Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 28

  • Le soutien de l’UMP à Bayrou jette le trouble et fait fuir les adhérents

    Il y a des choses qui passent vraiment mal. L’UMP a décidé de soutenir la candidature de Bayrou à la mairie de Pau. La liste UMP, emmenée par Eric Saubatte, s’est désistée pour apporter son soutien à l’ancien candidat Modem de la présidentielle. Le but est évidemment de faire perdre la gauche et Bayrou semble mieux armé pour l’emporter.

    Si la colère est vive, c’est bien parce que Bayrou a voté Hollande en espérant dans un coin de sa tête qu’il aurait une place dans le gouvernement. Au lieu de ça, les centristes se sont écroulés aux législatives et ils ne pèsent guère dans le paysage politique français. Depuis Bayrou déchante et on peut dire désormais qu’il n’est guère en accord avec la politique de Hollande et qu’il peut se ranger du côté de l’opposition. Mais à l’UMP, on ne lui pardonne pas d’avoir appelé à voter pour le candidat socialiste. Guaino est un des plus remontés contre cette alliance : « Le soutien apporté à François Bayrou ! C’est moralement inadmissible. La morale en politique, ça compte. Non, je ne soutiens pas Bayrou. C’est scandaleux. Il faut prendre l’habitude qu’on ne gouverne pas l’UMP derrière le rideau par de petits arrangements entre notables. » Même écho du côté de Bruno Lemaire : « Les militants, les sympathisants de l’UMP sont comme moi : ils ne comprennent pas. C’est un accord qui ne fait honneur ni à l’UMP ni à la politique en général. Je préfère une défaite dans la clarté à une victoire dans la confusion. »

    Lire la suite

  • Grand remplacement : Valls multiplie les régularisations et les naturalisations mais freine les reconduites à la frontière

    Le Figaro publie une enquête s’appuyant sur les chiffres de la police aux frontières. Ils démontrent que les éloignements d’illégaux étrangers ont diminué l’année dernière.

    L’heure du premier bilan de plein exercice a sonné pour Manuel Valls.

    Or concernant l’immigration clandestine, les chiffres auxquels Le Figaro a eu accès ne sont guère rassurants. Ceux que nous publions sont tirés pour l’essentiel du logiciel Pafisa, l’outil de travail de la police aux frontières (PAF). [...]

    L’enquête ici.

    Dans le même temps : les naturalisations et les régularisations sont en hausse. Ou comment notre "chance pour la France" de ministre de l’intérieur se prépare des électeurs pour 2017 : ici

    Sans compter sa fausse fermeté sur les Roms... Ici

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Grand-remplacement-Valls-multiplie

  • Rendez-vous le 26 janvier !

  • Valls veut encadrer Twitter

    Pour ceux qui croient encore qu'internet est un lieu de liberté : 

    "Le ministre de l'Intérieur a ajouté que le réseau social américain avait accepté  de collaborer activement  avec les autorités  françaises en matière de surveillance : "Twitter s'engage à procéder au gel des données d'enquête  sur simple courriel, sans aviser les utilisateurs si les enquêteurs demandent expressément à ce que ces mesures restent confidentielles" . Si cet accord est effectivement mis en pratique, il s'agit d'une avancée importante pour la police française, car aux Etats-Unis, Twitter s'est battu contre ce type d'injonctions, avec succès. Après un long combat judiciaire dans le cadre de l'affaire WikiLeaks, il a obtenu le droit de prévenir ses utilisateurs quand le FBI saisit leurs données personnelles, même si les policiers auraient préféré que la saisie reste secrète.  Une fois prévenu, l'internaute visé peut ainsi préparer sa défense plus efficacement.

    En outre, Manuel Valls a précisé que  la police française allait pouvoir  obtenir ces données personnelles très facilement , "sur simple réquisition, pour les affaires (...) d'une particulière gravité, qualifiées de "serious crime" (en anglais dans le discours)Il a également annoncé que Twitter acceptait  d'exercer directement une forme de censure partielle  : "le déréférencement des hashtags à succès, mais illicites, quand ils apparaissent dans les "Tendances" de sa page d'accueil -  l'objectif étant de"limiter leur résonance (...) De telles mesures ont déjà été prises à la demande des autorités ou d’associations françaises telles que SOS Homophobie."

    Enfin, Manuel Valls a fait savoir que le "formulaire de signalement public" ,  permettant à n'importe qui  de dénoncer un contenu considéré comme indésirable, serait rendu plus facile d'accès".

    Lahire  http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Manifestation en Allemagne contre la théorie du genre et le système totalitaire qui se met en place

    stop-éduc-sexuelle-MPI

    Allemagne – A Cologne, le samedi 18 janvier 2014, des parents ont organisé une manifestation contre les cours obligatoires d’éducation sexuelle qui font notamment la promotion de la théorie du genre.

    Dès la maternelle, les enfants y  sont confrontés à un contenu explicite les invitant à tester sur eux des pratiques inconnues à leur âge.

     Besorgte Eltern est le mouvement organisateur de cette manifestation qui a rassemblé plus d’un millier de parents. Les manifestants voulaient dénoncer le contenu immoral, scandaleux et contre-nature de ces cours d’éducation sexuelle mais aussi alarmer l’opinion publique à propos des condamnations infligées aux parents qui refusent que leurs enfants assistent à ces cours.

    Des familles ont reçu une amende pour avoir gardé leur enfant à domicile durant ces cours d’éducation sexuelle. Mais les parents qui ont persévéré ont ensuite subi une condamnation de 40 jours de prison !

    Lire la suite ....

