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  • Succès du meeting de Génération Identitaire à Paris ce samedi

    Le samedi 4 octobre, à la veille de La Manif pour Tous de demain dimanche, Génération Identitaire était en meeting à Paris 8 rue d’Athènes dans le 9ème. Avec comme thème “Nous sommes la première ligne”.

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  • Les «braves gens» se rebiffent : nos politiques auraient tort de les sous-estimer

    De Vincent Trémolet de Villers dans Le Figaro :

    "Ces «braves gens» sont infatigables. Depuis deux ans et la première Manif pour tous en novembre 2012, ils reviennent avec les saisons dans les rues de Paris, de Lyon ou de Bordeaux pour exprimer calmement leur attachement à la famille. La Préfecture de police s'est acharnée au départ à réduire leur nombre mais aujourd'hui tout le monde le reconnaît: ce mouvement est capable de réunir des centaines de milliers de manifestants. Ils ne demandent ni subventions, ni statut particulier: ils s'inquiètent du monde qu'on leur prépare. Ceux qui se sont arrêtés dans les années 1980 cherchent des «lodens» ou des «forces sombres». C'est faire preuve d'une grande paresse intellectuelle et ne rien comprendre à un phénomène qui traverse toute la société française et dépasse de très loin la Manif pour tous. Une grande partie des Français, en effet, est en proie depuis des années (et ce sentiment s'est accéléré sous le quinquennat Hollande) à une impression obsédante: celle d'être dépossédé. Cette dépossession s'exprime, avant tout, dans la vie économique. Le fruit de travail et de l'effort est pris en tenaille entre la pression fiscale et des mouvements globaux implacables. Le travailleur, soumis à cette fatalité, est réduit au rang de fourmi. Son mérite propre, contrarié par l'omnipotence de l'État d'une part et la mondialisation sauvage de l'autre, ne compte plus guère. [...]

    Cette dépossession culturelle apparaît plus angoissante encore dans la rupture de transmission que ressentent tous les parents qui ont des enfants à l'école. Depuis des années, des voix qui portent comme celle d'Alain Finkielkraut, de Natacha Polony alertent les pouvoirs publics: en vain. Leur succès auquel s'ajoute celui de l'essai du jeune philosophe François-Xavier Bellamy Les Déshérités ou l'urgence de transmettre (Plon) augmente à mesure que l'école républicaine se délite. [...]

    Avec la loi Taubira et ses corollaires PMA, GPA, les manifestants pensent, enfin, assister au stade ultime de la dépossession: le basculement anthropologique. La famille, dernier refuge et pilier de la société, est frappée de plein fouet par une vision expérimentale de la reproduction et de l'organisation sociale. Comme si la technique, le marché et l'individualisme s'emparaient du dernier bastion, les enfants, ou plus précisément la génération.

    Pour exprimer cette impression d'effacement économique, identitaire, culturel, anthropologique, l'essayiste Gaël Brustier parle volontiers de «paniques morales» ; dans son ouvrage qui caracole en tête des ventes, Éric Zemmour va même jusqu'auSuicide français. Cette angoisse indiscutablement s'exprime avec une force grandissante depuis des années. Dans les urnes avec le coup de tonnerre du référendum de 2005 et la progression continue du Front national, dans les sondages qui témoignent chaque jour un peu plus de l'attente des Français sur la sécurité, l'immigration, l'entreprise, la famille. À la télévision avec des chroniqueurs devenus, malgré eux, porte-voix des sans-voix. Dans la rue enfin avec la Manif pour tous. En descendant, une fois encore en masse, ces Français rappellent à la gauche et à surtout à la droite qu'ils forment un mouvement populaire, agissant et désormais rompu aux règles «médiapolitiques». Nos leaders politiques auraient tort de sous-estimer le phénomène. C'est un fait: les «braves gens» se rebiffent."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/10/les-braves-gens-se-rebiffent-nos-politiques-auraient-tort-de-les-sous-estimer.html

  • Sondages Auvergne-Rhône-Alpes : le FN à 27%

    Communiqué de presse de Bruno Gollnisch,
    Député européen et Président du groupe FN au Conseil régional Rhône-Alpes

    À plus d’un an des élections régionales 2015, programmées semble-t-il en décembre de l’année prochaine, l’institut de sondages Opinonway crédite le Front National de 27% d’intentions de vote dans l’hypothétique nouvelle région Auvergne-Rhône-Alpes.

    La prudence habituelle que nous avons sur ces « consultations » ne nous empêche pas de saluer cette projection, qui illustre parfaitement le ressenti palpable dans nos rues, et qui conforte les résultats des trois élections de l’année 2014.

    Acculée par ses échecs politiques et ses scandales à répétitions, la classe politique UMPS est lâchée par un pays réel qui prend conscience que le seul espoir du redressement de nos territoires et de notre pays passe par notre accession aux responsabilités.

