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Familles en colère à Versailles, Blois et Montpellier
Etape 1, revêtir le sweat politiquement incorrect :
A Blois, l'organisation se met en place :
De même à Versailles, place d'Armes :
Tugdual Derville est déjà sur place :
Les bonnets rouges, avec nous !
Le soleil est au rendez-vous, la température agréable. Les familles en colère affluent. De même à Montpellier :
Versailles :
Ludovine de La Rochère est à Blois :
Versailles :
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L'euro, c'est le vol !
En cas de crise, les banques pourront prélever les dépôts des épargnants
Les représentants de l’Union européenne ont décidé de mettre à contribution les épargnants à partir de 2016.
Après la ponction des épargnants chypriotes cette année et l’idée émise par le FMI d’une supertaxe de 10% sur le patrimoine, l’Europe vient d’entériner la participation des déposants au renflouement des banques en cas de crise grave. L’accord, scellé mercredi 11 décembre, est passé relativement inaperçu, alors qu’il pourrait être d’une importance capitale pour les épargnants.
Banksters européens en réunion
Les Européens se sont mis d’accord sur une loi prévoyant des règles de renflouement interne des banques, ou "bail-in", afin d’éviter de faire participer les Etats au sauvetage des établissements financiers.
"Grand pas franchi ce soir : accord #BRRD pour 28", a écrit sur son compte twitter le commissaire européen chargé des Services financiers, Michel Barnier, en référence à la directive sur le sauvetage des banques. "Contribuables ne seront plus premiers à payer pour erreurs des banques", a-t-il ajouté.
"C’est un pas fondamental vers la réalisation de l’union bancaire", a assuré Michel Barnier dans un communiqué. [...]
La suite sur Challenges
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Les chrétiens de Syrie vont prendre les armes !
« Tout jeune chrétien capable de porter les armes pour défendre la Syrie, les églises et les couvents qui font l’objet de destruction au main des groupuscules armés », a lancé l’évêque Lucas al-Khoury, l’adjoint patriarcal du Patriarche d’Antioche et de l’Orient pour les Grecs orthodoxes dans un appel qui est le premier du genre depuis l’éclatement de la crise syrienne.
Selon lui, le jeunes insistent pour agir pour face aux agressions méthodiques infligées aux régions chrétiennes et qui ont d’après lui ont pour but d’effacer l’identité culturelle et historique des Chrétiens.
« Nous n’allons pas rester les bras croisés et nous sommes pas non plus un souffre-douleur. Nous avons beaucoup de jeunes qui nous ont demandé d’agir. Nous attendons les prescriptions du patriarcat, nous allons attendre deux jours pas plus pour entamer notre action.... Nous étions un peuple de prière et de paix, mais avec des gens pareils, ni la prière ni la paix n’y font rien », a-t-il ajouté pour le site « al-Zamane » (Le temps).
« Les Chrétiens ne quitteront de la Syrie que de leur plein gré, ils sont attachés à leur terre...Le Christianisme et l’Islam cohabitent ensemble depuis 1600 ans », a-t-il ajouté, demandant aux organisations humanitaires internationales de faire pression sur les pays qui arment et envoient les miliciens.
Selon lui, les miliciens veulent vider la Syrie non seulement des Chrétiens mais de tous les gens, et veulent « tuer les gens qui ne les soutiennent pas » Révélant que plus de 40 églises et lieux de culte chrétiens ont été détruits et saccagés à travers toute la Syrie, l’évêque Lucas a accusé les organisations internationales d’être de mèche dans la conspiration contre la Syrie : « qu’a donc fait l’organisation des Nations Unies pour la Syrie. Qu’elle s’efforce de faire cesser le flux des armes en Syrie et fasse pression sur les pays qui soutiennent les miliciens et les poussent au combat », s’est-il interrogé en allusion à l’Arabie saoudite en particulier.
L'évèque a egalement douté du témoignage diffusé par quelques unes des 12 nones enlevées du couvent de Mar Takla à Maaloula, sur la chaine de télévision qatari al-Jazeera, estimant qu’elles ont été contraintes à tenir ces propos.
Nous sommes très très satisfaites
Dans une brève vidéo diffusée vendredi, ces religieuses du monastère grec-orthodoxe ont assuré être sorties de leur plein grè de leur couvent, en répondant aux questions d'un homme qu'on ne voit pas. Certaines baissent la tête au passage de la caméra.
"Un groupe nous a amenées ici et nous a protégées, et nous sommes très très satisfaites d'eux", déclare l'une des religieuses.
Une autre explique qu'elles sont installées dans "une très très belle villa" ! L’enlèvement des religieuses de leur couvent a été signalée lundi, quand des rebelles du Front Nosra ont pris le contrôle de cette ville chrétienne et y saccagé les églises.
