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  • Philippe de Villiers : “On est en train de vivre un changement de peuplement”

     

    Philippe de Villiers est intervenu hier 4 novembre sur RMC dans l’émission d’Eric Brunet, face à David Gozlan, secrétaire général de la Fédération Nationale de la Libre Pensée. A la suite d’un recours de La Libre Pensée, le tribunal administratif de Nantes, a fait démonter la traditionnelle Crèche de Noël installée tous les ans dans le hall d’accueil du Conseil général de Vendée. Le Conseil général a démonté mais a indiqué qu’il ferait appel.

    Quelques extraits en texte des paroles de Philippe de Villiers (audio complet en bas de cet article) :

    “Personne ne le dit à votre antenne, moi je vais le dire. Je n’ai pas peur des francs-mac’, moi. Ca ne m’a jamais fait peur. Et d’ailleurs l’œuvre du Puy du Fou est une œuvre de Chrétienté qui fait rayonner l’âme de la France.

    Ce qui est en train de se passer, là, c’est l’islamisation progressive de la France. Partout. Partout les digues lâchent. La vague continue. On est en train de vivre un changement de peuplement. Je pèse mes mots. On est en train d’accepter en France pour l’islam ce que l’on se met à refuser à la chrétienté. (…) Nous allons devenir une république islamique, dans 30 ans, ce sont les démographes qui parlent.

    Il y a des millions de Français qui en ont ras le bol que l’on détruise l’identité de la France. Et bien moi, je suis le porte-parole de cette France-là. (…) Puisque c’est le moment des vérités (…) On est en train de vivre un chassé-croisé extraordinaire en Europe. D’un côté l’avortement de race et de l’autre côté l’immigration de masse avec la complicité de beaucoup de politiciens. (…) Quand on se réveillera, il sera peut-être trop tard. Il faut se réveiller, et je suis là pour ça.”


    http://fr.novopress.info/179409/philippe-villiers-chasse-croise-en-europe-dun-cote-lavortement-race-lautre-cote-limmigration-masse/

  • Une recherche 100% éthique qui ne détruit aucun embryon humain, ça existe

    Et ça avance !

    E"L’information en provenance du Japon le prouve encore une fois. Shinya Yamanaka, prix Nobel en 2012 pour ses travaux sur les cellules iPS, et ses collaborateurs du CiRa le démontrent viennent de publier des travaux le 26 novembre dernier dans Stem Cell Reports. Ces scientifiques ont réussi à éditer le génome d’une cellule iPS pour corriger l’anomalie génétique responsable de la dystrophie musculaire de Duchenne (cf journal Le Monde supplément Science et Techno « Le Japon, pays des ‘cellules puissantes’ », 01/12/2014).

    Il est donc possible de financer une recherche médicale sur les cellules souches innovante sans détruire aucun embryon humain, comme le rappelle Jean-Marie Le Méné, président de la Fondation Jérôme Lejeune, « on peut faire autrement. Et de toute façon on ne détruit pas des embryons humains, qui sont des membres à part entière de l’espèce humaine ».

    Nous avons donc le choix : celui de financer une rechercher médicale qui ne respecte pas la vie humaine ou soutenir une recherche médicale 100% éthique, innovante, protégeant les embryons et respectueuse de la vie humaine. La Fondation Jérôme Lejeune propose au public des éléments de décryptage sur les enjeux éthiques et scientifiques soulevés par les programmes de recherche financés par l’AFM-Téléthon à travers ce livret disponible à la commande. Et vous, quelle recherche médicale soutenez-vous ?"

    Michel Janva http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Critique de la Révolution par Hegel : Périclès contre l’égalitarisme

    Alors que la Révolution française insuffle à l’Europe une énergie philosophique nouvelle, affirmant ressusciter l’esprit de la démocratie grecque, un soupçon germe déjà dans l’esprit de Hegel : cette filiation avec l’Antiquité ne repose-t-elle pas sur un malentendu ? Par la figure de Périclès, le philosophe révèle l’erreur d’interprétation commise par ceux qui se réclament de la démocratie athénienne. Présentée comme une révolution chargée de promesses égalitaires que Périclès se serait empressé de trahir, ne fut-elle pas plutôt la célébration de la liberté et de la vertu individuelles, dont Périclès s’avéra le plus admirable serviteur ?

