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Les Alsaciens rejettent le projet européiste de fusion
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Aude Mirkovic est maître de conférences en droit privé, auteur de l’essai Mariage des personnes de même sexe. La controverse juridique (Téqui, 2013).
Théophane Le Méné : Le projet de loi instaurant le « mariage pour tous » a été adopté par l’Assemblée nationale.
Il est examiné depuis hier au Sénat, où il a toutes les chances d’être voté. N’est-ce pas antidémocratique de s’opposer au jugement des parlementaires ?
Aude Mirkovic : Antidémocratique ? Au contraire, les parlementaires ne font que représenter le peuple. Il est donc tout à fait démocratique que le peuple se fasse entendre de ses représentants, et tout à fait anormal que les représentants l’ignorent et refusent de l’écouter. Et puis, de toute façon, les parlementaires votent finalement ce qu’ils veulent. Ce qui est bel et bien anti-démocratique, en revanche, c’est la consigne de vote que subissent les députés et sénateurs socialistes, qui met sur eux une pression de nature à les priver de leur liberté, et à les empêcher de représenter le peuple pour obéir à des consignes partisanes. Quelques uns, courageux, ont annoncé qu’ils voteraient contre ce texte, ce qui est parfaitement logique car la gauche authentique ne devrait pas cautionner une vision libertaire de la famille qui sacrifie les intérêts des plus faibles, les enfants, aux désirs d’adultes qui se paient à l’étranger des enfants privés de père ou de mère, selon les cas, avant d’exiger leur fabrication ici, en France. La parenté de même sexe instrumentalise les enfants pour réaliser les désirs dont ils sont l’objet, elle est anti-écolo, c’est incompréhensible qu’elle soit promue par la gauche, et les parlementaires soucieux de protéger l’humain contre la loi du marché devraient se réveiller. [...]
La suite sur Causeur
WASHINGTON (NOVOpress) - Fabrice Robert, le président du Bloc identitaire, effectue, depuis vendredi 5 avril et jusqu’au mercredi 10 avril 2013, une tournée de conférences et de rencontres aux États-Unis.
Les deux parties importantes du voyage sont la participation de Fabrice Robert au congrès du think tank de défense des Euro-Américains American Renaissance à Nashville (Tennessee), qui a eu lieu de vendredi jusqu’à aujourd’hui – Fabrice Robert est intervenu sur le thème du réveil européen – et une conférence de presse organisée au sein de la capitale fédérale des États-Unis, Washington.
Cet article a été publié par Le Point, le 07 juillet 2010 sous le titre : « Sarkozy doit changer de gouvernement ou dissoudre l'Assemblée, selon Cahuzac (PS) ». Cela faisait déjà 18 ans qu’il fraudait le fisc !
Vous ai-je déjà dit à quel point la lecture du magazine « Réfléchir & Agir » était non seulement incontournable, mais carrément vitalobligatoire ? (Néologisme de mon cru, se prononçant avec un très léger temps d’arrêt au milieu du mot – vitalo… bligatoire – afin d’en renforcer l’impact !). Non !?!??
Et bien je répare l’erreur : c’est purement incontournable… et vitalobligatoire !!!
Alors hop…
Pour s’abonner, trouver la liste des dealers, etc.
C'est ici > http://www.reflechiretagir.com/
Réfléchir et Agir N°43 ( actuellement en kiosque ! )
Entretien avec Jean-Paul Bourre / extrait.