Mardi, des responsables religieux avaient annoncé que les 12 religieuses, accompagnées de trois domestiques, se trouvaient à Yabroud, une localité au nord-est de Maaloula, près de la frontière libanaise. Sur la vidéo, l'une des soeurs parle de 13 religieuses et trois "civils". Des sources assurent qu'elles ont été enlevées par la milice d'al-Qaïda du front al-Nosra. -
Paris Violence "Adieu Camarade" (Clip officiel)
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Quand on a que la peur...
Alors que rien ne fonctionne dans la boîte à outils hollandaise, le pouvoir tente d'unir les Français qui veulent jouer à se faire peur. Kit antiraciste, mode d'emploi.
Les avantages du discours antiraciste sont depuis longtemps connus. Il permet à n'importe qui de se mettre du côté des « dominés » contre les « dominants », des « opprimés » contre les « oppresseurs ». Cette dialectique est séduisante en diable : une fois construite l'opposition entre deux groupes, être du bon côté permet de critiquer l'intégralité de la position adverse sans même prendre la peine de répondre aux arguments. Car le dominant qui se défend ne fait que reproduire sa domination, et refuser d'entendre sa défense n'est que la légitime conquête de la liberté.
Il est bien sûr piquant d'admirer en quoi la posture antiraciste ainsi comprise est surtout a. une magnifique machine à fabriquer de la terreur intellectuelle et b. le support idéal des idiots utiles de tous bords. L'invention du concept d'islamophobie par l'Organisation de la Conférence Islamique dans les années 1970 est exemplaire. Quarante ans plus tard, la moindre critique concernant l'attitude la plus scandaleuse (mariages forcés et consommés des fillettes pré-pubères, au hasard), l'événement le plus sordide ou les déclarations les plus inquiétantes, est immédiatement qualifiée d'islamophobe par les musulmans et par les idiots utiles.
Du côté des bourreaux
Cette nazification du discours de l'autre est parfaite pour interdire tout débat, délégitimer toute parole, empêcher tout discours historique, récuser tout comparatisme culturel. Son effet le plus pervers est d'encourager un rapport au temps schizophrène et hystérique, qui veut que tous les péchés passés du prétendu oppresseur, selon les règles actuelles d'appréciation édictées par les antiracistes, soient éternellement actualisés, lui soient éternellement opposables et vaillent éternellement absolution de tous les péchés présents du soi-disant opprimé. Au nom des croisades occidentales (dont on se garde bien de connaître l'histoire exacte), il est légitime que les chrétiens soient aujourd'hui massacrés. C'est là que l'antiracisme révèle tout son génie : il autorise l'apôtre de la paix à être du côté des bourreaux. C'est un chef-d'œuvre de double-pensée orwellienne. On ne peut même pas parler de contradiction, puisque tout ce qui vise à annihiler l'oppression (et quoi de plus simple que de supprimer l'oppresseur ?) est par nature pertinent.
Exclusion maximale
L'antiracisme se double aujourd'hui d'une dénonciation clinique de l'autre : judéophobe, homophobe, islamophobe, il s'agit d'abord et avant tout de dénoncer la maladie, de désigner le malade, d'établir un périmètre sanitaire, d'éliminer le risque de contagion. Car toutes ces maladies sont devenues mortelles : là où les militants voyaient des adversaires à convaincre, l'antiraciste ne voit plus que de dangereux morts-vivants. C'est la paranoïa qui le guette désormais. Il n'hésite plus, dans un processus révolutionnaire classique, à dénoncer quiconque n'est pas absolument d'accord avec lui. Cette reductio ad absurdum du « vivre ensemble républicain » aboutit en fait à exclure de plus en plus, d'une part (c'est ainsi que tous les opposants à François Hollande, sages-femmes ou paysans, camionneurs ou urgentistes, sont forcément d'extrême-droite), et créer des communautés séparées, d'autre part, chaque opprimé se trouvant plusieurs oppresseurs - outre le Français chrétien adepte du bien commun.
Le musulman a le droit de détester le juif (les discours musulmans antisionistes sont d'une brutalité ahurissante), l'homosexuel a le droit de craindre le musulman (la gauche horrifiée dénonce l'inquiétante dérive nationaliste des homosexuels), la lesbienne peut dénoncer l'oppression mâle des militants gays, le Breton, Paris, etc.
Le pays légal n'est plus qu'un vaste tourbillon de communautés haineuses, aux alliances de circonstances mais aux antagonismes fondamentaux, qui luttent pour exercer un pouvoir totalitaire sur les esprits.
Quant à ceux qui détestent être pris en otages, et pensent que la politique ne consiste pas à choisir entre antisémites et islamophobes, tant pis pour eux.
Hubert Champrun monde & vie 3 décembre 2013 -
Jour de Colère recrute
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Le mercantilisme
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Euthanasie : les paranos de Dieu font le ménage !
Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières qui se prennent « pour Dieu le père »...
