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  • Quand l'Islam nous aide...

    L’Islam sur notre sol est un sujet fondamental sur lequel on entend comme souvent tout et n’importe quoi. L’Europe n’est pas compatible avec l’Islam, c’est un fait indéniable, évident, indiscutable mais, dans la configuration actuelle, il serait bon de ne pas regarder que les questions médiatiques (ne couvrant, en général, que des aspects bien secondaires de la question). L’Islam dérange de plus en plus les « Français moyens » car, à force, il se fait trop voyant et trop prégnant sur trop d’aspects de la vie quotidienne de ceux-ci. C’est tout à fait normal et il est de plus en plus difficile pour le système de masquer la réalité. Pour autant le problème religieux posé par l’Islam n’est pas le fait sur lequel on doit se focaliser en priorité.

    En effet, nous voyons que les médias tapent en continu, de manière plus ou moins voilée, sur l’Islam, ce qui devrait déjà amener quelques suspicions : l’intérêt du système n’est pas le nôtre. Dans ce cas précis, il n’utilise pas le ras-le-bol légitime des gens contre la vraie cause de l’Islam : l’immigration massive et incontrôlée, mais contre une simple –mais très visible- conséquence de cette catastrophe: la foi religieuse d’une bonne partie des allogènes présents sur notre sol. L’oligarchie mondialisto-apatride souhaite un monde métissé et uniformisé de consommateurs lobotomisés. Cela explique que le combat bête et irréfléchi contre les croyances de l’Islam, religion qui peut, selon les cas, être un frein évident à ce projet mondialiste, va, quelque part, dans le sens du système. En effet, l’Islam ne prend de la place en France qu’à cause de l’immigration que nous connaissons. Il est bien normal qu’avec pas loin de 15 millions d’immigrés non européens qui, dans une bonne partie, viennent de pays musulmans, l’Islam ne peut que progresser…

    Eh bien, que les immigrés restent et/ou deviennent musulmans me va très bien à moi. Cela fait partie de leur identité et il est bon qu’ils la conservent (ou puissent la retrouver quelle qu’en soit la raison). Nous sommes pour la préservation des cultures et des identités et non pour leur extinction. Cela permet tout simplement de nous différencier d’eux et eux de nous. Chez les jeunes allogènes, l’Islam est souvent dévoyé et n’est utilisé que comme marqueur identitaire assez flou, certes, mais tout ce qui va à l’encontre du monde voulu par l’oligarchie peut nous aider dans la situation catastrophique que nous vivons aujourd’hui...  La dernière chose que nous voulons est effectivement de voir les immigrés s'intégrer ou s'assimiler dans le projet de société mondialiste pondu par nos élites, comme le veulent en réalité tant de ceux qui critiquent l'Islam de manière monomaniaque... L'islam est un frein réel à l'intégration de ces populations et c'est très bien ! On ne répétera jamais que le vrai problème est celui de l'immigration. Pas d’immigration est égal à pas d’Islam. Simple, non ?

    Comme le disait un vieux slogan: "intégration des immigrés: jamais!". Donc, oui, je préfère savoir leurs filles voilées qu’ « intégrées », c'est-à-dire en se comportant comme des pétasses.  Je ne veux pas que ces populations nous ressemblent dans ce que nous avons de pire mais qu’elles restent (autant que faire se peut dans ce monde de déracinement et de perte des valeurs) elles-mêmes au maximum.

    Rüdiger pour Le Cercle Non Conforme

    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/archive/2013/11/20/islam-5225745.html

  • Veilleurs parisiens : quand l'envoi des forces de l'ordre est la seule réponse au débat d'idée

    Pas de trouble de l'ordre public, mais trouble de l'immoralité ambiante,
    pas de propos outranciers ou d'outrages, mais propos qui bousculent la pensée unique, pas de convictions politiques affichées, mais conviction qui s'oppose au politiquement correct, rien de consistant à opposer à ces Veilleurs, rien...
    Alors, ils faut les contraindre au silence et à la dispersion, par la peur et le harcèlement. Une guerre lente et usante est entamée.

