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  • Exclusif: David Van Hemelryck nous parle du 14 juillet et de la progression de Hollande Démission

    Cela fait déjà plusieurs semaines qu’on entend parler d’un 14 juillet agité pour François Hollande alors que sa cote de popularité reste toujours au plus bas. On parle de sifflets sur les Champs-Élysées lors du passage de François Hollande mais personne ne sait ce qui va réellement se passer. Nous avons pu interroger David Van Hemelryck, initiateur de Hollande Démission, qui a accepté de répondre à nos questions et de nous apporter des précisions.

    zeppelin-quenelle

    Pour le 14 juillet, David Van Hemelryck « encourage tout le monde à participer » mais il n’y aura aucune consigne : « il n’y a pas de précisions sur le comment. J’ai confiance dans le courage et la créativité des Français. » Ce sera donc d’autant plus dur pour les pouvoirs publics de se préparer. Mais l’après-midi, une manifestation devrait avoir lieu pour agir dans un cadre juridique : « elle aura le nom symbolique de Fête de la Démocratie. On veut dénoncer le caractère oligarchique du pouvoir qui se moque de l’opinion du peuple. » Pour l’heure, il n’y aucun lieu de prévu et on reste au stade de la discussion avec la Préfecture de Police de Paris. Les possibles manifestants peuvent s’informer sur une page Facebook créée pour l’occasion. David Van Hemelryck veut rassembler : « on invite le plus largement possible de monde à venir à la manifestation. Mais pour le moment, on s’avance seul. On n’a eu aucune proposition des volontaires de nombreux mouvements contestataires traditionnels mais on a un retour de la base. » Toutefois il reste confiant : « on commence à sentir les signes d’une mobilisation. »

    Pour l’été, la banderole aérienne devrait faire son retour : « on attend qu’il y ait plus de monde sur les plages. On a pu faire quatre passages dans le Var car il y a déjà beaucoup de gens. » Le site de Hollande Démission propose désormais des packs militants, à différents prix, vendus à perte : « c’est important que les énergies puissent se mobiliser. On donne aux militants le moyen de le faire. » David Van Hemelryck confirme que le mouvement Hollande Démission est en progression depuis un an : « en partant de zéro, il y a eu un travail de notoriété. On était considéré comme marginal, un mouvement périphérique de La Manif Pour Tous et du Printemps Français. Aujourd’hui, on est connu par au moins un million de Français. » Il se félicite d’autant plus de cette croissance de notoriété qu’il affirme n’avoir reçu aucun soutien financier et qu’il ne peut compter que sur des dons. Mais ce n’est pas sa seule satisfaction : « la rhétorique Hollande Démission commence à s’imposer. Elle devient une hypothèse sérieuse et elle est reprise par des hommes politiques comme François Bayrou ou Hervé Morin. »

    Pour l’instant le gouvernement laisse plus ou moins tranquille David Van Hemelryck : « il se restreint et il est obligé de reculer car il ne peut pas agir de manière trop choquante et impunément même s’il cherche à nous mettre des bâtons dans les roues.» Après plusieurs péripéties judiciaires et menaces d’amende, il a pu récupérer sa voiture Hollande Démission. Pour David Van Hemelryck, le gouvernement : « a plutôt peur des Français en général et qu’ils commencent à se rallier sous le slogan Hollande Démission. »

    Source: Media-Presse-Info

    http://www.altermedia.info/france-belgique/uncategorized/exclusif-david-van-hemelryck-nous-parle-du-14-juillet-et-de-la-progression-de-hollande-demission_111150.html#more-111150

  • Bernard-Henri Lévy sous l’emprise de la drogue

    Bernard-Henri Lévy, dit BHL, maître à penser psychédélique ? Sa compagne Arielle Dombasle confirme au cours d’un entretien télévisé que le philosophe préféré des mondialistes a recours à des substances chimiques.

  • Coucou, revoilà Leonarda

    «Attention, j'arrive en France !» nargue Resat Dibrani, le père de Leonarda. La lycéenne rom se trouve actuellement, avec sa mère et trois de ses frères, enCroatie, pays membre de l'Union européenne. Munis de titres de voyage, ils séjournent chez le frère de Resat Dibrani. Le père explique :

    «Lundi, ils auront les passeports. Et dans une semaine, quinze jours, on partira, toute la famille ensemble! Comme ça, ma femme - enceinte de huit mois et demi - accouchera à l'hôpital de Pontarlier, là où est née Medina (la cadette)».

