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  • Immigration sauvage, islamo-terrorisme, le gouvernement répond par… plus de laxisme à l’égard des étrangers !

    Bonne idée : en pleine crise migratoire et montée de l’islam-terrorisme, le gouvernement défend de nouveaux droits pour les étrangers en France. Le sens de l’à propos poussé à son paroxysme.

    Le texte dormait place Beauveau depuis un an, le gouvernement attendant sans doute le bon moment pour sortir sa loi accordant de nouveaux droits aux étrangers qui entrent légalement ou illégalement en France. On parle un tout petit peu moins des vagues de clandestins qui arrivent de Méditerranée, attentats obligent ? Allez hop, un bon texte de préférence étrangère !

    Concernant les immigrés légalement installés en France, le message gravé dans la loi est sans équivoque: «Les étrangers vont bénéficier d’un cadre administratif moins contraignant.» Ainsi, le gouvernement compte remplacer la carte de séjour annuelle par une carte valable quatre ans, après la première année de séjour. « À l’issue de cette carte, l’étranger aura accès à une carte de résident de dix ans. »
    Et comme si nous n’avions pas assez de candidats à l’installation en France, Bernard Cazeneuve compte faire passer le nombre de titres de séjour « Mobilité des talents » de 300 délivrances annuelles à 10 000 ! La mesure vise en principe les jeunes diplômés, chercheurs, investisseurs, travailleurs hautement qualifiés, artistes…

    Pour tous les étrangers en situation irrégulière d’où qu’ils viennent, il fait de l’assignation à résidence (domicile dont le clandestin peut entrer et sortir à sa guise) la règle et de la rétention administrative l’exception, traduisant ainsi fidèlement la «directive retour» des instances européennes qui trouvent les règles françaises actuelles trop attentatoires aux libertés.

    Reconnaissons à M. Cazeneuve une certaine cohérence entre son action et ses propos : c’est le même homme qui encourageait il y a peu les clandestins de Calais à demander l’asile en France plutôt que d’essayer de passer en Angleterre et qui allait en accueillir d’autres comme des VIP dans un centre d’hébergement parisien, structures qu’il s’engage d’ailleurs à multiplier.

    http://fr.novopress.info/

  • D’où vient la crise grecque ?

    Quatre ans d'appauvrissement provoqués en grande partie par des politiciens sans scrupules et soumis de e complice aux ordres conjoints de Bruxelles, de La BCE et du FMI ont eu pour effet politique l'éviction du condominium politique de la Nouvelle Démocratie et du PASOK socialiste qui se partageaient le pouvoir depuis la chute du « Régime des Colonels » en 1974. Au grand dam de Bruxelles, le parti gauchiste Syriza a gagné les élections de février 2015 bien que l'oligarchie européiste se soit sûrement mieux accommodée de cette mauvaise surprise que d'une éventuelle victoire d'Aube Dorée. Et pour cause : l'extrême gauche fait partie du système mondialiste. Il fut un très court temps où elle se désignait comme « anti-mondialiste » ; mais très vite, comme terrifiée par cette qualification qui la présentait comme un ennemi du mondialisme, elle se redéfinit comme « altermondialiste », autrement dit mondialiste, mais d'une autre manière, à savoir socialisante et "trostkisante ». En effet, l'extrême gauche adhère à ces principes de base du mondialisme qui consistent à placer l'homme au centre de toutes choses et à nier la nature culturelle, enracinée des hommes. D'ailleurs, l'expérience montre que gauchistes et mondialistes s'entendent fort bien, le dévoiement et la subversion des mœurs allant de pair avec la recherche de l'accumulation de richesses financières et matérielles. Rien n'est changé.

    D’où vient la crise grecque ?