    Périclès a fait l’objet d’une disgrâce constante dans l’histoire de la philosophie, dont les traces subsistent encore fortement, même à la fin du XVIIIème siècle. Lui préférant Sparte, les révolutionnaires français n’ont que modérément recours au modèle d’Athènes, et voient dans le destin tragique de cette cité le paradigme à ne pas suivre en ces heures de refondation politique intégrale – or, Périclès incarne en tout point cette corruption de l’idéal démocratique qu’ils entendent ne pas reproduire. En Allemagne, à la même époque, les détracteurs de l’entreprise révolutionnaire française puisent dans l’œuvre de Platon d’innombrables présages du destin qui attend, selon eux, le peuple français. Le philosophe grec, constatant l’échec absolu de la démocratie, et formulant une critique acerbe du régime qui avait, selon lui, corrompu la grandeur athénienne, assimilait entièrement sa décadence à la personnalité de Périclès. Ainsi, le nom de l’homme d’État est à la fois utilisé par ses opposants pour discréditer la Révolution, et mettre en garde contre le chaos dont ils la croient porteuse, et rejeté par ses défenseurs, qui se passeraient volontiers de l’encombrant exemple d’un homme en qui l’historiographie persiste à ne voir qu’un monarque déguisé, populiste et manipulateur de foules.

    Hegel, fasciné par les bouleversements politiques qui ont lieu en France, expose dans ses Leçons sur la Philosophie de l’Histoire les raisons qui le poussent à rejeter en bloc l’analyse de Platon. Découlant d’une idée univoque selon laquelle la démocratie fut néfaste à Athènes, le philosophe grec formule un jugement partial et intéressé, puisqu’il s’agit avant tout de discréditer un régime après son effondrement, en s’appuyant allègrement sur l’impopularité de Périclès dans la mémoire de ses contemporains. Platon reproche notamment à l’homme d’État athénien d’avoir préféré la prospérité économique de la Cité, pour s’assurer le soutien des foules ainsi comblées, à la véritable poursuite de l’idéal de justice. Périclès serait également le corrupteur moral de la vie politique athénienne, ayant introduit un système de rétribution de l’exercice des charges publiques, explicitement accusé par Platon, dans le Gorgias, d’avoir précipité la décadence d’un régime déjà vicié. « Périclès a rendu les Athéniens paresseux, lâches, babillards et intéressés, ayant le premier soudoyé les troupes. » Il semble pourtant que ce système ait, bien au contraire, permis à un nombre sans cesse croissant de citoyens athéniens de prendre part à l’administration de la Cité. Hegel ne s’y trompe pas, et il annonce ne vouloir juger Périclès qu’à l’aune des récits produits par les historiens, c’est-à-dire en s’appuyant sur des textes certes pas neutres quant à leur substance, puisque trahissant inconsciemment leur époque, mais du moins plus impartiaux dans leurs intentions que ceux de Platon.

    Le chef plutôt que la foule, le mérite plutôt que l’égalité

    C’est naturellement chez Thucydide que Hegel trouve la source documentaire la plus utile à son entreprise, mais également chez Plutarque, bien qu’il ne souscrive pas aux critiques sévères que ce dernier adresse aux décisions politiques prises par Périclès. Recoupant les descriptions concordantes, Hegel brosse le portrait d’un homme dont la qualité première fut la modération. Jamais en proie aux excès de la colère ou de la peur, Périclès était avant tout un homme tempéré, qui n’agissait qu’avec précaution et mesure, en accord avec les vertus de son temps. Intègre, il est peu probable qu’il eût jamais cédé à quelque tentative de corruption que ce fût, étant doté d’une force de caractère implacable, qui le poussait à obéir aux principes qu’il s’était lui-même fixé. De Thucydide, Hegel retient surtout l’éloge de la culture de Périclès, « homme riche en esprit », signe d’une formation irréprochable. Or, pour le philosophe allemand, c’est justement la formation qui permet à l’individu d’entrer en contact avec l’universel tout en développant sa personnalité. « La personnalité ne doit pas être confondue avec la particularité, car la première sera d’autant plus grande qu’elle sera dégagée de la seconde et qu’elle aura davantage saisi, exprimé et réalisé là, la véritable essence de son époque ».

