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  • Appareil génital féminin à louer : prostitution ou altruisme ?

    La jouissance de la partie basse (vagin) s’appellerait prostitution, et celui de la partie haute (utérus et ovaires) de l’altruisme rémunéré ! Tweeter 

    Le site d’informations médicales « Egora.fr » nous apprenait, fin juin, que des hôpitaux belges lançaient un site Internet, où les donneurs de sperme et d’ovocytes pourraient laisser des messages anonymes aux enfants issus de leurs gamètes, afin d’améliorer leur image de marque, et ainsi lutter contre la pénurie des dons.

    L’initiateur du site, lui-même issu d’un don de sperme d’après cet article, justifie son action par le fait qu’au Danemark et en Espagne, où la publicité est autorisée, il n’y a pas de manque de donneurs. Il oublie de préciser qu’en Espagne, (40% des dons d’ovules de l’union européenne), la « donation » est rémunérée, et les jeunes femmes qui participent à ce marché, de manière épisodique ou régulière, le font pour améliorer leurs fins de mois, comme l’affirme un article paru dans la presse espagnole en mai 2013 (MIA n° 1389)

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  • Les Germains : un numéro exceptionnel de Nouvelle Ecole

    Que devons-nous aux Germains ? D'où viennent les berserks, les fameux guerriers-fauves ? Quelle est l'origine de l'écriture runique ? Un numéro exceptionnel de Nouvelle Ecole pour en savoir plus sur les Germains… avant le match France-Allemagne ! Présentation d'Alain de Benoist.

