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  • Les tarifs de l'énergie bientôt bouleversés ?

    Augmentation de la taxe carbone, réforme de la taxe qui finance les énergies renouvelables,... Les tarifs des énergies, électricité, gaz et carburants pourraient connaître d'importantes évolutions lors de la prochaine loi de finances 2016.

    Un scénario se dessine avec la baisse de l'électricité compensée par une hausse des prix du gaz et des carburants.

    La CSPE mieux répartie ? Selon le JDD, le «gouvernement envisage une réforme de la taxe qui finances les énergies renouvelables et les tarifs sociaux pour les plus modestes», appelée Contribution aux charges de service public de l'électricité (CSPE). Cette taxe, prélevée sur la facture des plus de 30 millions de Français abonnés à l'électricité, représente près de 15% de leur facture et augmente d'environ 2,5% par an. Elle vient s'ajouter aux hausses programmées comme celle de 2,5 % à partir du 1er août. Pour le gouvernement, l'objectif serait d'élargir le champ de cette taxe aux autres énergies carbonées comme le gaz et l'essence.

    Deux options seraient étudiées : la première consiste à répartir cette taxe entre le gaz et l'électricité. Selon le principe du vase communicant, la facture d'électricité pourrait alors baisser de 7% mais les usagers du gaz pourraient être mis sérieusement à contribution car ils ne sont que 10 millions.

    L'autre piste serait d'étaler cette taxe entre l'électricité, le gaz et les carburants. Là, cela permettrait de diminuer la facture d'électricité de 10%, de modérer la hausse des prix du gaz et d'augmenter significativement la facture des carburants. Alors que le litre du Super 95 est déjà taxé à 61,9% et le litre de gazole à 56,2%, les automobilistes verraient immédiatement leur facture augmenter avec cette nouvelle contribution. Actuellement, selon le site Carbeo, le prix du litre de gazole est en moyenne de 1,176 euro et celui du Super 95 à 1,43 euro par litre. Le gouvernement mise sur la poursuite de la baisse des cours du pétrole pour faire passer cette réforme. Il est vrai que sur un an, le prix du litre de gazole a perdu 13 centimes et 9,2 centimes pour le Super.

    Le quadruplement de la «taxe carbone». Sauf qu'une autre taxe risque de peser encore plus lourdement sur le prix des carburants. L'Assemblée nationale vient de voter le principe du quadruplement, d'ici 2030, de la Contribution climat énergie ou «taxe carbone». L'an prochain, elle devrait déjà passer de 14,50 euros la tonne de CO2 à 22 euros. Alors qu'actuellement elle représente 4 centimes par litre pour le gazole et 3,4 centimes par litre pour le Super, elle grimpera de 2 centimes pour le diesel et de 1,7 centime pour l'essence. La «taxe carbone» passer ensuite à 56 euros la tonne en 2022, synonyme d’une hausse de 9 centimes par litre pour le diesel et de 7 centimes pour l'essence. Avant une hausse à 100 euros la tonne en 2030... Faire le plein de sa voiture pourrait alors devenir un véritable luxe.

    Le Parisien :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFZApluykpzEyzkPL.shtml

  • Balkany part en croisade contre les privilèges de la presse et des journalistes

     

    Source : Ojim.fr Bien connu pour ses relations tendues avec les médias et les journalistes, Patrick Balkany vient de déposer trois propositions de loi visant à réduire les privilèges de la profession journalistique.

    Ainsi, comme indiqué dans le Journal officiel du jeudi 23 juillet, la première d’entre elles vise à supprimer « l’avantage fiscal dont bénéficient les journalistes dans le calcul de leur impôt sur le revenu », la deuxième vise à supprimer les aides à la presse écrite, ce qui se justifie par « l’état de nos finances publiques », et la troisième plaide en faveur de « la privatisation de l’audiovisuel public ».

    Concernant l’avantage fiscal, Patrick Balkany dénonce un « privilège qui ne se justifie plus aujourd’hui, continue de perdurer, créant ainsi des situations inégalitaires qu’il faut corriger ».

