Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 22

  • [Média] Prospectives Royalistes de l’Ouest



    Le numéro n° 37 du nouveau journal royaliste unitaire centré sur la région ouest BRETAGNE-LOIRE ATLANTIQUE-VENDEE vient de sortir.

    Vous pouvez le télécharger ici http://urbvm.com/wp-content/uploads/2013/10/Prospectives-Royalistes-de-lOuest-de-Novembre-2013.pdf

  • [Nantes] Cercle d’études du 30 Novembre : Les racines de l’Occident

    Le prochain cercle d’étude de l’AFE de Nantes et de l’URBVM aura lieu le samedi 30 novembre et aura comme thème : Les racines de l’Occident.

    nantes.etudiants@actionfrancaise.net

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Nantes-Cercle-d-etudes-du-30

  • Mardi 10 décembre à Paris : conférence de Gabriele Adinolfi organisée par Synthèse nationale


    Dans les salons d’un grand hôtel parisien

    Renseignements et réservations :

    synthesenationale@club-internet.fr

  • Oliganarchy : entretien d'actualité avec Lucien Cerise

    Lors d'un entretien mené par Maurice Gendre de Scriptoblog, Lucien Cerise a pu présenter son dernier roman (inspiré de faits réels) et en développer certains thèmes à l'aide d'utilisation d'exemples d'actualités, comme la loi Taubira, les rivalités entre services de renseignements américains et israéliens et ses conséquences dans l'affaire Snowden, la "guerre des monnaies" etc.

    Lucien Cerise défend notamment l'idée de nationalisme permaculturel, qui, selon lui, "consiste à accueillir tous les gens de bonne volonté sur un projet national commun : quelles que soient nos origines culturelles, religieuses ou ethniques. Notre intérêt à tous est de « prendre soin » de notre pays car c'est là que nous vivons, ici et maintenant.".

    Réalisation et montage : Jonathan Moadab pour l'Agence Info Libre.
    Retrouvez Oliganarchy sur notre boutique(1).

    http://www.youtube.com/watch?v=l5RKkjcRGE8

    1) http://www.leretourauxsources.com/index.php/liste-des-romans/aliganarchy-detail
    http://www.scriptoblog.com/

  • Le sport contre les peuples (archive 2005)

