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  • Baccalauréat : le miracle de Calais ?

    Intéressons-nous à une candidate qui détient, peu ou prou, la moyenne record de cette année.   

    Près de 80 % des candidats au baccalauréat 2014 sont déjà reçus. Ce taux s’améliorera encore à l’issue des épreuves de rattrapage, mardi 8 juillet. Si les résultats baissent légèrement en baccalauréat général (-2,2%) ils sont en hausse importante pour les baccalauréats technologique (+7,4%) et professionnel (+4,9%). On se demande comment, avec un tel niveau de réussite pour ce qui est encore officiellement le premier diplôme universitaire, la France se classe si mal dans les évaluations internationales. Mais plutôt que d’ironiser sur des taux qui ne signifient plus grand chose, intéressons-nous à une candidate qui détient, peu ou prou, la moyenne record de cette année.

    Justine Subocz, élève au lycée Pierre de Coubertin de Calais (62) a obtenu une moyenne de 21/20 au baccalauréat S (scientifique). À ceux qui s’étonnent que l’on puisse avoir une moyenne supérieure à 20, précisons que c’est par le jeu des options que cela peut se faire. Les points supérieurs à la moyenne y sont des points bonus. Ceux qui ont plus de 20 de moyenne sont toujours d’excellents élèves, travailleurs et sérieux, qu’il faut féliciter et montrer en exemple.

    Cette moyenne n’est pas un record absolu. En 2013 Caroline Houriet avait eu son baccalauréat avec 21,18 de moyenne. Elle aussi venait du lycée Pierre de Coubertin de Calais. Et l’année d’avant Océane Evrard, toujours du lycée Pierre de Coubertin, avait obtenu 20,71.

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  • Israël: l'ONU dénonce un "nettoyage ethnique"

    L'expert indépendant du Conseil des Droits de l'Homme des Nations Unies pour les territoires palestiniens occupés, l'Américain Richard Falk, a une nouvelle fois dénoncé aujourd'hui la politique d'Israël dans ces territoires, affirmant qu'elle présente les caractéristiques de "l'apartheid" et du "nettoyage éthnique". 

    "La réalité sur le terrain s'aggrave aussi bien du point de vue du droit international que du point de vue du peuple palestinien", a-t-il dit aux journalistes à Genève. Il a notamment accusé Israël "d'efforts systématiques et continus pour changer la composition ethnique de Jérusalem Est", de "recours excessif à la force", de "punition collective" à Gaza, de destructions d'habitations et de construire de plus en plus de colonies. 

    "Il y a une discrimination systématique sur la base de l'identité ethnique, avec l'objectif de changer la démographie de Jérusalem", a-t-il affirmé, appelant cela une forme "de nettoyage ethnique". Depuis 1996 plus de 11.000 Palestiniens ont perdu leur droit de vivre à Jérusalem, a souligné Falk. "Ce que nous appelons occupation est maintenant de plus en plus compris comme une forme d'annexion, une base pour un apartheid dans le sens où il y a un double système légal discriminatoire", a ajouté Falk. 

    Le mandat de Richard Falk expire dans quelques jours, après une mission de six ans qui lui a valu de polémiquer vivement et régulièrement avec Israël et ses soutiens, notamment les Etats-Unis et le Canada. Ce professeur emeritus de l'Université de Princeton, âgé de 82 ans, est lui même juif, ce qui lui permet de balayer toutes les accusations d'antisémitisme dont il a fait souvent l'objet. Il considère que ces attaques visent "à dévier la conversation du message vers le messager". 

    Il a affirmé que la Cour Internationale de Justice devrait examiner le statut légal de cette occupation prolongée par Israël des territoires palestiniens et il a rappelé que cette cour avait en 2004 déclaré illégale la construction de la barrière par Israël isolant ces territoires occupés en 1967, ce qui n'a pas empêché l'Etat hébreu de poursuivre ses travaux.

    Source

    http://www.oragesdacier.info/2014/07/israel-lonu-denonce-un-nettoyage.html

  • Qatar : Scandale d’État et stratégie de conquête du monde (vidéo)

    À l’occasion de la visite en France de l’émir du Qatar, Georges Malbrunot, spécialiste du Moyen-Orient et auteur de “Qatar, les secrets du coffre-fort”, revient sur la stratégie de développement du Qatar, notamment dans le sport.

