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  • FUTUREMAG : Les exosquelettes : lève-toi et (re)marche !

    Connaissez-vous les exosquelettes ? Ces squelettes externes parviennent aujourd’hui à faire remarcher des paraplégiques. À l’occasion d’une course hors du commun à New York, rencontre avec Amit Goffer, l’inventeur de l’exosquelette ReWalk. En France, Alain de Rino, kinésithérapeute au centre de revalidation de Kerpape, l’utilise au quotidien et nous explique son fonctionnement.

    Il existe deux types d’exosquelettes : les exosquelettes amplificateurs de force et les exosquelettes d’assistance. Explication en images.

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    http://fortune.fdesouche.com/

  • Emmanuel Ratier : « Va-t-on vers un gouvernement d’union nationale ? »

    Emmanuel Ratier intervenait samedi dans le cadre du colloque organisé à Paris par Civitas. L’auteur de la célèbre biographie de Manuel Valls revient sur le rôle des cercles du pouvoir qui le soutiennent et qui veulent mettre en place en France un gouvernement d’union nationale UMPS après 2017.

    Pour commander le livre d’Emmanuel Ratier « Le vrai visage de Manuel Valls » :

  • Robert Ménard et Elie Aboud unis pour l'honneur des Pieds-noirs

    Lu dans Minute :

    "Robert Ménard n’a pas cédé, Elie Aboud non plus. A eux deux, ils ont représenté, en mars dernier, 81,62 % des électeurs biterrois! La gauche locale peut toujours s’époumoner, elle n’existe plus. Début juin, le communiste Aimé Couquet, « leader isolé d’une opposition atone face à Ménard » comme le décrit cruellement « Le Monde », a écrit à Robert Ménard pour exiger qu’il fasse enlever du cimetière la plaque rendant hommage à quatre fusillés de l’OAS: Jean Bastien-Thiry, Roger Degueldre, Albert Dovecar et Claude Piegts. « N’oubliez jamais leur sacrifice » y lit-on. Apposée en 2003 sur la stèle érigée par l’Anfanoma [Association nationale des Français d’Afrique du Nord, d’Outre-Mer et de leurs amis] à la mémoire des Français tombés en Algérie pour la France, cette stèle rend la gauche hystérique depuis qu’elle l’a découverte, en 2008. [...]

    Cent cinquante pieds-noirs étaient présents ainsi… que la fanfare des pompiers – qui ont joué La Marseillaise et Les Africains – et des policiers en uniforme, alignés de part et d’autre de la stèle! Et c’est ensemble que le maire et le député, ceints de leur écharpe tricolore, ont déposé une gerbe devant la stèle. Alain Algudo, président des associations de rapatriés du Grand Biterrois, dit avoir « vécu un rêve éveillé. » Et dans son discours, Robert Ménard, dont le père fut membre de l’OAS et « qui, ce jour là, a échappé à la mort de justesse » ainsi qu’il l’a confié, très ému, n’a pas cherché la réconciliation avec l’Algérie, mais plutôt la réconciliation de la France avec son histoire, parlant, à propos des criminels algériens du 5 juillet 1962 à Oran, de « joie sauvage des instincts primitifs » et d‘« enivrement de la vengeance aveugle et du meurtre collectif ». Le maire de Béziers a également eu cette phrase, à propos de l’Algérie: « C’est la France qui a donné une existence à ce qui n’était qu’une juxtaposition de tribus vaguement gouvernées par les Turcs. »

    Elie Aboud n’a pas bronché quand Robert Ménard a asséné: « Le 5 juillet 1962 est un jour de deuil. C’est aussi un jour de honte pour tous ceux qui ont couvert ces assassinats de leur silence », ajoutant: « Pour les pieds noirs, c’est la triple peine. Egorgés par les tueurs du FLN. Chassés de leur sol natal. Condamnés à perpétuité par la bien-pensance de la gauche et la lâcheté de la droite. » Elie Aboud n’a pas tourné les talons quand Robert Ménard a accusé directement la politique gaulliste d’abandon et d’indifférence: « Nous sommes ici pour dire que, oui, les Français d’Algérie ont, eux aussi, un droit à la mémoire. Que leurs souffrances sont d’autant plus insupportables qu’elles leur ont été infligées à cause de la passivité de leur propre Etat, de leur propre gouvernement. » Robert Ménard a failli ne pas pouvoir prononcer la fin de son discours: « C’est en pensant à leur histoire, c’est en songeant à leurs sacrifices et à leur exemple, que je conclurai par le seul cri digne d’un Français, digne de l’histoire de l’Algérie française, de son oeuvre et de ses morts: Vive la France! » Le maire de Béziers était en larmes."

    Michel Janva

  • L’indépendance du chef de l’Etat à l’égard des partis politiques

    Extrait de l'analyse d'Hilaire de Crémiers dans le dernier Politique Magazine :

    Une131"À l’origine, la Ve République était fondée sur l’indépendance du chef de l’Etat à l’égard des partis politiques. Seule la réaffirmation de cette indépendance pourra permettre sans risque l’expression populaire par les voies démocratiques. 