    10-28ème veillée parisienne - 07

    14-28ème veillée parisienne - 10

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    Lahire   http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • « L’effondrement des sociétés complexes » de Joseph A. Tainter

    « Les sociétés industrielles sont soumises aux mêmes principes qui ont provoqué l’effondrement d’anciennes sociétés ».
    Les éditions « Le Retour aux sources » viennent de publier un ouvrage que l’anthropologue et historien américain Joseph A. Tainter avait écrit en 1988. Ce livre est consacré au sujet récurrent du déclin, de la décadence et de l’effondrement des sociétés et des civilisations ; son intérêt réside dans la thèse novatrice et séduisante que Joseph Tainter expose clairement et qui enrichit considérablement la réflexion sur un sujet difficile et fascinant (B.G.).
    La décadence : une interrogation éternelle
    Depuis l’Antiquité, le déclin, la décadence et l’effondrement des sociétés ont frappé les esprits curieux et inspiré des théories explicatives extrêmement variées. Le nombre et la variété des sociétés ayant connu de tels processus sont extrêmement grands. L’effondrement de l’Empire romain est l’exemple le plus fréquemment cité et celui qui a fait l’objet du plus grand nombre d’études, mais l’Empire Zhou a connu le même destin au troisième siècle avant notre ère, tout comme la civilisation Harappéenne de la vallée de l’Indus qui a disparu vers 1750 avant notre ère après 700 ans d’existence, la civilisation mésopotamienne (-1800/-600), l’ancien Empire d’Egypte(-3100/-2200), l’Empire Hittite (-1800/-1100), la Civilisation Minoenne (-2000/-1200), la civilisation Mycénienne (-1650/-1050), la civilisation des Olmèques (-1150/-200) ou celle des Mayas… Des sociétés et des civilisations de toutes tailles et situées dans toutes les régions de notre planète ont disparu plus ou moins rapidement.
    Parmi les causes du déclin qui ont été proposées par les historiens et les philosophes, on peut citer : la diminution ou l’épuisement d’une ou de plusieurs ressources vitales dont dépend la société ; la création d’une nouvelle base de ressources trop abondante ; les catastrophes insurmontables ; l’insuffisance des réactions aux circonstances ; les envahisseurs ; les conflits de classes, les contradictions sociales, la mauvaise administration ou l’inconduite des élites ; les dysfonctionnements sociaux ; les facteurs mystiques ; les enchaînements aléatoires d’événements ; les facteurs économiques. Joseph Tainter considère que toutes ces causes ne sont que des causes secondaires d’un mal plus profond : la diminution de l’efficacité globale des organisations sociopolitiques complexes.
    Complexité et énergie
    Joseph Tainter introduit dans le débat un paramètre essentiel qui a été le plus souvent ignoré par les précédents analystes du déclin :
        « Les sociétés humaines et les organisations politiques, comme tous les systèmes vivants, sont maintenues par un flux continu d’énergie … Au fur et à mesure que les sociétés augmentent en complexité, sont créés plus de réseaux entre individus, plus de contrôles hiérarchiques pour les réguler ; une plus grande quantité d’information est traitée… ; il y a un besoin croissant de prendre en charge des spécialistes qui ne sont pas impliqués directement dans la production de ressources ; et ainsi de suite. Toute cette complexité dépend des flux d’énergie, à une échelle infiniment plus grande que celle qui caractérise les petits groupes de chasseurs-cueilleurs ou d’agriculteurs autosuffisants. La conséquence est que, tandis qu’une société évolue vers une plus grande complexité, les charges prélevées sur chaque individu augmentent également, si bien que la population dans son ensemble doit allouer des parts croissantes de son budget énergétique au soutien des institutions organisationnelles. C’est un fait immuable de l’évolution sociale et il n’est pas atténué par le type spécifique de source d’énergie ».
    Il a examiné l’histoire du déclin de l’Empire romain et de quelques autres sociétés en ayant à l’esprit le paradigme énergétique et en a conclu que ces sociétés n’ont pas réussi à satisfaire leurs besoins énergétiques croissants. Les maux qui ont été énumérés précédemment et qui sont apparus juste avant la disparition de ces entités n’ont pas été, selon Joseph Tainter, les causes mais les conséquences d’un affaiblissement lié à la divergence croissante entre, d’une part, les moyens nécessaires au maintien de leurs structures complexes et, d’autre part, les ressources énergétiques disponibles.
    Loi des rendements décroissants et civilisation industrielle
    Selon la thèse de Tainter, l’investissement dans la complexité sociopolitique atteint un point où les bénéfices d’un tel investissement commencent à décliner, d’abord lentement, puis beaucoup plus rapidement.