    Périclès apparaît ainsi comme l’homme portant à leur plus parfaite harmonie les vertus individuelles permettant la bonne conduite de la vie collective de la Cité qu’il dirige seul. Là où les historiens n’avaient vu qu’une preuve supplémentaire du dévoiement de la démocratie au profit du pouvoir d’un seul homme, Hegel voit finalement dans le pouvoir de Périclès la résolution de l’inextricable tension qui parcourt la démocratie : tiraillée entre la liberté individuelle et la subjectivité, entre l’obéissance et la volonté, elle ne peut être que de courte durée sous sa forme institutionnelle. Il lui faut donc un homme d’État fort et vertueux, qui se distingue par ses qualités morales et intellectuelles, et qui s’impose aux foules par une maîtrise absolue du langage, ainsi que par une détermination sans faille. A l’opposé de la méfiance platonicienne à l’égard des sophistes et des démagogues, Hegel célèbre donc la fascination de la foule pour l’éminence d’un individu demeurant cependant entièrement soumis à elle, ne pouvant agir contre son gré ni la contrarier, sous peine de perdre immédiatement son affection et son appui.

    C’est dans ce rapport quasi organique entre l’homme d’État et le tribunal perpétuel devant lequel il s’exprime que réside, selon Hegel, l’assurance la plus fiable d’une Cité administrée selon la volonté du peuple, sans corruption ni déformation. Le seul critère permettant de déterminer l’aptitude d’un homme à se distinguer et à diriger la Cité repose donc sur l’examen de ses qualités propres, loin des fantasmes abstraits d’une égalité supposée absolue entre tous les tempéraments, tous les caractères et toutes les individualités. Nourrissant ici une divergence très marquée avec la philosophie kantienne et la neutralité morale des talents qu’elle avait posée comme principe fondateur de l’égalité des individus, Hegel n’en vient pas pour autant à réhabiliter la conception aristocratique de la Cité chère aux platoniciens. Bien au contraire, il vante les mérites du procédé par lequel l’homme vertueux parvient à s’imposer comme tel auprès de ses pairs, à se faire reconnaître par eux et à les guider : le mérite.

    Éloge de la liberté individuelle et critique de la liberté formelle

    Il serait absurde de déceler dans la perspective hégélienne une quelconque tentative de justification des despotismes éclairés tels qu’ils se développèrent au cours du XVIIIème siècle, puisqu’elle célèbre avant tout l’individu libre que fut Périclès, et dénonce les « abstractions » dont se nourrissent les révolutionnaires français. Il convient de noter que, par ce terme péjoratif, Hegel ne critique pas leur tentative de fonder une anthropologie ex nihilo, grâce à une raison autosuffisante dont découleraient, purs et évidents, les principes éthiques régissant la cité – c’est là le reproche principal des contre-révolutionnaires français. Il s’en prend davantage aux libertés attribuées à l’homme, et dont il reproche, avec une justesse relativement visionnaire, le formalisme auquel elles sont condamnées. Car c’est bien là que se situe, selon lui, toute l’ambiguïté de la Révolution : ses grands principes, aussi nobles soient-ils, sont désincarnés, et ne porteront fatalement aucun fruit, lorsqu’ils ne s’avéreront tout simplement pas délétères.