    En octobre 2009, alors que le déficit grec officiellement publié était de l'ordre de 6 % du PIB, le gouvernement de Georges Papandreou décida de dévoiler la venté dissimulée par ses prédécesseurs un déficit public de 12,9 % et une dette publique équivalente à 115 % du PIB. Il s'engagea à ramener le déficit public à 8,7 % à la fin 2010. Puis, livré à lui-même, incapable d'assurer le service de la dette, le gouvernement grec demanda l'aide de l'U.E. et annonça un plan d'austérité drastique. En février 2010 le Spiegel et le New York Times firent savoir que Goldman Sachs aurait aidé la Grèce à "maquiller" ses comptes, notamment par une levée de fonds hors bilan et par le biais d'instruments financiers mis au point par ses soins, et aurait joué un rôle de conseil jusqu'en 2009, date à laquelle le gouvernement grec aurait refusé un outil financier permettant de repousser à une date plus lointaine le poids de la dette. Malgré d'importantes manifestations populaires, le gouvernement adopta en mai 2010 — sous la contrainte de la « Troïka » constituée par l'UE., la BCE et le FMI - un plan d'aide de 110 milliards d'euros sur 3 ans, cette somme devant lui permettre de faire face à ses obligations, les Etats de la zone euro contribuant à hauteur de 80 milliards d'euros, dont 30 milliards d'euros au cours de 2010, à un taux moyen de 5 %. Dès la première année, la Grèce perçut 45 milliards d'euros de prêts. En contrepartie, Athènes dut adopter un plan de rigueur aux lourdes conséquences pour la population réduction du déficit public de 30 milliards d'euros à l'horizon 2014 pour retrouver les « sacro-saints 3 % de déficit autorises par VUE., (retraites diminuées, baisse des salaires des fonctionnaires, hausse de la TVA, lutte contre l'évasion fiscale) en contrepartie d'une aide financière de 110. milliards sur trois ans, de la part de l'U.E. et du FMI. Toutefois, en dépit de ces mesures qui réduisirent le déficit à 103 % du PIB, la situation du pays continua de se dégrader. Le FMI exigea notamment comme préalable à une nouvelle tranche de prêt de 12 milliards d'euros en juillet qu'Athènes adoptât de nouvelles mesures d'austérité (privatisation à hauteur de 50 milliards d'euros d'ici 2015).

    En janvier 2012, plus de 80 000 personnes défilèrent contre l'austérité à Athènes. Les États-membres de la zone euro s'entendirent sur un nouveau plan de sauvetage de 237 milliards d'euros au total dont 130 milliards d'euros de prêts jusqu'en 2014, tandis que l'on effaçait 107 milliards de dettes.

    Pendant ce temps, la situation économique s'est dégradée : le taux de chômage, qui était de 9 % en 2010, dépassait 15 % en décembre 2011 ; il est de plus de 25 % en 2015, tandis qu'il est supérieur à 50 % chez les jeunes ; nombre de Grecs sont réduits à la misère par la diminution des prestations sociales et la diminution des salaires tandis que les impôts augmentent, que les hôpitaux sont exsangues financièrement.

    Pour sa part, la dette qui devait être résorbée atteint 150 % du PIB en 2012 et 175 % en 2015, soit 320 milliards d'euros, dont 70 % sont détenus par des organismes publics : le FESF (Fonds européen de stabilité financière), dépendant de la BCE, pour 142 milliards ; les États européens pour 53 milliards de crédits ; le FMI pour 32 milliards. Nous pouvons nous demander à quoi servent des «plans de redressements » qui accroissent le mal, à savoir l’endettement ! Notons aussi que les actuelles négociations entre Bruxelles et Amènes portent » sur la capacité d'Athènes à rembourser ses emprunts précédents... pour qu'elle puisse obtenir de nouveaux prêts ! De qui se moque-ton ?

    Mais il y a plus : selon une étude de la fondation allemande Hans Böckler, ce qu'il faut appeler le « plan de redressement mondialiste » a eu des effets sociaux désastreux : le revenu des 10 % des foyers les plus modestes a chuté de 86 % entre 2008 et 2012, tandis que les 30 % les plus riches ont "seulement" perdu 20 % de leurs revenus, les fonctionnaires ne perdant que 8 % de leurs salaires ; et les 50 % des Grecs les moins riches ont vu la pression fiscale subie augmenter de... 337 % ! Il est aisé de comprendre la réaction de rejet des Grecs face à l'inanité scandaleuse de cette politique qui fait reposer sur les plus faibles le poids des erreurs de politiciens véreux, les turpitudes de bangsters sans scrupule et de la rigidité allemande. Évidemment, le travail « au noir » se développe, atteignant le tiers de l'activité économique grecque, amputant les rentrées fiscales espérées de 20 %.