    Retrouvez la vie du Groupe FN en Région Rhône-Alpes sur son site internet:

    fnra1

     

    http://gollnisch.com/2014/10/03/sondages-auvergne-rhone-alpes-fn-27/

  • La France résistante

    500 000 manifestants à Paris et plus de 30 000 à Bordeaux selon les organisateurs de la Manif pour tous(respectivement 70 000 et 7500 selon les chiffres tout de même bien bidonnés du ministère de l’Intérieur !), ce nouveau rendez-vous dans la rue des défenseurs de la famille a été hier un très grand succès. Une mobilisation à laquelle le Front National a pris toute sa part en appelant ses sympathisants et électeurs à se joindre aux cortèges. La délégation frontiste avait à sa tête (que ceux que nous n’avons pas vu dans la foule ne nous en veulent pas !) les députés Bruno Gollnisch, Marion Maréchal-Le Pen, Louis Aliot, Marie-Christine Arnautu, Nicolas Bay,  Aymeric Chauprade, Edouard Ferrand,  Sylvie Goddyn, Bernard Monot, Jean-Luc Schaffhauser, le sénateur  Stéphane Ravier, le député du RBM Gilbert Collard, de nombreux conseillers régionaux… Cette  levée en masse du peuple de France pour préserver le modèle familial traditionnel n’est bien sûr pas du gout des instances et des officines bruxelloises. Un arrêt de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) a d’ailleurs condamné la France pour ne pas avoir reconnu la filiation d’une naissance par mère porteuse (GPA) aux Etats-Unis. Marine Le Pen a proposé hier sur France Inter  que la France, à l’instar de ce que vient de déclarer gouvernement britannique, s’affranchisse de décisions de la CEDH…

     Vincent Trémolet de Villers le notait dimanche sur le site du Figaro commentant cette mobilisation hors norme, «ceux qui se sont arrêtés dans les années 1980 cherchent des lodens ou des forces sombres. C’est faire preuve d’une grande paresse intellectuelle et ne rien comprendre à un phénomène qui traverse toute la société française et dépasse de très loin la Manif pour tous».

     «Une grande partie des Français, est en proie depuis des années (…) à une impression obsédante:celle d’être dépossédé». Une «dépossession» qui s’exprime «dans la vie économique» avec le fiscalisme confiscatoire tandis que «(le) mérite propre (du Français), contrarié par l’omnipotence de l’État d’une part et la mondialisation sauvage de l’autre, ne compte plus guère ».

     Une «dépossession culturelle» également qui «apparaît plus angoissante encore dans la rupture de transmission que ressentent tous les parents qui ont des enfants à l’école (…). Avec la loi Taubira et ses corollaires PMA, GPA, les manifestants pensent, enfin, assister au stade ultime de la dépossession: le basculement anthropologique. La famille, dernier refuge et pilier de la société, est frappée de plein fouet par une vision expérimentale de la reproduction et de l’organisation sociale. Comme si la technique, le marché et l’individualisme s’emparaient du dernier bastion, les enfants, ou plus précisément la génération».

     «Pour exprimer cette impression d’effacement économique, identitaire, culturel, anthropologique» écrit le journaliste du Figaro, «l’essayiste Gaël Brustier parle volontiers de paniques morales. Dans son ouvrage qui caracole en tête des ventes, Éric Zemmour va même jusqu’au Suicide français. Cette angoisse indiscutablement s’exprime avec une force grandissante depuis des années. Dans les urnes avec le coup de tonnerre du référendum de 2005 et la progression continue du Front National, dans les sondages qui témoignent chaque jour un peu plus de l’attente des Français sur la sécurité, l’immigration, l’entreprise, la famille ».

     Zemmour, de nouveau l’homme par qui le scandale arrive avec ce  dernier essai en date  évoqué dans cet article du Figaro. Il y livre une analyse précise, historiquement sourcée, sans concessions ni langue de bois, sur les trahisons dont ont été victimes les Français de la part de leurs « élites ». « Elites » pétries d’idées fausses et molles, qui se sont en outre empressées de se défausser sur une technocratie bruxelloise, par essence antinationale et antidémocratique, du pouvoir et des responsabilités qui leur avaient été confiés par le peuple souverain.

     Le suicide français, c’est dire s’il vise juste, a suscité samedi l’indignation de la  militante antifrontiste Laurence Parisot. L’ex patronne du Médef, qui tient une chronique sur Europe 1, a jugé le livre de Zemmour «scandaleux».  Car «c’est scandaleux de faire ainsi du populisme (sic). (…).  Il a une telle façon de dire c’était mieux avant qu’il entretient une illusion de retour en arrière. Et pour moi c’est une définition du populisme».

