
« La Russie a un plan. » Les médias ont annoncé de mauvaises nouvelles à l'Ukraine.

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Dans le box de cette salle d’audience du tribunal de Paris ce mardi, le violeur présumé de 34 ans, sweat gris et cheveux ras nie mais rien n’y fait : il est maintenu en détention par la chambre de l’instruction. Il est soupçonné d’avoir, en avril 2024 dans le XXe arrondissement de la capitale, abusé d’une femme vulnérable, âgée de 79 ans, chez qui il avait été invité à entrer. « Moi, je n’ai pas violé cette dame », assure ce mécanicien d’origine algérienne qui vit sans papiers en France depuis neuf ans.

L’Europe en paie le prix alors qu’elle menace une escalade encore plus grande avec la Russie, risquant une guerre impensable. Le problème, c’est que la Russie détient toutes les cartes, et Poutine vient de transformer ces menaces de guerre en son plus grand succès.

Nos très chers experts de plateaux télévisés, en France, ont pris l’habitude de prendre leurs désirs pour des réalités. Ce n’est pas qu’ils sont simplement mauvais, mais qu’en plus, ils croient à la faculté imaginaire que leurs discours, répétés en boucle, pourraient changer les réalités. Il faut une bonne dose de bêtise tout de même pour en arriver là et y croire encore. Après le Covid, l’Ukraine, Gaza, Meloni, les voilà qui ont pratiqué la méthode Coué avec les législatives de mi-mandat en Argentine, s’imaginant encore une fois que leurs « analyses » allaient produire un résultat conforme à leur souhait et que leurs auditeurs allaient tout gober. Seulement, on n’est pas en France et les candidats ne perdent pas des milliers voix en direct à la télévision, c’est à dire que les votes sont conformes aux suffrages de la population. Les valeureux « spécialistes » nous promettaient la déroute Milei, le président « d’extrême droite », qui tout comme Meloni, plus proche de nous et pour les mêmes raisons, devait se planter. Résultat : une victoire éclatante et une opposition laminée. Milei passe de 37 à 101 députés au parlement et de 6 à 20 sénateurs. Quand on est « analyste » et qu’on décrit le monde comme on voudrait qu’il soit et pas comme il est réellement, on passe pour une bille, ce qui n’empêche pas les intéressés, gamelle après gamelle, d’arborer encore des airs sérieux et définitifs.