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  • Baisse du nombre de détenus : la conséquence de la politique pénale de Taubira

    Source : Le Figaro
    En un an, la population carcérale a diminué de 2 % soit 1600 détenus de moins. Pourtant, le niveau de la criminalité atteint des chiffres record. Alexandre Giuglaris analyse ce paradoxe.

    Les derniers chiffres de la population carcérale et du milieu ouvert viennent d’être rendus publics par Le Figaro. Et le moins que l’on puisse dire est que leur courbe est clairement orientée à la baisse. En un an, le nombre de détenus diminue de 2 %, soit tout de même 1 600 détenus de moins. C’est un chiffre conséquent. Mais la tendance est là et n’est pas près de s’interrompre. Comment faut-il interpréter ces chiffres ?
    Rappelons tout d’abord que les chiffres d’une population carcérale dépendent essentiellement de deux facteurs :
    — Le niveau de la criminalité ;
    — La politique pénale mise en œuvre.
    En général, un niveau de criminalité et/ou une hausse de la criminalité se traduisent logiquement par une hausse des condamnations (en milieu ouvert et fermé). Le niveau de l’insécurité atteint des chiffres record avec plus de 5 millions de crimes et délits dans notre pays selon les chiffres de la chancellerie. À cela s’ajoute une criminalité en hausse, en particulier les cambriolages ou les atteintes physiques à la personne (agressions, coups et blessures…) qui sont les plus marquants pour les victimes et devraient être plus lourdement condamnés.
    Cette hausse de la criminalité, couplée à un niveau déjà très élevé de la délinquance dans notre pays devrait conduire à une hausse des condamnations et des incarcérations… Mais nous assistons au phénomène inverse !

    C’est là que le deuxième facteur joue pleinement son rôle, celui de la politique pénale de la garde des Sceaux et du gouvernement. En effet, c’est bien la politique de Christiane Taubira qui commence doucement à entrer en application et dont la baisse du nombre de détenus est une des conséquences directes. Plutôt que d’ergoter, il vaudrait mieux assumer cette politique de la part de ceux qui l’ont mise en œuvre.
    Sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ?

    En effet, c’est bien la circulaire pénale de septembre 2012 de Christiane Taubira qui a demandé aux magistrats de tenir compte du niveau de surpopulation carcérale avant de prononcer des peines de prison. C’est bien cette circulaire qui déconseillait aux magistrats d’avoir recours aux peines de prison, avant que la réforme pénale, adoptée l’été dernier, ne vienne graver dans le marbre législatif, le recours accru aux peines alternatives à la détention et la multiplication des expédients devant permettre d’éviter la prison, à tout prix.

    Car la diminution du nombre de détenus s’explique avant tout par la mise en œuvre de mesures, parfois techniques, et surtout moins médiatiques que la contrainte pénale, dans la diminution du nombre de détenus. Pendant des semaines, on a parlé de cette contrainte pénale, mais sait-on que la réforme pénale permet aujourd’hui une libération quasi automatique aux 2/3 de la peine de prison (sans compter les réductions de peine…) ? Sait-on que les peines de prison avec sursis ne sont plus automatiquement révoquées en cas de récidive (on se demande bien alors ce que veut dire un sursis…) ? Sait-on qu’avec la suppression des peines plancher, les récidivistes ne sont plus automatiquement condamnés plus lourdement ?
    C’est l’application concomitante de ces différentes mesures qui conduit à une diminution du nombre de détenus et de personnes suivies en milieu ouvert depuis un an (-6 % pour les bracelets électroniques). En clair, aujourd’hui, on punit moins et on surveille moins les personnes condamnées. C’est là que l’orientation très idéologique de cette réforme pénale prend tout son sens.
    Alors que la France compte moins de détenus et surtout beaucoup moins de places de prison que la moyenne européenne, la garde des Sceaux veut faire diminuer le nombre de détenus et de condamnés, oubliant par là, que la sécurité et la protection des personnes, est au fondement du contrat social et de la légitimité de l’État.
    Ce qui est très inquiétant par ailleurs, c’est le décalage de cette politique, dont même Manuel Valls contestait les fondements, les objectifs et les mesures, avec ce que souhaitent les Français et avec ce qu’il faudrait faire. Mais n’en doutons pas, la justice pénale, aujourd’hui maillon faible de la chaîne pénale, en particulier le volet exécution des peines ; sera le grand enjeu des prochaines échéances de 2017. En attendant, les Français doivent payer les pots cassés d’une politique idéologique et inadaptée, notamment en matière de hausse de la délinquance. C’est inacceptable ! Mais il faut les rassurer. Une autre politique est possible basée sur la sanction et la responsabilité individuelle.
    Cette politique combinera prévention, dissuasion, sanctions et réinsertion, mais sera basée sur le pragmatisme, l’efficacité, la rapidité et la fermeté. Exactement ce que souhaitent les Français, toutes tendances politiques confondues…