     Il est assez piquant de voir Mme Parisot se permettre faire ce type de reproche, elle dont le job consiste précisément à maintenir l’illusion que nous vivons mieux qu’avant, que la voie euromondialiste dans laquelle la France est dramatiquement engagée de force, est la seule solution, qu’il n’y a pas de plan B. Ce qui est bien sûr un mensonge d’une absolue malhonnêteté affirme Bruno Gollnisch.

     Invité, en compagnie notamment de Michel Denisot et Daniel Cohn-Bendit ( !) de l’émission deLaurent Ruquier On est pas couché diffusé samedi soir dans le cadre de la promotion de son livre, Eric Zemmour a été attaqué avec virulence.  

     Aymeric Caron a pris son ton habituel de donneur de leçons en conspuant l’essayiste pour ses propos sur le caractère torrentiel des flux migratoires et les aberrations pédagogistes de  l’éducation nationale  mais s’est fait moucher dans les grandes largeurs. Léa Salamé s’est montrée elle aussi très perturbée par cet attachement de M. Zemmour à l’identité  française et son refus de l’immigration de peuplement –«Pourquoi vous n’assumez pas que vous votez Marine Le Pen ?» (sic) a-t-elle notamment lancé.

     Mais surtout, son ancienne acolyte de l’émission  Ça se dispute a été particulièrement choquée par les attaques de Zemmour dans son livre sur l’ouvrage de l’américain Robert Paxton, La France de Vichy  (1973).  La journaliste y  a décelé  une forme de réhabilitation d’un régime que Paxton décrit comme « le mal absolu » souligne  Zemmour.

     Or,  dans  Le suicide de la France  a-t-il expliqué samedi soir, il conteste l’explication de la « doxa dominante » qui veut que « si l’Etat (Français)  faisait une distinction entre les Français et les étrangers  ça nous menait à Auschwitz. J’explique que c’est faux et beaucoup plus compliqué que cela ». Et de relever cette vérité à savoir que le Maréchal Pétain a sauvé grâce à la préférence nationale 95% des Juifs français. Zemmour a d’ailleurs évoqué les travaux  d’historiens  plus objectifs que Paxton, comme le rabbin franco-israélien Alain Michel (L’étoile et la Francisque , Vichy et la shoah ) ou de  l’intellectuel Robert Aron auteur en 1954 d’un des premiers livres sur Vichy ( Histoire de Vichy 1940-1044 ).

     Non,  le Maréchal Pétain ne fut pas un monstre et un  beau geste mémoriel, de rassemblement, et d’apaisement  serait,  en ce centenaire de la Première guerre mondiale,   d’accéder à sa dernière requête, qui fut de reposer au milieu de ses hommes, à l’ossuaire de Douaumont. Pétain, dont  François Mitterrand faisait fleurir chaque année la tombe à l’Ile d’Yeu, le chef habile, humain,  adoré par ses poilus, avare du sang de ses hommes,  qui mis fin aux assauts meurtriers, aux mutineries, aux « Fusillés pour l’exemple »…

     Philippe Pétain qui devant l’Histoire,   rappelait d’ailleurs Bruno Gollnisch,   « doit avoir la place que mérite la vérité». «La vérité d’un régime corrompu et incapable de dirigeants élus par leFront populaire, qui, dans la catastrophe à laquelle ils ont été incapables de faire face, se sont lamentablement débinés et ont refilé à ce vieillard l’ardoise de leurs erreurs (…).  Il y a des gens de bonne foi qui ont suivi Pétain, il y a des gens de bonne foi qui ont suivi De Gaulle.»

     « Ce dont je suis sûr en tout cas, indiquait-il encore, c’est que les dirigeants actuels sont 100 fois plus coupables, si tant est qu’il l’ait été, que le Maréchal Pétain. Il avait au moins une excuse, celle d’une armée victorieuse et implacable qui campait sur le territoire national. »

     «Tandis que les traîtres qui sont aujourd’hui au pouvoir, c’est en toute connaissance de cause qu’ils bradent la France, qu’ils livrent son économie, qu’ils livrent son identité à l’étranger, portant atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l’Etat, pour le seul profit de leurs intérêts abjects. »

     C’est parce qu’ils pointent  les turpitudes et les trahisons de la caste, que le  FN,  les esprits libres, objectifs, non formatés sont  insultés, vilipendés, moqués, voués aux gémonies par les chiens de garde du Système politico-médiatique. Mais c’est aussi la persévérance de l’opposition nationale à crier la vérité qui lui  assure  le soutien d’une frange sans cesse croissante du Peuple Français, de  la France Résistante. 

    http://gollnisch.com/2014/10/06/france-resistante/

  • Daech : le double jeu des Turcs

    On verra dans les jours qui viennent où et comment Ankara interviendra « si nécessaire » en Syrie et en Irak contre « les groupes terroristes », comme le Parlement turc l’y a autorisée.   