        « Ainsi, non seulement une population alloue de plus en plus grandes quantités de ressources au soutien d’une société en évolution, mais, après un certain point, des quantités plus grandes de cet investissement produiront de plus petites augmentations de rendement. Nous montrerons que les rendements décroissants sont un aspect récurrent de l’évolution sociopolitique et de l’investissement dans la complexité ».
    Un chapitre de l’ouvrage est consacré aux observations qui ont été faites au sein de la civilisation industrielle moderne qui est, semble-t-il, elle aussi soumise à la loi des rendements décroissants. Comme les civilisations qui l’ont précédée, cette civilisation connaît une décroissance des rendements de ses investissements. Ainsi le nombre des brevets déposés par habitant ou par scientifique ne cesse de décroître bien que les moyens mis en œuvre pour la recherche et développement n’aient jamais été aussi importants. Ainsi aux Etats-Unis, le nombre d’employés dans la recherche industrielle a augmenté de 560% entre 1930 et 1954, tandis que le nombre de brevets déposés par les entreprises n’a augmenté que de 23% entre 1936/1940 et 1956/1960 ! Cette tendance a été constatée dans une étude portant sur cinquante pays développés et vérifiée dans différents secteurs techniques.
    Le déclin de notre civilisation est-il inévitable ?
    Comme nous l’avons écrit précédemment, les observations faites au sein de notre propre civilisation indiquent qu’elle est soumise à la loi des rendements décroissants. Nous avons vu aussi que les sociétés complexes devaient mobiliser toujours plus de ressources énergétiques pour augmenter leur complexité. Notre civilisation, qui est de loin la plus complexe de toutes les civilisations ayant existé, repose sur une consommation d’énergie considérable. Sa complexification a été possible du fait de la découverte des ressources énergétiques fossiles, charbon, pétrole et gaz, et à la mise au point de techniques permettant leur transformation en énergie thermique, mécanique et électrique. L’importance de ces énergies fossiles n’est pas proportionnelle à leur coût actuel (64 milliards d’euros pour un produit national brut de 2000 milliards en 2012 en France) parce que, si l’on en croit Jean-Marc Jancovici qui est professeur d’énergétique à l’Ecole Polytechnique, en l’absence de ces énergies fossiles notre production serait le centième de ce qu’elle est aujourd’hui. Autant dire que notre civilisation repose beaucoup plus sur ces énergies que sur notre génie technique et scientifique. Ceci explique aussi le fait que parmi les pays ayant découvert les premiers les principes de la thermodynamique, ceux qui ont décollé le plus rapidement sont ceux qui disposaient des énergies fossiles les plus abondantes et les plus facilement extractibles. Le problème qui se profile à l’horizon compte tenu de la consommation de plus en plus importante de ces ressources fossiles, c’est leur pénurie qui commence à se faire sentir (on ne parvient plus à augmenter la production mondiale de pétrole bien que tous les robinets soient ouverts en grand). Les débats concernant les réserves de ressources énergétiques fossiles ne sont pas clos mais, ce qui est certain, c’est qu’elles vont s’épuiser. Par conséquent, soit nous maîtriserons rapidement de nouvelles sources susceptibles de fournir des quantités très importantes d’énergie et notre civilisation pourra poursuivre son chemin, soit nous n’y parviendrons pas, auquel cas son déclin sera inéluctable. De plus, nous avons vu ci-dessus que le rythme des découvertes scientifiques diminuait régulièrement malgré l’augmentation continue des moyens mis en œuvre, ce qui, si cette tendance se confirme, pourrait nous condamner à la stagnation. La baisse continue de la croissance des économies les plus développées est peut-être le signe d’un certain essoufflement scientifique et d’un début de pénurie énergétique.
    Il ne fait aucun doute que la pénurie énergétique cumulée à la stagnation scientifique remettrait totalement en cause l’avenir de la civilisation industrielle et que, dans un tel cas, le retour à une civilisation moins complexe s’imposerait. Le déclin de notre civilisation n’est donc pas écrit mais il est, selon Joseph Tainter, possible :
        « Si l’effondrement n’est pas pour le futur immédiat, cela ne revient pas à dire que le niveau de vie industriel bénéficie également d’un sursis. A mesure que les rendements marginaux baissent (un processus en cours) jusqu’au point où un nouveau subside d’énergie sera mis en place, le niveau de vie dont les sociétés industrielles ont bénéficié ne croîtra pas si rapidement, et pour certains groupes et nations, il restera statique ou baissera … Bien que nous aimions nous considérer comme des êtres spéciaux dans l’histoire du monde, les sociétés industrielles sont en fait soumises aux mêmes principes qui ont provoqué l’effondrement d’anciennes sociétés. Si la civilisation s’effondre à nouveau, ce sera à partir d’un échec à tirer profit du sursis actuel ».
    Bruno Guillard, 15/11/2013
    Joseph A. Tainter, L’Effondrement des sociétés complexes, Editions « Le Retour aux sources », 2013, 318 pages.
    http://www.polemia.com/leffondrement-des-societes-complexes-de-joseph-a-tainter/