    http://fr.novopress.info/190979/baisse-du-nombre-detenus-consequence-politique-penale-taubira/#more-190979

  • L'article qui a valu à Pierre Sautarel (FDesouche) d'être visé par une plainte

    Il est ici (via).

    Pierre Bergé (et non "Berger", merci Le Scan du Figaro qui relate l'affaire Sautarel sans évoquer l'objet de la plainte...) ne connait sans doute pas l'effet Streisand :

    "L'effet Streisand est un phénomène médiatique au cours duquel la volonté d’empêcher la divulgation d’informations que l'on aimerait garder cachées — qu'il s'agisse de simples rumeurs ou des faits véridiques — déclenche le résultat inverse. Par ses efforts, la victime encourage malgré elle l'exposition d'une publication qu'elle souhaitait voir ignorée."

    Et donc, que cherchait à cacher Pierre Bergé ? Cet article de Panamza du 29 octobre 2014 :

    "À l'occasion d'une exposition sur le Maroc, Jack Lang, président de l'IMA, a donné "carte blanche" à Pierre Bergé pour être interviewé par Frédéric Mitterrand. Décryptage et révélations.

    Certaines images laissent parfois songeur. Celle-ci, par exemple, illustrant trois amis heureux de se retrouver dans un prestigieux lieu culturel.

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    Jeudi 23 octobre, dans la salle du Haut Conseil de l'Institut du monde arabe, Jack Lang, Pierre Bergé et Frédéric Mitterrand étaient réunis. Le but? Donner "carte blanche" au multimillionnaire Pierre Bergé, 83 ans et pygmalion médiatique (actionnaire du MondeRue89L'Obs), pour relater son parcours en général et son amour de la culture marocaine en particulier. Le prétexte? L'inauguration par l'IMA -et François Hollande- d'une vaste exposition consacrée au Maroc. L'organisateur? Jack Lang, 75 ans, grand ami d'Israël, président (depuis janvier 2013) de l'Institut du monde arabe et bénéficiaire d'une rémunération mensuelle de 10 000 euros. Le maître de cérémonie? Frédéric Mitterrand, 67 ans, ancien ministre de la Culture (comme Jack Lang), ex-animateur d'une émission sur le service public de France Inter (de 2013 à 2014) et documentariste pour Arte.

    Un an plus tôt, le 24 octobre 2013, Panamza avait consacré un article spécial à Frédéric Mitterrand et son approche décomplexée du monde arabe. Comme il le relata dans un ouvrage paru en 2009, il pratiqua longtemps ce qu'il nommait "la solution Maghreb" :du tourisme sexuel en Afrique du nord en guise d'alternative à la Thaïlande. À propos de l'adoption d'un garçon tunisien, Mitterrand écrivit également ceci : "Je me demandais parfois si je serais capable de me donner tant de mal pour une petite fille. Les garçons touchaient évidemment à quelque chose de plus intime et de plus ambigu – quoique…".

    Jack Lang? Son nom était dans tous les esprits lorsque Luc Ferry relaya -sur Canal +, le 30 mai 2011- les informations cryptées d'un article du Figaro Magazine (paru deux jours plus tôt) à propos d'un "ancien ministre" arrêté dans une "villa de la palmeraie de Marrakech" pour s'être "amusé" avec de "jeunes garçons" et discrètement renvoyé en FrancePrésent sur le plateau, Alain Duhamel fit allusion à Jack Lang en usant d'un jeu de mots transparent. Détail cocasse: l'animateur était Ali Baddou, fils de diplomate marocain et ex-collaborateur de Jack Lang au ministère de l'Éducation nationale. 

