Avignon – Vers 11h15, un homme armé d’un couteau a attaqué des policiers en rue en criant “Allah Akbar”. Les policiers menacés ont abattu leur assaillant. Le procureur de la République, Philippe Guémas, se rend sur les lieux.
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Boycott des produits français, cyber-attaques… le monde musulman nous a déclaré la guerre
Alors que le tyran islamiste Erdogan continue de déverser impunément sa bile sur notre pays, le déchaînement de haine anti-française auquel nous assistons depuis plusieurs jours dans ce monde musulman qui ne fait, lui, absolument aucune différence entre « islam » et « islamisme » ne cesse de gagner du terrain, et prend même désormais la forme d’une guerre qui n’ose pas dire son nom. C’est ainsi que, outre le boycott de nos produits déjà officiellement décrété par plusieurs pays musulmans, des dizaines de sites Internet français ont fait l’objet au cours de ces dernières 72 heures de cyber-attaques, accompagnées de messages appelant ouvertement à la décapitation de nos compatriotes et à la destruction de la France.
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Médias, les raisons du silence (texte de 2001)
L'univers des médias serait-il paradoxalement le monde du silence ? Plusieurs raisons expliquent la discrétion des journalistes dans certaines affaires.
« Tout le monde savait », affirmait France-Soir à la Une, dans son numéro du 18 mai. « Dans les rédactions, tout le monde savait pour DSK », confirme le New-York Times. Ce « tout le monde savait », on l'a également entendu - dans une moindre mesure - lorsque deux ex-employées de la mairie de Draveil ont accusé Georges Tron, maire de cette ville et secrétaire d'Etat à la Fonction publique, d'avoir abusé d'elles puis lorsque Luc Ferry a fait état de relations pédophiles qu'un ancien ministre français aurait eues avec des mineurs au Maroc. Mais qui est « tout le monde » et que savait-on exactement ?
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Marion Maréchal réagit aux attentats : “Nous sommes en guerre mais pas contre un virus”
Clair et limpide. Très bonne analyse sur la notion d’Etat de droit :
https://www.lesalonbeige.fr/marion-marechal-reagit-aux-attentats/
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Réinventer l'identité nationale, l’éditorial de François Marcilhac.
L’horreur de l’actualité ne doit pas nous interdire de « savoir raison garder » selon la belle devise des rois de France. Car, devant cette convergence des luttes que la France doit assumer, en matière de politique intérieure et de politique extérieure, il convient de définir une politique de renaissance nationale.
Cette convergence des luttes où la sécurité de la nation doit se décliner à la fois au plan intérieur et au plan diplomatique, voire militaire, est en effet le fruit de près de cinq décennies d’une politique aberrante en matière d’immigration. Et bientôt, c’est d’un nouvel Alexandre que la France aura besoin pour trancher le nœud gordien que, conjuguant leurs efforts, nos élites économiques, politiques, judiciaires, administratives, médiatiques, culturelles, auront formé, aussi méthodiquement que follement et cela, sans que jamais le peuple français ait été consulté. Car la situation actuelle est bien le fruit d’une politique déterminée, préméditée, au plan mondial – nul besoin d’y voir un complot : la convergence des idéologies et des intérêts suffit – et, par répercussion aux plans européen et national.
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La lettre de cachet, symbole erroné de l'arbitraire royal
La propagande révolutionnaire a fait des lettres de cachet un symbole de l'arbitraire royal. Un livre revient sur cette légende noire.
Symbole de l'absolutisme, les lettres de cachet ont disparu au moment de la révolution française. Pourtant, celui qui consulte les sources de l'époque est étonné de la quasi-absence du roi dans la signature de ces fameuses lettres qui vous embastillaient pour une durée généralement indéterminée… Certes, les cas de Fouquet ou de Condé sont bien connus, mais après ? L'historien Claude Quétel, pourfendeur de la fausse légende de la Bastille, s'attaque ici à un autre mythe révolutionnaire, celui de ces lettres considérées longtemps comme un « instrument de répression aveugle et totalement injuste ». Dans une étude passionnante aux accents d'enquête policière, l'auteur nous invite à lever le voile sur cette légende noire, en nous faisant découvrir tous les aspects de cette procédure « judiciaire » propre à la monarchie française des temps modernes.
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Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» (Vidéo)
Eric Zemmour : « En reconfinant, on nous mène à la mort économique (…) La politique d’un pays est défini par l’engorgement des hôpitaux…» Retrouvez l’émission face à l’info du 28 octobre 2020.
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POURQUOI VONT-ILS NOUS RECONFINER ? La vraie raison...
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Une candidate de Secret Story (TF1) contrainte d’avorter
Les féministes et les pro-avortement nient pourtant que certains avortements sont le produit d’une contrainte morale sur des femmes. Voici une preuve terrible :
Benjamin Castaldi est mieux placé pour parler des coulisses de Secret Story (…) Comme l’a révélé ce dernier, une candidate enceinte lors du tournage de ce programme avait été persuadée par certains membres de l’équipe production d’avorter (…)
Une candidate avait été contrainte par certains membres de l’équipe de production à éliminer sa grossesse via la consommation d’une pilule abortive (…) le présentateur de C8 a donc fait allusion à une affaire d’avortement forcé dans Secret Story. Même si Benjamin Castaldi semblait n’avoir pas souvenance de cet événement, il a néanmoins dit avoir été contre le fait de faire avaler une pilule abortive à une candidate de cette émission.
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Albert Camus l'indompté
Au terme de l'année Camus, on constate que si beaucoup a été dit, des points sont restés largement dans l'ombre. Au cœur des écrits de Camus se trouvent le choc des cultures, les violences des sociétés multi-ethniques, le face à face entre l'Islam et les Européens. Redécouvrons Camus. L'envers et l'endroit, pour reprendre le titre de son premier livre.
Philosophe, écrivain, journaliste. Camus était tout cela. Un journaliste devait être selon lui « un écrivain au jour le jour ». Dans ses textes, qu'il s'agisse de reportage comme « La misère en Kabylie » dans Alger républicain, ou dans ses éditoriaux Camus hésite souvent entre le je et le nous. Il n'y a là rien d'anodin. La tragédie est individuelle (L'étranger), la révolte est collective. On a beaucoup ricané de Camus et son rapport à la politique. « Belle âme », a-t-on entendu. « Philosophe pour classe terminale ».