R&A : Dans votre dernier livre, il y a un très beau passage où vous dites que vous regardez les films de Carné, Audiard ou Verneuil, non plus pour leurs intrigues archiconnues mais pour leurs décors, tous ces détails qui fleurent bon la France d’avant (hélas). Je vous cite : « Le boucher porte le crayon à l’oreille. Il n’a pas encore de calculatrice. Il prend le temps de compter et de bavarder et on le voit à l’écran découper sa viande, la soupeser amoureusement, la faire goûter des yeux à ses clients ». Pouvez-vous expliquer ces charnelles madeleines de Proust à nos lecteurs…
Jean-Paul Bourre : C’est assez simple. La vérité, c’est que j’ai connu cette France des années cinquante, qu’on a du mal à imaginer aujourd’hui. Moins de monde dans les rues, des artisans, des atmosphères de bistrots, comme dans les villages, quand les quartiers de Paris avaient encore une âme. Le communautarisme n’avait pas encore été inventé. Il y avait la communauté des Français, c’est tout ; avec leurs musiques, les chansons populaires qui passaient à la radio, les films au cinéma, et qui exprimait parfaitement bien l’identité de cette époque, sans que le nom soit prononcé. C’était pas la peine. Toute la France respirait la même atmosphère, ce qui créait une sorte de lien entre les gens, une proximité. C’est une Atlantide oubliée aujourd’hui. Il reste toujours les films devenus « classiques du cinéma français » pour se souvenir.
L’affaire Cahuzac ne peut étonner que les naïfs ou les gogos pour la bonne raison que c’est le système lui-même qui se charge d’instruire les escrocs. Et puis, à côté des casseroles de Chirac, Cahuzac est un gagne petit et ne fait jamais partie que de la longue liste des élus pris la main dans le sac, toujours en liberté quand ils ne sont pas carrément réélus.
Tenez, en ce moment, ça chauffe pour Jean-Noël Guérini, toujours président du conseil général des Bouches-du-Rhône – ce qui est quand même un comble – qui a, semble-t-il, largement servi ses intérêts mais aussi – et grassement – ceux de son frangin. Hormis un Montebourg, personne ne l’a sommé de démissionner, surtout pas la rue de Solférino et encore moins la mère Aubry dont il avait servi les intérêts quand elle dirigeait le parti.
Combien d’élus, arrivés avec une valise en carton sont repartis avec un joli patrimoine ?
Le côté marrant de l’affaire Cahuzac, c’est qu’il était aux finances depuis longtemps et qu’il donnait des leçons de bonne conduite à tout le monde alors qu’il n’était jamais qu’un petit escroc (le mot est un mot fort, car après tout, c'était son pognon qu'il planquait) parmi d’autres. Et Hollande qui nous joue les vierges effarouchées ! Lui aussi, parti de rien et qui n’a jamais bossé d’ailleurs, est à la tête d’un joli patrimoine (avec Ségolène, il est vrai, autre branleuse professionnelle). Sur le fond, c’est le système qui veut ça puisqu’en démocratie, on sert d’abord son clan et que l’on profite du pouvoir pour le faire prospérer. Les intérêts de la nation viennent après. Fatal donc que les mecs mettent les deux mains dans le pot de confiture. Ledit pot qui n’est jamais que la cagnotte du contribuable.
Pas étonnant, dès lors, qu’ils veuillent tous faire de la politique, c’est quand même moins fatigant que de bosser à Florange. Le problème est que cette classe politique est un repère d’incompétents, surtout depuis que ces couilles molles d’énarques s’en sont mêlées. Tout ce petit monde a perdu ses repaires.
Quelle vision a le sieur Hollande de la France, de l’Europe, du monde ? Aucune. Est-il au fait des problèmes des Français en matière d’insécurité, d’immigration ? Guère plus. En revanche, il s’amuse à foutre le bazar dans la société avec son mariage pour tous, d’envoyer valdinguer le socialisme (paraît que ça existe quand même) pour donner à fond dans l’américano-libéralisme. L’avenir ? Quel avenir ? Quel avenir quand, comme sous Chirac ou Sarko, on ne fait que coller des rustines en espérant, bon an mal an, que le système tiendra encore un bon bout de temps faute d'avoir d’autres solutions à proposer.
La seule annonce qui nous a bien fait rigoler, c’est l’application de la taxe de 75% aux footeux dont on espère qu’ils vont tous se barrer. On n’a rien à foutre de cette bande de débiles au QI James bondesque (007).
Que pourrait-on inventer qui fasse se barrer la classe politique ?