    «On ne change pas de nationalité : on est croates! Les enfants sont nés en Italie. On va leur montrer à Hollande et à Valls qui est le chef! On va leur dire en face! Ils ne me croyaient pas quand on disait qu'on était européens. Ils nous ont renvoyés au Kosovo comme des animaux, avec de faux papiers. Ah, le préfet du Doubs, il va être bien dans la merde!»

    «Il faut que toute l'Europe sache ce qu'a fait la France. Nous allons aller à la Cour de Strasbourg, pour demander des dommages et intérêts. La France, maintenant, on va la faire payer !»

    Comme disait Leonarda : "C'est l'Europe et puis voilà !".

    Michel Janva

     
  • La BBC révèle un plan britannique d’attaque de la Syrie

    Vu sur le réseau Voltaire :

    La BBC a révélé, dans son émission Newsnight du 3 juillet 2014, que début 2012 le gouvernement de David Cameron avait hésité à valider un plan contre la Syrie, proposé par Lord David Richards, alors chef d’état-major britannique [1].

    Le Royaume-uni aurait entraîné et équipé 100 000 hommes en Turquie et en Jordanie. Ils auraient envahi la Syrie au sol et pris Damas en bénéficiant d’une attaque aérienne britannique d’une ampleur comparable à celle utilisée à Bagdad, en 2003.

    Le plan fut soumis au Conseil de sécurité nationale britannique et à Washington (qui était le commanditaire de la guerre franco-britannique), mais pas à Amman, ni à Ankara (qui devaient juste obéir).

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  • Vote pro-famille au Conseil des droits de l'homme de l'ONU

    Jeudi dernier, le Conseil des droits de l’homme de l'ONU a adopté une résolution sur la « protection de la famille » qui confirme la définition traditionnelle, et ce malgré le fait que le mouvement LGBT s’apprêtait à fêter le week-end de la gay pride. Cette résolution ne fait pas seulement écho aux termes de la déclaration universelle des droits de l’homme eût égard à la famille, « naturelle et fondamentale» de la société, elle affirme également que la famille est « l’environnement naturel » de l’éducation et du développement des enfants.

    Cette résolution n’a pas été bien reçue par les Etats qui accordent aux couples en cohabitation les mêmes droits qu’aux couples de même sexe, ou permettent aux personnes de même sexe de se marier. Certains Etats comme les États-Unis, ont rejeté cette définition.

    La tentative d’inclure la phrase « différents types de famille » a échoué. La résolution a été votée et a bénéficié d’une marge confortable avec 26 voix favorables et 14 contre, et 6 abstentions. Le vote a été accueilli avec des applaudissements enthousiastes.

    Tous les pays membres du Groupe Africain ont voté en faveur de la résolution. Aucun Etat européen siégeant au Conseil n’a voté pour. Suite à cette résolution, une conférence sur la protection de la famille est prévue lors de la prochaine session du Conseil des droits de l’homme, en septembre.

    Michel Janva

  • NSA : multiples affaires d’espionnage

    Les utilisateur du réseau Tor et les visiteurs de sites internet d’anonymisation traqués

    Selon les révélations de la télévision publique allemande, la NSA surveille et collecte les adresses IP de tous les utilisateurs du service Tor, et même de ceux qui visitent des sites parlant des techniques d’anonymisation et de protection des données. Parmi eux, le site Linux Journal, qualifié « d’extrémiste ».

    Lire la suite de l’article sur sott.net

    Allemagne : un agent double démasqué

    Cette nouvelle affaire d’espionnage risque de faire du bruit. Le magazine Der Spiegel révèle qu’un agent des services de renseignements allemands BND a travaillé pour les services américains de la NSA. Sa mission consistait notamment à surveiller les travaux de la commission d’enquête allemande … sur le scandale des écoutes de la NSA, révélé l’année dernière. Les quotidiens Süddeutsche Zeitung et Bild ont eux aussi relayés et confirmés l’histoire. A Washington, la Maison-Blanche n’a fait «aucun commentaire».

    Lire la suite sur le site du Figaro

    http://www.contre-info.com/

  • Le Pacs, une étape dans la dénaturation du mariage

    À entendre ses promoteurs, le Pacte civil de solidarité (Pacs) n'aurait jamais dû être ce qu'il a été : une étape décisive vers le mariage inverti et l'adoption d'enfants par des homosexuels.

    « Le gouvernement ne veut pas créer un mariage bis, et encore moins permettre à des homosexuels de pouvoir adopter des enfants ou d'avoir recours à la procréation médicalement assistée. » Promis-juré-crachouillé ! Cette affirmation est datée du 17 septembre 1998, quelque temps avant que l'Assemblée nationale n'examine la proposition de loi sur le Pacte civil de solidarité (pacs) et signée par un prédécesseur de Christiane Taubira, Madame le garde des Sceaux Elisabeth Guigou.

