http://www.youtube.com/watch?v=nf7pk1GpEsI
lesnonalignes·
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Abdelhakim Dekhar nous rappelle que l’extrême gauche est souvent meurtrière. Focus sur la période terroriste de la mouvance autonome en France…
L’arrestation d’Abdelhakim Dekhar, le tireur qui a terrorisé Paris, et ses liens avec le Mouvement Autonome sont l’occasion de rappeler le danger que représente en France l’extrême gauche sous ses diverses formes (anarchistes, antifas, internationalistes,…). Si Manuel Valls avait à faire surveiller des organisations politiques, celles-là devraient faire partie des priorités car elles ont toujours banalisé les formes d’actions les plus violentes, y compris meurtrières.
Nous nous attarderons dans les prochains jours sur quelques rappels bien utiles à ce sujet. Aujourd’hui, focus sur la période terroriste de la mouvance autonome en France !
La lutte armée est une pratique admise par le mouvement autonome. Cette lutte armée ne se limite pas aux attentats : elle peut prendre la forme de hold-up, ce qui a constitué parfois un important moyen de financement pour la mouvance, avec d’autres pratiques clandestines ne nécessitant pas l’usage des armes comme les nombreuses escroqueries opérées avec des traveller’s chèques ou des chéquiers volés.
Entre 1977 et 1979, cette pratique du hold-up était vantée comme un fait banal dans les quats de la mouvance. On y inculquait également la culture du sabotage. Être autonome, c’était avoir balancé un cocktail molotov dans une agence intérim ou une agence immobilière, synonymes de société bourgoise.
Action Directe est le groupe autonome qui en France est allé le plus loin dans la lutte armée. Les militants d’Action Directe ont organisé en France plusieurs dizaines d’attentats de 1979 à 1987, allant jusqu’à l’assassinat du général Audran en 1985, et du PDG de Renault, Georges Besse, en 1986. Certains militants d’Action Directe ne considéraient pas leur organisation comme un groupe autonome mais plutôt comme un groupe anti-impérialiste sur le modèle de la RAF. Pourtant, de par ses origines et ses liens étroits avec la mouvance, Action Directe peut être considérée comme un groupe autonome. Ainsi, Action Directe se présente elle-même comme la transformation d’une « coordination politico-militaire interne au mouvement autonome » en une « organisation de guérilla » (1).
Lire la suite : http://medias-presse.info/abdelhakim-dekhar-nous-rappelle-que-lextreme-gauche-est-souvent-meurtriere-focus-sur-la-periode-terroriste-de-la-mouvance-autonome-en-france/Lien permanent Catégories : actualité, France et politique française, insécurité, lobby 0 commentaire -
Nouvelles violences de l'extrême gauche
Manuel Valls va devoir dissoudre tous ces groupes ultra-violents.
5 étudiants ont été interpellés jeudi, à la suite d'une intervention de police dans l'enceinte de l'université Lyon 2, quai Claude Bernard. Celle-ci fait suite à des incidents au cours desquels 4 agents hygiène et sécurité ont été blessés.
80 étudiants vont tenté d'investir le grand amphithéâtre de Lyon 2 pour empêcher la tenue d'une réunion. Une vision habituelle de la démocratie selon la gauche. Des heurts se sont produits. Les responsables de l'université ont tenté de se replier vers une autre salle, mais les heurts n'ont pas cessé. Deux micros ont été volés et deux portes ont été dégradées. La présidence a décidé de faire appel à la force publique, et a déposé plainte pour ces violences.
Dans un article publié sur le site d'extrême gauche Rebellyon, ces voyous reviennent sur les motifs de leur colère.
Si ces étudiants avaient été "de droite", toute la presse en aurait parlé et Manuel Gaz aurait crié à l'hydre fasciste. Mais ils ne sont que de gauche. Donc juste déséquilibrés.
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2013/11/nouvelles-violences-de-lextr%C3%AAme-gauche.html -
Netanyahou cherche à torpiller les accords avec l'Iran
Lors de sa visite à Moscou, le premier ministre israélien Benjamin Netanyahou a cherché à convaincre le président Poutine que la Russie ne devait pas accepter d'assouplir les sanctions contre l'Iran, écrit jeudi 21 novembre le quotidien Nezavissimaïa gazeta.
Mais les deux dirigeants n'ont pas réussi à s'entendre à ce sujet. Quant à la Syrie, Moscou considère que les frappes israéliennes contre les sites de Damas profitent aux forces radicales qui représentent une menace pour l'Etat juif.
Il s'agit du cinquième voyage de Netanyahou en Russie depuis qu'il dirige le gouvernement de l’Etat hébreu. Les deux dirigeants ont des relations de confiance qui leur permettent de soulever ouvertement les sujets les plus sensibles de la politique mondiale et des relations bilatérales.