    Chateau

    L’habitude s’est prise dans certains milieux de rapporter exclusivement les origines européennes à la philosophie grecque, au droit romain et à la religion chrétienne, ce qui revient à faire bon marché des composantes celtiques, germaniques et balto-slaves de l’Europe. Le passé européen ne se réduit pourtant pas à la trilogie Rome-Athènes-Jérusalem, sinon dans l’optique bien dépassée du principe Ex Oriente lux. C’est ce que montre amplement ce numéro de Nouvelle Ecole qui, après des livraisons déjà consacrées aux Celtes, aux Grecs et aux Romains, vient compléter le panorama de la vieille Europe.
    Dès avant la conquête romaine, des migrations s’étaient déjà déroulées vers l’Ouest à partir de l’Europe centrale : il s’agit des vastes mouvements de populations celtiques qui, du VIe au IIIe siècles av. notre ère, se déployèrent sur une aire immense, allant de l’extrémité de l’Espagne jusqu’à la mer Noire. Le tourbillon des « grandes invasions » germaniques est d’une date ultérieure.
    Longtemps contenus au-delà du limes, les peuples germaniques se mettent en marche au IVe siècle, notamment avec les Gots (les Gothones de Tacite), qui se diviseront ensuite en Wisigoths et Ostrogoths. Leur succèderont les Cimbres et les Teutons, les Vandales, les Suèves, les Burgondes, les Marcomans, les Francs, les Thuringiens, les Bavarois, les Lombards, les Avars, les Angles, les Saxons, les Jutes, les Frisons et bien d’autres. Le principal résultat de ces invasions fut la dislocation de l’ancienne Romania : à partir du milieu du VIIIe siècle, la fusion est complète entre l’élément germanique et l’élément romain ou gallo-romain, toutes les civilisations de l’Occident médiéval devenant des synthèses culturelles héritières, dans des proportions variables, à la fois de Rome et de la culture germanique. La Gaule mérovingienne, l’Espagne et l’Aquitaine wisigothiques, l’Etat lombard furent parmi les plus remarquables illustrations de cette époque qui, à la charnière de l’Antiquité et du Moyen Age, voit le centre de gravité de l’Occident se transférer durablement au nord de la Loire et des Alpes.
    Les Francs, dont le nom est attesté dès le IIIe siècle mais dont les origines exactes restent en partie obscures, furent les principaux bénéficiaires de cette « migration de peuples » (Völkerwanderung). Longtemps divisés en Francs Saliens et en Francs Ripuaires, division aujourd’hui abandonnée, ils regroupaient eux-mêmes de nombreux peuples (Chamaves, Bructères, Amsivariens, Chattes, Sicambres, etc.). La France ne leur doit pas seulement son nom (à partir du milieu du VIe siècle, le mot Francia désigne la partie nord de la Gaule). Depuis les Mérovingiens, et singulièrement depuis Clovis (mort en 511), qui ne créa pas une nation mais une force historique, elle leur doit aussi plusieurs de ses dynasties, une partie de son vocabulaire (un demi-millier de mots au moins, dont les emprunts se placent en majorité entre le VIe et le IXe siècles), nombre de règles du droit féodal et certaines de ses institutions, à commencer par la « loi salique », sinon la royauté elle-même, qui est à l’origine élective (le prince est « élevé sur le pavois »), et non pas héréditaire.
    L’influence germanique n’est pas moins remarquable dans les traditions populaires (qui ont fréquemment prolongé d’anciennes croyances et pratiques païennes), la toponymie (environ la moitié des noms de communes de la France du Nord sont d’origine germanique) et surtout l’anthroponymie (le système onomastique des Germains explique depuis le VIIe siècle la majorité de nos patronymes, noms de famille et prénoms). Hugues Capet, élu en 987, est le premier souverain du regnum Francorum dont nous savons avec certitude qu’il ne comprenait pas le francique, langue maternelle des premiers Carolingiens.
    On ne reviendra pas ici sur la « querelle des deux races » qui, pendant des siècles, de Boulainvilliers à Augustin Thierry en passant par l’abbé Dubos, a rétrospectivement divisé la population française entre une aristocratie d’origine franque et un peuple d’origine gauloise, que la première aurait soumise. On notera seulement que les spécialistes continuent de discuter sur l’ampleur démographique des « grandes invasions » et sur la densité de leurs établissements, tout comme ils discutent encore de la possible influence des anciennes épopées germaniques sur les Chansons de geste des XIIe et XIIIe siècles (thèse soutenue par Gaston Paris, Arsène Darmesteter et Godefroid Kurth, mais rejetée par Joseph Bédier).
    Quant au droit germanique, qui était un droit populaire ayant le caractère d’une coutume, il continua longtemps d’exercer son influence concurremment à celle des monuments du droit romain, conçus de façon plus théorique. « Son principe, c’est l’équité, a écrit Gonzague de Reynold. Communautaire, social, il accorde peu de place aux droits individuels. En revanche, la fidélité et l’honneur y prennent une très grande importance […] L’honneur a sa racine dans la considération dont jouit la personne au sein de la communauté ; la fidélité a la sienne dans la communauté elle-même. Honneur et fidélité déterminent donc la moralité du droit germanique. Ce sont des vertus inséparables : qui est sans fidélité est sans honneur, qui est sans honneur est sans droits » (Les Germains. La formation de l’Europe V, Plon, Paris 1953, p. 389).
    Pour se procurer Nouvelle Ecole, cliquez ici

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EupuyyZpuAhCuBIgJW.shtml

  • Serge Ayoub contre le Traité transatlantique !

    https://twitter.com/SergeAyoub
    https://www.facebook.com/solidariste

  • Garches : les grévistes accueillis à l'école Ste Geneviève

    Suite à l'expulsion des grévistes de la faim de l'hôpital de GarchesLe Parisiennous informe que les parents ont finalement quitté Garches en fin d'après-midi pour Le Port-Marly. Laurence Godfrin, porte-parole des familles, annonce :

    «Grâce au père Bruno, les familles ont trouvé refuge dans l'école privée Sainte-Geneviève, au 15, rue Jacques-II». «Les parents vont y passer la nuit et continuent leur grève de la faim. Et les lieux sont ouverts au public».

    La mobilisation se poursuit pour le maintien du service du Dr Delépine.

    Vidéo prise hier par le SB :