    TV5 Monde (01/07/14)

    http://fortune.fdesouche.com/

  • Être maire, pour quoi faire ? Comment être maire catholique et patriote en 2014 ? Réponses de trois maires

    Table ronde dirigée par Martial Bild, le directeur de rédaction de TV Libertés, lors du colloque « Catholiques, engagez-vous ! » organisé par Civitas le samedi 5 juillet 2014 à Paris. Charles Berthollet (maire de Rouvray), Hervé Lucbéreilh (maire d’Oloron-Sainte-Marie et conseiller général) et Xavier Lemoine (maire de Montfermeil) participaient à cette table ronde riche d’expériences. Comment être un maire catholique et patriote en 2014 ?

  • France, paradis des militants LGBT du monde entier : nouvelle conséquence de la loi Taubira

    C’est une conséquence de l’adoption par la France de la loi Taubira autorisant le mariage « pour tous ». Hier, mercredi 9 juillet, le Conseil d’Etat a sommé le gouvernement de délivrer sous vingt-quatre heures un visa à un homosexuel sénégalais vivant au Maroc pour qu’il puisse se marier samedi à Creil (Oise) avec un homme français.

    Le Conseil d’Etat considère que le refus de visa porte « une atteinte grave et manifestement illégale à la liberté fondamentale de se marier », puisque le Maroc n’autorise pas les unions entre personnes de même sexe.

    La loi dite Taubira, du 17 mai 2013, ouvrant le mariage aux personnes de même sexe, prévoit que si l’un des époux est ressortissant d’un pays interdisant ce type d’union, le mariage ne peut pas être célébré par les autorités diplomatiques et consulaires françaises – comme c’est fréquemment le cas pour les couples hétérosexuels – mais qu’il doit avoir lieu en France.

    Le Sénégalais en question, résidant à Casablanca, avait entamé des démarches pour épouser son amant français peu après l’adoption de la loi Taubira. Le 26 mai, il avait déposé une demande de visa court séjour au consulat de Casablanca et avait essuyé un refus le 16 juin. Bien informé des procédures, il avait alors fait appel en urgence devant le tribunal administratif de Nantes, qui avait rejeté sa demande, et avait ensuite saisi le Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative.

    Le ministère de l’intérieur avait justifié le refus de visa en évoquant « les antécédents migratoires » du ressortissant sénégalais, déjà venu en France sans papiers en 2010. Le ministère a également mis en doute « la sincérité de l’union »entre les deux hommes, qui ont trente-cinq ans de différence d’âge.

    Le Conseil d’Etat a rétorqué que les deux hommes partageaient un appartement à Casablanca, que le requérant sénégalais avait un emploi stable, et qu’il n’avait pas l’intention de s’installer en France – ben tiens, on en reparlera plus tard. Le ministère de l’intérieur a été condamné à délivrer un visa sous vingt-quatre heures et à verser 5 000 euros à l’homosexuel sénégalais.

    Voilà une jurisprudence qui va faire parler d’elle et va servir de nouveau prétexte migratoire pour faux et vrais militants LGBT du monde entier.

    http://medias-presse.info/france-paradis-des-militants-lgbt-du-monde-entier-nouvelle-consequence-de-la-loi-taubira/12629

  • Amende ridicule requise contre les Femen, encore une mauvaise « blague ».

    Cela fait déjà de trop longues années que la justice française crache son injustice et sa partialité sur tout opposant un peu zelé au système politico-médiatique en place, mais le phénomène s’accélère et gagne en obscure clarté.

    1500 euros d’amende requis contre les Femen pour avoir vandalisé Notre-Dame peinturlurée de slogans haineux envers le Pape, l’Eglise et l’ensemble des catholiques. Cette modique somme ressemble fort à un encouragement à poursuivre cette lutte anti-chrétienne primaire, vulgaire et destructrice.

    Les Femen sont pathétiques et leurs soutiens de moins en moins nombreux. C’est la Justice, et ce qu’elle incarne, qui est inquiétante.