  • Le mythe du programme du CNR

    Il sert encore de socle au monopole de la sécurité sociale. Enfonçons donc le clou aujourd'hui encore de ce mensonge communiste, que nous évoquions dans notre précédente chronique. (1)⇓

    Vu en effet sous l'angle de l'Histoire on ferait injure au souvenir des patriotes de la résistance en présentant le document "Les Jours Heureux", pompeusement et tardivement appelé "programme du CNR", comme l'émanation de leur volonté, représentant effectivement leur combat commun.

    Ce texte, gros tract de 6 pages, est daté de mars 1944. Il ne reflète certainement pas l'intention de Jean Moulin, arrêté en juin 1943. Il s'écarte très largement, et plus encore il rejette, les conclusions libérales des travaux très sérieux du Comité général d'études de 9 membres que l'unificateur de la résistance intérieure avait mis en place. Il n'exprime donc en aucun cas le point de vue d'ensemble des combattants et des réseaux clandestins luttant contre l'occupant sur le territoire français.

    La première, la plus éclatante raison devrait sauter aux yeux.

    Quelque 3 à 5 % de la population de l'Hexagone sur les quatre années noires peuvent être considérés comme ayant participé à cet immense combat. (2)⇓ Ces hommes et ces femmes se réclamaient pour la plupart d'une aspiration nationale et non partisane. (3)⇓

    Il s'agissait donc pour eux de libérer leur pays tout entier. Comment le mettre en doute ? À leurs yeux n'en étaient écartées qu'une poignée de traîtres et une très petite minorité d'égarés. Cette perspective ne pouvait donc coïncider avec ce que les politiques désignent sous le nom de "programme". (4)⇓

    La deuxième objection regarde bien évidemment l'expression du débat interne, au moment considéré, entre les divers réseaux, de toutes obédiences, au-delà même de leur unification dans l'action.