    À la même époque, celle-ci déclarait encore plus catégoriquement : « Le pacs est radicalement différent du mariage parce qu 'il n 'est pas question, ni aujourd'hui ni demain, que deux personnes physiques du même sexe, quel que soit leur sexe, puissent se marier. Je soutiens, comme de nombreux psychanalystes et psychiatres, qu'un enfant a besoin pour sa structuration psychique, sociale et relationnelle d'avoir face à lui pendant sa croissance un modèle de l'altérité sexuelle, un réfèrent homme et un réfèrent femme. »

    Renversement de la vapeur

    En 2012, pourtant, le ton avait quelque peu changé. Sans vergogne ni fausse pudeur, la même Elisabeth Guigou avouait qu'elle avait volontairement trompé les Français : «Al 'époque, l'important était défaire passer le pacs. Il y avait une résistance farouche au pacs, mais aussi dans la société avec des manifestations, des débordements verbaux inadmissibles... Donc, l'important, c'était de dissocier le pacs du mariage, sur le plan légal et sur le plan symbolique. (...) Aujourd'hui, j'ai évolué sur le mariage, j'ai considéré, en parlant avec les associations que, dès lors qu'il s'agissait de consentement mutuel entre deux adultes, il n 'était pas possible de refuser une égalité des droits. » Quid, alors de l'adoption ? « La société a beaucoup évolué, moi-même je garde mes interrogations sur l'adoption; il faut trouver comment écrire dans le code civil comment s'organise la filiation d'un enfant qui est adopté par un couple homo », dit-elle. Le moins que l'on puisse dire, c'est que le ton a changé...

    Une folle rumeur ?

    Contrairement à ce que prétend l'ancien ministre de la justice, la société a-t-elle beaucoup « évolué » ? Rien n'est moins sûr, à en juger par l'immense mouvement de protestation qui s'est levé contre la loi Taubira dénaturant le mariage. Et les importantes manifestations qui avaient à l'époque été organisées contre le Pacs (100000 personnes à Paris en février 1999, des Invalides au Trocadéro) rassemblaient déjà des foules qui ressemblaient beaucoup à celles qui sont redescendues battre le pavé en 2012, jusque dans leurs slogans : « Deux mamans ou deux papas : bonjour les dégâts ! »

    Les élus locaux s'étaient, à l'époque, eux aussi mobilisés et l'Evénement du jeudi, journal de la gauche moderne, libertaire et friquée, s'indignait contre une pétition anti-pacs signée par 14000 maires, que le journal alors dirigé par Georges-Marc Benamou qualifiait d'« intox réac ». Dans son éditorial, ledit Benamou écrivait : « C'était un mensonge qui courait les campagnes et les villes françaises. C'est très vite devenu une rumeur, une panique chez les gens de bonne réputation : "le mariage homosexuel allait être légalisé." Comme toutes les rumeurs, elle est folle, elle est fausse, elle s'insinue, elle enfle jusqu'à faire autorité, depuis six mois, dans les journaux convenables et dans un certain monde politique. » En fait d'intox, la presse de gauche se posait là : les sondages, publiés notamment dans Libération, « montraient » que 60 %, voire 80 % des Français étaient favorables au Pacs. Au cœur du lobby militant en faveur du pacs, se trouvait déjà un certain Pierre Berge...

    Du Pacs au mariage pour tous

    La loi votée, le 13 octobre 1999, et la pression médiatique retombée, les pouvoirs publics ont pu croire que les Français avaient avalé la « pilule » du Pacs. D'autant plus que les « hétérosexuels » paraissaient eux aussi l'avoir adopté : en 2007, Patrick Festy, démographe à l'Ined, estimait que 15 % seulement des pactes civils de solidarité étaient signés par des homosexuels ; en 2008, selon l'Ined, 95 % concernaient les couples hétérosexuels. Entre le concubinage et le mariage, le Pacs était en somme devenu une sorte d'union à responsabilité limitée, qui en venait pour cette raison à concurrencer le mariage : « Il est plus facile de se dépacser que de divorcer », expliquait Patrick Festy dans Le Parisien : une façon de mettre l'amour au conditionnel.

    Les hiérarques socialistes ont donc pu croire que la loi sur le pseudo-mariage entre personnes de même sexe passerait sans faire de vagues, dans le sillage du Pacs : en quoi, ils se sont trompés. D'une part, le Pacs n'ouvrait pas immédiatement la porte à l'adoption d'enfants par les homosexuels - même si l'on savait que cette revendication constituerait l'étape suivante; et d'autre part, il ne portait pas aussi directement atteinte à l'institution du mariage. Néanmoins, le Pacs s'inscrivait déjà dans la stratégie progressiste du grignotage et a constitué une étape décisive vers la légalisation du prétendu mariage homosexuel.