    Relaxe pour l’empoisonnement de sept patients, relaxe pour le viol collectif d’une handicapée, amende ridicule pour ces profanatrices multi-récidivistes… Pendant qu’un Hommen encoure 6 mois de prison ferme pour avoir déployé une banderole à Rolland-Garros, pendant qu’une mère de famille encoure 4 mois de ferme pour avoir « aimé » un photo-montage ridicule comparant Taubira à une guenon sur Facebook, que des jeunes sontmis en examen et placés sous contrôle judiciaire pour être montés sur le toit d’une mosquée en chantier ou pendant qu’Esteban croupit toujours en prison alors que tout prouve qu’il n’a fait que se défendre

    Les exemples sont légion et le message est clair : ce sont les résistants à ce gouvernement, et plus largement à l’idéologie largement partagée à« droite » comme à « gauche » qu’il sert, qui sont poursuivis et condamnés, eux seuls.

    http://www.contre-info.com/

  • George Soros et la drogue : les secrets de Judapest – par Laurent Glauzy (4/5)

    [première partie ici]

    De la Mafia casher à Fidel Castro

    Est-ce alors un hasard si George Karlweis, un proche de Soros, était un gourou financier des Rothschild ? Avec Rober Vesco, il recueillit des milliards de l’Anti Defamation League, le groupe de pression hébraïque fondé en 1913 par le B’nai B’rith. Parmi les financiers de Vesco, il y avait Meyer Lanski, le principal personnage du soi-disant « Syndicat hébraïque », également appelé « Mafia Casher ». Lanski, ancien associé de Lucky Luciano, avec l’aide de son coreligionnaire Bugsy Siegel, mafieux américain de la Yiddish Connection, a créé Las Vegas qui, avant 1945, n’était qu’un village perdu dans le désert.

    Après une première escroquerie de 260 millions de dollars, Robert Vesco est introuvable : de Wall Street, il finit à Cuba où il est accueilli personnellement par le Juif Fidel Castro[1], qui lui assure ne s’intéresser ni à ses activités aux États-Unis, ni à sa fortune.

    D’après plusieurs personnes, Vesco devient un agent des services cubains d’espionnage industriel. Cependant, en 1996, il est accusé de fraude aux dons par Antonio Fraga Castro, cousin du chef. Il écope de treize années de prison. La piste la plus intéressante concernant les réseaux de Vesco provient d’une enquête de Miami, où l’ancien spéculateur de Wall Street fut accusé de trafic de drogue, avec Carlos Enrique Lehder Rivas, mégalomane qui a cofondé le cartel de Medellin avec le fameux Pablo Escobar. Di Lehder Rivas se dit que Vesco était le bras droit du narcotrafiquant yankee George Jung, immortalisé par Johnny Depp dans le film Blow, qui fait l’apologie de la cocaïne.

     

    Donc, dans le livre Dope, Inc, Jeffrey Steinberg explique qu’une partie du flux financier de Quantum Fund, premier fonds offshore de Curaçao, dans les Antilles néerlandaises, créé en 1969 par Soros, pourrait être lié à la plus haute sphère du trafic de drogue mondial. D’ailleurs, Quantum Fund, qui se situe non loin de plantations de coca, est structuré de sorte à échapper à tous les contrôles. Ce n’est donc pas un hasard si ce fonds investit l’argent de ses premiers partenaires financiers, principalement celui de la Banque Rothschild Paris. Pour les besoins de la politique d’entreprise, aucun citoyen américain dans les bureaux de Quantum Fund. Par conséquent, le FBI et les autres organes de contrôle américains ne peuvent enquêter sur ses affaires.

    Les fonds d’investissement de Soros semblent révéler une capacité absolument incroyable à prévoir les fluctuations financières. Un investissement de cent mille dollars réalisé en 1968 lui rapporta, en 1997, une valeur de 353 millions de dollars ! En 1978, le Quantum Fund réalisa un gain de 55 %, avec une capitalisation de 103 millions de dollars — selon ses biographes, ce capital représente lle premier magot de la vraie fortune de Soros.

    Malgré cette richesse inouïe, le prince de Wall Street est contrarié. Son intelligence luciférienne le pousse à ne pas se contenter de ces succès ordinaires. Que faire de cet argent qu’une vie entière ne suffirait à dépenser ? C’est pourquoi, en 1979, Soros forma l’Open Society Institute, centre prétendument « philanthropique » qui lui sert à réaliser ses visions philosophiques, derrière lesquelles se cachent ses projets de rentabilisation de la drogue à l’échelle planétaire.

