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I Media N°18
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Avignon : venez soutenir la France qui bosse
Si en Avignon certains font grèves ou soutiennent les grévistent qui abusent du système... d'autres ne feront pas 1 seul jour de grève, et même résistent aux jours de grèves imposés; Par exemple:"Du minuscule et de l'imprévisible" tout les jours à 16h45 à la chapelle de l'oratoire rue Joseph Vernet.Venez donc soutenir la France qui bosse ! Celle qui résiste à l'esprit de grève ou aux syndicats ! Les artistes qui veulent rendre et réveiller la personne humaine dans sa véritable vocation, qui veulent montrer l'invisible et ce qu'est la vie dans le plus ordinaire et apparemment le plus banal !
Il faut souligner qu'il est assez rare qu'un moine/prêtre monte sur les planches... Saint Jean Paul II avait initié cela.... Frère Grégoire (Cté St Jean) lui emboîte le pas à son humble mesure. Sachez qu'il se déplacera volontiers dès septembre dans les paroisses, maisons de retraite, chez des particuliers pour redonner ce monologue.
« Du minuscule et de l'imprévisible » ou "le baiser d'une lumière sur notre coeur gris" Monologue de 55 min présenté au festival Off créé à partir d'interviews et autres textes de Christian Bobin, qui a approuvé et encouragé ce projet.
Voici l'avis de Famille Chrétienne :
« À la question : que faites-vous dans la vie, voilà ce que j’aimerais répondre, voilà ce que je n’ose pas répondre, disait Bobin : je fais du tout-petit, je témoigne pour un brin d’herbe. » Avec ce tout-petit, le Père Grégoire voit haut et grand. « Son » monologue tiré d’une prose aux accents religieux se veut une redécouverte de la vocation humaine première, dans son éblouissement originel : vocation à regarder, louer, aimer. Vocation à se sentir vivant. Vocation à savourer le temps qui passe, et non à courir derrière lui. Vocation à renaître de l’Esprit, selon les paroles évangéliques. La naissance, l’amour, la mort éternellement recommencées. Éternellement transfigurées. « Le baiser d’une lumière sur notre coeur gris »
http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/07/avignon-venez-soutenir-la-france-qui-bosse.html
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Dextra organise sa traditionnelle université d’été sur le thème « Reprendre le pouvoir »
Après le mouvement social de 2013 contre le pseudo-mariage homosexuel, alors que la droite d’argent croule sous les scandales et que le socialisme est en déroute, il est temps de jeter les fondations d’une organisation de droite authentique, en mesure de répondre aux attentes des Français.
Afin de s’acheminer vers la constitution d’une organisation en mesure de réunir les énergies se qui se reconnaissent dans une droite véritable, nous devons tout d’abord faire l’unité autour de principes clairs.
C’est pourquoi, le programme de l’université d’été de Dextra intitulée cette année « Reprendre le pouvoir » s’attachera à rappeler les fondements, les références et les expériences de la vraie droite. L’organisation en projet – ébauchée pendant cette université d’été – devra lier indissolublement les thèmes fédérateurs et fondateurs de toute droite véritable :
- la défense de la nation française et de sa souveraineté, de son indépendance, de son influence et de sa puissance dans le concert des nations,
- la préservation de notre identité française et de nos patries charnelle,
- le rétablissement des libertés locales,
- la défense de la propriété et des libertés économiques ordonnées au Bien commun,
- l’instauration de la justice sociale,
- la promotion de la famille et de la vie,
- la préservation de notre patrimoine culturel et environemental dans une écologie humaine,
- la défense des hommes face à la tyrannie de l’argent, des idéologies, et de la machine.
Dextra propose à ceux qui veulent agir en politique de se former aux meilleures sources de la droite, préalable indispensable à l’action.
L’université d’été de Dextra est un moment de convivialité d’amitié et de camaraderie, où une jeunesse animée d’une même conviction va pouvoir se retrouver loin des soucis quotidiens de la modernité, afin d’échanger, de se former et de tisser des liens durables.
L’université d’été de Dextra se déroulera du 24 au 31 août, dans le prestigieux château de Lignières, où nous sommes aimablement accueillis par S.A.R. le prince Sixte-Henri de Bourbon Parme.