    On a beaucoup évoqué, dans les 25 dernières années encore, et notamment depuis le procès de Lyon en 1987 (5)⇓ le tragique rendez-vous de Caluire de juin 1943. Sans insister inutilement sur le rôle très suspects du couple des militants staliniens Aubrac (6)⇓ on admettra que le secret en fut partagé par trop de gens. Dès lors la fuite de son information au bénéfice des structures de répression ne saurait surprendre quiconque a pu mesurer les difficultés inhérentes à toute action clandestine, et les règles de sécurité qu'elles impliquent. Un réseau urbain tient ainsi rarement plus de six mois.

    À débattre sur un programme dans un tel contexte on risque de se diviser gravement. On doit aussi malheureusement évoquer le développement d'une sordide guerre civile qui se radicalisera progressivement, à partir de janvier 1943 et des chaînes de représailles locales. En ce sens le document "Les Jours Heureux" s'inscrit de façon très réaliste dans cette atmosphère. On ne doit pas s'étonner ce soi-disant "programme du CNR" de 6 pages accorde plus d'importance à la vengeance qu'à ce qu'on appelle aujourd’hui la retraite par répartition. Le terme, qui ne veut rien dire, n'est pas employé en ce temps-là. Et le mécanisme lui-même remonte au gouvernement de l'amiral Darlan et à la charte du travail de 1941. Il sera simplement confirmé par les fameuses ordonnances de 1945, dont on prétend aujourd'hui qu'elles auraient fondé un modèle social français intangible et indépassable. Soulignons d'ailleurs que ni en 1941 ni en 1945 on n'envisage la "généralisation de la sécurité sociale" (7)⇓ mais simplement une protection accordée aux travailleurs les plus démunis. Cette idée de généralisation remonte à la loi d'Ambroise Croizat de 1946. Supposée entrer en en vigueur le 1er juillet elle se heurtera dès le 11 juillet à la grève des cadres Elle ne s'imposera dans la pratique qu'avec le plan Juppé de 1995-1997, soit un demi-siècle plus tard. (8)⇓

    On ne peut pas confondre par conséquent un texte de combat, très court et très vague avec un projet de société.

    Les rédacteurs du texte étaient quatre communistes (9)⇓ et non seize représentants de toutes les tendances de la résistance.

    Ces gens n'ont pas pu consulter les réseaux, et ils se sont évidemment gardés d'une telle démarche, se contentant de deux ou trois réunions dans une ferme de la région parisienne entre janvier et mars, autour d'un brouillon rédigé par Villon. Dans la plus pure tradition marxiste, léniniste et stalinienne ils appellent à l'action concrète, "dialectique", contre l'ennemi qu'ils désignent à ce moment précis. Il faut lire la presse communiste pour le comprendre. Quand L'Huma parle en 1944 de "la haine devoir national", "à chaque Parisien son Boche", il ne s'agit pas d'une figure de style. Le financement public de la protection sociale passe, pour le moins, au second rang. Il n'en sera question que beaucoup plus tard, de manière toujours superficielle et démagogique du reste.

    Thorez l'a dit une fois pour toutes, il suffit de "faire payer les riches".

    Que ferait-on sans eux n'est-il pas vrai ?

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/2013/11/le-mythe-du-programme-du-cnr.html

    Apostilles
    1) cf. L' Insolent du 21 novembre ."Les jours heureux du parti communiste"
    2) Le rapport Kaltenbrunner de 1943 évalue à 80 000 personnes en zone sud et 25 000 en zone nord les effectifs de l'Armée secrète. Il la prend très au sérieux et lui accorde une importance très supérieure à la place qu'elle occupe dans L'Histoire de la seconde guerre mondiale de sir Basil Lidell Hart qui fait ordinairement référence.
    3) Ainsi, quand Daniel Cordier rencontre Jean Moulin, dont il va devenir le plus proche collaborateur, il vient lui-même de l'Action française, et ne s'en cache pas, cependant que le créateur des Mouvements unis de résistance, fondateur et premier président du CNR appartenait au grand orient et avait soutenu le front populaire.
    4) Rappelons ainsi, à l'intention des quelques personnes sincères qui s'en réclament aujourd'hui encore, que le général De Gaulle a toujours exprimé sa propre réticence sinon son évident mépris pour ce concept qu'il jugeait, à juste titre, politicien.
    5)Compte tenu de son importance historique exceptionnelle la chaîne franco-allemande Arte fut autorisée à en diffuser les images.
    6) cf. dans L'Insolent du 17 avril 2012
    7) c'est cela et pas autre chose que dénoncent les adversaires du monopole.
    8) cf. L'Insolent du 6 novembre "Un combat de trop de la Sécu monopoliste ?"
    9) cf. L'Humanité le 19 novembre.