    Pour le comprendre, il suffit de se rappeler qu’à l’opposé d’Athènes et de Périclès se trouve le modèle lacédémonien, Sparte, Cité idéalisée dans l’imaginaire des révolutionnaires de 1789. Face aux richesses bourgeoises d’Athènes, à son exaltation de la beauté, des arts et du superflu, ainsi qu’à son attachement profond à l’individu, la frugalité spartiate, austère et rigoureuse, séduit bien davantage les figures les plus radicales comme Robespierre. Rien d’étonnant à cela, selon Hegel, qui voit dans ces deux périodes historiques la manifestation de la même tendance égalitaire destructrice. Entre l’égalité forcée des fortunes et des propriétés privées à Sparte et la dérive sanglante de la Terreur, le philosophe ne concède aucune différence : c’est la même « vertu rigide et abstraite » à l’œuvre, qui fait du Comité de Salut Public le nouveau directoire des Éphores, c’est à dire une aristocratie portée par des principes qui, sous couvert d’égalité, attire le peuple vers la médiocrité et noie l’individu dans la masse. Sans liberté individuelle, pas de développement de la subjectivité. Sans la prospérité économique, pas d’accès à ces luxes que représentent les arts, la science ou la pensée universelle. Hegel condamne les Spartiates comme les Jacobins en les accusant de travestir l’enchaînement de l’individu libre en une apparente promesse d’égalité vide de tout sens et intenable, comme le démontreront les événements à venir.

    Si Périclès trouve grâce aux yeux de Hegel, ce dernier n’appelle en aucun cas à reproduire la tentative athénienne. L’analyse historique ne peut fournir autre chose qu’une éventuelle inspiration, mais ne constitue pas un idéal vers lequel il conviendrait de tendre. De même, s’il identifie les révolutionnaires français aux Spartiates, ce n’est que pour souligner l’essence abstraite et perverse des principes qui les guident, et non pour prophétiser le déclin de l’idée démocratique en France. C’est finalement à cette dernière que sont adressées les principales critiques que formule Hegel dans ses Leçons, ou, plus précisément, à l’ambiguïté de son nom, dont profitent les révolutionnaires pour se dispenser d’avoir à mettre en place l’égalité et la liberté effectives. Il ne s’agit pas de gouverner pour le peuple, ni même de permettre au peuple de gouverner directement – ce sont là des questions d’agencement presque secondaires, et qui, ironiquement, constituent l’horizon absolu de toute la philosophie politique contemporaine. Le projet dont il est question, bien plus vaste et ambitieux, concerne la marche de l’Histoire du monde : il s’agit de permettre à la raison de se réaliser. Et c’est précisément pour éviter que la démocratie, fût-elle bien réelle et permît-elle aux citoyens libres et égaux de déterminer leur avenir, ne se fasse plus nuisible encore en remettant le pouvoir à une masse d’individus ayant troqué leurs singularités et leur liberté contre l’égalitarisme médiocrement uniforme, que Hegel oppose aux révolutionnaires de 1789 la figure vertueuse et libre de Périclès, et avec elle le modèle athénien contre l’ombre égalitaire qui est en train de se lever sur l’Europe.

    http://philitt.fr :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dh_autres/EuEZyZFuFpQazUmPcW.shtml

  • Face au scandale des crèches interdites

    6a00d8341c715453ef01b7c718cfaf970b-320wi.jpgPour commander "Le Laïcisme contre la Libertés" par Émile Flourens un petit livre de 130 pages comprenant le texte des lois et la protestation des victimes

    En Vendée comme à Béziers, ces deux symboles historiques des crimes symétriques du pouvoir central, on prétend empêcher des Français de manifester publiquement la joie de Noël.

    Quelle folie ! Dans quel délire la gauche caviar à la dérive est-elle en train de sombrer ? Par quel sectarisme est-on en train de prétendre

    Sous les présidences oubliées de Loubet (1899-1906) puis Fallières (1906-1913) la France s'était enfoncée dans l'anticléricalisme. Plus tard, sous la Quatrième et aux débuts de la Cinquième république on pensait en avoir terminé.

    Avec Monsieur Hollande, qui semble avoir reçu de sa mère catholique le prénom de François nous y voilà revenus.

