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  • Débarquement des migrants de l’Aquarius : l’Espagne dit « non »

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    Si l’Aquarius avec à son bord 141 « migrants » fait à nouveau cap vers la bien-pensante Espagne qui lui avait ouvert ses ports il y a deux mois, l’Espagne elle a changé de cap dans sa politique d’accueil des migrants. Après l’euphorie, voici venir le temps de la grosse déprime…

    Depuis vendredi dernier le bateau Aquarius vogue donc sans but portuaire, le pays des Ibères ne l’invitant pas comme par le passé récent à accoster dans une de ses villes méditerranéennes. Open Arms, l’ONG espagnole propriétaire du navire, a lancé un appel dramatique aux autorités bruxelloises afin qu’elles interviennent pour qu’un port lui soit ouvert mais cette fois-ci Madrid a fait la sourde oreille. Un signe tangible que le premier ministre espagnol, le socialiste Sanchez, rattrapé par la réalité de l’invasion migratoire et du ras-le-bol de ses concitoyens, est décidé a changé sa politique de l’accueil radical, en s‘alignant sur la fermeté de l’Italie, qui fut accusée pourtant il y a un mois par ce même Sanchez, à l’unisson avec Macron, « de manque de solidarité et d’insensibilité » pour avoir refusé les 600 clandestins de l’Aquarius.

    Ainsi, si la commune de Barcelone, toujours inspirée pour s’opposer au gouvernement madrilène, s’est offerte à accueillir les nouveaux migrants de l’Aquarius, Madrid s’y oppose en arguant que « l’Espagne n’est pas le port le plus sûr selon la loi ». Un dur bras de fer s’amorce entre la ville catalane aux velléités d’indépendance et l’exécutif espagnol. « Même dans ce cas nous nous offrons pour recevoir les migrants » a répliqué le vice-maire de Barcelone délégué aux droits sociaux, Laia Ortiz. Elle a en outre insisté pour que des permis temporaires pour le travail soient concédés aux clandestins.

    En attendant, Malte et l’Italie ont refusé au bateau d’accoster chez eux. SOS Méditerranée et Médecins sans Frontières ont faits avoir par twitter :

    « Les autorités maritimes de Malte et de l’Italie ont informé le bateau Aquarius qu’elles ne concéderont pas un lieu sûr de débarquement aux 140 personnes à bord. Nous avons rejoint une position de stanby exactement entre Malte et l’Italie. Nous restons en attente d’ultérieures indications. »

    La fermeté de l’Italie et de son ministre de l’Intérieur Matteo Salvini fait de émules pour le plus grand dam du business lucratif du trafic d’êtres humains et de l’humanitarisme mondialiste.

    Francesca de Villasmundo

    http://www.medias-presse.info/debarquement-des-migrants-de-laquarius-lespagne-dit-non/96554/

  • Meurtre d’Adrien Perez : il faut qu’éclate la juste colère des Français

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    Un communiqué de Romain Espino (Génération identitaire) :

    Le 29 juillet dernier, Adrien Pérez est poignardé à mort par deux racailles en Isère : les frères Younes et Yanis El Habib. Samedi dernier, nous étions 150 jeunes identitaires à demander justice pour Adrien devant le tribunal de Grenoble.

    Encore une fois, c’est un jeune Français qui est mort pour « une cigarette refusée ou un regard de travers », comme nous le dénoncions déjà dans la Déclaration de Guerre de Génération identitaire en 2012. Quelques jours après, en Meurthe-et-Moselle, c’est un autre jeune homme fêtant ses 30 ans qui a été égorgé et qui se trouve aujourd’hui en état de mort cérébral. Dans les deux cas, les jeunes hommes ont payé de leur vie leur intervention pour protéger un ami ou une fiancée.

    Un silence médiatique assourdissant entoure le meurtre d’Adrien Pérez. Lorsque l’on sait tout le raffut qui a été fait autour de l’affaire Théo, cette différence questionne sur l’émotion à géométrie variable qui règne au sein de la classe journalistique.