    Garches par Le_Salon_Beige 

    Michel Janva

  • La loi des petits nombres

    S’agissant de ce retour de l’initiative individuelle au niveau stratégique, quatre phénomènes revêtent une importance particulière à cet égard. Premièrement, il s’agit de l’effacement du mode d’organisation typique des sociétés industrielles, à savoir la fin de l’ère des masses hiérarchiquement encadrées. En lieu et place, intervient ce que nous appelons la loi des petits nombres. On entend par là que ce n’est plus le nombre qui fait la puissance et la force (« Le pape ? Combien de divisions ? »), mais que l’action résolue et/ou innovatrice de petits groupes peut déboucher sur des résultats inversement proportionnels à ces effectifs réduits (microtrends ; small number big impact). Deuxièmement, les sociétés postmodernes développées sont devenues extrêmement complexes et, par conséquent, très fragiles. Pour prévenir leur effondrement en cas de « panne », elles doivent impérativement se décentraliser (le salut vient des marges... et non des institutions). Troisièmement, étant donné la transformation de la guerre et l’impossibilité croissante de la guerre interétatique, l’équilibre de la terreur change d’échelle et se situe au niveau de l’individu lui-même avec toutes les conséquences que cela implique (incivilités, agressions, brigandages, attentats, tueries). Quatrièmement, si le mode d’organisation des sociétés s’est transformé, il en va de même du mode de destruction. A l’ère des masses, celui-ci était caractérisé par les trois séquences, concentration – manœuvre – destruction, ce schéma marquant la plupart des grandes batailles décisives de cette période. A l’heure actuelle, avec l’affirmation de la loi des petits nombres, on peut avancer que le mode de destruction suit plutôt les trois séquences suivantes : dilution – imbrication – destruction. A une destruction par l’extérieur succède une destruction de l’intérieur. 

         Quelques exemples illustrent ces changements de paradigmes. Lors des attentats de Bombay (26-29 novembre 2008), 18 hommes équipés d’armes légères et répartis en 9 équipes de deux, paralysent pendant 60 heures une mégapole de 20 millions d’habitants, provoquant de la sorte une nouvelle tension géostratégique entre l’Inde et le Pakistan, des massacres interethniques en Inde et, finalement, un événement d’ampleur mondiale générant une série de réactions politiques, diplomatiques et médiatiques. Au Nigéria, l’exemple de rebelles ijaws, connus sous l’acronyme MEND (Mouvement pour l’émancipation du delta du Niger), démontre également cette nouvelle réalité stratégique où un petit groupe est capable de déclencher des effets inversement proportionnels à ses effectifs. Dans ce cas-là, c’est une livraison de 300 fusils d’assaut AK-47 qui permet à ces rebelles de lancer leurs actions contre les installations pétrolières et les bateaux transitant par le delta. Ces 300 kalachnikovs entraînent ainsi une diminution de 25% de la production de pétrole du Nigéria. Ces deux exemples, auxquels on pourrait en ajouter beaucoup d’autres, mettent en lumière les changements énoncés plus haut. La loi des petits nombres apparaît en effet particulièrement évidente compte tenu, à chaque fois, des faibles moyens engagés et des importants résultats obtenus en contrepartie. Par ricochet, ceci souligne aussi la fragilité des sociétés complexes, leur risque d’effondrement et la nécessaire décentralisation qu’elles doivent consentir si elles veulent survivre. De par les effets engendrés en outre, tant les attentats de Bombay que les actions des rebelles ijaws indiquent que l’équilibre de la terreur a bel et bien été ramené du niveau des Etats à celui des individus. Et, ce changement d’échelle ne vaut pas uniquement pour les actes à caractère politique, mais également pour les autres formes de violence plus anarchiques (tireur fou, forcené, tuerie). Enfin, le schéma dilution-imbrication-destruction reflète clairement le mode opératoire utilisé : neuf équipes de deux hommes dilués dans une mégapole, une poignée de rebelles dispersés dans l’ensemble d’une zone géostratégique. 

         La société de l’information accélère et facilite à la fois une telle évolution. Il importe en effet de rappeler plus généralement que les sociétés nomades ou au contraire sédentaires, agraires ou au contraire industrielles, pratiquent chacune la guerre d’une façon propre qui est dictée par leur mode respectif de production des richesses. De nos jours, l’avènement de la société de l’information entraîne le bouleversement des anciennes structures héritées de l’ère industrielle et du capitalisme fordiste : les formes d’organisation pyramidale et centralisée sur le modèle stato-national cèdent la place à des formes plates, décentralisées, « sans tête ». La société de l’information rend possible cette mutation puisque l’interconnexion de tous avec tous à travers le net et les autres TIC (téléphones portables, PC, etc.) ne nécessite plus des structures hiérarchiques organisant le travail de la conception à la production et à la vente. Ce travail peut désormais se réaliser, soit à distance, soit en réseau, soit de manière coopérative (selon la méthode wiki). L’art de la guerre suit ce bouleversement et cette mutation, comme en témoigne la prolifération des groupes armés, des cellules terroristes et des actions décentralisées (attentats, embuscades) en lieu et place des grandes offensives conventionnelles représentatives de la stratégie moderne. 