    L’OSI se présente au monde comme un œuvre caritative, la reine des ONG, un richissime organisme qui applique des politiques mondiales par des voies non gouvernementales, en synergie avec les hautes sphères des pouvoirs transnationaux. Avec l’ONU, où Soros explique que cette supra-gouvernance promeut la non-prohibition de la drogue, l’OSI constitue l’armature de la prochaine dictature mondiale. Si l’Afrique du Sud de l’après-apartheid est une occasion parfaite pour mettre en route ses plans mondialistes, il en est de même pour la Russie postsoviétique, qui constitue aujourd’hui un des intérêts principaux de Soros. Cependant, l’actuel président russe, Vladimir Poutine, est une entrave à ses visées. LeFrankfurter allgemeine Zeitung du 23/6/2014 annonçait que le tsar du Kremlin envisageait de fermer en Russie la chaîne de restauration rapide McDonald’s. En quelques heures, plus de dix mille internautes russes ont appuyé ce projet.

    Soros rêve d’un monde sans États, fondé sur des lois que nous pouvons imaginer sans peine : la toute puissance de l’économie, des multinationales avec, par exemple, cent mille goyim qui triment dans les plantations de canne à sucre du Brésil, servant à la production de l’éthanol, bien plus polluant que n’importe quel carburant. Une réalité que les officines de l’écologie officielle et la presse occidentale liées aux affaires du capitalisme se gardent bien de divulguer. Soros est un des principaux propriétaires de ces plantations, où la moindre révolte est punie de mort. Des prêtres missionnaires, qui avaient pris la défense de ces nouveaux esclaves, ont déjà été tués par des patrouilleurs en jeep[2].

    Préparation d’une société d’esclaves

    Le commerce de la drogue – moyen avec lequel la partie la plus réactive de la société, c’est-à-dire les jeunes, sont anesthésiés, ou plus exactement narcotisés – joue un rôle de première importance dans ce projet gigantesque de redéfinition de l’humanité. Ces générations toxico-dépendantes ne pourront plus se dresser contre le pouvoir qui les dépouille. C’est dans ce dessein qu’en 2011, en pleine crise de la dette, la Grèce se montrait plus tolérante envers les consommateurs de stupéfiants : le ministre de la Justice socialiste, Miltiades Papaïoannou, annonçait la dépénalisation de la consommation et de la possession « en petites quantités » de toutes les drogues. Athènes suit dans ce sens l’exemple de l’Espagne et du gouvernement de Felipe Gonzalez, également socialiste qui, en 1983, dépénalisait la consommation de drogue à titre individuel. Les conséquences furent tellement désastreuses que, dix ans plus tard, ces mêmes socialistes espagnols étaient contraints de faire machine arrière.

    Feuilles de vigne, feuilles de coca

    Dans son autobiographie parue en 1995, Soros on Soros, le milliardaire dépeint un monde de distribution contrôlée, rendant légalement disponible la majeure partie des drogues, excluant les plus dangereuses comme le crack, qui ont l’inconvénient de tuer le client trop rapidement. Initialement, Soros maintiendrait les prix bas pour détruire le narcotrafic. Une fois l’objectif atteint, il augmenterait les prix par le jeu des taxes, mais ferait une exception pour les toxicodépendants enregistrés, à seule fin de décourager le crime qui pourrait entacher ce nouveau commerce. Ce jeu Illuminati présente sous un visage humaniste une véritable culture de mort rentabilisée par ses tenanciers. Une partie de la recette irait à la prévention [pour se défaire de la concurrence] et au moyen de production.

    Soros tire profit des difficultés économiques nationales pour imposer sa culture de mort et ses ambitions affairistes. En 1985, la Bolivie, qui se dirigeait vers l’hyperinflation, semblait incapable de rembourser le Fonds monétaire international. Le gouvernement du sucre appela comme conseiller Jeffrey Sachs. Ce professeur d’Harvard, directeur d’Earth Institute (institut para-écologiste attaché à la théorie mensongère du « développement durable », c’est-à-dire à la décroissance), mit en pratique la shock therapy, la libéralisation totale du marché bolivien, avec l’annulation des taxes sur les importations, jusqu’aux subventions publiques. En outre, il fit indexer la monnaie nationale, le boliviano, sur le dollar. Une recette qu’il tenta d’exporter ensuite en Pologne, en Estonie, en Slovaquie et en Russie, sous la présidence d’Eltsine, de 1991 à 1999.

    Plusieurs observateurs notèrent à l’époque que la grande libéralisation de la Bolivie conduite par Sachs pour le compte du FMI n’était autre qu’un moyen de brader le pays aux narco-mafias. Le célèbre Evo Morales était devenu, en 2006, le chef du mouvement du cocalero, qui défendait les cultivateurs de coca. La Bolivie devint alors un narco-État.