    C’est sans doute que, contrairement à elle, nous nous sommes déjà tous interposés entre une racaille et sa proie. Nous savons très bien qui agresse qui dans la vraie vie. D’ailleurs, la mère d’Adrien Pérez l’a dit et les bien-pensants ne le supportent pas : « nos enfants se font assassiner et toujours par les mêmes ! »

    Cette racaille nous la connaissons par cœur parce que nous avons grandi avec elle. Nous l’avons fréquentée, malgré nous, dans les collèges et les lycées, dans les transports en commun, ou bien le soir venu dans les fêtes où elle s’incruste et les rues qu’elle écume. Cette racaille, c’est celle qui parle toujours de respect, mais qui n’attaque jamais à moins de trois contre un, qui s’en prend aux plus faibles. Nous n’avons pas besoin de sociologues de seconde zone qui nous expliquent que Younes et Yanis avaient subi plusieurs difficultés sociales, des problèmes familiaux ou n’allaient plus à l’école. Les racailles n’ont pas besoin d’excuses, leur haine n’est pas la responsabilité de la société. Elles nous haïssent pour ce que nous sommes et notre vie n’a pas d’importance à leurs yeux.

    C’est pour cette raison que depuis sa création, Génération Identitaire se présente comme un mouvement anti-racaille. Loin d’être un simple slogan, défendre les « gwers » ou les « babtous », comme ils nous appellent, constitue l’ADN même de notre mouvement de jeunesse.

    Nous avons sécurisé des métros dans les grandes villes de France, nous avons donné des cours d’autodéfense gratuits, nous avons distribué des bombes lacrymogènes aux jeunes femmes lors d’actions de sensibilisation. Nous avons fait prendre conscience aux nôtres qu’ils pouvaient et avaient le droit de se défendre et d’être solidaires.

    Chaque Français qui tombe ne doit surtout pas être oublié. Mais ces morts aussi tragiques et douloureuses soient-elles ne doivent pas uniquement laisser place à l’émotion légitime qu’elles provoquent. Comme le dit Gilles-William Goldnadel : « entre les marches blanches avec bougies victimaires et les saccages, il devrait désormais exister un juste milieu pour la juste colère. »

    Cette colère est indispensable pour que notre peuple réapprenne à réagir en situation d’agression, réapprenne la solidarité et surtout tire les conclusions politiques de ces meurtres et de toutes les violences dont sont victimes aujourd’hui les jeunes Français.

    Source cliquez ici 

  • Les Bestofes – Le Journal (2ème Partie)

    Chaque soir, vous êtes nombreux à regarder le Journal de la rédaction de TV Libertés. Après une année riche en actualité, la chaîne a réuni les meilleurs sujets réalisés au cours de la saison 2017-2018… et il y en a pour tous les goûts.

    Lien Rutube :

    Pour revoir la première partie du bestofe du Journal Télévisé, cliquez ici

    https://www.tvlibertes.com/2018/08/13/24626/bestofes-journal-2eme-partie

  • Coup de gueule d’un internaute – Flagrant délit de mensonges dans le journal de France 2

    Un internaute a fait part de son indignation sur les réseaux sociaux au sujet d’un exemple de manipulation par l’image pratiquée par la rédaction de France 2 durant le JT de 20h du vendredi 10 août 2018.

    Voici le message posté :

    Un beau flagrant délit de fake news en direct. Hier soir, 20h23, journal de France 2, Valerie Astruc présente un petit reportage sur les vacances des chefs d’état étrangers et commence par Vladimir Poutine. Elle parle explicitement de « chasse au tigre », ce qui ne manquerait pas de révolter tous les amoureux de la nature.

    On voit M. Poutine poser à côté d’un tigre couché. Le problème c’est que c’est faux. Il s’agit d’images de 2008 quand le président russe avait participé à la réintroduction d’un tigre de Sibérie, une espèce protégée, dans son milieu naturel. Sur l’extrait que j’ai repris de France 2, on notera d’ailleurs, sur le tigre, le collier… Nullement question de « chasse », Mme Valerie Astruc.

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  • Manuel Valls, les intellectuels et l'inculture triomphante