    La montée en puissance de la stratégie de communication unilatérale en faveur de l’organisation des jeux olympiques à Paris en 2012, ainsi que le sempiternel bruit de fond médiatique relayant les « exploits » sportifs dominicaux inciteront les lecteurs les plus distanciés des mots d’ordre journalistiques à se replonger dans la lecture du « Sport contre les peuples ».
    Publié en janvier 2002, ce pamphlet solide, hargneux et convulsif n’a pas pris une ride. Il se veut la réponse à un constat clinique : « Notre époque sacrifie l’esprit critique, cet honneur de l’intelligence, à la (pseudo) sacralité du sport » (p. 10). La thèse de Robert Redeker happe et frappe le lecteur par sa lumineuse dureté : le sport spectacle constitue un « nouvel opium du peuple » – entendez une « religion de substitution » imposant son calendrier (celui des compétitions sportives) qui volontairement « occupe et quadrille les imaginaires » (p. 47) mais qui, n’ayant pas de mission civilisatrice, ne créée rien d’autre finalement que les conditions d’un nouveau totalitarisme.
    Également issu de ce stupide XXe siècle, le sport contemporain se rapprocherait en effet des modèles totalitaires en tant que système global, à la fois d’exploitation (par son instrumentalisation de la nature, y compris humaine), de dépolitisation (le sport comme « substitut planétaire mercantilo-ludique à la fraternité »), et d’aliénation (« les loisirs sportifs et ludiques volent à l’homme le temps d’être un homme parce qu’ils expulsent de l’existence le sérieux de la vie », p. 34), le tout appuyé par de régulières manifestations de « mobilisation totale » de la société en faveur des grands évènements sportifs et de leur organisation (Coupe du Monde de football, JO, etc.) : le supporteur remplaçant le citoyen, le peuple demeure ainsi la masse dénuée de toute conscience politique et sociale, au seul profit de « l’idéologie sécrétée pour accompagner la mondialisation technomarchande » (p. 62).
    Pour Robert Redecker, l’idéologie sportive participe ainsi activement de l’avènement d’une « barbarie douce » (Jean-Pierre Le Goff) qui colonise à dessein l’imaginaire collectif pour mieux le priver de toute capacité de réflexion et donc d’action : « Les mécanismes médiatiques de nos sociétés nous contraignent à penser en permanence au sport en mettant tous les moyens en œœuvre pour nous empêcher de le penser. Y penser sans le penser – ce mot d’ordre s’insinue dans tous les recoins de nos vies (...). Chacun pense aux sports et aux sportifs dans l’oubli de la pensée, exactement comme si nous étions vidangés de toute conscience. Le sport est l’impensé autant que l’incritiqué des temps contemporains » (pp. 12-13).
    Le sport, en tant que « spectacle mercantilo-ludique » planétaire (p. 45), poursuit une double fin : la domestication du corps et de l’âme. La résistance à ce nouveau catéchisme des temps globalisés ne saurait être que nietzschéenne.
    En premier lieu, en réhabilitant « ce corps gênant, désobéissant, irrationnel, humain, trop humain » : « Lorsque Nietzsche annonce qu’il faut « prendre le corps comme fil conducteur », il avance cette proposition dans le cadre d’un renversement du platonisme ; aujourd’hui, ce programme nietzschéen pourrait parfaitement correspondre à une résistance à la sportivation, rationalisation et mercantilisation du corps, qui constituent en réalité son annulation » (p. 115).
    Ensuite, en se réappropriant le tragique de la vie. En effet, par son « présentisme » (Taguieff), le sport efface et « déracine » aussi bien le passé que l’histoire, l’avenir, les projets politiques. « Cependant, ne naissent pas pour autant (...) comme corollaire du déracinement de l’avenir, « des générations d’enfants aux cheveux gris », plutôt des vieillards dès l’enfance ; les hommes et femmes sans passé ni avenir qui peuplent nos siècles sportifs sont condamnés au sinistre sort de demeurer jusqu’à leur mort des enfants décervelés pour qui la vie n’est jamais un souci, pour qui le monde est un parc d’attraction, et le passage des ans l’occasion de « s’éclater » ou même de « délirer ». Ces derniers hommes dont des humains souffrant de la détresse de l’absence de détresse. Ils s’abandonnent, sous le signe impérieux de l’obligation de délirer, à la multiplication kaléidoscopique des parades, Love, Techno, Gay, 12 juillet 1998 aux Champs-Elysées » (p. 117). Sans trop y croire, Redecker milite, à rebours de Nietzsche cette fois, pour un ressourcement humaniste de la valeur humaine, mais un humanisme à la Pascal ou à la Bossuet, contre Platon, Descartes et la récupération chrétienne des légitimes questionnement sur le devenir – et donc le sens – de toute destinée humaine.
    Parfois contestable, toujours stimulant, « Le sport contre les peuples » ouvre donc des perspectives plus larges que ne le laisse supposer son titre. Il offre surtout une grille d’analyse solide contre la prégnance des stratégies infra-occidentales de castration de la pensée – et donc de la vie. Au-delà de l’idéologie du sport, bien d’autres religions séculières sont aujourd’hui à l’œuvre pour éviter aux Européens de se penser politiquement : droits-de-l’hommisme totémique, démocratie de marché, antiracisme monochrome ou encore communication compassionnelle constituent aujourd’hui autant de verrous empêchant une appréhension saine et potentiellement agissante du réel. Les faits, têtus, suffiront-ils à dissiper ces écrans de fumée ?
    H.H.
    « Le sport contre les peuples » de Robert Redecker, Berg International, janvier 2002, 123 p.
    * Cet article a été initialement publié le 30/03/2005
    http://www.polemia.com/le-sport-contre-les-peuples/