    Dans les années 1990, Morales fut, bien entendu, un pion apprécié de la politique anti-prohibition, financé par Soros et le FMI : l’ennemi était le président-dictateur Hugo Banzer, qui proposait un plan quinquennal pour l’éradication de la feuille de coca.

    De 1990 à 2000, le président péruvien Alberto Fujimori retira 40 % des champs aux narcotrafiquants. Le Département d’État américain, le FMI, l’Human Rights Watchet une pléthore d’ONG cataloguèrent alors ce chef d’État, d’origine japonaise, comme dictateur. Accusé du massacre de Barrios Altos et de violations des droits de l’homme, il s’exila pendant six ans avant d’être extradé vers le Pérou et condamné, en 2009, à 25 ans de prison. Le massacre de Barrios Altos eut lieu le 3 novembre 1991, à Lima. Quinze personnes, dont un enfant âgé de huit ans, ont été tuées par des assaillants identifiés comme les membres du Groupe Colina, un escadron de la mort constitué de membres des Forces armées péruviennes. Comment ne pas voir dans cette opération une manipulation de la CIA qui, de plus, contrôle le commerce mondial de la drogue, conjointement avec les services secrets britanniques ? En outre, l’accusation de violation des droits de l’homme n’est-elle pas le prétexte utilisé par les nations criminelles maçonniques occidentales pour justifier leur droit d’ingérence ?

    Soros versa un million de dollars à Alejandro Toledo, président péruvien de 2001 à 2006. Ce politicien, qui conduisit des révoltes particulièrement violentes, mit en minorité le parti de Fujimori. On pense que l’argent de Soros passait par la femme de Toledo, Éliane Karp, anthropologue à la fois belge, française, américaine et péruvienne, d’origine juive.

    Quand quelqu’un se dresse contre le narcotrafic, il rencontre toujours des opposants financés par Soros. « La guerre à la guerre de la drogue » invoquée par Soros est une réalité sanguinaire, lancée depuis des années sur la scène politique mondiale.

    L’Italie : une conquête de Soros

    [A SUIVRE...]

    Laurent Glauzy

    [1] Si la judaïcité de Castro demeure peu connue en France, elle est souvent avancée dans les ouvrages du théologien catholique (traditionnel) allemand Johannes Rothkranz. Le journal israélien Haaretz du 25/9/2010 cite le président Netanyahou affirmant que « Fidel Castro a une profonde compréhension de l’histoire juive ». Le président cubain affirmait qu’« Israël avait immanquablement le droit d’exister ».

    [2] L. Glauzy, Atlas de géopolitique révisée (chroniques 2003-2010), art.Éthanol : quand Lula rêve d’un tsunami vert, pp. 351-356.

    http://www.contre-info.com/george-soros-et-la-drogue-les-secrets-de-judapest-par-laurent-glauzy-45#more-33581

  • Pourquoi cette paralysie du dialogue social

    Réponse facile, sans doute. Mais il faut la formuler. Quel contraste en effet en cette après-midi entre les titres du Monde, fort pessimistes et les communiqués triomphalistes de l'Élysée vers 18 heures avant même que l'on connaisse la moindre réalité des entretiens entre le gouvernement et les partenaires sociaux

    Comparons en effet :

    1° les Twitts de la présidence :"Qui peut dire que le dialogue social n'a pas produit de résultats ?"(…)"La démocratie sociale a avancé : représentativité patronale, financement des organisations rendu transparent, salariés présents dans les CA." (…) "La réforme des retraites a été largement ouverte à la concertation et a favorisé la reconnaissance de la pénibilité." (…) "Cette méthode a fait ses preuves depuis 2 ans. Des réformes importantes ont été menées : sécurisation de l'emploi, formation pro." (…)"La pénibilité aura maintenant toute sa place dans la législation, et rentrera progressivement en vigueur. Entièrement déployée au 1er janvier 2016."

    2° et les titres du "Monde" : "La CGT et FO boycotteront la seconde journée de la conférence sociale"(…) "La réunion prévue pour lundi à 17 heures entre les syndicats et François Hollande est en revanche maintenue." (…) "Conférence sociale : blocage du dialogue social, qui accuse qui ?" (…)"Chère à Hollande, la conférence sociale est critiquée de toutes parts".

    À la question : qui croire ? nous n'hésitons pas à répondre que le "grand quotidien du soir" doit se situer, pour une fois, un peu plus près de la vérité.