    Plus de trente ans après Max Gallo, Manuel Valls se plaint du silence des intellectuels. Pour Vincent Trémolet de Villers les politiques ne les lisent pas et les utilisent comme des outils de communication. 
    On ne devrait jamais imiter Mitterrand. François Hollande n'est pas Tonton et Manuel Valls n'est pas Max Gallo. En 1983, l'historien, alors porte-parole du gouvernement, publiait à la fin du mois de juillet une tribune de très bonne facture dans Le Monde : «Les intellectuels, la politique et la modernité.» Il y déplorait l'abandon par la gauche de la bataille des idées et le silence des penseurs et des philosophes retirés «sur l'Aventin». Le 5 mars dernier, Manuel Valls lançait à son tour «Où sont les intellectuels ? Où sont les grandes consciences de ce pays, les hommes, les femmes de culture qui doivent monter eux aussi au créneau ? Où est la gauche ?» C'est le même qui, pourtant, rejetait dans les rayons de l'enfer un essayiste, un romancier et un philosophe dont les œuvres cristallisent une large partie des angoisses contemporaines et qui à eux trois vendent des centaines de milliers de livres. Le Suicide français, d'Éric Zemmour, selon Manuel Valls, ne méritait pas d'être lu. La France ça n'est pas «celle de Houellebecq» a-t-il affirmé. Enfin, il s'est embrouillé dans ses fiches, sur Europe 1, en estampillant, malgré lui, Bernard-Henri Lévy comme penseur officiel du régime et en tatouant sur le bras de Michel Onfray le signe infâmant de l'extrême droite.
    Si l'on comprend bien le Premier ministre, le silence des intellectuels est révoltant quand ils sont issus de la gauche morale mais impératif quand ils ont emprunté d'autres chemins. Pour savoir qui doit parler et qui doit se taire, s'adresser à l'hôtel Matignon. Cette approche enfantine illustre la place qu'ont véritablement les intellectuels dans l'esprit du gouvernement (et disons-le de la plus grande part de la droite) : des pions noirs ou blancs que des communicants, plus ou moins incultes, placent sur le damier. L'ouvrage de François Bazin, Les Ombres d'un président (Plon), détaille avec cruauté cette paresse et cette indifférence chez François Hollande. 
    La littérature et la vie de l'esprit établissent pourtant des liens indestructibles entre l'homme public et la population. Plus encore que la séance du marché le samedi matin, la lecture de Balzac expose toutes les nuances de l'âme humaine et de l'ambition, celle de Proust des vanités sociales et des intermittences du cœur. Les Particules élémentaires ou Soumission offrent un tableau de la classe moyenne que les sociologues mettront dix ans à établir dans leurs rapports. Mais ceux qui nous gouvernent ou souhaiteraient le faire considèrent le livre comme un meuble. L'ornement secondaire d'une ambition accomplie. Le chef de l'État assume son ignorance et se fait prendre en photo, sourire ravi, avec L'Histoire de France pour les Nuls. Manuel Valls ne sait pas qui est Hélie de Saint Marc, Fleur Pellerin se fout de Modiano, Frédéric Lefebvre confond Zadig et Voltaire, Nicolas Sarkozy s'est longtemps demandé à quoi pouvait bien servir La Princesse de Clèves
    Les journalistes, reconnaissons-le, ne sont pas en reste. Ils classent eux aussi les auteurs chez les blancs ou chez les noirs sans même prendre la peine d'ouvrir leur livre. Christophe Guilluy, géographe de gauche qui ne cesse d'essai en essai d'établir les causes de la dérive identitaire, est qualifié de «pousse» de la droite la plus réactionnaire. L'auteur de L'Insécurité culturelle, Laurent Bouvet, alerte la gauche sur ses impensés : il est renvoyé sur l'autre rive parce qu'il a osé évoquer la crise de l'intégration. L'œuvre d'Alain Finkielkraut, maître de l'inquiétude et de la nuance, est réduite au rang de tract pour le Front national. Leurs noms remplissent les listes noires. Contre eux, le lexique olfactif, «rance», «moisi», est exploité jusqu'à la nausée. Tous sont coupables du même crime : plutôt que de peindre une surréalité heureuse, ils livrent par fragments les peurs et les espérances de l'inconscient collectif. En un mot, ils appellent un chat, un chat. Ce que les sondeurs voient venir, à la veille des élections départementales, ils l'annoncent et le déplorent depuis des années. Ils ne se sont pas contentés de publier des essais et d'attendre «sur l'Aventin». Ils supportent les ricanements, les couleurs criardes des studios de télévision, les comiques pas drôles, les critiques jaloux. En vain. Certes, les politiques les reçoivent, les écoutent, les raccompagnent, leur tapotent l'épaule, mais l'idée ne leur est pas encore venue de jeter un œil sur leurs livres. Pas le temps : le rappeur Joey Starr, fondateur de l'inoubliable Nique ta mère, vient dîner à l'Élysée. 

  • Il faut des accords à droite entre LR, DLF et le RN !