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  • Régionales : EELV s'allie avec le Front de gauche plutôt qu'avec le PS

    Dans quatre régions, comme le Nord-Pas-de-Calais/Picardie et la région Paca, des accords EELV/Front de gauche sont en cours ou déjà ficelés pour l'élection de décembre. Au grand dam du PS.

    Elle n'entend pas céder. Malgré les appels insistants du PS, Sandrine Rousseau, tête de liste écolo dans le Nord-Pas-de-Calais/Picardie, refuse toujours de se ranger derrière Pierre de Saintignon, le candidat socialiste. «Il était question d'un accord sur le minimum, de se mettre en ordre de marche derrière la tête de liste socialiste, ce n'était pas possible», affirme l'écolo. Elle a fait ses calculs et elle en est persuadée: si elle s'allie avec le Front de gauche (Fdg), elle espère passer devant le PS. «Les sondages nous créditent de 14% avec le Front de Gauche au premier tour, le PS est à 17%, le FN est à 31%. En cas de fusion pour le second tour, on est donc à égalité et on peut l'emporter», détaille la porte-parole d'EELV.

    Sandrine Rousseau le répète à l'envi: elle n'a «pas peur» d'affronter Marine Le Pen, candidate Front national. «C'est une grande gueule, elle s'essuie les pieds sur les habitants de la région et se sert de cette élection pour sa campagne pour l'Élysée. Il faut arrêter d'en être terrorisé! J'ai hâte de l'affronter sur des débats de fond», anticipe-t-elle. Pour elle, la présence d'une liste PS et d'une liste EELV/FdG va permettre de faire «une campagne sur les valeurs».

    Les militants EELV du Nord consultés le 12 septembre

    «Dans ma région, la moitié des électeurs de François Hollande ne vote plus PS», assure Sandrine Rousseau. Elle a donc lancé avec les fédérations locales d'EELV et du Front de gauche trois groupes de travail: le premier sur les points de divergence entre les partis, l'autre pour constituer les listes, et le dernier pour déterminer une organisation et un projet de campagne. Cette stratégie d'alliance n'attend plus que l'approbation des militants, à la faveur d'un vote prévu le 12 septembre, pour être entérinée.

    Au PS et même au sein d'EELV, on fulmine. «Le risque aujourd'hui dans les régions Nord-Pas-de-Calais/Picardie, Provence, peut-être aussi Grand Est, c'est que non seulement le Front national puisse gagner ces régions, mais qu'il puisse y avoir aussi une élimination pure et simple de la gauche, une auto-élimination. C'est un comble», a critiqué sur Sud Radio, début juillet, François De Rugy, co-président du groupe écologiste à l'Assemblée nationale et favorable à un accord avec le PS. Le candidat socialiste Pierre de Saintignon, lui, ne veut pas croire à une division de la gauche. «Jusqu'au dernier moment, je travaillerai à l'union des forces de la gauche, pour continuer le dialogue et construire un laboratoire de la gauche», commente-t-il, éludant la possibilité qu'EELV et le Front de gauche se présentent contre le PS. «Laissons le temps au débat.»

    Discussions en cours

    Le Nord-Pas-de-Calais/Picardie n'est pas un cas isolé. Dans la région Midi-Pyrénées/Languedoc-Roussillon, une alliance vient d'être formée entre le Front de gauche et EELV, comme dans la région Rhône-Alpes-Auvergne par exemple, où les écolos se présenteront avec le Parti de gauche et le mouvement Ensemble. «Ce ne sont pas des soupes de logos, mais plutôt des dynamiques de rassemblement», explique David Cormand, responsable des élections au sein du parti. En Provence-Alpes-Côte d'Azur, où la campagne est pour l'instant centrée sur l'affrontement entre Christian Estrosi et Marion Maréchal-Le Pen, des discussions ont également cours entre les écolos et le Front de gauche.

    source : Le Figaro :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFlpZyEyyOhFDlPtm.shtml

  • Le président kenyan n’hésite pas à contredire Barack Obama sur l’homosexualité

    Le président américain Barack Obama s’est rendu au Kenya, le pays natal de son père, pour la première fois depuis qu’il est à son poste. Mais le fils prodigue a choqué tout le pays, à commencer par son homologue kenyan, en fustigeant les « mauvaises traditions » du pays, parmi lesquelles la pénalisation de l’homosexualité.