Cette fois la visite de Netanyahou a coïncidé avec la reprise des discussions entre les six médiateurs internationaux et l'Iran au sujet de son programme nucléaire. Selon le Jerusalem Post, Netanyahou avait décidé d'évoquer ce thème en particulier avec le président russe.
"La Russie est un acteur majeur car c'est elle qui entretient les relations les plus proches avec l'Iran parmi les six négociateurs internationaux", a déclaré Tzachi Hanegbi, membre du parti Likoud à l’assemblée israélienne et proche du premier ministre. "La Russie a construit un réacteur à Bouchehr et fournit des armes à l'Iran. Les Russes ont beaucoup d'influence. Et même si le dialogue avec les Russes n'avait aucun effet sur les négociations à Genève, nous considérons cette rencontre comme cruciale." Pour illustrer l'efficacité du dialogue russo-israélien, Hanegbi a rappelé que la Russie n'avait pas fourni à la Syrie de systèmes de défense antiaérienne S-300.
Pendant toute sa visite en Russie le premier ministre sera accompagné par le vice-ministre des Affaires étrangères Zeev Elkin, qui parle russe couramment.
Tel-Aviv craint que l'entente supposée entre les négociateurs gèle le programme iranien mais ne conduise pas à son démantèlement ou sa réduction significative. Par ailleurs, l'assouplissement des sanctions économiques internationales réduirait considérablement la pression sur Téhéran. Le ministre israélien du Renseignement Yuval Steinitz a déclaré qu'en acceptant un tel accord le monde montrerait qu'il "souhaite se faire duper".
Moscou n'est pas de cet avis. La Russie estime que seules les concessions mutuelles et le compromis permettront de régler ce conflit qui empoisonne l'atmosphère internationale depuis des décennies. On pouvait difficilement s'attendre à une entente entre les deux dirigeants sur la question iranienne.
Cependant ces différends n'empêchent pas le développement actif des relations russo-israéliennes et le dialogue politique, notamment concernant le Moyen-Orient.
Les départements militaires et les conseils de sécurité des deux pays sont en contact.
Le sous-secrétaire du Conseil de sécurité de la Russie Evgueni Loukianov a rencontré à Moscou en octobre le vice-président du Conseil de sécurité nationale d'Israël Yaakov Nagel. On envisage même la visite de Yossi Cohen, nouveau président du Conseil national de sécurité, qui occupait jusque là le poste de directeur adjoint du Mossad.
En ce qui concerne le Moyen-Orient, Moscou indique que le renversement des régimes politiques par une intervention extérieure ne permettra pas à lui seul d'éradiquer la violence et le chaos, citant en exemple la Libye, le Yémen, l’Egypte et la Syrie.
Israël est indirectement impliqué dans le conflit syrien et bombarde parfois les sites militaires de Damas. La Russie estime qu'en affaiblissant le gouvernement syrien Tel-Aviv contribue au renforcement des groupuscules radicaux en liaison avec Al-Qaïda, ce qui ne fait qu'accroître la menace pour l'Etat juif lui-même.
Ria Novosti http://www.voxnr.com/cc/etranger/EFlVpkAVAlduYtADMa.shtml -
Toute la presse europeene annonce la fin de François Hollande
Si nos petits journalistes aux ordres essaient de minimiser le mandat catastrophique de Hollande et la multiplications des scandales, la presse étrangère ne se gêne pas et prévoit très vite la fin de cet individu.
QUELQUES EXEMPLES :
- En Espagne, El Pais considère que François Hollande « se trouve en première ligne des critiques, accusé d’ingénuité excessive dans le meilleur des cas, et de complicité dans les mensonges de son ministre, au pire ».
- En Allemagne, le Frankfurter Allgemeine Zeitung parle d’une « odeur de fin de règne [qui] plane au-dessus de François Hollande avant même qu’il n’ait achevé la première année de son mandat ».
- « Jusqu’à quel point la France est-elle pourrie ? » s’interroge également le Süddeutsche Zeitung, qui estime que « la plupart des Français ne croient plus que le président socialiste François Hollande arrivé au pouvoir il y a moins d’un an puisse stopper le déclin ».
- En Irlande, le Irish Times considère que le scandale est « au moins aussi dommageable pour le socialisme français » que pour le président de la République.
- En Angleterre, le Financial Times estime que ce genre d’affaires,« en France ont trop souvent été accueillies avec un haussement d’épaule fatigué (…). La tolérance publique est en train de s’épuiser ».