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    Par Ligne droite, rassemblement de Français engagés pour une droite nouvelle 

    L’interdit lancé par l’oligarchie pour empêcher la droite républicaine de passer des accords électoraux avec la droit dite nationale a durablement servi la gauche en fragmentant la droite pourtant majoritaire dans le pays et en neutralisant l’électorat hostile au Système. Aujourd’hui, sur les ruines laissées à droite par l’élection présidentielle, l’annonce d’accords électoraux pour battre la Nouvelle Gauche pourrait amorcer la rénovation de la droite. Ligne droite préconise en tout cas que la droite nouvelle se positionne clairement en faveur de tels accords.

    Accords électoraux FN LR, un tabou jusqu’à présent incontournable

    Depuis que le Front national a émergé sur la scène politique, la question des alliances n’a cessé d’être un sujet de polémique. Instrumentalisée par la gauche, la question a été d’emblée érigée en tabou. L’idée que la droite dite républicaine puisse passer des accords électoraux avec la droite dite nationale a de tout temps été présentée par les tenants du Système comme une grave faute morale. Ceux qui, ponctuellement, se sont risqués à franchir la ligne rouge, notamment lors des régionales de 1998, ont été diabolisés et définitivement marginalisés.

    Un cordon sanitaire au service de la gauche

    Cette frontière infranchissable, encore qualifiée de cordon sanitaire, démontre combien la gauche a toujours été au cœur du Système quand la droite dite républicaine n’était en réalité que tolérée, même si elle se soumettait à la pensée unique. Cet oukase était en effet totalement asymétrique puisqu’au moment même où cet interdit était posé, le parti socialiste de son côté multipliait les accords électoraux avec le parti communiste. Mais, peu importe la contradiction, le tabou sur les alliances a permis à la gauche pendant plusieurs décennies de diviser structurellement une droite qui était en réalité majoritaire parmi les Français. Mieux encore pour le Système, cette règle lui a permis de stériliser l’électorat qui osait s’opposer à lui, transformant le Front national en une espèce de trou noir politique où disparaissaient toutes les voix de ceux dont les opinions n’étaient pas conformes.

    Des partis de droite réticents par manque de réalisme et de pragmatisme

    Au-delà des interdits de l’oligarchie, la question des alliances entre la droite “républicaine” et la droite nationale n’était pas non plus sans soulever des débats de fond à l’intérieur même des partis concernés.

    Du côté des républicains, le sujet mettait en exergue la ligne de fracture qui divise ce parti depuis sa création, une ligne qui sépare les tenants d’un positionnement droitier de ceux qui se réclament du centre et ont toujours été radicalement hostiles à de tels accords. Très proches de la pensée unique, ces derniers étaient à l’origine peu nombreux mais, à mesure que la droite “républicaine” se soumettait au politiquement correct, leur poids n’a cessé d’augmenter au sein de la direction comme parmi les élus du parti.

    Du côté du FN, la réticence à passer des alliances avec la droite dite républicaine n’était paradoxalement pas moindre. Dénonçant à juste raison la soumission de la droite LR au Système, les dirigeants du FN considéraient que rien de positif ne pouvait être réalisé dans le cadre d’une alliance avec ce parti qu’ils plaçaient sur le même plan que les partis de gauche.

    Ligne droite considère que ces deux postures, celle du FN comme celle de LR, sont apolitiques car elles manquent de réalisme et de pragmatisme et servent in fine leurs adversaires communs de la gauche. Dans cet esprit, elle estime que la droite nouvelle doit se positionner clairement comme favorable à des accords électoraux à droite.

    Des accords entre les droites pour battre la Nouvelle Gauche

    De tels accords sont en effet logiques car ils répondent à la réalité de l’antagonisme droite gauche. Or, celui-ci est plus actuel que jamais. D’un côté, la gauche s’est entièrement rénovée pour prendre la forme hégémonique de la Nouvelle Gauche incarnée par M. Macron. Et de l’autre, pour s’opposer à l’idéologie ultralibérale, déconstructiviste et mondialiste de cette Nouvelle Gauche, c’est la droite nouvelle qui devrait s’affirmer. Aussi, dans le contexte de ce nouveau clivage, les accords électoraux à droite deviennent-ils à la fois logiques et nécessaires. Il s’agit en effet de s’entendre avec celui qui est le moins éloigné pour éliminer celui qui est le plus dangereux. Pour battre la Nouvelle Gauche, il est donc naturel que la droite nouvelle se déclare favorable à des accords électoraux avec les autres forces de droite. Des accords qui à ce stade n’ont nullement besoin de porter sur un quelconque programme de gouvernement. L’objectif d’éliminer l’adversaire commun est en lui-même suffisant selon la formule du moindre mal, même si une convergence programmatique pourrait être mise en avant sur quelques points fondamentaux comme la sécurité.