    « En tant qu’Afro-Américain des Etats-Unis, je n’ai que trop conscience de ce qui arrive lorsque l’on introduit des discriminations », a-t-il affirmé lors d’une conférence de presse tenue à Nairobi, alors qu’il évoquait le sujet de l’homosexualité au Kenya, avant d’ajouter : « Lorsque vous commencez à traiter les gens différemment, non pas à cause du mal qu’ils feraient à quelqu’un mais parce qu’ils sont différents, les libertés sont attaquées et de mauvaises choses arrivent. »

    Barack Obama milite en faveur de l’homosexualité au Kenya, contre toute bienséance diplomatique

    Une attaque frontale contre le président du Kenya n’est pas restée sans réponse. Uhuru Kenyatta a clairement affirmé que la question de l’homosexualité n’est pas un sujet dans son pays.

    « Nous partageons de nombreuses valeurs, notre amour commun pour la démocratie, l’esprit d’entreprise, la famille. Mais il y a certaines choses, nous devons l’admettre, que nous ne partageons pas, que notre culture et nos sociétés n’acceptent pas », a répondu le président Kenyan à son homologue américain.

    De nombreuses personnalités kenyanes, comme les citoyens interrogés sur la question, ont affirmé que les personnes homosexuelles pouvaient l’être à condition de rester discrètes.

    Il était absolument évident que la déclaration du président américain allait choquer en Afrique, mais les « droits » homosexuels sont un enjeu d’une importance telle pour l’idéologie mondialiste qu’ils valaient sans doute une entorse grave aux règles élémentaires de la diplomatie…

    Après la défense de l’homosexualité, Barack Obama s’attaque à la corruption au Kenya

    Barack Obama s’est également attaqué à la corruption, s’attirant plus de sympathie de la part du peuple kenyan. Mais s’il est légitime et nécessaire de lutter contre la corruption, il faut également relever qu’il s’agit d’un objectif mondialiste poursuivi avec persévérance sur l’ensemble de la planète : la disparition de la corruption permets aux directives venues de l’ONU et des centres de pouvoir régionaux tels Bruxelles d’arriver jusqu’aux dernières strates de la société sans être déviées par des fonctionnaires corrompus ; à la « gouvernance globale » de s’exercer à tous les échelons de la société sans rencontrer l’obstacle. Nous avons relevé récemment que le régime totalitaire chinois poursuit une lutte implacable contre la corruption.

    Pour Barack Obama et pour le courant idéologique qu’il incarne, la lutte contre la corruption permet toujours plus de contrôle étatique… Même lorsque ce sont les personnes les mieux placées au Kenya qui sont les plus corrompues, ce que le président Américain a d’ailleurs dénoncé.

    http://www.contre-info.com/le-president-kenyan-nhesite-pas-a-contredire-barack-obama-sur-lhomosexualite-lors-de-sa-visite-au-kenya#more-38888

  • L’arnaque gouvernementale de la fausse simplification de la fiche de paye

    Un bulletin de paye en France peut compter jusqu’à cinquante lignes – 15 en Allemagne, 14 aux Etats-Unis, 11 en Chine – , un record de complexité, d’illisibilité, bien symptomatique de la complexité des systèmes sociaux et des cumuls de caisses et d’organismes divers et variés…

    C’est la grande nouvelle de Bercy en cette fin juillet : la simplification du bulletin de paye !

    Que personne ne s’y trompe, dans le monde UMPS ou RPS, on ne peut même pas parler d’effet d’annonce, tant il n’y a que l’annonce sans aucun effet ! Car s’il est question de supprimer des lignes sur le bulletin de paye, il n’est pour autant pas question de toucher aux organismes ou aux dispositifs correspondants à ces lignes. Ce qui veut dire que si le salarié a bien un feuille de paye « simplifiée », c’est à dire avec moins d’informations, pour autant l’entreprise sera toujours obligée de calculer l’ensemble du détail de chaque cotisation comme auparavant, ce qui ne constitue aucun gain de temps ni simplification pour l’employeur. Simplement ces détails n’apparaîtront plus sur la feuille imprimée remise au salarié.

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  • La cour d'appel confirme la suspension du congrès extraordinaire du FN

    La cour d'appel de Versailles a confirmé la suspension du congrès du Front national censé supprimer le statut de président d'honneur de Jean-Marie Le Pen, qui remporte ainsi une troisième victoire judiciaire face au parti qu'il a cofondé.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html