    Bernard Wicht, Europe Mad Max demain ?

    http://www.oragesdacier.info/2014/07/la-loi-des-petits-nombres.html

  • Les Moissons du Futur (Rediff)

    Après Le Monde selon Monsanto et Notre poison quotidien, voici le troisième numéro de la trilogie de Marie-Monique Robin. Les Moissons du Futur est une enquête résolument optimiste sur les remèdes possibles à la crise alimentaire qui touche la planète. Une enquête menée sur quatre continents dans laquelle elle montre que l’agroécologie peut nourrir le monde.

    (Réalisé par Marie-Monique Robin – France/Belgique 2012)

  • « Pourris jusqu’à la moelle »

    Un « état de délabrement jamais vu par ailleurs ». Cet avis des experts mandatés par  la justice pour déterminer les causes de la catastrophe ferroviaire du 12 juillet 2013 à Brétigny-sur-Orge (Essonne) a été rendu public samedi. Il pourrait aussi parfaitement s’appliquer à la situation de l’UMP si on écoute le député-maire de Nice Christian Estrosi, candidat à la primaire à droite en 2016, qui répondait aux questions du Parisien. Un avis intéressant car M. Estrosi, comme beaucoup de « sudistes » UMP, a toujours été maître dans l’art de dire (à défaut très souvent de  faire …) ce que son électorat droitier voulait entendre. Si la dette de l’UMP est aussi élevée que l’annonce François Fillon (80 millions d’euros) «cela veut dire que la situation est extrêmement grave et que l’UMP est terriblement fragilisée » énonce-t-il. «Je vais même plus loin, nous avons un parti qui est déjà mort, un parti qui ne distribue plus que des investitures et ne produit plus d’idées nouvelles. »

     Démonétisée, plombée par les affaires, les grands écarts dogmatiques, stratégiques, idéologiques, « l’UMP est devenue un parti bourgeois et élitiste », « une instance où les places ont été partagées, il y a deux ans, entre Copé et Fillon » et qui « ne correspond plus à la carte politique d’aujourd’hui ».

     Le parti n’a d’autre choix que de «changer de nom». «Ce n’est pas une restructuration avec un congrès a minima qu’il faut, mais une véritable révolution !»  ajoute-t-il,  convoquant pour se faire les mânes du gaullisme originel.  Et si celle-ci ne se fait pas, M.  Estrosi se dit  « prêt à apporter (sa) contribution à une autre aventure collective, en espérant ne pas en arriver là ».

     Le seul sauveur  de la droite euromondialiste a-t-il pour nom Nicolas Sarkozy ? C’est pour l’instant un avis partagé par la majorité ( ?) des sympathisants de l’UMP. Et notamment par laDroite forte, ce courant de l’UMP cornaqué par  l’ex FN, l’ex MNR, l’ex MPF Guillaume Peltier,  et un membre du club de sarkozystes de gauche, La Diagonale, favorable aumariage homosexuel et au droit de vote des immigrés, Geoffroy Didier.

     Ces derniers organisaient ce samedi la deuxième Fête de la Violette à la Ferté-Imbault (Loir-et-Cher). Un rassemblement de soutien au mari de Carla Bruni,  en  présence de  Luc Chatel,  Rachida Dati et Brice Hortefeux .

     Précisons-le ici, l’exaspération des sarkozystes devant la manière dont sont mises en scène les affaires judiciaires dans lequel le nom de M. Sarkozy est cité peut apparaitre légitime. Sans se prononcer sur le fond, Bruno Gollnisch estime, comme Jean-Marie et Marine Le Penl’ont également souligné, que la garde à vue diligentée récemment contre l’ex chef de l’Etat, «visait manifestement plus à humilier qu’à trouver la vérité» comme a eu l’occasion de le dire la présidente du FN. Bruno a eu aussi beau jeu de relever que la partialité militante du très extrémiste  Syndicat de la Magistrature (SM) , accusé aujourd’hui de mener une guerre contre M. Sarkozy, ne soulevait pas l’indignation de l’UMP quand ce même syndicat persécutait le FN…