L’arrivée des participants aura lieu à partir de 17h le dimanche 24 août, et elle prendra fin, l’après-midi du dimanche 31 août.
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Tarif : 130€ pour l’ensemble du camp (hébergement et nourriture compris)
Ouvert au 16 – 35 ans
Château de Lignières (18160), Berry, France
Pour toutes les informations complémentaires, le programme, le lieu : http://udt.dextra.fr/
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La question financière ne doit pas être préjudiciable à votre venue, n’hésitez pas à nous contacter
http://www.oragesdacier.info/2014/07/dextra-organise-sa-traditionnelle.html
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Avons nous perdu la foi ?
Céline interviewé en 1958 expliquait que la foi était le moteur d'une civilisation, c'est cette foi qui permet à un pays de rebondir, de se renouveler et éventuellement de se régénérer. La France, ce vieux pays dont la langue est devenue si lourde, si laborieuse et si mal maitrisée par sa jeunesse, serait-elle en passe de sombrer ?
Les dernières expériences sociétales qui l'ont traversées ont provoqué quelques soubressauts, mais le peuple semble plus que jamais dormant, abruti oserais-je dire par quantité d'addictions chimiques et comportementales. Le million de personnes qui s'était levé contre le mariage gay, une fois passé sous les fourches caudines de l'appareil politico médiatique s'est transformé en quelques milliers d'individus isolés, mécontents mais désorganisés. Bien sûr, plus récemment certains sont allés voter pour Marine Le Pen aux dernières élections européennes mais cela n'a rien changé à leurs misérables vies, leur pouvoir d'achat est toujours en berne, l'immigration n'est toujours pas maitrisée, l'insécurité augmente à l'instar des dépenses sociales et d'assurance maladie. Tout est fait pour que le pays réel ne se réveille pas, le pays est pris dans un carcan institutionnel imaginé par Jean Monnet dont il est impossible de se libéré par le vote. Au delà des institutions, les discours lénifiants des politiques, les dogmes du libéralisme financier martelés à longueur de journée ad nauseam sur les ondes des radios et sur les écrans de télévision sont autant de garde-fous destinés à empêcher ce réveil du peuple. Celui-ci ne devra à aucun moment se révolter contre cette oligarchie qui vit sur son dos et à ses dépends, c'est le plan des Attali, BHL et consorts.
Alors, comment ce statu quo peut-il un jour changer ? Seule la foi peut permettre à un peuple de se soulever contre l'injustice et lui donner assez de force pour renverser l'ordre établi. A notre époque ce ne sera sans doute pas une foi religieuse, le temps est trop lourd et trop peu spirituel, non ce sera donc forcément une volonté collective de ne pas disparaître, un réflexe de survie issu du cerveau reptilien puisque tout le reste aura été lentement anesthésié par les mensonges de la propagande. Car, pendant que les Français sont tout occupés à boucler leurs fins de mois, le grand remplacement, lui, devient une réalité. Les villes sont devenues des lieux improbables, invivables où une minorités de bobos libéraux libertaires font la fête, et encore de moins en moins, pendant que leurs petits esclaves sont happés dans la fourmilière ou la toile de l'araignée, c'est au choix. Ceux qui souhaitent un vrai changement cherchent désespérément un chef, sans doute un réflexe conditionné, reliquat inconscient d'un messianisme pourtant aujourd'hui réprouvé, forcément réactionnaire face à l'expansion inexorable du marché dans toutes les sphères entourant l'homme moderne.
Mais d'où viendra le salut ? Ce dont on peut être certain, c'est qu'il viendra d'où on l'attend le moins, là où les mailles de la matrice sont le plus relâchées, là où le matraquage médiatique et le ronron des bien pensants ne peut sévir. Il faudra aller au delà des apparences, percer le voile de blabla qui occulte au quidam l'essentiel de son être. Peut-être que nos contemporains trouveront un jour cette porte dans leur inconscient qui les mènera vers cette rencontre avec les archétypes issus de notre civilisation tels que C.G. Jung les a définis. Peut-être auront ils le courage de surmonter leur lâcheté malgré leur avilissement de consommateurs de pornographie, s'extirpant un instant du bruit des machines et s'affranchissant enfin des diverses substances psychotropes et narcotiques qui gangrènent leurs organismes d'hommes modernes. En attendant, ce monde sera toujours de plus en plus laid et ennuyeux, s'écroulant à l'infini sur lui-même, tel un trou noir, jusqu'au silence enfin et puis plus rien.