    Pour des accords même purement déclaratoires

    Aujourd’hui, alors que la droite, qu’elle soit nationale ou “républicaine”, est un champ de ruines, cette question doit être posée à nouveau. Ligne droite estime à cet égard que ce n’est pas à la Nouvelle Gauche de trancher de cette question et que la droite LR n’a pas à se soumettre aux diktats du Système. Elle a d’autant moins à le faire que son espace politique, comme l’explique par ailleurs Ligne droite, se situe désormais en dehors du politiquement correct. Quant aux personnalités qui, en son sein, se déclarent résolument hostiles à de tels accords, elles sont pour la plupart idéologiquement ralliées au Système et leur présence freine, voire empêche, la rénovation du parti. En réalité, une déclaration de la direction de LR annonçant qu’elle ne rejette plus l’éventualité d’accords avec le FN pourrait constituer la pierre angulaire de la rénovation du parti et même d’ailleurs de la vie politique française. En montrant ainsi qu’elle se libère des oukazes du Système, la droite LR ne pourrait que gagner en crédibilité auprès de son électorat potentiel.

    De l’autre côté, le FN aurait tout intérêt à se déclarer favorable au principe d’accords électoraux avec la droite dite républicaine. Il y gagnerait en crédibilité et en clarté. Encore faut-il que ce parti se positionne clairement à droite et désigne la Nouvelle Gauche de Macron comme l’ennemi prioritaire.

    Nul ne sait par quel cheminement la droite nouvelle émergera sur la scène publique. Viendra-t-elle d’une rénovation de LR, d’une refondation du FN ou d’une création ex nihilo ? Dans tous les cas, la droite nouvelle devra se positionner clairement comme favorable au principe d’accords électoraux à droite.

    Ligne droite 12/08/2018

    Source : Ligne droite

    Crédit photo : Geralt via Pixabay cco

    https://www.polemia.com/accords-electoraux-droite-lr-dlf-rn-ligne-droite/

  • L'Europe dispendieuse assassine - Nous n'avons pas besoin de tous ces parasites illégitimes !

  • Trump, un an après Charlottesville : « Paix à TOUS les Américains ! ». L'Amérique en est loin... Et nous ?

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    L'an passé, à Charlottesville, les confrontations entre manifestants avaient été violentes

    Hier dimanche, les médias ouvraient leurs flashes d'information sur le rassemblement des « suprémacistes blancs » prévu le soir même à Washington, square La Fayette, face à la Maison Blanche, renouvelant celui qui s'était tenu à Charlottesville l'an dernier à même date, dans un climat de violences dont les images avaient fait le tour du monde. Voici ce que nous avions écrit l'an dernier de cet événement [21.08.2017]. Nous n'avons rien à y changer. Notre conclusion vaut surtout pour la France.  LFAR 

    Dans l'affaire de Charlottesville, Trump, malgré ses volte-face grotesques et erratiques, a tout de même une idée et elle est juste.

    C'est qu'il y a de la violence, de la haine, de l'irrationnel et même du racisme dans les deux camps. Les renvoyer dos à dos fût-il discutable. Car, même s'il est tu, si l'évoquer est inconvenant, le racisme antiblanc est bel et bien une réalité. Aux Amériques, comme ailleurs. Plus qu'ailleurs, bien-sûr. Par surcroît, une forme de racisme antiblancs s'est développée du côté des Blancs eux-mêmes. Là-bas comme ici.

    Nous ne sommes pas assez bons connaisseurs de la politique intérieure américaine pour avoir une appréciation du détail.  

    1973544756.jpgMais il nous paraît évident que la violence et la haine demeurent inscrites au cœur de la société américaine et que l'une et l'autre tiennent, en bonne part, à la toujours problématique coexistence entre Blancs et Noirs. La question raciale que l'on voulait croire résolue aux Etats-Unis ne l'est nullement. Elle traverse l'histoire et la société américaines depuis plus ou moins deux siècles et n'a, comme on l'a proclamé à tort, nullement disparu. On disait le racisme éradiqué, il n'en est rien. On pourrait presque le dire consubstantiel et intrinsèque à la société américaine, ce qui ne semble pas pouvoir être dit, du moins à ce degré, d'aucune nation européenne. 