- En Belgique même les belges nous prennent pour des pigeons et prennent Hollande pour un incompétent. « Economie en berne, manque de leadership, cote de popularité au plus bas auxquels viennent s’ajouter un scandale de corruption et de mensonge devant l’Assemblée nationale, la France est en pleine crise du pouvoir », s’indigne ainsi Le Soir, tandis que La Libre Belgique titre « Cahuzac ébranle Hollande ».
- Aux États-Unis les observateurs sont scandalisés par la gouvernance socialiste française. « Même dans un pays qui a une longue histoire de débauche à haut niveau, l’impact politique (des retentissantes confessions de l’ancien ministre du budget) est dévastateur », souligne le Times.
Heureusement que Hollande nous jure qu’il met en place une République moralement irréprochable, on n’ose imaginer ce que ça aurait donné sinon…
Remercions, monsieur François Hollande, les encartés socialistes et les 10 millions de Français lobotomisés qui ont voté Hollande, pour la belle image de la France qu’ils renvoient.
http://francelibre.tumblr.com/post/67742018376/toute-la-presse-europeene-annonce-la-fin-de-francois -
le plan de bataille des financiers.mp4
http://www.youtube.com/watch?v=wrC_ySk1vb4
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Écotaxe : les automobilistes, pompe à fric de l’État
PARIS (Bulletin de réinformation) - Le mouvement des bonnets rouges, fer de lance de la fronde fiscale a réussi, au moins pour quelques mois, à renvoyer au placard l’écotaxe.
D’aucuns, notamment certains députés, prétendent que l’abandon de l’écotaxe nuirait au financement des infrastructures routières. Est‑ce vrai ?
La France possède le réseau routier le plus étendu d’Europe. Le European Road Network, organisme d’étude, estime à douze milliards d’euros les investissements annuels en France dans l’expansion et l’entretien du réseau. Soit 0,5 % du PIB. D’autre part, les automobilistes et les transporteurs routiers, principaux utilisateurs de ces infrastructures, rapportent 40,6 milliards d’euros à l’État, essentiellement par la taxe sur les produits pétroliers et des péages autoroutiers.
Les utilisateurs de la route payent donc près de 3,5 fois le prix de tous les investissements routiers annuels en France.
http://fr.novopress.info/145917/ecotaxe-les-automobilistes-pompe-fric-de-letat/ -
Paysans en colère ! En cause : la fiscalité et la politique agricole commune imposée par l’Europe…
Les agriculteurs d’Ile-de-France organisent depuis le début de matinée un blocus de Paris. Des barrages filtrant encerclent la capitale. Les agriculteurs d’autres régions manifesteront successivement les 26 et 29 novembre. Cette fronde des agriculteurs s’oppose notamment à la nouvelle Politique agricole commune (PAC) décidée à l’Europe qui se fera au détriment de la France. Le mouvement s’accentue depuis des années : la politique agricole commune est influencée par l’élargissement de l’Union européenne. Lire la suite => http://medias-presse.info/paysans-en-colere-en-cause-la-fiscalite-et-la-politique-agricole-commune-imposee-par-leurope/
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Quand « l’adversaire de la finance » décrète en catimini l’amnistie des banques
« Dans la nuit du 14 novembre, en catimini, le gouvernement du président le plus impopulaire de France a purement et simplement amnistié d’avance les banques de toutes malversations sur l’octroi de crédits. Avec effet rétroactif, cela va sans dire.
Une « aide » tordue
Bien évidemment, l’articulation de cet article (n° 60) de la loi des finances est à la hauteur de l’hypocrisie affichée par notre petite bande de malotrus. Le motif officiel : protéger les collectivités territoriales asphyxiés par les prêts toxiques de Dexia, la banque franco-belge faillie.
Avec une condition qui ne manque pas de sel : on vous accorde une « aide » de 1,5 milliards d’euros au total… à condition que vous remboursiez Dexia de vos dettes, même illégitimes, pénalités incluses, et de manière anticipée.
Avec pour finir une modalité assassine qui achève de pieds et mains lier les infortunées collectivités locales : renoncer à « toute possibilité de contestation légale en cas de défaut de mention du taux effectif global dans les prêts » (Mediapart).
Henri Emmanuelli en acolyte zélé
Il va de soi que les collectivités locales devront AUSSI rembourser le généreux prêt de survie de 1,5 milliards consenti par la bande à Ayrault.
Plus piquant encore, c’est le député auto-revendiqué de gauche Emmanuelli, acolyte zélé, qui s’est chargé lui-même de justifier le coup de force de ses comparses de Matignon : rassurer les marchés qui risquaient de se sentir paniqués par les menaces de poursuites… et couper leurs robinets ! Henri Emmanuelli :
« Supprimer [l’article 60 et ses mesures d’amnistie, ndlr] reviendrait à semer la panique sur les marchés. C’est tout le système [du financement des collectivités locales] qui s’effondrerait alors. »
Moyennant quoi nos grands prêtres de la Vertu financière ont absous leurs ouailles indélicates pour tous leurs péchés.