    Depuis plusieurs jours, la ville kurde de Kobani, dans le nord de la Syrie près de la frontière turque, est assiégée par les djihadistes de Daech et, à l’heure où vous lirez ces lignes, elle sera peut-être tombée entre leurs mains… Si l’on en croit un récent reportage de BFM TV diffusé le 4 octobre, l’armée turque y aurait même fortement contribué, en fermant la frontière syrienne aux Kurdes de Turquie qui voulaient prêter main forte aux Peshmergas kurdes de Kobani. Des milliers de Kurdes ont défilé hier (samedi) à Marseille pour manifester leur soutien aux combattants kurdes de Kobani.

    Car si la Turquie a finalement rejoint la coalition internationale, elle continue apparemment de jouer un double jeu, selon le Parti des travailleurs kurdes, le PKK d’Abdullah Öcalan, qui accuse Ankara de duplicité depuis le début des opérations : « L’enlèvement des ressortissants turcs par Daech à Mossoul n’a été que du pur spectacle [...] Comment se fait-il que Daech exécute invariablement les ressortissants de tous les pays du monde mais que les otages turcs ont été, eux, libérés, sans la moindre égratignure. »

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  • "Il est temps que nous arrêtions de choisir élection après élection le « moindre mal »"

    Discours de clôture de La Manif Pour Tous à Bordeaux prononcé par le responsable de province Sud Ouest LMPT :

    "Je vais conclure cette après-­midi de façon très courte et en revenant sur un point essentiel. Nous sommes rassemblés ici parce que nous avons tous perçu une injustice flagrante qui nous démontre que, quelle que soit ses croyances, tout homme a inscrit au fond de son coeur une intuition de ce qu’est le Bien et le Mal. Le Bien et le Mal sont des choses objectives et non pas relatives. Nous vivons par ailleurs dans une société où les mots de Bien et de Mal ont peu ou prou disparus. Mais ce n’est pas parce qu’on ne parle plus du Mal qu’il n’existe plus. Le Mal existe depuis que le monde est monde. Il n’en reste pas moins que le Bien et le Mal sont parfois difficiles à discerner. Nous ne pouvons donc que modestement tenter de distinguer le Bien du Mal pour poursuivre l’un et rejeter l’autre.

    Photo 2C’est pour cette raison que ce n’est pas parce qu’une Assemblée Nationale a voté des lois incroyablement transgressives que ces mêmes lois deviennent le Bien. Ces lois, à la vérité, sont le Mal. Même si certains ont cru y discerner le Bien.

    La Nation étant par ailleurs une famille de familles, il est très grave qu’une Assemblée dite Nationale organise la destruction de ce qui la fonde. N’oublions pas que les hommes et les femmes qui composent cette Assemblée Nationale ne sont que de simples représentants, désignés de surcroît par un système qui exclut aujourd’hui plus de la moitié de nos concitoyens de la représentation.

    Albert Camus disait que Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde. Il est donc important de bien nommer les choses. Et si nous n’osons pas nommer le Mal il ne sert à rien de parler de Bien Commun.

    1. Promouvoir auprès de nos enfants des pratiques sexuelles marginales en les qualifiant de normales, c’est les troubler dans leur pudeur et leur intimité. Et c’est faire le mal.
    2. Pratiquer la PMA, c’est créer volontairement un orphelin de père. Et c’est faire le mal.
    3. Pratiquer la GPA, c’est acheter un enfant, c’est créer volontairement un orphelin de mère et c’est exploiter une femme. Et c’est faire le mal.
    Photo 1Le combat que nous menons est donc un combat du Bien contre le Mal. Il est donc temps que nous arrêtions de choisir élection après élection le « moindre mal ».

    Le socle de nos convictions non-­négociables a déjà été entamé depuis bien longtemps. Il est donc l’heure pour nous d’être radicaux dans nos choix, quel qu’en soit le coût, si nous voulons arrêter la lente descente vers le Mal au nom du moindre mal. Le système législatif et judiciaire d’un pays a vocation à dire le Bien et le Mal et à les sanctionner. Le fait­‐il encore aujourd’hui en France ?

    Alors voilà, le combat que nous menons est à la fois simple et titanesque. Titanesque comme l’histoire du monde. Simple comme une marche dans Bordeaux, un dimanche après-­‐midi d’octobre. Simple comme le courage, simple comme un oui, simple comme un non. Titanesque comme les renoncements qu’ils imposent. Arthur Rimbaud disait que le combat spirituel est aussi brutal que la bataille d'hommes. C’est vrai. Affutez donc vos armes spirituelles et préparez-­vous à un combat brutal. Et n’oublions pas que nos adversaires sont nos frères perdus et qu’avant d’être perdus, ils sont d’abord nos frères."

    Michel Janva