  • Opération montgolfière à Annecy

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    Michel Janva

  • La beauté de la Vie !

    Cette vidéo de sept minutes fait le « buzz » international. Des millions de personnes ont déjà regardé cette séquence consacrée à la première année d’un bébé prématuré, le petit Ward Miles, pesant moins de 700 grammes à la naissance qui s’est faite trois mois et demi avant terme.

    Un document extrêmement émouvant qui montre la beauté de la Vie.

    http://medias-presse.info/la-beaute-de-la-vie/2843

  • Ceux qui bravent les valeurs de la République hollandiste !

    Pour s’en être pris à un radar, une étudiante vient d’écoper de 6 mois de prison avec sursis et 175 h. de travail d'intérêt général.

    La France du bras-de-fer permanent : c’est l’impression que tout à chacun a ressenti tout au long de l’année et plus encore depuis la fin de l’été… Après les manifestations de la Manif pour tous – colossales mais pacifiques, contrairement à ce qu’ont tenté de faire croire Manuel Valls et Jean-Marc Ayrault – et, malheureusement, sans résultats ponctuels, ce sont celles des Bonnets rouges qui, elles, ont fait reculer le gouvernement. Par leur violence.

    En annonçant la suspension de l’impôt controversé, le gouvernement espérait calmer les esprits, mais sans doute échauffés par tant de promesses non-tenues, les émeutiers bretons ont tout de même tenus à détruire cinq de ces portiques tant honnis… et pour bien faire comprendre au gouvernement leur détermination, ont détruit les radars-rackets qui polluaient leurs routes : 48 au total pour cette seule région auxquels on peut ajouter ceux, incendiés, à Lacanau (Gironde), Sainte-Colombe-en-Bruilhois (Lot-et-Garonne) et Habas (Landes).
    « L’ensemble de ces dégradations représentent une facture pour l’État de plusieurs millions d’euros. Le coût moyen d’un radar est en effet de 30 000 euros », nous apprend TF1.

    Toucher ainsi l’État au portefeuille, c’est finalement lui rendre la pareille… à en croire Philippe Vénère, professeur de droit à l’université Paris-VIII, mais surtout ancien commissaire divisionnaire qui considère avoir été « placardisé » de 1992 à 1996 au tribunal de police de Paris, à traiter… les réclamations des conducteurs !

    Philippe Randa  la suite

  • Cognac : le Parti de Gauche veut interdire les Veilleurs

    Le Parti de Gauche de Cognac veut faire interdire les Veilleurs. Il semblerait que la présence de ces vigilants pacifistes dérangent l’élu de gauche local, Serge Lebreton. Soutenons les Veilleurs contre le Parti de Gauche ! Le Printemps Français

    Lu sur Sud-Ouest :

    Conseil municipal de Cognac : Serge Lebreton veut déloger les Veilleurs Les élus du Parti de gauche veulent interdire la présence des Veilleurs, réunis tous les mercredis en ville.

    Les Veilleurs continuent leur réunion, et ce depuis le mois d’avril. (Archives « sud ouest » )

    Si l’on ne devait retenir qu’une discussion lors du Conseil municipal d’hier, ce serait celle concernant une question de l’élu du Parti de gauche, Serge Lebreton. Les huit petits points à l’ordre du jour ont été pliés en moins de trois-quarts d’heure. C’est donc en fin de Conseil que Brigitte Bonneau a lu le texte écrit par Serge Lebreton, lui-même absent jeudi soir.