    Certes, chrétienne d'origine, comme la France l'est elle-même, la tradition de la crèche appartient aujourd'hui à toute la société civile.

    Ni le pouvoir politique d'État, si admirablement populaire, ni l'administration judiciaire, qui fonctionne si bien, n'ont ni le droit d'en effacer la trace ni le pouvoir de raser les clochers de nos villages ou les croix de nos cimetières.

    Née de saint François d'Assise, la tradition occidentale de la crèche vient d'Italie, de la nuit de Noël 1223. Par la suite elle fut popularisée, dans le monde entier, par les jésuites au moment de la contre-réforme.

    Il se trouve, au bout du compte elle s'est étendue à toutes les confessions chrétiennes et, plus largement, à presque tous les pays civilisés.

    Va-t-on interdire le Père Noël sous prétexte qu'il serait apparu en Amérique, dérivé du saint Nicolas des immigrants allemands ? Ou le sapin, roi des forêts, pour faire plaisir aux écologistes enfants des villes ?

    Ne sachant plus quoi inventer une certaine gauche va-t-elle impunément fouler aux pieds les principes affichés, en France, par la loi de 1905, – laquelle ne visait en théorie qu'à abolir les lois de Napoléon et ne plus "subventionner aucun culte" .

    Cette loi prétendait copier le Premier amendement de la Constitution américaine.

    Elle se réclamait donc, en principe, de la liberté religieuse.

    En fait, la Troisième république entreprit cette œuvre à sens unique. Elle développa la persécution des mal-pensants. Héritière des jacobins, elle les supposait influencés par le Vatican. C'est pendant toute cette époque que nos chers radicaux-socialistes refusèrent aussi le droit de vote aux femmes supposées sous la coupe de leurs confesseurs.

    Lucidement alors, Émile Flourens et les libéraux perçurent dès le départ le caractère liberticide de l'État laïciste. Ils dénonçaient les germes de cette dérive, qui reprend de plus belle sous Monsieur Hollande. Ils avaient raison.

    Pour commander "Le Laïcisme contre la Libertés" par Émile Flourens un petit livre de 130 pages comprenant le texte des lois et la protestation des victimes

    http://www.insolent.fr/

  • "Une centaine" de parlementaires seraient en délicatesse avec le fisc

    La plupart d'entre eux sous-évaluent leur patrimoine, une vingtaine de cas seraient plus sérieux, affirme Europe 1.

    Une centaine de parlementaires sont dans le collimateur du fisc, ciblés par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, qui continue d’éplucher leurs déclarations de patrimoine, selon les informations d'Europe 1, jeudi 4 décembre. Le "Canard enchaîné" parlait déjà de 60 élus, fin octobre.

    Sur 925 députés et sénateurs, cela fait désormais un peu plus d'un élu sur dix dont la déclaration est jugée litigieuse, selon la radio. La plupart des litiges portent sur une sous-évaluation du patrimoine et non sur des fraudes en tant que telles. Une vingtaine de cas seraient plus sérieux, toujours selon Europe 1. 

    Si les explications des parlementaires ne satisfont pas la Haute autorité, leur dossier sera transmis à la justice. Et leur noms seront rendus publics, comme pour trois cas précédents : les députés UMP Bernard Brochand (Alpes-Maritimes), Lucien Degauchy (Oise) et le sénateur Bruno Sido (Haute-Marne) avaient déjà été épinglés pour des irrégularités, notamment des comptes à l’étranger non déclarés. Le dénouement est annoncé pour le tout début de janvier prochain.

    C'est à la nouvelle législation d'octobre 2013 que l'on doit ces investigations fiscales. Pour la première fois, la haute autorité pour la transparence de la vie publique a collecté les déclarations de patrimoine des élus et les a transmises à l'administration fiscale. Les députés et les sénateurs sont en effet dans l'obligation de communiquer leurs déclarations de patrimoine.

    Source : Le Nouvel Observateur :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/dep_interieur/EuEZyAEAZurQvCZJTl.shtml