Arès/C.N.Chttp://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Avons nous perdu la foi ?
Céline interviewé en 1958 expliquait que la foi était le moteur d'une civilisation, c'est cette foi qui permet à un pays de rebondir, de se renouveler et éventuellement de se régénérer. La France, ce vieux pays dont la langue est devenue si lourde, si laborieuse et si mal maitrisée par sa jeunesse, serait-elle en passe de sombrer ?
Les dernières expériences sociétales qui l'ont traversées ont provoqué quelques soubressauts, mais le peuple semble plus que jamais dormant, abruti oserais-je dire par quantité d'addictions chimiques et comportementales. Le million de personnes qui s'était levé contre le mariage gay, une fois passé sous les fourches caudines de l'appareil politico médiatique s'est transformé en quelques milliers d'individus isolés, mécontents mais désorganisés. Bien sûr, plus récemment certains sont allés voter pour Marine Le Pen aux dernières élections européennes mais cela n'a rien changé à leurs misérables vies, leur pouvoir d'achat est toujours en berne, l'immigration n'est toujours pas maitrisée, l'insécurité augmente à l'instar des dépenses sociales et d'assurance maladie. Tout est fait pour que le pays réel ne se réveille pas, le pays est pris dans un carcan institutionnel imaginé par Jean Monnet dont il est impossible de se libéré par le vote. Au delà des institutions, les discours lénifiants des politiques, les dogmes du libéralisme financier martelés à longueur de journée ad nauseam sur les ondes des radios et sur les écrans de télévision sont autant de garde-fous destinés à empêcher ce réveil du peuple. Celui-ci ne devra à aucun moment se révolter contre cette oligarchie qui vit sur son dos et à ses dépends, c'est le plan des Attali, BHL et consorts.
Alors, comment ce statu quo peut-il un jour changer ? Seule la foi peut permettre à un peuple de se soulever contre l'injustice et lui donner assez de force pour renverser l'ordre établi. A notre époque ce ne sera sans doute pas une foi religieuse, le temps est trop lourd et trop peu spirituel, non ce sera donc forcément une volonté collective de ne pas disparaître, un réflexe de survie issu du cerveau reptilien puisque tout le reste aura été lentement anesthésié par les mensonges de la propagande. Car, pendant que les Français sont tout occupés à boucler leurs fins de mois, le grand remplacement, lui, devient une réalité. Les villes sont devenues des lieux improbables, invivables où une minorités de bobos libéraux libertaires font la fête, et encore de moins en moins, pendant que leurs petits esclaves sont happés dans la fourmilière ou la toile de l'araignée, c'est au choix. Ceux qui souhaitent un vrai changement cherchent désespérément un chef, sans doute un réflexe conditionné, reliquat inconscient d'un messianisme pourtant aujourd'hui réprouvé, forcément réactionnaire face à l'expansion inexorable du marché dans toutes les sphères entourant l'homme moderne.
Mais d'où viendra le salut ? Ce dont on peut être certain, c'est qu'il viendra d'où on l'attend le moins, là où les mailles de la matrice sont le plus relâchées, là où le matraquage médiatique et le ronron des bien pensants ne peut sévir. Il faudra aller au delà des apparences, percer le voile de blabla qui occulte au quidam l'essentiel de son être. Peut-être que nos contemporains trouveront un jour cette porte dans leur inconscient qui les mènera vers cette rencontre avec les archétypes issus de notre civilisation tels que C.G. Jung les a définis. Peut-être auront ils le courage de surmonter leur lâcheté malgré leur avilissement de consommateurs de pornographie, s'extirpant un instant du bruit des machines et s'affranchissant enfin des diverses substances psychotropes et narcotiques qui gangrènent leurs organismes d'hommes modernes. En attendant, ce monde sera toujours de plus en plus laid et ennuyeux, s'écroulant à l'infini sur lui-même, tel un trou noir, jusqu'au silence enfin et puis plus rien.