Emmanuel Ratier - Révélations suite à l'affaire... par Homme-Mayonnaise
Très intéressante émission de Ratier qui révèle toute la nébuleuse qui gravite autour de Cahuzac et la parfaite porosité existant entre le PS et l’UMP. Comment se fait-il également que la déclaration fiscale de Hollande et de sa concubine ne soit pas commune, contrairement à ce que demande la législation française ? Nous est également expliqué le rôle que joue Plenel. L’homme n’a rien d’un journaliste d’investigation, il se tient au cœur d’un réseau ( magistrats, homme politique, CIA) qui fait remonter vers lui des documents, des pièces à charge dans le cadre d’opérations de déstabilisation dont il n’est qu’un rouage.
Dans leur livre, La Face Cachée du Monde, Pierre Péan et Philippe Cohen rappellent que Plenel ( alias Krasny du temps où il était trotskyste affiché dans les années 70) a été dénoncé par François Mitterrand comme un agent à la solde des Usa sans que jamais Plenel ne le conteste. « Il faudra tout de même qu’on sache qui est vraiment ce monsieur Plenel. (…) Il parlera moins haut quand on saura qu’il travaille pour une puissance étrangère »( propos de François Mitterrand rapporté par Gérard Colé à Pierre Péan), dans une interview que François Mitterrand à Pierre Favier le 25 septembre 1995, l’ancien président de la République déclara « Plenel ? Il ne m’a pas lâché pendant 10 ans et j’ai fini par penser qu’il travaillait lui aussi pour les Américains ». Il n’était plus président alors et pouvait être poursuivi pour déclarations calomnieuses par Plenel, ce que ce dernier ne fit jamais.
Ce qui est plus que jamais confondant, à l’heure de l’emballement frénétique des révélations qui emportent le monde politique français, et avant que ne déferle d’autres révélations tirées du dossier gigantesque ( Offshore leaks) remis par on ne sait qui à un consortium de journalistes, c’est de constater que ces derniers ne se demandent jamais d’où proviennent ces documents, et si leur divulgation ne s’inscrit pas un projet de déstabilisation générale des élites occidentales. Certes, c’est un fait acquis pour nous, sur Eschaton, que les élites occidentales politiques sont largement disqualifiées moralement, corrompues et soumises, mais pourquoi soudainement leur arrêt de mort semble-t-il avoir été prononcé ? Quel plan tout ce déballage sert-il ? Personnellement j’y vois l’intention du premier cercle du pouvoir mondialiste d’accélérer le processus de chaos en cours. Ce premier cercle du pouvoir mondialiste sait pouvoir compter sur la médiocrité de l’essentiel du personnel journalistique, empressé de se refaire une virginité et de se présenter comme les sauveurs de la démocratie. Sur la Radio romande, hier, dans les émissions Médialogue et la Libraire francophone, nous avons donc eu droit à une orgie d’autosatisfaction journalistique: nous assisterions à la naissance d’un nouveau type de journalisme, résolu à mener un travail d’investigation sans faille, garant de la démocratie et du droit des citoyens à être informés. Mais dans les affaires actuelles, tout est fourni clé en main sur un plateau aux journalistes qui ne manifestent aucun intérêt, comme un journaliste l’a clairement reconnu dans Médialogue, pour connaître qui leur sert leur pâtée. Comme des petits chiots ils se ruent sur l’écuelle qui leur est présentée en frétillant de la queue et ne font qu’en régurgiter le contenu. Si mon hypothèse est la bonne, la question est donc de savoir pourquoi le premier cercle du pouvoir mondialiste lâche maintenant des élites qui l’avaient pourtant bien servi jusque-là ? Pour ma part je pense que le but est double. Il s’agit de faire plonger l’euro et de fragiliser l’Ue pour lui rappeler qui est le maître, qui tient le gourdin et pour permettre au dollar de survivre encore un un certain temps à leur dépens. Conjointement l’objectif est également de modeler les esprits encore davantage en faveur d’un système global de contrôle des économies et des finances mondiales. L’horizon immédiat est le grand marché transatlantique dominé par les Usa. Nous vivrions en somme une sorte de perestroïka du capitalisme – qui serait le fin mot de la perestroïka communiste – qui doit déboucher sur la forme quintessentielle du communisme: un gouvernement mondial entièrement sous la botte des grandes familles oligarchiques qui le dirige via une classe politique renouvelée. Un système de domination et de réglementation économique et financier régi hors de tout contrôle des peuples, mortifère pour la classe moyenne et la petite entreprise, promouvant les idéologies les plus perverses ( gender, métissage, constructivisme pédagogique) et se mettant en place au nom de la défense des peuples contre leurs élites corrompues. Mais concrètement, le contrôle de l’économie et des finances par le biais d’un appareil d’Etat mondial et d’une administration technocratique obèse combiné à un égalitarisme idéologique forcené étendront à toute la planète les standards de vie des pays les plus pauvres.
