Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 71

  • Cazeneuve chouchoute les musulmans (Présent 8306)

    Cazeneuve, c’est cet inquiétant ministre de l’Intérieur – et des Cultes – qui refuse d’interdire de vente dans les librairies (1) les brûlots islamistes. Au motif que « prôner le djihad n’est pas un délit ». Pas un délit chez les dingos d’Allah sans doute, mais en Europe où l’on tue au nom du djihad ?

    Cazeneuve chouchoute les musulmans (Présent 8306)

    Vous aurez noté que, par une sorte de contorsion kamasoutresque, le gouvernement et la majorité des médias dhimmitisés ont retourné le problème. Ce sont des musulmans (pervertis, ignorants, fanatiques, déjantés, tout ce que vous voudrez, mais des musulmans revendiqués) qui ont tué en janvier dernier.

     

    Dans les journaux, ça devient : « Depuis les attentats de janvier, les milieux musulmans sont la cible (sic) d’une flambée (resic) d’actes de vandalisme et de violence. »

    C’est bien dommage, car surtoutpasdamalgame. Mais la faute à qui ? Est-il permis de demander à la communauté musulmane fréquentable (et pas au seul cacochyme Boubakeur) ce qu’elle fait concrètement pour endiguer et annihiler des gens qui, nolens volens, se réclament de l’islam ? Et qui, en tout état de cause, ne sont pas des extra-terrestres sortis de nulle part ?

    La semaine dernière, Cazeneuve est allé à Bordeaux, la ville du dhimmi Juppé qui l’accompagnait, « pour apaiser » nous dit-on. Pour apaiser qui ? Les chrétiens et les juifs qui sont les cibles – et plus souvent qu’à leur tour – des djihadistes ? Non. Pourapaiser les milieux musulmans !

    L’espace d’un après-midi, il a ainsi visité trois lieux de culte musulmans. A la mosquée Al-Houda, il a été reçu par le grand imam de Bordeaux (eh, oui, ça existe…) Tareq Oubrou.

    Car Cazeneuve a un plan pour l’islam : « s’appuyer sur le dialogue entre les religions pour éviter les fractures communautaires ou confessionnelles ». Mais qui les a créées et creusées, ces fractures ? Les chrétiens, les juifs, les bouddhistes ? Cazeneuve, c’est le fils naturel du Père Ubu et de Dada !

    Alain Juppé s’est dit réjoui de cette visite (2) et en a profité pour y aller d’un laïus bisounours : « A Bordeaux, nous vivons cette fraternité, nous faisons la promotion du vivre ensemble. » Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais cette expression utilisée ad nauseam, « le vivre ensemble », me fait gerber.

    Cazeneuve a dit s’engager à faire tout ce qui est en son pouvoir « pour apaiser les craintes, répondre aux attentes légitimes et procurer la tranquillité d’esprit ». Et comment il apaise ces djihadistes qui, après la décapitation de 21 coptes chrétiens, ont envoyé ce sympathique message : « Ceci est un message de sang à la nation de la croix et aux fidèles de l’Eglise ennemie » ? Et il apaise comment les Merah, Kaouachi, Coulibaly, les « Danois » à la Omar Hamid el-Hussein, à venir ?

    Alors que l’UMPS continue de se vautrer dans l’angélisme, il est temps de parler vrai. Même Yves de Kerdrel de Valeurs actuelles, qui n’est pourtant pas une flèche, s’en est rendu compte : « Comme s’il n’y avait pas urgence, de la part de tous, à ouvrir enfin (sic) les yeux sur cette guerre de religion que les islamistes ont décidé de porter sur notre sol contre des Français chrétiens ou juifs ».

    Alain Sanders

     

    (1) Et pas seulement dans les librairies musulmanes, mais jusqu’à la FNAC (entre autres).

     

    (2) Réjoui et un brin admiratif : « Je n’ai jamais fait trois mosquées dans la journée. »

     

     

    http://fr.novopress.info/183263/cazeneuve-chouchoute-les-musulmans-present-8306/

  • Frakass - Dernier Hommage

  • vendredi 6 mars : Tyrannie médiatique et désinformation publicitaire

    Ce vendredi Jean-Yves Legalou viendra nous parler de la tyrannie médiatique et de la désinformation via la publicité. Nous vous attendons nombreux pour écouter cette conférence.