    Le particularisme grec

    L'importance prise par la crise grecque se nourrit des doutes qu'ont les créanciers de la Grèce sur sa capacité à rembourser sa dette publique et à en payer les intérêts. La Grèce a été déclarée coupable de négligence et clouée au pilori. Le cas de la Grèce se différencie de celui des autres pays endettés de la zone euro par l'ampleur de ses problèmes structurels relativement aux "normes" occidentales en vigueur, notamment par sa difficulté relative à lever les impôts. Toujours traumatisés par les taxes qu'ils payaient au seul bénéfice des Ottomans durant quatre siècles d'occupation, les Grecs considèrent les impôts comme une charge qui n'influence en rien leur bien-être quotidien et ne voient donc pas l'intérêt de s'en acquitter, attitude somme toute saine lorsque Ton voit comment les Etats occidentaux comme la France pressurent leurs nationaux pour des résultats douteux du point de vue dû bien commun. La corruption de l'État les encourage à persister dans cette attitude, le refus de l'impôt étant alors considéré comme une juste compensation.

    Bruxelles en a tiré prétexte pour ne pas apporter les aides appropriées et a préféré « donner une leçon » à la Grèce qui ne consentait pas à se soumettre perinde ad cadaver aux règles communes de l'U.E., au risque de laisser la crise dégénérer en gangrène mortelle. L'UE. a ainsi imposé à la Grèce la présence de hauts fonctionnaires au service du système, la "troïka" pour contrôler les réformes de l'État grec dans ces domaines, les tranches de prêts à la Grèce n'étant débloquées qu'après que celle-ci eut estimé que le pays respectait ses engagements. Ce n'est d'ailleurs pas la première fois de son histoire que la Grèce connaît la crise financière, car elle a été en défaut pendant de nombreuses années depuis son indépendance, avec mise sous tutelle de puissances étrangères.

    Il ne s'agit pas d'ignorer les causes propres à la Grèce. Le clientélisme étatique est une entrave à l'efficience économique. Or il vient des origines de la Grèce moderne, dès son indépendance en 1830. Les principales institutions de l'organisation administrative de l'État grec ont été créées de force, sans concertation, par les conseillers bavarois du premier roi de Grèce, Othon, arrivé en 1833. Ils instituèrent un système administratif extrêmement centralisé, toute décision remontant au roi. Cette organisation, qui est restée inchangée jusqu'aux années 1980, rompait avec une organisation séculaire de la vie politique sociale et culturelle établie autour d'une communauté rurale ou urbaine.

    Pour la maîtriser et parvenir à se concilier les notables grecs, Othon les incita à s'installer à Athènes pour faire partie de sa cour et de son administration, les utilisant comme instrument de contrôle entre le centre et les provinces. S'est mis alors en place un système de clientélisme qui constitue la trame de la vie politique de la Grèce. Le notable doit son pouvoir à sa clientèle locale qui, en contrepartie, attend de lui des faveurs, tels des postes dans l'administration.

    Cette situation va gonfler anormalement le poids du secteur public dont l'efficience sera d'autant diminuée. On comptait en 2010 plus de 1,1 million de fonctionnaires pour une population de 11 millions d'habitants. Nombre de services manquent d'efficacité et de qualité ; des fonctionnaires mal payés et frustrés par le manque de perspectives professionnelles résistent mal aux tentations de la corruption...

    L'entrée de la Grèce dans l’U.E. et plus encore dans la zone euro a rendu ces travers insupportables car elle nécessite une « mise à niveau » de la société grecque qui, nonobstant les réserves que suscite l'optique d'exploitation des peuples voulue par le mondialisme, est nécessaire pour assurer un fonctionnement efficient de l'État grec. De ce point de vue, les demandes de la "troïka" de réformes Qu'État en contrepartie d'une aide financière sont donc fondées.

    A cela s'ajoute une charge supplémentaire que supporte la Grèce par rapport aux autres Etats de l’U.E. : l'importance des dépenses militaires (4 % du PIB, contre 2,4 % en France) dues à la position de la Grèce face à la Turquie qui, en dépit des suavités diplomatiques, demeure l'ennemi pluricentenaire. Et il est à observer que la réduction des dépenses militaires grecques n'a jamais été demandée par les gouvernements européens dans le cadre des plans de rigueur, d'autant plus que dans le cadre de l'espace Schengen, la Grèce doit assurer à ses frais la protection de son importante frontière orientale soumise à la pression de l'immigration extra-européenne venue d'Orient.

    André Gandillon, Président des Amis de Rivarol.