    2720994725.2.jpgLa décision de retirer la statue du général Lee à Charlottesville n'était pas - la suite l'a montré - un acte d'apaisement mémoriel ni de paix civile... Les anachroniques et allogènes svastikas brandis par des suprémacistes blancs hallucinés n'étaient, non plus, ni pacifiques ni malignes.  

    Ce que nous montrent ces événements est que si l'on veut des peuples paisibles mieux vaut l'homogénéité - culturelle, ethnique et même raciale - que la diversité. Point d'angélisme : cette dernière nourrit les haines détestables et crée des conflits endémiques. 

    La seconde leçon de Charlottesville ce pourrait être que, pour compenser un tant soit peu l'évolution des rapports de force dans le monde, laquelle nous est si défavorable, une certaine dose de « suprémacisme » blanc - dans un sens évidemment tout différent du sens américain : fierté à recouvrer, puissance à reconstruire - ne serait pas inutile. En tout cas pas à l'Europe, peuplée de Blancs, qui, après avoir dirigé les affaires de l'univers, se voit, aujourd'hui, à la fois supplantée dans l’ordre de la puissance et envahie dans l’ordre du peuplement par les autres continents. Ce qui ne semble pas améliorer l'état du monde. Et nous prépare un avenir dangereux. 

    Il y eut sans doute un temps où l'orgueil et l'égoïsme européens furent excessifs. L'Europe en paie le prix. L'excès inverse, celui de la repentance, de la haine de soi, de la soumission à tout ce qui nous est étranger, est bien pire et pourrait nous coûter beaucoup plus cher.

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/

  • La nouvelle politique pro-famille du gouvernement italien

    Interrogé par La Bussola Quotidiana sur la défense de la famille naturelle, Matteo Salvini, chef de La Ligue, vice-Premier ministre du gouvernement italien et ministre de l’Intérieur, répond:

    Nous y travaillons. J’ai demandé un avis au procureur général, et j’ai donné des instructions aux préfets. (…) La semaine dernière, on m’a dit que sur le site du ministère de l'Intérieur, sur le formulaire de demande d’une carte d’identité électronique, il y avait « parent 1 » et « parent 2 ». J’ai fait modifier le site immédiatement, pour restaurer les mentions « père » et « mère ». C’est une petite chose, un petit signe. Mais ce qui est certain est je ferai tout ce qui me sera possible en tant que ministre de l’Intérieur. (...) Si défendre le concept qu'un enfant doit avoir un papa et une maman signifie être un troglodyte, alors je suis fier d'être un troglodyte.

    Il ajoute :

    Le but que je me suis fixé d’ici la fin du mandat est d’introduire le concept de quotient familial afin de récompenser les naissances et le pari sur l’avenir. En attendant, le premier objectif est de soutenir le secteur productif à travers un abaissement des taxes. Si nous sommes déjà en mesure d’aider, par la TVA, les producteurs, les commerçants, les artisans, les petits entrepreneures, c’est un premier pas. Ils sont aussi pères et mères, un euro d’impôt en moins c’est un euro de plus pour les enfants. Certes, ça ne résout pas tout. Le but est de faire du noyau familial un sujet fiscalement reconnu. Mais déjà en 2018 l’objectif est de réduire les impôts pour beaucoup de gens, et cela sera tenu.

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2018/08/la-nouvelle-politique-pro-famille-du-gouvernement-italien.html

  • Grenoble (38) : manifestation identitaire réclamant « Justice pour Adrien »

    Une centaine de jeunes gens venus de plusieurs départements voisins, se sont rejoints aujourd’hui à Grenoble pour se rassembler devant le palais de justice, peu avant midi, sous la bannière « Génération identitaire ».

    Vêtus de t-shirt blancs à l’effigie d’Adrien Perez -ce garçon de 26 ans mortellement poignardé le 29 juillet dernier devant une discothèque de l’agglomération-, les manifestants ont déployé une banderole réclamant « Justice pour Adrien » et ont scandé des slogans « anti racaille ».

    Le Dauphiné Libéré

    http://www.fdesouche.com/1057015-grenoble-38-manifestation-identitaire-pour-reclamer-justice-pour-adrien