Ludivine Chambet, aide-soignante d’une maison de retraite de Chambéry, est mise en examen et écrouée pour avoir empoisonné neuf pensionnaires. Trois seulement en ont réchappé. Six autres, non !
Tout médecin rencontre au moins une fois dans sa carrière confrères ou infirmières – plus rarement aide-soignantes – qui se prennent ainsi « pour Dieu le père » et décident souverainement qui est « au bout du rouleau » ou qui doit continuer encore son existence, recevoir des soins palliatifs… ou non !
Le plus troublant est que ceux-ci estiment « en leur âme et conscience » que « les autres » font de l’acharnement thérapeutique et qu’ils s’arrogent le droit de s’élever contre. En quelque sorte, ils s’estiment investis du devoir d’exécuter une mission, persuadés qu’elle est d’ordre divin, ou fondée en éthique, même ceux et celles qui ne croient pas plus que cela en dieu ou en diable. « Il s’agit, en fait, d’un conflit de conscience éthique où un individu paranoïaque s’estime meilleur juge que le médecin ou le confrère qui, jusqu’à présent, a dirigé les soins du malade », témoigne le Dr Bernard Plouvier, ancien chef de service hospitalier, spécialisé en médecine interne. « Ces individus de structure mentale paranoïaque s’estiment investis de la mission de “faire le ménage” : c’est-à-dire de mettre fin, par une décision unilatérale, à des soins qu’ils jugent inutiles et donc d’interrompre une vie qu’ils estiment “invivable”. Parmi eux, beaucoup d’hospitaliers qui estiment que les médecins généralistes ont trop fait durer la survie du patient. »
Depuis l’arrestation de l’aide-soignante de Chambéry, les médias cherchent pourtant à comprendre ce qui a motivé cette jeune femme de trente ans à commettre ses actes irréparables. Est-ce la longue agonie de sa mère leucémique ? Sa fille en aurait été traumatisée. Ceci expliquerait cela.
Seul hic, le vice-procureur chargé de l’affaire décrit Ludivine Chambet comme une jeune femme « sereine », aux propos cohérents. De son côté, son oncle explique que « c’était pas quelqu’un de méchant. Je ne pense pas qu’elle aurait fait ça pour leur faire du mal. »
Du mal ? À l’exception de quelques rares et autoproclamés « possédés », est-ce qu’un seul dictateur, un seul tortionnaire, un seul serial killer a jamais reconnu avoir agi pour « faire le mal » ? Tous affirment toujours avoir fait œuvre de salubrité publique parce que tel était leur devoir…
Si le débat sur l’euthanasie reste d’actualité et déclenche toujours les passions, il n’en est pas de même de ceux qui décident seuls de la vie et de la mort de leur semblable et passent à l’acte au nom d’une morale qui n’appartient qu’à eux.
Une morale qui n’est ni celle des partisans ni celle des opposants de l’euthanasie : elle est celle de tout criminel, conscient de ses actes, mais faisant fi des repères communs à ses semblables.Et ils deviennent, de fait, les pires ennemis des partisans d’une « fin de vie dans la dignité » qui, eux, ne conçoivent celle-ci qu’entourée de toutes les garanties possibles, non seulement familiales, mais plus encore médicales et judiciaires. Voire religieuses.
Philippe Randa -
Soirée nationale du Grenelle le 11 janvier 2014 à la Mutualité
Compte-rendu du Grenelle de la famille avant-hier à Montreuil :
Formidable soirée au Palais des Congrès Paris-Est-Montreuil pour conclure les 4 réunions départementales du Grenelle de la Famille de La Manif Pour Tous sur la paupérisation des familles.
Comme d'habitude avec La Manif Pour Tous, l'ambiance était conviviale et détendue malgré la présence dans le quartier de 2 camionnettes d'antifa en maraude ! Elles ont juste servis à "stimuler" un peu plus les organisateurs de ce Grenelle !Plus de 150 personnes ont écouté Atanase Périfan, Jean-Marie Andrès, Franck Meyer et Camel Bechikh approfondir le sujet. Merci à eux. Malgré la mobilisation plutôt faible, la richesse des interventions et propositions en a fait une soirée exceptionnelle ! Les présents ont été ravis de cette qualité !Marie-Gabrielle, des Mères Veilleuses, est passée nous rapporter leurs déboires avec les CRS lundi dernier... tout simplement pour déposer une lettre à Mme Bertinotti !Pour clore la réunion, Ludovine de la Rochère a présenté la situation actuelle d'attaques continues et systématiques du gouvernement contre les familles. Elle a appelé aux différentes manifestations de ce WE (pour nous Versailles, dimanche à 14h30, Place du Château) et annoncé la soirée nationale du Grenelle le 11 janvier à la Mutualité !ON NE LÂCHE RIEN, JAMAIS, JAMAIS !!!Lien permanent Catégories : actualité, anti-national, France et politique française, lobby, tradition 0 commentaire