A propos de fourches et de piques
Car cette affaire lamentable ne s’arrête pas aux seules collectivités locales. La mesure d’amnistie a été généralisée pour TOUS les crédits douteux octroyés à qui que ce soit, particuliers comme groupes constitués, ainsi dissuadés de faire des misères à leurs banquiers.
Martine Orange, un brin écœurée, on le serait à moins :
« Victoire des banques par KO debout face à tous. »
Certains préfets s’alarmeront ensuite de voir ressortir fourches et piques vengeresses sur fond de bonnets rouges. »
Source : Rue89; Mediapart, via : News360x.fr
http://www.contre-info.com/quand-ladversaire-de-la-finance-decrete-en-catimini-lamnistie-des-banques#more-30274 -
Un impôt contraire à la justice et au bien commun ne se justifie pas
Michel Boyancé, doyen de la Faculté libre de philosophie comparée (IPC-Paris), écrit dans l'Homme Nouveau :
"Il semble que les chrétiens doivent répondre par l’affirmative à la question de savoir si payer ses impôts est un devoir civique. Cela est posé explicitement par saint Paul (Rm, 13,7) :
« Rendez à chacun ce qui lui est dû : à qui l’impôt, l’impôt ; à qui les taxes, les taxes (…) ».
Cependant, une certaine conception contemporaine de l’État risque d’absolutiser cet acte de citoyenneté. [...]
La philosophie sociale et politique incluse dans la doctrine sociale de l’Église développe un ensemble de considérations qui relativise ce devoir civique en le subordonnant, de part et d’autre, à la justice (ce que saint Paul mentionne dans le fait de « rendre à chacun ce qui lui est dû »). Celle-ci se déploie en trois dimensions principales : distributive (dans la répartition équitable des biens), commutative (dans les échanges entre particuliers) et générale (en vue du bien de tous). Toute autorité politique et juridique doit se soumettre à ces rapports de justice, toujours en vue du bien commun, c’est-à-dire du meilleur bien des personnes en relation les unes aux autres dans l’unité d’une société politique. [...]
Il s’agit d’aider les personnes à atteindre leur bien dans le respect de leur liberté, notamment celle de conduire leurs affaires et leur vie. Cette aide ne veut pas dire ni que l’État doit laisser faire, ni qu’il doit faire à la place des personnes. Il doit leur donner les conditions, les cadres juridiques notamment, pour atteindre leur fin, assurer la justice (rendre à chacun ce qui lui est dû) notamment distributive, c’est-à-dire, comme le mentionne le Compendium de la doctrine sociale de l’Église (Conseil pontifical Justice et Paix, Compendium de la doctrine sociale de l’Église), pour la solidarité si, et seulement si, les instances intermédiaires ne peuvent le faire par leur propre moyen et discernement. C’est ainsi que l’impôt prélevé peut combler des manques (on pense aux allocations familiales, à des subventions pour aider des organismes à but non lucratif, des réductions d’impôts pour les entreprises, etc), sans tomber dans l’assistanat, destructeur de la liberté car étouffant les initiatives et particulièrement les efforts pour ne pas dépenser sans compter.
On voit donc bien que l’impôt doit être utilisé moralement par l’État et ceux qui sont chargés de la gestion publique. La mauvaise gestion, la gabegie financière, les privilèges exorbitants des personnels de l’État, etc, remettent en cause le principe du versement de l’impôt car le respect du bien commun (justice générale) n’existe plus. Par voie de conséquence, la justice est à la fois la vertu des gouvernants et celle des gouvernés. [...] Une administration pléthorique, tatillonne, étouffant les initiatives légitimes, ne permet pas une vraie justice générale. En ce sens, l’impôt ne se justifie pas.
Cependant, quand est-il légitime de ne plus payer l’impôt ? La réponse relève de la prudence c’est-à-dire du discernement sur le fait que l’État, par des lois injustes, empêche gravement la réalisation de la justice et du bien commun. Il n’y a pas de règles précises. Il s’agit de juger si, à un moment donné, le fait de ne plus payer d’impôts est légitime et s’il n’entraînera pas plus de maux. Autrement dit, le fait de ne plus payer l’impôt ou de se révolter quand manifestement il y a abus des autorités publiques, entre dans le principe général de désobéissance civile. C’est un principe à manier avec précaution mais il peut s’avérer dans certaines circonstances comme le meilleur moyen de signifier à l’État et à ses représentants que la justice n’est pas à sens unique et que la vertu n’est pas dans une seule partie de la société : ceux qui sont assujettis à l’impôt."
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