    Ses propos voulaient mettre le doigt sur la présence, tous les mercredis soir, d’une petite poignée de personnes sur la place François-Ier, réunis sous le nom de Veilleurs et anti-mariage pour tous. « Nous avons été alertés par des citoyens que les Veilleurs tiennent des propos homophobes et caricaturaux, a lu Brigitte Bonneau. Ils chantent des prières au micro et appellent à la haine. Nous demandons au maire de faire cesser de tels agissements relevant d’un intégrisme qui n’a pas sa place à Cognac. »

    « Illuminés religieux » [sic]

    Michel Gourinchas, le maire de Cognac, a confirmé avoir reçu une pétition qui demandait de faire évacuer les Veilleurs. Pour autant, « ils ne gênent pas la vie publique, et ils ne sont pas nombreux, a-t-il rétorqué. La paix civile n’est pas menacée. D’après moi, le fait d’en rajouter donne de l’éclat à leur action. Ce que, j’imagine, vous n’aviez pas prévu. »

    Les échanges ont alors doucement glissé sur le terrain sensible des croyances religieuses, lorsque Brigitte Bonneau n’a pas hésité à dire qu’« on n’aurait certainement pas laissé d’autres religions faire ça. »

    L’élue UMP de l’opposition, Émilie Richaud a, quant à elle, voulu rappeler « qu’aucune prière n’est dite, et que les Veilleurs veulent juste prendre part à la vie publique. Je rappelle au maire qu’il les a déjà qualifiés “ d’illuminés religieux ”… »

    La question est donc finalement restée en suspens. Le maire n’a visiblement pas l’intention de répondre par l’affirmative aux demandes de Serge Lebreton.

    Les Veilleurs continuent tous les mercredis soir à manifester pacifiquement contre le mariage pour tous. Le mouvement se rassemble depuis le mois d’avril, sans discontinuer.

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Cognac-le-Parti-de-Gauche-veut

  • Les Etats européens ont versé 1600 milliards d’euros d’aides aux banques depuis la crise

    Les aides d’Etat accordées au secteur financier dans l’Union européenne se sont élevées au total à 1.600 milliards d’euros entre le début de la crise en octobre 2008 et fin décembre 2011 selon un document publié vendredi par la Commission européenne. Cette somme représente 13% du PIB de l’UE, selon le tableau de bord des aides d’Etat portant sur 2011. La grande majorité, soit 67%, était constituée de garanties publiques sur le financement des banques.

    L’année 2011 a également été la dernière où la Commission a appliqué des règles temporaires en matière d’aides d’Etat pour aider l’économie réelle en période de crise. Ce type d’aide, accordé à l’ensemble de l’économie, a représenté 48 milliards d’euros en 2011, soit 0,037% du PIB de l’UE et une diminution de plus de 50% par rapport à l’année précédente. Cela reflète, selon la Commission, à la fois un faible recours à ces aides par les entreprises et les contraintes budgétaires qui pèsent sur la plupart des Etats.

     

    Le total des aides non liées à la crise à diminué, atteignant 64,3 milliards d’euros en 2011, soit 0,5% du PIB européen. Il s’agit “d’une tendance à la baisse sur le long terme”, a indiqué Antoine Colombani, porte-parole du commissaire européen à la Concurrence, Joaquin Almunia, soulignant que ces aides représentaient encore 2% du PIB de l’UE dans les années 1980. Enfin, selon le tableau de bord, fin juin 2012, environ 85% du montant total des aides illégales, car contraires aux règles européennes de la concurrence, avait été reversé par leurs bénéficiaires aux autorités. Cela représente plus de 13,5 milliards d’euros.

    L’Expansion

    http://fortune.fdesouche.com/334587-les-etats-europeens-ont-verse-1600-milliards-deuros-daides-aux-banques-depuis-la-crise-2#more-334587