  • Départementales : nouveau test pour l’entente à droite

    Lu dans Les 4 Vérités :

    "À la veille du scrutin départemental, le FN caracole en tête (avec 33 % des intentions de vote), loin devant l’UMP et ses alliés (27 %) et le PS (19 %). Pour le FN, qui ne comptait jusqu’à présent que deux élus départementaux, cette élection s’annonce donc sous les meilleurs auspices. Cependant, il convient aussi de ne pas oublier que le mode de scrutin est extrêmement défavorable au FN et que, selon toute vraisemblance, le nombre de ses élus au soir du 29 mars ne sera pas à la hauteur de son succès en termes de suffrages.

    Ces élections départementales pourraient être aussi un test sur la capacité du FN à s’allier avec d’autres pour parvenir à prendre le pouvoir. Ainsi, dans le Vaucluse, où le PS gouverne actuellement et s’apprête à prendre une claque électorale magistrale, le FN pourrait l’emporter, à la condition de s’allier avec la Ligue du Sud de Jacques Bompard. D’après la rumeur, cette alliance – qui ne pose pourtant guère de problèmes idéologiques – s’annonce très difficile, pour d’obscures raisons d’egos. Si cela devait être le cas, ce serait un très mauvais signal et cela laisserait penser que le FN ne souhaite toujours pas être un parti de gouvernement.

    Mais c’est surtout du côté de l’UMP que les nouvelles sont inquiétantes. Alors que le parti de Nicolas Sarkozy s’apprête à emporter un grand nombre de départements, il préfère taper sur le FN que sur le PS. Ainsi Nicolas Sarkozy a-t-il déclaré : « Voter pour le FN au premier tour, c’est faire gagner la gauche au second. C’est le FNPS ! Voter pour l’UMP n’a jamais en revanche fait gagner la gauche. » Mais c’est doublement faux. D’abord, malheureusement, certains votes UMP sont objectivement des votes pour la gauche. Je serais ainsi curieux de savoir ce qui distingue Nathalie Kosciusko-Morizet (vice-présidente de l’UMP) de son ex-rivale socialiste Anne Hidalgo. Mais, surtout, c’est l’idée que voter FN favorise le PS qui est profondément fausse. Plus exactement, cette idée est actuellement vraie, mais largement par la faute de l’UMP qui refuse toute alliance – y compris ponctuelle – avec le FN. Dès l’instant que l’UMP et le FN, sans nécessairement partager tous les points de leurs programmes, accepteront de dire que le PS est l’adversaire prioritaire, il n’y aura plus ni « UMPS », ni « FNPS ». Simplement une alliance naturelle entre forces de droite pour battre la gauche…"

    Michel Janva

  • Jean-Marie Le Pen : « Je suis un homme libre, je ne me sens pas obligé de marcher dans les sentiers tracés par la pensée unique »

  • "La France est la seule démocratie occidentale dont l’identité politique moderne s’est construite contre la religion"

    C'est ce qu'a déclaré Manuel Valls aujourd'hui lors d'une visite à Strasbourg pour présenter une série de mesures concernant la nouvelle formation des imams.

    Michel Janva

  • Le déclin de SOS Racisme

    Par la conjuration d’un “vivre-ensemble” malade de nature, d’une jeunesse qui ne se laisse plus abuser, de l’essor des idées patriotes dans le débat français, SOS Racisme semble se rapprocher de la chute.
    L’officine du Parti Socialiste bien que se faisant de plus en plus agressive et bruyante dans sa communication ne rassemble plus la foule dans ses manifestations d’indignation sélective. Elle ne cherche plus qu’à faire taire puisqu’elle ne se fait plus entendre. En effet, sa rhétorique, rengaine lancinante se périme. Aussi s’acharne t-elle, unie à d’autres, à tout faire pour que la parole contradictoire qu’elle nomme haine ne puisse s’exprimer dans une liberté retrouvée sur internet.
    Maigre de ses membres, tel le héron, l’association phare antiraciste en est à rassembler ses anciens Présidents pour son prochain dîner annuel.

    http://fr.novopress.info/

  • Résistance républicaine et Riposte laïque organisent les Assises pour la liberté d’expression

    Interview de Pierre Cassen par Polémia.

    ♦ Riposte laïque et Résistance républicaine organisent les Assises pour la liberté d’expression, dimanche 15 mars à Paris. Une manifestation importante que nous présente ici Pierre Cassen de Riposte laïque.

    Polémia : Pourquoi une telle manifestation ? En quoi, selon vous, la liberté d’expression est-elle menacée ?