  • Des Sentinelles place de la Concorde

    221 ans après l'assassinat du roi Louis XVI, l'assemblée nationale vote le droit à l'asassinat de l'enfant sans condition.

    5

  • Avortement : Alliance Vita dénonce une régression pour les femmes

    L'association réclame par ailleurs une meilleure information des femmes enceintes :

    "Pour Alliance VITA la suppression de « la situation de détresse » nie la réalité de ce que vivent les femmes lors des grossesses imprévues : les femmes se retrouvent trop souvent confrontées à un « choix » à sens unique, faute d’une information impartiale et complète et d’une vraie politique de prévention de l’IVG pour celles qui souhaitent pouvoir poursuivre leur grossesse et être soutenue en ce sens.

    Pour Caroline Roux, secrétaire générale d’Alliance VITA et coordinatrice des services d’écoute dont SOS Bébé sur toutes les questions liées à la maternité :   « Comment peut-on croire qu’il suffise de supprimer un mot d’un texte pour faire disparaître la réalité qu’il recouvre ? Les femmes n’ignorent pas que c’est la destinée d’un être humain qui est en jeu. D’où un dilemme souvent douloureux. Nier la détresse déresponsabilise encore plus la société : les pouvoirs publics ont renoncé à une vraie politique de prévention de l’IVG, en cas de grossesse imprévue ou difficile. Les hommes à leur tour sont déresponsabilisés. Beaucoup de femmes nous disent qu’elles seraient prêtes à poursuivre leur grossesse si elles se sentaient soutenues par leur compagnon. Pour les plus jeunes, c’est le soutien des parents qui est décisif. Ce qui nous préoccupe particulièrement c’est le contexte économique et social. Tant de femmes craignent pour leur emploi ou leur avenir. Cette question est si prégnante que le Défenseur des droits a dû lancer des campagnes pour rappeler les droits des femmes enceintes et le devoir de non-discrimination à l’embauche et durant leur carrière. Les mesures concernant l’IVG sont d’autant plus choquantes dans un texte qui prétend faire avancer l’égalité entre les femmes et les hommes. »

    Pour Tugdual Derville, délégué général d’Alliance VITA : « Une autre politique est urgente pour soutenir les femmes qui sont nombreuses à vouloir éviter l’IVG : instaurer une vraie prévention quand la grossesse a déjà commencé. La grande surprise révélée par l’INED, c’est que 72% des femmes qui recourent à l’IVG étaient sous contraception lorsqu’elles sont devenues enceintes. Ce qui fait défaut, c’est l’écoute  et l’information. C’est un paradoxe de voir le gouvernement menacer ceux qui donnent une information peu accessible aux femmes quand on sait que, depuis la loi Aubry de 2001, elles ne reçoivent plus le détail des aides publiques qui leur permettraient de poursuivre leur grossesse. C’est pour suppléer cette carence qu’Alliance VITA, sans subvention publique, édite et diffuse un guide des aides aux femmes enceintes très apprécié des travailleurs sociaux. C’est un comble. »

    Alliance VITA demande que soit introduite dans la loi une mesure garantissant une information équilibrée sur les droits, aides et démarches pour les femmes enceintes, seules ou en couple, ainsi que le descriptif de leur protection sociale. Cela pourrait contribuer à résoudre un grand nombre de drames personnels, en présentant aux femmes des perspectives autres que l’avortement."

    http://www.lesalonbeige.blogs.com/

  • Contes et légendes du communisme français : la légende thorézienne

    A une telle école, les dirigeants communistes français allaient à leur tour se distinguer. Autoproducteurs de leur propre histoire, celle-ci se confondit souvent avec des contes et légendes que l’on raconte le soir aux enfants pour les émerveiller. 
    Le premier de ces contes fut publié en 1937 et diffusé à grande publicité. Il s’agissait de Fils du peuple, « autobiographie » signée du secrétaire général du PCF, Maurice Thorez, dont on apprit dans les années 1970 qu’elle avait été rédigée par le critique littéraire de L’Humanité, Eugène Schkaf – un fils de grand bourgeois qui écrivait sous le pseudonyme de Jean Fréville et qui n’avait pas manqué de laisser sa griffe de nègre dans un paragraphe ad hoc connu des initiés. 
    Thorez y était présenté comme un ouvrier modèle venu naturellement au communisme. En réalité, après avoir épousé la nièce du secrétaire de la fédération communiste du Pas-de-Calais, il avait été propulsé à la direction de cette fédération et était devenu permanent du PCF à 23 ans. Repéré par le service des cadres de l’Internationale communiste, il avait alors connu une promotion foudroyante, facilitée par ses capacités politiques et sa souplesse d’échine à l’égard de Moscou : membre du comité central puis du bureau politique à 25 ans, et secrétaire général dès 1930, poste qu’il occupa jusqu’à la veille de sa mort en 1964. Bref, un remarquable itinéraire d’apparatchik stalinien. 
    Plus récemment, grâce à l’ouverture des archives de l’Internationale communiste après l’implosion de l’URSS, on apprit que si Thorez était, dans les années 1930, secrétaire général en titre, il était en fait cornaqué en permanence par un juif slovaque, cadre supérieur de l’IC, Eugen Fried, qui avait la haute main sur la ligne politique, le choix des hommes et le contrôle de l’organisation. C’est en réalité le tandem Fried-Thorez qui avait dirigé le PCF entre 1931 et 1939.

    Stéphane Courtois, Mythes et polémiques de l’histoire

    http://www.oragesdacier.info/2014/01/contes-et-legendes-du-communisme.html