  • Hold-up en vue sur vos comptes en banque

    Les Banksters dévoient le système bancaire et financier européen. La crise financière de 2008 a poussé les instances mondiales, et européennes en particulier, à adopter un arsenal de mesures dont l’objectif est de renforcer le système bancaire et financier (compagnies d’assurances et dans une moindre mesure les fonds de pension).
    Ce renforcement passe au travers de la mise en place de directives européennes visant à augmenter la liquidité des actifs bancaires et à la diminution de l’effet de levier (le rapport entre les capitaux propres investis et les actifs du bilan).
    Malheureusement, rien ou presque n’est mis en place afin d’assurer la qualité et l’efficience du système financier européen. Ainsi aucun seuil absolu et/ou relatif en matière de limite d’investissements n’est défini pour les banques et pour le secteur dans son ensemble.
    Par exemple, l’exposition du secteur financier français concernant la dette italienne représente près de 500 milliards d’euros, soit environ 1/3 de la dette publique italienne. En matière de diversification, on a vu mieux.
    Pire encore : le secteur européen des compagnies d’assurances est poussé, par la réglementation (Solvency II), à accroitre son risque vis-à-vis des dettes souveraines ! Plutôt que de réduire le risque systémique, la directive l’accroît ! C’est scandaleux !
    Face à ces obligations, les acteurs du secteur financier n’en restent pas moins des sociétés orientées vers le profit. Afin de pallier à la mauvaise rentabilité des dettes publiques, les institutions financières doivent chercher d’autres sources de profits. Les banques tentent de se tourner vers les marchés financiers, tandis que les assureurs augmentent leurs primes.
    La déliquescence du système bancaire européen est aussi un problème structurel, car les grandes banques sont bâties selon le modèle de banque universelle, c'est-à-dire que les activités de marché, risquées, ne sont pas séparées des activités de banque de dépôt. Et la loi mal nommée « de séparation des activités bancaires », a été vidée de son contenu. Aujourd’hui, vos dépôts bancaires dans les grandes banques européennes financent des activités spéculatives, contrairement à ce que prétendent les publicités de ces banques.
    COMMENT LES RAPETOUT EUROPÉENS VONT SPOLIER VOTRE ÉPARGNE
    Car la plus grande ignominie trouve son essence dans l’accord européen sur les faillites bancaires, qui n’est que de la poudre aux yeux ! Les 27 et 28 juin derniers, le sommet des Chefs d’État et de gouvernement a décidé des mesures à prendre pour éviter que l’argent public ne soit encore utilisé pour sauver le système financier et bancaire dans la zone euro.
    En effet, en cas de déconfiture d’une institution bancaire, les actionnaires perdront tout ou partie de leur investissement. Mais si le montant des pertes dépasse les capitaux propres de la banque (soit une perte supérieure à 8% du montant total des actifs), ce sera au tour des créanciers les moins bien assurés puis, le cas échéant, les détenteurs d'obligations dits "seniors" et en dernier recours les déposants, au-delà de la somme de 100 000 euros, qui paieront les dégâts ! Que ce soit des particuliers ou des sociétés… (cf. Chypre).
    Mais qu’en sera-t-il de la fameuse « garantie » pour les comptes de moins de 100.000€ ?
    Sachant qu’une banque comme BNP-Paribas-Fortis dispose d’à peu près 75 milliards € de fonds propres pour un bilan de 2.500 milliards (sans compter le hors-bilan qui représente plusieurs fois le bilan), un simple risque de contrepartie, c’est-à-dire un défaut d’un acteur financier avec lequel BNP-Paribas-Fortis a des relations commerciales financières, et les 75 milliards partiront en fumée en quelques jours ! Et cela, malgré les propos paternalistes et mensongers des «professionnels du risque» arguant que le collatéral (les garanties mises en place lors de transactions avec d’autres institutions financières) prévient ce genre d’accident.
    La seule alternative à ce véritable hold-up sur vos comptes bancaires est bien évidemment de retirer de votre banque, en cash, tous les montants au-delà de 100.000 € ! En attendant de vider la totalité de vos comptes…
    Ces mesures devront être transmises par la Commission Européenne aux 17 pays concernés, avant d’être soumises au vote de chaque assemblée et probablement avant les élections du mois de mai 2014.
    Du côté de la réglementation les choses évoluent peu, parce que les diverses directives européennes en faveur d’un renforcement du secteur bancaire, et financier en général, sont lentes quant à leur mise en œuvre effective et ne porteront vraisemblablement pas leurs fruits. En effet, les mesures concernent un accroissement du capital et une plus grande liquidité des actifs, plutôt qu’une meilleure gestion en accentuant la responsabilité du comité de direction et du conseil d’administration. On continue donc comme par le passé à exonérer les banksters des erreurs et des fautes qu’ils commettent… avec vos deniers !
    À titre anecdotique, mais néanmoins révélateur des conditions dans lesquelles évoluent les responsables : Dexia et ses investissements en produits financiers de la ville de Détroit.
    La situation désastreuse de la ville était connue depuis des dizaines d’années. Malgré tout, Dexia acheta de la dette de Detroit sans en assurer le suivi en bon gestionnaire. Et Detroit s’est mise en faillite au mois de juillet 2013, alors que Dexia détenait toujours ces produits dont la valeur ne faisait que chuter inexorablement.
    La gestion par Dexia a toujours été aussi calamiteuse et personne n’a réagi; en tout cas on n’a vu aucun résultat positif à l’horizon.
    Il est délicieux de savoir que cette banque franco-belge est à ce jour la « bad bank » européenne la plus importante avec plus de 260 milliards € d’actifs pourris à gérer jusqu’à extinction (2060 ?).
    À ma connaissance, aucune question orale ou écrite n’a encore été posée aux ministres des finances des pays de la zone euro sur ces sujets, que ce soit par les partis d’opposition ou plus précisément par les parlementaires des partis nationalistes. Oubli, ignorance ou méconnaissance ?
    Pieter Kerstens
    http://www.francepresseinfos.com/2013/11/hold-up-en-vue-sur-vos-comptes-en.html#more