    Pour le maire de Levallois-Perret, la presse est « un secteur sous perfusion d’argent public qui peine à se réorganiser et à opérer sa transition numérique ». De plus, « ces mêmes journaux qui, régulièrement, dénoncent la gabegie financière de l’État, nous prédisent une banqueroute prochaine si les politiques ne se ressaisissent pas, fustigent la mauvaise gestion financière des collectivités locales, là encore trop dépensière. Cette presse semble oublier – ou tout du moins feint d’oublier – qu’elle coûte aux Français, qu’ils soient ou non lecteurs, plusieurs centaines de millions d’euros chaque année ».

    Enfin, à propos de la privatisation du service public, il déclare : « Alors que notre pays est dans une situation économique difficile, qu’il nous faut réaliser des économies budgétaires drastiques et que les Français croulent sous les impôts et les taxes, on peut s’interroger sur la pertinence de conserver, au regard des montants engagés chaque année, les groupes généralistes du secteur audiovisuel public: France Télévisions et Radio France. » Et celui-ci de souligner le « manque d’objectivité et la partialité évidente de certains programmes diffusés sur ces chaînes publiques ».

    La guerre entre certains médias et l’homme politique n’est pas prête de s’arrêter…

    http://fr.novopress.info/

  • Laurent Glauzy présente son dernier livre

    Pédo-satanisme et franc-maçonnerie (disponible ici)

    http://www.contre-info.com/

  • Après un an d’absence, la « Troïka » revient en Grèce

    Des représentants des créanciers de la Grèce, UE et FMI, entameront lundi à Athènes les discussions avec les autorités grecques sur un nouveau prêt au pays.

     

    Les équipes techniques des créanciers de la Grèce (UE, BCE et FMI) doivent commencer à arriver à Athènes ce week-end mais les chefs de mission n’arriveront que d’ici à jeudi, a déclaré samedi soir une source du ministère grec des Finances. Les discussions débuteront dès lundi entre les équipes techniques et des responsables grecs pour finaliser l’accord sur un nouveau prêt international au pays, a indiqué de son côté un porte-parole du FMI. Les chefs de mission des créanciers « seront en retard d’un ou deux jours », ils seront à Athènes d’ici à jeudi, a précisé cette source.

    Quelques heures auparavant, la même source avait indiqué à l’AFP que Declan Costello, de la Commission européenne, Rasmus Rüffer, de la Banque centrale européenne (BCE), Delia Velculescu, du Fonds monétaire internationale (FMI), et Nicola Giammarioli, responsable du Mécanisme européen de stabilité (MES), se rendraient à Athènes ce week-end. « Le retard des chefs de mission est dû à des raisons techniques et non pas à des raisons politiques ou diplomatiques », a expliqué cette source qui n’a pas donné plus d’information sur les lieux de ces rencontres.

    Samedi matin, un porte-parole de la Commission n’a pas voulu confirmer la date exacte de l’arrivée des représentants des créanciers à Athènes, indiquant juste qu’ils s’y rendraient dans « les prochains jours ». [....]

    La suite sur Le Figaro.fr

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Apres-un-an-d-absence-la-Troika

  • Tabassée pour avoir bronzé en maillot de bain

    C'est vrai que c'est une drôle d'idée que de bronzer en maillot de bain dans un parc public, mais cela n'excuse en rien le passage à tabac en règle qu'a subi à Reims la jeune fille coupable de ce méfait, par cinq adolescentes qui trouvaient cela "indécent". Curieusement, personne n'indique au nom de quoi ces tigresses trouvaient cette tenue "indécente". Peut-être que si la victime avait porté un "burkini", elle n'aurait pas eu 4 jours d'ITT...

    Marie Bethanie

  • En Alsace, l’Éducation nationale capitule peu à peu devant l’islam

    Au lycée Jean-Rostand de Strasbourg, la direction a aménagé sur le budget de l’établissement, sans concertation, sans passer par le conseil d’administration, un local où les filles de confession musulmane pouvaient arriver voilées et s’ajuster en repartant. On acceptait donc que la loi sur le voile soit violée puisque les élèves entraient avec leur foulard sur la tête dans l’établissement. Je trouve ce fait inouï ! Je sais qu’en Alsace le concordat est toujours en vigueur, mais qu’un proviseur puisse utiliser un budget (qui aurait, sans doute, été bien plus utile ailleurs pour des actions pédagogiques) au bénéfice d’une seule religion laisse pantois !