Arès/C.N.Chttp://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Le MAS sur Radio Courtoisie: “Avant-garde et réseau de militants résolument tournés vers l'avenir”
Libre Journal des lycéens du 28 mai 2014 : “Avant-garde et réseau de militants résolument tournés vers l'avenir”
Pascal Lassalle recevait Arnaud de Robert, porte-parole du Mouvement d'action sociale (MAS), et Gérard Vaudan, responsable de l'ONG Solidarité populaire. Thème : “Avant-garde et réseau de militants résolument tournés vers l'avenir”.
PODCAST A ECOUTER ICI: Radio Courtoisie
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Je ne voudrais pas gâcher la fête
A l’heure ou la France se qualifie pour le quart de finale, une polémique commence à prendre une certaine ampleur, malgré le silence toujours plus servile des médias, à propos des « incidents » qui accompagnent systématiquement les victoires de l’équipe d’Algérie dans le cadre de la coupe du monde de foutbol.
Au travers des fissures de l’omerta républicaine, filtrent quand même des informations pour le moins alarmantes tout de suite minimisées par les journalistes « homo-festivus » qui laissent entendre que les porteurs de ces nouvelles sont les fameux néo racistes qui menacent la planète et qui font rien qu’embêter les gentils qui ne pensent qu’à s’amuser. Je ne vais pas lister ici le nombre des voitures brûlées, des pompiers caillassés, des insultes anti-françaises proférées, rien que de très normal estime la police , tout est calme sur l’ensemble du front disait aussi la TSF en 39.
Certains élus ont même l’outrecuidance d’appeler les algériens vivant en France, (la double nationalité permettant bien des choses, comme toucher les allocations familiales et le RSA en France, et brandir le drapeau Algérien, aussi en France) à se faire un peu moins voyants , à moins envahir les places des grandes villes, moins étaler leurs drapeaux , parfois sur les frontons des mairies en lieu et place du drapeau français (dont on ne sait quel sort lui est réservé).
Les ligues de vertus républicaines sont tout de suite mobilisées contre de tels propos « rappelant les heures les plus sombres de notre histoire ». Ce qui devrait être reçu comme l’expression du bon sens le plus ordinaire, devient un propos odieux contre lequel la classe politique toujours prompte à défendre les valeurs de notre société émasculée, pardon immaculée, se dresse , le menton levé et condamne aussi courageusement qu’unanimement cette résurgence de la « bête immonde ».
A côté de cela, la garde à vue de Sarkozy, les milliards de dollars versés sans broncher à la justice américaine, (une amende que certaines mauvaises langues croient liée politiquement à la vente des navires de guerre à la Russie), la guerre américaine qui menace partout, en Irak , en Ukraine, en Palestine…. Tout cela est occulté par la fièvre du ballon rond, qui arrive à masquer même ce que cet événement mondial révèle : La France est un pays occupé. Entendons nous bien, il ne s’agit pas ici de refuser le droit aux minorités étrangères vivant en France d’exprimer une joie légitime quand leur équipe préférée marque un but, « on » leur demande seulement de prendre conscience qu’ils ne sont pas ici chez eux en tant que supporters d’une équipe étrangère et que leurs manifestations doivent rester dans les limites de la décence.
Savent-ils qui est ce « on », dans la confusion du concert médiatique ? Malheureusement ces étrangers les jours pairs et Français les jours impairs, encouragés par la classe médiatico-politique, n’entendent pas le « cri sourd du pays qu’on enchaine ». Et pour cause : ils ne se sentent plus une minorité, ce qui leur permet — tout le monde à vu les reportages des journalistes niaisement enchantés sur les champs Elysées — de crier à tue-tête en brandissant le drapeau algérien : « On est chez nous…. »
Bon, restons calme, mais convenons quand même que tout cela est inquiétant et qu’il serait sage de remettre à plat la question de l’immigration, celle de l’intégration et peut-être même celle, complètement oubliée par nos dirigeants, de la politique Africaine de la France, des deux côtés du Sahara.
Olivier Perceval - Secrétaire général de l’Action française - L’AF 2889
Lien permanent Catégories : France et politique française, immigration, insécurité, lobby 0 commentaire -
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