    Pierre Cassen : Depuis le début de l’année, à Paris, les patriotes sont interdits de rassemblement. Nous avions décidé, RL et RR, avant les attentats de Charlie, devant la recrudescence des violences musulmanes, attribuées par le pouvoir et ses médias à « des déséquilibrés », d’organiser un rassemblement sur le thème « Islamistes hors de France », Place de la Bourse, le 18 janvier. Suite aux attentats de Charlie Hebdo, nous avions planifié un rassemblement en souvenir des victimes, dès le 8 janvier au soir, mais avec un autre mot d’ordre que le niais « Je suis Charlie ». Ces deux initiatives ont été interdites par le préfet Boucault, sur l’ordre du ministre Cazeneuve. Ce 18 janvier, en présence de l’écrivain Renaud Camus et, entre autres, d’une responsable de PEGIDA Allemagne (1) et un député de l’UDC du Valais (2), nous avons pu, face à ces interdictions, organiser en dernière minute une conférence de presse suivie par une vingtaine de journalistes, dont la moitié d’étrangers.

    Mais nous ne pouvions pas accepter l’idée que pendant que les Allemands manifestaient tous les lundis soirs contre l’islamisation de leur pays, que les Italiens réagissaient à l’invasion de Lampedusa, les patriotes français soient interdits de manifestation à Paris. Nous avions donc décidé, début février, de revenir à la charge, pour un rassemblement, toujours Place de la Bourse, avec cette fois comme thème la défense de la liberté d’expression. Suite aux attentats de Copenhague, nous avons compris qu’ils serviraient de prétexte pour nous faire interdire, une nouvelle fois, et avons décidé alors qu’il fallait reformater notre initiative. D’où cette idée, quatre ans après les « Assises internationales contre l’islamisation de nos pays », d’organiser de nouvelles assises, en conservant le thème du rassemblement prévu.

    Il nous semble que cette initiative tombe à pic, car jamais la liberté d’expression, déjà en fort recul depuis une trentaine d’années, n’a été autant menacée. Vous avez, d’un côté, les menaces islamistes, qui veulent dissuader tous les esprits libres (qui dépassent de loin les seuls bobos de Charlie Hebdo) de critiquer leur religion ou même de dessiner leur prophète ; et vous avez de l’autre côté ce régime aux abois qui, utilisant les événements de janvier, entend, sous le prétexte de lutter contre le racisme et l’antisémitisme, restreindre la liberté d’expression et amalgamer à du racisme toute parole politiquement incorrecte, surtout quand elle concerne l’islam et les musulmans de France, voire sur l’immigration, chance pour la France. On vient encore de s’en rendre compte avec l’épisode grotesque des propos du président du CRIF et des gémissements de Boubakeur, relayés par toute la bobocratie, comme s’il y avait dans notre pays un délit de réalité.

    Polémia : Avez-vous des cas récents de censure en tête ? Pouvez-vous les rappeler à nos lecteurs ?

    Pierre Cassen : La première censure nous concernant, c’est le harcèlement judiciaire dont nous sommes l’objet. L’objectif des associations dites antiracistes est clair : nous faire taire, nous qui n’avons pour vivre que les dons de nos lecteurs et les ventes de nos livres, en multipliant les actions judiciaires contre nous. Riposte laïque a été durement frappé par le procès intenté par ces associations gavées de subventions et soutenues par le Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) contre Pascal Hilout, apostat de l’islam, et moi-même en tant que responsable du site à l’époque. Nous avons été lourdement condamnés, même en appel (22.000 euros d’amende et de dommages et intérêts), à cause du fameux article 24-8, ajout, voté en décembre 2004, de la loi sur la liberté de la presse de 1881. Selon la formule célèbre, nous aurions « incité à la haine contre une personne ou un groupe de personnes en raison de son appartenance religieuse… ».

    affiche-15-mars21

    Dans le même esprit, dix-huit procédures judiciaires ont été entamées contre notre mouvance. A ceux quiconsidéreraient qu’un tel nombre nous discréditerait et montrerait que nos excès expliquent sans doute en partie cet acharnement, je voudrais donner cet exemple : j’ai été convoqué, dans un commissariat de province suite à la plainte, instruite par un procureur de la République, de deux journalistes de la Nouvelle République ; l’objet de la démarche de ces vaillants plumitifs : dans un article paru sur RL l’auteur, Jeanne Bourdillon, les avait qualifiés de « journaleux » ; il paraît que ce serait une insulte et une remise en cause de leurs compétences professionnelles, d’où dépôt de plainte…

    Lire la suite