    Devant les réactions des syndicats, le proviseur a fait un demi-pas en arrière. Les musulmanes n’utilisent ce local que lorsqu’elles sortent ! Ce qui, à mon sens, ne change pas grand-chose sur le principe. Et ce chef d’établissement a récidivé lors des épreuves du bac : un examinateur qui est allé se plaindre devant lui qu’une des candidates portait le voile s’est vu répondre que celle-ci n’était pas en infraction car on voyait ses oreilles ! Au mépris, bien sûr, des dispositions de la loi sur la voile qui sont très claires et ne souffrent aucune interprétation personnelle.

    Lire la suite 

  • L’Occident est en train de «payer le fait d’avoir soutenu le terrorisme»

    Le président syrien Bachar al-Assad a déclaré lors d’un entretien à la télévision qu’il ne pouvait y avoir de solution politique sur la guerre civile dans son pays tant que «le terrorisme» n’est pas éradiqué.

    Michel Janva

  • Les Germains (doc en 4 épisodes)

    De leur première confrontation avec les Romains en 58 av. J.-C. jusqu’au baptême de Clovis à la fin du Ve siècle, une série de quatre documentaires-fiction pour découvrir la véritable histoire des Germains, loin de l’image de barbares incultes inventée par César.

    1/4 : Barbares contre Romains

    Où l’on découvre comment les Romains et les Germains se sont rencontrés, à travers le destin du personnage fictif de Basena, prêtresse issue du peuple suève (Germains d’Europe centrale). Après la défaite de son roi Ariovist face à Jules César en 58 avant J.-C., elle se réfugie chez les Chérusques, où elle est chargée des affaires religieuses. Elle assiste à la conquête progressive des territoires germaniques par les Romains…

    2/4 : La bataille de Varus

    Personnage historique réel, Arminius, fils d’un chef de guerre chérusque, est enlevé à son père pour être éduqué à Rome. Devenu officier romain, il est renvoyé en Germanie en l’an 7 ou 8 après J.-C. pour aider le gouverneur romain Varus à étendre l’autorité de l’empire vers le nord. De retour dans son pays natal, il constate que, même si les deux peuples se sont désormais habitués à vivre ensemble, le droit germain ancestral est bafoué par les Romains. Arminius parvient alors à fédérer plusieurs peuples germaniques et organise la rébellion contre les Romains. Lors de la bataille l’opposant aux légions de Varus, en l’an 9, dans la forêt de Teutoburg, inflige à l’Empire romain l’une de ses plus sévères défaites…

    3/4 : Pax romana

    Après la terrible défaite de Varus, les Romains se sont retirés de l’autre côté du Rhin. Pour maintenir les “Barbares” à distance, ils construisent le limes. Cette ligne de démarcation n’est pourtant pas une frontière étanche. C’est aussi un point de passage, autant pour les échanges commerciaux que pour la circulation des idées et des hommes. C’est ainsi que vers le milieu du IIIe siècle, le jeune Germain Grifo – le protagoniste fictif de ce troisième épisode – décide de se réfugier du côté romain du limes après avoir échappé de justesse à l’attaque d’une tribu voisine sur son village. Comme il refuse d’abandonner ses armes, il est fait prisonnier et vendu à un organisateur de combats de gladiateurs. Son expérience de guerrier lui permet de gagner un combat spectaculaire et de recouvrer la liberté…

    4/4 : Sous le signe de la croix

    Les grandes invasions ont bouleversé la carte de l’Europe et considérablement réduit le pouvoir de Rome. À la bataille de Tolbiac contre les Alamans en 496, Clovis, roi des Francs, implore le dieu des chrétiens de lui donner la victoire – et l’obtient. Désormais, à côté de ses guerriers, il fait une place de plus en plus grande aux évêques, les représentants de ce christianisme qui est religion d’État à Rome depuis plus d’un siècle déjà.

    Son vassal Radulf – le narrateur fictif du dernier épisode – a grandi dans la croyance aux dieux des Germains et refuse cette évolution. Des rencontres personnelles avec des fidèles de la nouvelle religion l’amènent peu à peu à changer l’image qu’il s’en était faite. Lorsque Clovis se fait baptiser à Reims, un peu avant l’an 500, Radulf s’est rallié à la position de son suzerain et il est chargé d’une nouvelle mission : propager la foi chrétienne dans tout le royaume des Francs.

    Arte – 2013

    http://fortune.fdesouche.com/387625-les-germains-doc-en-4-episodes#more-387625