    C'est pour cette même raison que l'idée deContrat urbain de cohésion sociale, avancéepar Hervé Mariton dans le cadre de la protestation contre la loi Taubira, n'était pas recevable, ce « Cucs » renchérissant sur le Pacs sansgrande utilité, ni surtout sans en remettre encause la logique dangereuse.

    Hervé Bizien monde & vie  11 juin 2014 

  • Miracle de la vie

    Relatée par Jeanne Smits :

    "Megan est une petite fille dodue de 18 semaines qui se porte à merveille. Mais l’histoire de sa venue au monde a tout du miracle. Au point que les médecins qui ont eu suivi l’aventure de sa maman, Michelle Hui ont décrété qu’elle devait être particulièrement « bénie ». Car l’enfant a survécu à une fausse couche et à la pilule abortive.

    Michelle, 31 ans, était enceinte de 6 semaines et se rendait vers la gare pour aller au travail. Soudain, elle a commencé à saigner abondamment. Paniquée, elle appelle son mari : « Je suis en train de perdre mon bébé ! » Ross Hui s’occupe des deux autres enfants du couple­, Mya, 4 ans, et Noah, 2 ans, il ne peut les laisser pour venir la chercher. Elle rentre seule, puis elle rejoint l’hôpital Rotunda de Dublin.

    Cinq échographies vont permettre aux médecins d’établir qu’elle a effectivement perdu son enfant. Pour s’assurer que son utérus est bien vide – dans le cas contraire, elle risque une grave infection – on lui prescrit deux pilules abortives et elle reste sous surveillance jusqu’au lendemain.

    Il ne s’agit pas pour autant d’un avortement volontaire. Mais bien d’un soin après une fausse couche, une mesure de précaution dans une situation où l’enfant à naître a cessé de vivre et a été expulsé.

    Michelle Hui raconte qu’elle était « dévastée ». Le lendemain soir, elle sort avec des amis. Boit une bouteille et demie de vin. « Je n’avais jamais bu autant. Je ne suis pas une buveuse. » Pour elle et pour son mari, pas de doute, même en tout début de grossesse, ce n’est pas un embryon ou un fœtus que l’on perd, mais un fils ou une fille…

    Toujours pour s’assurer que tout allait bien, les médecins ont alors demandé à Michelle de subir un test de grossesse – non parce qu’elle pouvait être toujours enceinte, mais pour vérifier s’il restait des caillots dans l’utérus. Test positif. On décide de pratiquer un curetage.

    C’est alors que se produit le miracle. Un dernier scan de contrôle permet au médecin de déceler ce qu’il ne se serait jamais attendu à voir. Incrédule, il part chercher un collègue plus expérimenté. « Vous n’allez pas le croire : il y a un battement de cœur », dit-il enfin à la maman, ivre de bonheur cette fois.  Michelle, enceinte de jumeaux, avait bien perdu l’un des enfants. Mais l’autre, inexplicablement, a survécu à tout. Et a probablement été caché, lors des échographies au moment de la fausse couche, par le sang et les caillots qui ont créé une « ombre », ont expliqué les médecins. Ils ne s’expliquent pas que le deuxième bébé n’ait pas été vu d’emblée, ni qu’il ait survécu au mifepristone… [...]"

    Michel Janva

  • Le 4 juillet et la chute de la maison Obama

    Triste 4 juillet en Amérique. S’il ne fait pas bon être ancien président en France en ce moment, il ne fait pas bon non plus être président en exercice à Washington.

    Barack Obama vient d’être voté (33%) pire président de l’histoire récente des Etats-Unis devant le peu regretté George Bush (28%). Mais autant Bush avait symbolisé une arrogance de wasp riche, belliqueux et autoritaire, autant Obama avait synthétisé le rêve global du monde solidaire, multiracial et pacifique.

    Or qu’avons-nous eu ? Un président qui a multiplié les plus grossières provocations diplomatiques et même militaires contre la Russie ; un président qui n’a pas su mettre au pas les lobbies et les oligarchies qui d’après le prix Nobel Joe Stiglitz manipulent son pays ; un président qui voit les bras ballants l’effondrement de son économie (-2,9% pour le premier trimestre écoulé), assiste impuissant au creusement irréel de la dette et au gonflement de la énième bulle boursière ; et qui finalement semble ici terminer un mandat dans la dépression sans plus rien entreprendre de bien neuf.

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