulent pas/plus attirer le socle historique d’électeurs et de militants nationaux… On connaît la suite… 
    Mais le pire n’est même pas les résultats de 2017 mais ce qu’est le FN et sa présidente depuis la rentrée, un mouvement incapable de rebondir, de devenir une force dynamique, de passer outre les résultats de 2017, qui pourtant pourraient constituer un excellent socle de relance : 7 députés, un score non négligeable au second tour, la preuve donc qu’une part importante de nos compatriotes veut résister à l’offensive mondialiste… Mais non c’est la grande déprime, le grand silence et pis les sempiternelles combinaisons, aigreurs, jalousies, mises sur la place publique, à tel point que des alliés comme Dupont-Aignan refusent de faire liste commune avec le FN pour les élections européennes. Sans parler du grand n’importe quoi quant à l’éventuelle, future, hypothétique tête de liste du FN qui n’a de cesse d’aller draguer des figures de droite, comme si sa présidente n’existait plus… Présidente qui se singularise par une absence sidérante sur le terrain, par exemple à Calais, alors qu’elle est député du Pas-de-Calais. A croire qu’elle a rendu les armes, sans vraiment l’avouer. A croire qu’ils attendent tous un coup de baguette magique lors du congrès de Lille, comme s’ils n’avaient pas compris que c’est à eux de créer l’envie, la dynamique, la volonté d’agir… Et ce dès maintenant… 
    Quel est le rapport avec la modernité comme l’indique le titre de cette première chronique et le fait de rejoindre le PdF après, malgré ce « marinisme » de raison ? La raison est fort simple : je fus et je reste mégrétiste, notamment parce que Mégret avait su insuffler une modernisation et une professionnalisation du mouvement national avant la délétère crise de 1998, professionnalisation qui n’a rien à voir avec l’imbécile « dédiabolisation » qui n’est qu’une façon de donner la primauté aux médias, à leur slogan leur mot d’ordre et ce n’est jamais assez… Cette volonté d’inscrire le mouvement national dans le réel, au sein du peuple, de ses aspirations, ses inquiétudes, ses peurs, mais aussi et surtout ses espoirs je l’avais trouvée chez Mégret, je la retrouve au PdF et avec Carl Lang, surtout parce que le PdF est fidèle aux valeurs de la droite nationale, à son histoire, car le PdF est un mouvement qui met le militantisme et les militants en première ligne, loin des courtisans… Et la fidélité aux valeurs de la droite nationale c’est un facteur de réussite et de victoires futures. Pour preuve le score réalisé par Huguette François lors de la législative partielle du Val d’Oise, mais surtout par le fait que les candidats du FN ont fait malgré tout un bon score parce que c’était encore le FN… 
    Alors gardons espoir, l’aventure ne fait que commencer 
    Arnaud Malnuit 

    https://www.parti-de-la-france.fr/En-attendant-le-grand-soir_a3846.html

  • Nouvelle campagne anti-Soros – La Hongrie ne veut pas devenir l’Afrique

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    Hongrie – Une nouvelle fois, le gouvernement lance une campagne nationale pour dénoncer les nuisances orchestrées par le milliardaire mondialiste George Soros que l’on retrouve derrière le financement de nombreuses ONG facilitant l’immigration vers l’Europe.

    Cette campagne très présente dans les rues des grandes villes hongroises, se déroule au moment où le gouvernement prend également de nouvelles mesures pour contrer toute association ou fondation, établie et enregistrée en Hongrie, qui parraine l’entrée, la réinstallation ou la résidence illégales d’un ressortissant étranger.

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  • Victoire des habitants du Mené contre l’implantation d’immigrants

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    FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Les habitants du Mené, commune nouvelle des Côtes d’Armor, étaient hostiles au projet d’accueil groupé d’immigrants dans l’ancienne maison de retraite des Camélias à Langourla. Le maire, Jacky Aignel, a voulu imposé une solution de « rattrapage », en proposant de répartir les immigrants dans les sept anciennes communes formant Le Mené.
    À la majorité, les élus municipaux ont rejeté cette proposition jugée farfelue, qui laissaient même les services préfectoraux dubitatifs.

    Les habitants n’étaient en effet pas désireux de voir des immigrants s’implanter dans leur commune. Les élus municipaux l’ont bien compris et n’ont pas voulu voter un projet facteur de divisions et porteur de risques. Heureusement, ils ont pu voter à bulletin secret, ce qui les a mis à l’abri des pressions.
    Ronan Le Gall, porte-parole du parti nationaliste breton, s’est félicité de l’abandon du projet

    Il complimente l’engagement des riverains pour contrer le projet : « Leur courage doit maintenant servir d’exemple partout pour contrer les projets fous d’associations toujours plus subventionnées par l’argent public. »

    Désormais, la pression va retomber d’un cran sur cette commune de 5 000 âmes, et notamment à Langourla, un peu plus de 500 âmes. Le cours des choses va pouvoir reprendre.

    https://fr.novopress.info/