     Balayant ses démêlés judiciaires, Geoffroy Didier a clamé samedi à la tribune qu’il  « est temps (…) que pour mettre un terme au chaos socialiste et au mirage extrémiste (sic), nous ayons au sein de la droite républicaine un leader solide, expérimenté, et doté d’une véritable autorité ». La simple question qui vaille est pourtant  simple :  Est-ce que  l’effroyable bilan de la gauche au pouvoir depuis deux ans, doit nous faire oublier la dégringolade de la France, dans tous les domaines, sous la présidence  Sarkozy  de 2007  à  2012 ? Certainement pas !

     Interrogé par Le Figaro le 20 juin à l’occasion de la sortie de son dernier livre « Marine Le Pen vous dit merci », le journaliste et essayiste  Jean-François Khan, a mis le doigt, comme d’autres,  sur le fond du problème (pour le Système). Certes, très loin s’en faut, nous ne partageons pas l’ensemble de ses analyses, Mais M. Khan donne le sentiment qui est celui d’une majorité de Français quand il explique que «le génie français, sa spécificité, c’est le pluralisme (…). Les gens qui ne se reconnaissent pas dans la bipolarité droite/gauche ont été étouffés. On ne leur a pas permis d’exprimer leur différence. Il y a une droite et il y a une gauche, mais il y a aussi autre chose ».

     Pour faire reculer le FN dit-il , « il faut que la gauche et la droite portent chacun une vision vraiment différente. Or on constate un alignement du PS sur l’UMP sur les questions économiques et inversement un alignement de l’UMP sur le PS sur le plan sociétal. Si bien qu’aujourd’hui, le PS et l’UMP ne portent plus rien. »

     « Ce qui va tomber il ne faut pas le retenir, mais le pousser » disait Nietzsche. Jean-François Khan est apparemment du même avis puisqu’il affirme encore qu’ «il faut adapter nos institutions et dissoudre les deux partis hégémoniques à droite et à gauche qui sont usés et pourris jusqu’à la moelle. Si on ne le fait pas, le Front National a encore de beaux jours devant lui. »

     M.  Kahn  comme MM. Estrosi et les membres de l’UMP cités plus haut, appellent donc les partis du Système, ou au moins le leur, à ne pas se contenter de repeindre la façade de leurs boutiques respectives mais à se régénérer, à proposer des idées neuves, voire à changer leur logiciel euromondialiste et libéral-libertaireEn sont-ils capables ? Le veulent-ils seulement?

     Beaucoup de Français, désabusés, lassés, trompés, écœurés se réfugient dans l’abstention,les plus lucides  votent FN, d’autres encore votent  UMPS, souvent par peur du saut dans l’inconnu, tout en maudissant la situation actuelle.  A ceux là nous disons qu’ils n’ont rien à attendre de l’élection en  2017 d’un candidat du PS ou de l’UMP. Et nous leur rappelons cette phrase du grand Bossuet : « Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes ».

    http://gollnisch.com/2014/07/07/pourris-jusqua-moelle/

  • Immigration aux USA : Vive la Reconquista !

    Il y a plus de vingt ans, les USA s’interrogeaient sur ce thème : « Serons-nous encore une nation blanche au XXIe siècle ? » La réponse est dans la question.   

    C’est du Barack Obama dans le texte : « Nous devons réparer notre système d’immigration, qui est cassé, et adopter une réforme de bon sens de l’immigration. » Mais qu’en est-il exactement ? Un Parti démocrate qui voudrait bien ouvrir les vannes de l’immigration… Un Parti républicain qui voudrait bien les fermer… Un Obama qui navigue dans l’entre-deux.

    La réalité est autrement plus complexe. Libertariens et néo-conservateurs sont pour la vente des immigrés en vente libre. Les premiers, qui ne sont pas pour rien dans l’émergence des Tea-Parties sont plus cohérents, eux au moins, dont la pensée peut se résumer, à en croire une récente tribune publiée par Le Point : « Que les couples homosexuels puissent défendre, les armes à la main, leurs champs de cannabis ! » Quant aux autres, ils sont à l’Ouest, comme on dit là-bas…

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