    Sans rien connaître à la médecine, chacun sait que l’homme de l’art qui se trouve devant un grand blessé a le choix entre deux options : les cautères, pommades et onguents qui calmeront un peu sa douleur et lui permettront de mourir plus doucement ; ou l’opération lourde, incertaine, risquée, mais qui peut lui sauver la vie.

    Il en va de même dans l’ordre politique. En ce qui concerne la France, on pourrait certes énumérer les nombreuses réformes « faisables », susceptibles d’améliorer le système à la marge – et de lui procurer l’apparence d’une rémission : l’amélioration de la composition du Conseil constitutionnel, la suppression du cumul des mandats, l’introduction de la proportionnelle ou l’abolition de l’article 89-3 qui permet au Congrès de réviser la constitution à tout bout de champ. Autant de réformes techniquement réalisables, sans doute bienvenues – mais strictement capillaires. Dérisoires, au regard de la crise du politique et des menaces qui pèsent sur l’existence même de la France.

    Depuis les débuts de son histoire, celle-ci est à la fois un État et une société, qui ne se confondent pas mais marchent côte à côte, l’état ayant contribué à façonner la société, à la faire vivre et durer, cette dernière, de son côté, ayant toujours participé, selon des modalités variables, au fonctionnement de l’État – au point que son consentement constitue l’un des critères de sa légitimité. Or, tout cela part à vau-l’eau. [...]

    C’est devant la gravité de ces blessures que l’on peut songer à une opération chirurgicale. Celle-ci, à vrai dire, ne consisterait pas à farfouiller au hasard dans les entrailles du patient, mais à reprendre en l’accentuant la solution proposée lors de la création de la Ve république – qui se résumait en deux points : démocratisation et monarchisation. Les républiques et le roi, en somme.

    La monarchisation initiée en 1958 consistait à placer au sommet de l’État « un chef qui en soit un », intervenant lors des moments majeurs de la vie de la cité, et apte à décider quand l’essentiel est en jeu. Ce monarque, dont le rôle est celui d’un arbitre et d’un garant, a pu jouer son rôle tant qu’il a bénéficié d’un mandat suffisamment long, qui lui permettait de mener une politique à long terme et de se maintenir au-dessus des partis ; depuis les années 2000, le raccourcissement du mandat, l’évolution partitocratique du régime et la volonté de restaurer le Parlement ont fini par remettre en cause cette innovation salutaire. Et c’est ainsi qu’on est passé du roi fainéant, Chirac II, à l’hyperprésident Sarkozy puis à l’improbable « président normal », Hollande, tous également pressés par le temps, embourbés dans le jeu des partis et incapables de se concevoir comme le chef de tous les Français. Le personnage s’est ainsi rétréci en même temps que son mandat, au point de ne plus représenter grand-chose. D’où l’intérêt de songer à une remonarchisation, et pourquoi pas, à cette restauration monarchique à laquelle De Gaulle avouait avoir souvent pensé. [...]"

    Michel Janva

  • Lugan censuré par l’Elysée

    Le 24 juin 2014, à la demande des Armées, je devais présenter "L’interaction religieuse, culturelle, historique et géopolitique entre les cinq pays de l’Afrique du Nord et ceux de la bande sahélo-tchadienne" aux Attachés de Défense français en poste dans la quinzaine de pays concernés, plus le Nigeria.

    Le but de cette intervention très spécialisée était de donner à nos AD une nécessaire vision globale ainsi que des clés de lecture dépassant les frontières de leurs affectations respectives. Quelques jours avant la date prévue, un ordre comminatoire téléphoné depuis l’Elysée contraignit les organisateurs à décommander la prestation bénévole qui m’avait été demandée dans l’urgence et pour laquelle, compte tenu de l’actualité et des enjeux, j’avais annulé des engagements prévus de longue date.

    Alors que la complexité des situations locales et régionales nécessite une connaissance de plus en plus "pointue", non idéologique et basée sur le réel, la présidence de la République, avec un sectarisme d’un autre temps, a donc privé les Attachés de Défense français d’une expertise à la fois internationalement reconnue et nécessaire à la bonne compréhension des zones dans lesquelles ils servent...

    J’ai attendu des explications. Comme elles ne sont pas venues j’ai donc décidé de publier ce communiqué afin que le public sache que des héritiers de la "section des piques" gravitent dans l’entourage immédiat du chef de l’Etat d’où ils lancent les "colonnes infernales" de la pensée sur les esprits libres. Le prochain numéro de l’Afrique Réelle que les abonnés recevront au début du mois d’août contiendra le texte de mon intervention censurée qui sera naturellement amputé des éléments confidentiels que je réservais à l’auditoire spécifique auquel elle était destinée. Les "tchékistes" de l’Elysée le découvriront en primeur puisque la présidence de la République est abonnée à l’Afrique Réelle et qu’elle reçoit mes communiqués...