Une analyse de Richard Roudier et de la Commission Armée-Défense du Réseau identités (Antoine C, Marceau A, Marc A ) sur la crise de l’armée
Dans une période où les questions de Défense font l’actualité (guerre au Mali, nouveau Livre blanc, future loi de programmation militaire, affaire Louvois…), la saute d’humeur d’une dizaine de jeunes officiers, se faisant appeler le « Mouvement Marc Bloch » (1) est un véritable pavé jeté dans la mare. Ce groupe composé de lieutenants et de capitaines venant des différents corps de l’Armée Française et ayant en moyenne, trois ans de service, lance un signal d’alarme que nos politiques ne doivent en aucun cas ignorer car il reflète admirablement bien l’état d’esprit qui règne au sein des militaires actuellement. Cet acte de désobéissance collective (les militaires sont soumis au sacro-saint « devoir de réserve ») unique depuis 1961, se base sur un constat qui est, hélas, bien réel, à savoir la destruction d’un formidable outil militaire au profit de sombres intérêts. Pourtant les questions que soulèvent le Mouvement Marc Bloch ne sont pas nouvelles et certaines ont été l’objet d’importants débats au sein de la communauté des acteurs de la Défense au sens large. Dès 2009, l’ADEFDROMIL (Association de défense des droits des militaires) réclamait la suppression de la fameuse « deuxième section » et la réduction du nombre d’officiers recrutés par la voie directe.
La crise économique qui ravage notre pays depuis des années, pousse l’État à réduire ses dépenses publiques en limitant globalement les attributions budgétaires des différents ministères. Faisant intégralement partie du service public, l’armée n’échappe pas à cette logique d’austérité mais force est de constater que dans le cas de la “Défense”, cette politique a des conséquences désastreuses qui risquent à court terme de faire ce qu’aucune armée adverse n’a réussi à faire depuis Dien Bien Phu, à savoir détruire le corps de bataille de l’Armée Française. Déjà une grande partie du parc de chars Leclerc est entreposée dans des hangars faute de moyens pour les faire fonctionner. Si la guerre en Afghanistan a permis une certaine modernisation de l’équipement individuel, cette démarche est loin d’être généralisée. D’ailleurs, celle-ci s’est faite au coup par coup, par des achats “sur étagère” (2) imposée par l’urgence opérationnelle et non par de véritables programmes d’armement établis sur le long terme d’où une certaine “hétéroclité” de l’équipement et de l’armement en fonction des unités et des déploiements. Et même ces achats « urgence opération » sont soumis aux impératifs budgétaires comme on a pu le voir en 2011 avec le déploiement en Afghanistan de missiles Javelin de fabrication américaine et dont la formation des servants en France, s’est résumée en grande partie à de l’entrainement sur simulateur, seul les meilleurs éléments étant autorisés à effectuer un tir réel faute de budget.
