
Certes, pauvres de nous, nous ne votons pas aux élections présidentielles américaines. Mais celles-ci nous concernent car la France et l’Europe sont embarquées, de gré ou de force, dans le grand pandémonium occidental. Trump ou Harris, les États-Unis défendront toujours leurs intérêts de puissance impériale. Mais, Trump ou Harris, deux visions s’affronteront sur la guerre et la paix, l’ouverture ou le contrôle des frontières, le délire wokiste ou le réalisme conservateur, la censure ou la liberté d’expression. Harris part avec un avantage. Mais tout n’est pas joué.