  • Mauvaise nouvelle pour François Hollande

    Valérie Trierweiler annonce (1) qu'elle ne va plus se taire, car paraît-il, éviter de contredire son "compagnon" en public, c'est être une femme soumise :

    "[Danielle] était une première dame qui refusait la soumission, elle n'était guidée que par le désir de justice et de liberté. Y compris quand elle devait afficher un désaccord avec le président Mitterrand. Elle n'avait pas peur de porter haut les valeurs de gauche. Elle ne se laissait pas bâillonner. Elle n'avait pas peur du mot 'politique'".

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

    1) http://www.lexpress.fr/actualite/politique/valerie-trierweiler-ne-veut-plus-se-taire_1302099.html

  • Poutine cartonne : après l’Arménie, l’Ukraine

    Début septembre, à la surprise générale, l’Arménie, qui venait d’achever ses négociations avec l’UE sur un pacte d’association politique et de libre-échange, décidait de rejoindre l’Union douanière eurasienne pilotée par la Russie.

    Le pacte entre l’Arménie et l’UE devait entrer en vigueur lors du sommet de Vilnius, les 28 et 29 novembre prochain.

    Hier, l’Ukraine, qui devait signer un accord similaire au même sommet de Vilnius, a décidé également, in extremis, de se tourner vers la Russie.

    Au motif que l’UE serait loin de compenser les pertes que subirait l’Ukraine en se coupant de la Russie…

    Et au motif aussi que le président ukrainien Ianoukovitch, comme son Parlement, refuse obstinément la libération de Ioulia Timochenko, condition sine qua non posée par l’UE. « Libérer Timochenko signifie pour Viktor Ianoukovitch en faire le (futur) président et aller lui-même alors en prison », a commenté l'expert ukrainien Rostislav Ichtchenko cité par l'agence Ria Novosti…

    Quoi qu’il en soit, c’est une double claque retentissante pour l’UE et son soi-disant pouvoir d’attraction…

    http://yvesdaoudal.hautetfort.com/archive/2013/11/22/poutine-cartonne-apres-l-armenie-l-ukraine-5227933.html

  • 28e veillée parisienne ce soir

    Après le succès de la Veillée sur « Histoire et Mémoire » du vendredi 8 novembre qui a rassemblé dans la paix plus de 500 Veilleurs (sans compter la police), les Veilleurs parisiens se réuniront pour la 28ème fois ce soir vendredi 22 novembre à 20 heures pour une nouvelle Veillée.

    Les Veilleurs s’interrogeront sur un thème d’actualité «Légitimité et pouvoir». Ils réfléchiront notamment sur un pouvoir dont la légitimité ne serait plus reconnue que par une faible minorité, sur les contre-pouvoirs et leurs légitimités (mainstream, internet, etc.), sur la séparation des pouvoirs, etc.

    Ce soir à 20h, place de l’Hôtel de Ville, au niveau du manège.