    Sortons donc du virtuel et des annonces gouvernementales. Revenons au réel. De toute évidence, la tentative hollandaise de conférence sociale rencontre et rencontrera d'évidentes difficultés. Or, parmi les multiples raisons qui les occasionnent, on ne saurait esquiver la non-représentativité des centrales syndicales.

    Tout le monde se souvient des promesses de campagne du candidat Hollande en 2012. Les uns les évoqueront pour en rire, les autres pour en pleurer. Elles comportaient ces fameuses réunions avec ce qu'on appelle les partenaires sociaux. Sans chercher à trop remonter en arrière il me semble que l'expression remonte à environ un demi-siècle. Elle correspondait notamment aux idées que Chaban-Delmas et son gourou Delors mettaient en avant au titre de la Nouvelle société, un slogan quelque peu usagé, on en conviendra.

    Le premier malheur de cette doctrine lorsqu'elle rencontre l'épreuve des faits vient de la qualité des interlocuteurs.

    Commençons par le plus gros morceau : la CGT.

    La CGT ne se comporte pas comme un partenaire mais comme un adversaire social.

    Nous partageons certes avec M. Roubaud l'irritation qu'il exprime, certainement majoritaire désormais, face aux pratiques de la CGT. Mais, en écoutant l'entretien donné par le représentant de la CGPME à un Jean-Pierre Elkabbach, une légère nuance me sépare de son propos : non, ce n'est pas depuis quelque temps, non la CGT ne "commence" pas "à nous énerver un tout petit peu"(1)⇓

    Le propos de cette organisation étant la lutte des classes, l'idéologie de sa direction étant le marxisme, sa filiation politique la rattachant directement et constamment au parti communiste français, on ne saurait en attendre autre chose.

    Mais on ne doit pas se contenter d'un demi-réalisme : dans le secteur privé de notre pays le taux de syndicalisation avoisine les 5 %. De ce simple fait, toutes les centrales syndicales restent dominées par le secteur public.

    La CGT le sait parfaitement qui a décidé de propulser un représentant de l'industrie en la personne du camarade Thierry Le Paon en figure de proue d'une organisation étroitement liée aux entreprises d'État, type SNCF ou EDF, dont les comités centraux d'entreprise fondés par des ministres communistes comme Fiterman ou Marcel Paul, alimentent de notoriété publique la base matérielle par des biais plus ou moins légaux généralement impunis.

    Cette nouvelle apparence relève donc certes de la recette bien connue du pâté d'alouette : un cheval de fonctionnaires, un oisillon de salarié normal. Mais elle s'articule aussi sur une stratégie tendant à introduire l'étatisation sous prétexte de"sauver l'emploi".

    À cet égard, le ministre Montebourg propulse une convergence dialectique redoutable avec le socialisme étatique du PCF. Celle-ci se révèle aussi efficace dans l'avancée idéologique du néomarxisme à la française qu'elle se montre contre-productive dans la vraie bataille qu'il faudrait mener pour l'emploi des Français.

    L'embauche réelle, en effet, ne peut résulter que de la création ou du développement des entreprises productives. Elle ne doit rien attendre, au contraire, des mesures démagogiques, très coûteuses, destinées à sauvegarder artificiellement et ponctuellement les dinosaures non-concurrentiels.

    Ne nous laissons pas berner à cet égard par les discours soi-disant "conservateurs des emplois" qu'affectionnent les syndicats. La classe politique les relaie de façon naturelle en vertu de sa doctrine instinctive "je dépense donc je suis".

    Ne croyons pas non plus à la représentativité globale des autres centrales. On ne sait pas s'il faut les compter 6,7 ou 8 en tout, avec ou sans SUD, avec ou sans la FSU, avec ou sans l'UNSA. On sait qu'ensemble elles se partagent une masse globale d'adhérents dérisoire et que les contribuables vont bientôt les subventionner officiellement, comme on le fait déjà pour les partis politiques. Or, ces bureaucraties syndicales continuent à imposer leur jeu aux majorités successives.

    Le taux d'abstention aux élections professionnelles, proche de 60 %, confirme le caractère fictif de leur représentation. Une refondation syndicale s'impose donc plus que jamais.

    JG Malliarakis  http://www.insolent.fr/

    Apostilles

    1.  de plus en plus fatigué, démago et agaçant sur Europe N° 1 à 8 hv17 le 7 juillet.