    Ce communiqué est destiné à être repris et largement diffusé

    Vu sur le blog de Bernard Lugan

  • Libre Journal d'Henry de Lesquen du 7 juillet 2014

    Henry de Lesquen, assisté de Jacqueline Loevenbruck, recevait Benjamin Blanchard, juriste, administrateur de SOS-Chrétiens d'Orient, Alain Corvez, colonel, conseiller en stratégie internationale, Élie Hatem, avocat, Subhi Toma, sociologue, Patrick Simon, avocat et Max Falque, consultant, directeur du Centre de recherche international sur les questions environnementales. Thèmes : « la situation de l'Irak ; droit de propriété et protection de l'environnement ; chronique du courrier des auditeurs ». Avec la chronique du grand-large : « les intermittents du spectacle ».

    Première partie

     

     

    Seconde partie

     

     

  • Projet de loi espagnol sur l’avortement : équilibrer les intérêts de la mère et de l’enfant

    Jeudi et vendredi 3 et 4 juillet se réunissaient dans l’enceinte du Parlement espagnol 150 représentants de 16 pays d’Europe et d’Amérique du Sud (Argentine, Arménie, Chili, Equateur, El Salvador, Slovaquie, Espagne, France, République fédérale de Yougoslavie Macédoine, Hongrie, Italie, Mexique, Pologne, Portugal, Royaume-Uni et République tchèque) en compagnie de députés espagnols à l’occasion d’une conférence organisée par« L’Action Mondiale des Parlementaires et des Gouvernants pour la Vie et la Famille » et parrainée par le Parti Populaire (Partido Popular en espagnol, PP). Ils y discutaient du nouveau  « Projet de loi sur la protection de la vie de l’enfant à naître et des droits de la femme enceinte » émis en décembre 2013 par le gouvernement espagnol et qui devrait être prochainement discuté par le Parlement. Celui-ci réforme la loi organique n°2/2010 sur « la santé sexuelle et reproductive et l’interruption volontaire de grossesse », largement critiquée, en particulier lors des manifestations de 2009 où un million de personnes avaient exprimé leur désaccord.

    Après le discours introductif du député espagnol et secrétaire général de l’Action Mondiale des Parlementaires José Eugenio Azpiro, avec Angel Pintado, sénateur et Président de cette organisation, le débat a fait intervenir divers professionnels. Un scientifique (Dr. Nicolás Jouve), un médecin (Dr. Ana Martin), un philosophe (Pr. Christophe Tollefsen) et le juriste Grégor Puppinck se sont exprimés.

    Grégor Puppinck, directeur de l’ECLJ (European Center for Law and Justice) à Strasbourg, a tout d’abord souligné le fait que, bien que reflétant une position encore minoritaire en Europe, ce projet de loi s’incrit parfaitement dans le cadre de la jurisprudence de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (Strasbourg) et respecte de même toutes les normes européennes et internationales. De fait, nulle convention internationale ne créerait un droit à l’avortement. Le projet de loi espagnol propose au contraire de garantir le respect du droit à la vie dans le cadre des conventions internationales. Il a ensuite exposé comment l’avortement ne doit plus être considéré dans une perspective juridique unilatérale, mais bilatérale, et plus encore multilatérale.

    La notion de ‘droit à l’avortement’ doit être mise en cause car elle implique de considérer l’avortement comme un droit positif et subjectif unilatéral ne prenant en compte qu’un seul intérêt, celui de la mère. Une telle approche conduit à nier l’existence ou la valeur de l’enfant à naître contre lequel un tel droit s’applique. Ce fut la perspective dans laquelle s’inscrivait la loi espagnole adoptée par le précédent gouvernement. Cette approche unilatérale du droit à l’avortement est idéologique car elle est fondée sur la négation d’une parcelle de la réalité (l’enfant) et tend à y faire primer la volonté pure d’un tiers (de la mère). Comme toute approche idéologique, son application intégrale serait destructrice : s’il existait réellement un droit à l’avortement, il faudrait alors supprimer toutes les limites, et l’autoriser sans condition de délai.

     

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    Michel Janva

  • Entres les financiers et les socialistes : des amours très particulières…

    La finance ne serait donc plus l’ennemi du Parti socialiste… Mais de qui le PS serait-il alors l’ami ? Pas du peuple français, manifestement.   

    Sacré Michel ! Avec son humour noir qui sent un peu le Sapin… Ainsi, à Aix-en-Provence, ce week-end dernier, enterrait-il les promesses du candidat François Hollande, pour lequel l’« adversaire, [était] la finance. »( Aujourd’hui, à en croire le ministre de ces mêmes Finances, « notre amie, c’est la finance, la bonne finance… »

    Comme du temps des Inconnus, il y avait « les bons chasseurs et les mauvais chasseurs », il y aurait désormais les « bons » financiers et les « mauvais » financiers, serait-on tentés de rappeler, pour demeurer dans le genre comique troupier. Comment distinguer les premiers des seconds, l’histoire, grande comme petite, de Lombards en Templiers, ne le dit évidemment pas.

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  • Entretien avec Emmanuel Ratier à propos de Manuel Valls et du coup d’Etat franco-français…

    Médias-Presse-Info pose quelques questions à Emmanuel Ratier…