Ce genre de «dysfonctionnement » peut paraître parfois anecdotique, mais il s’agit malheureusement d’une réalité qui est généralisée au sein de l’armée. Si la « rusticité » est une des grandes qualités de nos militaires habitués depuis longtemps à faire beaucoup de choses avec peu de moyens, les réductions budgétaires qui touchent essentiellement les capacités opérationnelles de la troupe sont désormais à la limite du supportable. Pourtant, il y a des réformes qui sont plus que nécessaires au sein de la Défense et qui permettraient à terme de dégager des moyens financiers importants. C’est le cas notamment dans l’administration qui est encore trop fragmentée et qui doit d’urgence être mutualisée et devenir inter-armée dans les service[s] où cela est possible comme les ressources humaines. Il est temps également, de « dégraisser le mammouth » et de mettre un terme à cette armée mexicaine qui a pris possession des services administratifs au sein du ministère de la défense. Il y a en France, selon des chiffres arrêtés au 31 décembre 2012, 498 officiers généraux en activité dont 173 pour l’armée de terre, 74 pour l’armée de l’air et 52 pour la marine… et 5 500 en section II, c’est-à-dire en pré-retraite, sans affectation…
Un colonel doit commander un régiment d’un millier de soldats, pas un bureau d’une dizaine de fonctionnaires. De plus, pourquoi mettre un militaire à un poste administratif « non-stratégique » alors qu’un civil pourrait faire le même travail pour un coût plus faible. Si encore l’administration faisait preuve d’une véritable efficacité pour soutenir l’effort de nos troupes, on pourrait faire preuve d’une certaine indulgence mais c’est loin d’être le cas et le ministère de la défense est, aujourd’hui, une véritable usine à gaz. L’affaire Louvois résume à elle seule cette situation. Voila deux ans que le nouveau logiciel informatique inter-armées de paiement connait de graves dysfonctionnements rendant très aléatoire le versement des soldes. Deux ans que cela dure et toujours pas de solution! Pourtant les bugs avaient été diagnostiqués avant la mis en place de ce logiciel mais les différents services concernés se sont renvoyés la balle, refusant d’en prendre la responsabilité et d’engager le personnel nécessaire (5 informaticiens) pour résoudre le problème alors qu’il en était encore temps.
Voila où en est, aujourd’hui avec l’Armée Française : une administration défaillante, une organisation des ressources humaines inégale et des réductions budgétaires qui nuisent directement aux capacités opérationnelles . Et pourtant les militaires démontrent chaque jour, leur professionnalisme exemplaire que se soit en Afghanistan, au Mali ou encore en Libye en 2011. Face à ce constat alarmant, l’opposition se développe de plus en plus. Elle fut d’abord le fruit d’initiatives individuelles puis collectives mais externe à l’armée comme la révolte des « Gauloises », une association de femmes de militaires, dont les maris, militaires du rang ne sont plus payés… Certains mettent en cause les dysfonctionnements du système informatisé Louvois, qui gère -enfin qui devrait gérer- les paies, mais d’autres accusent les coupes budgétaires dans la “Défense” qui devraient se situer à moins 1 milliard en 2014 et 2 milliards en 2015 avec pour objectif de faire descendre à terme le budget à moins de 1% du P.I.B. Décidément depuis Léon Blum en 1936 les socialistes font le lit des prochaines défaites de la France. Les militaires avaient coutume de dire que l’armée française combattante pouvait tenir au garde à vous sur la pelouse du stade de France, désormais, il faudra leur proposer un terrain de tennis.
Désormais, avec le mouvement Marc Bloch, la contestation se fait à l’intérieur même de nos forces armées. Aussi, est-il grand temps que nos dirigeants politiques prennent conscience de la portée de leurs actes, il est encore possible de faire marche arrière mais il ne faut pas attendre car, malheureusement dans ce domaine qu’est la Défense, les erreurs se paient en vie humaine.
http://liguedumidi.com/
(1) du nom d’un officier mort en 1944 qui imputait la défaite de 1940 aux plus hauts niveaux de commandements
(2) achats non programmés réalisés dans l’urgence