     

    Rivarol du 28 mai 2015

  • GPA : la fin du mythe des « fantômes de la République »

    Communiqué de La Manif Pour Tous :

    "La Cour de cassation doit rendre ce vendredi un avis très attendu sur la reconnaissance des GPA réalisées à l’étranger pour des ressortissants français. L’argumentation des partisans de la légalisation de la GPA et de son business abject repose sur l’existence supposée des « fantômes de la République », ces enfants nés de GPA à l’étranger mais non reconnus par la France.« C’est un mensonge : il faut mettre fin à ce mythe des « fantômes de la République » s’indigne Ludovine de La Rochère, Présidente de La Manif Pour Tous. A la veille de manifestations de grande ampleur organisées en octobre dernier par La Manif Pour Tous, le Premier Ministre lui-même le rappelait dans une interview accordée au journal La Croix : « Il ne faut pas laisser dire non plus que ces enfants sont sans filiation ni identité. Ils ont une filiation et une identité, mais établies à l’étranger. »

    Cet argument fallacieux se retrouve une nouvelle fois au cœur d’une décision de justice. Il est clair que les militants pro-GPA cherchent à détourner le regard d’une opinion publique de plus en plus choquée par la réalité sordide d’une pratique qui conduit à  l’arrachement volontaire et programmé de l’enfant à sa mère dès sa naissance et à l’asservissement des femmes réduites à la valeur de leur utérus. Chaque jour, de nouvelles vois s’élèvent pour appeler à mettre un terme à cette pratique odieuse de la GPA qui utilise et exploite la misère humaine comme une matière première.

    Les partisans de la légalisation de la GPA sont devenus ces spécialistes pour transformer des inexactitudes voire des mensonges en vérité auto-proclamée. Ainsi, contrairement à ce qu’ils affirment, la CEDH n’a jamais condamné la France pour refus de retranscrire à l’état civil français des enfants nés de GPA à l’étranger. La CEDH s’est contenté de demander que la vie privée de ces enfants soit respectée par la République française.« Personne ne sait exactement ce que cela signifie concrètement et les juristes s’arrachent les cheveux pour essayer d’analyser cette décision dont les conclusions ont été manipulées par des groupes de pression en faveur de la GPA »dénonce Ludovine de La Rochère.

    Alors que l’avis de la Cour de cassation sera rendu ce vendredi, La Manif Pour Tous tient à rappeler les risques des conséquences des recommandations du Procureur général. Si, conformément au souhait de Jean-Claude Marin, l’état civil mentionne le lien de filiation biologique de l’enfant à l’égard de son père, rien ne s’opposera à ce que le conjoint du père engage une procédure d’adoption qu’il soit hétérosexuel ou homosexuel (grâce à la loi Taubira) qui aura pour résultat la reconnaissance totale par la France des GPA réalisées à l’étranger.« Il y a un choix de société qui s’impose à la conscience collective. Toute forme de reconnaissance de la GPA est incompatible avec les valeurs de la République » conclue Ludovince de La Rochère."

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • « N’est-ce pas ? »

    Hier,   la rallonge financière  demandée par la Grèce  l’UE  n’a pas été obtenue et , premier pays industrialisé dans ce cas, a  fait  défaut de sa dette de 1,5 milliards d’euros vis-à-vis du Fonds monétaire international (FMI) …. En toute hypothèse, ce défaut  de paiement  pourrait être signifié à Athènes seulement  au bout d’un délai d’un  mois. Sans l’argent de la troïka FMI-BCE-UE   le pays est au bord de « l’asphyxie financière »  explique nos médias. Les plus optimistes  militent encore   pour des négociations de la dernière chance; après tout il est vrai que  depuis six ans, ce pays n’a connu « que »  huit  plans d’austérité…Barack Obama a fait savoir mardi son souhait que la Grèce reste arrimée à la zone euro, avertissant Bruxelles de « l’impact significatif » de cette crise sur « la croissance européenne »…quelle croissance européenne ?

     Dans cette affaire l’idéologie a prévalu sur le bon sens. C’est   l’imprégnation des esprits bruxellois par la  doxa euromondialiste, qui a conduit à faire entrer la Grèce, mais pas seulement elle, dans une zone euro aux économies extrêmement dissemblables,  ce qui laissait présager dès le départ de sérieux doutes sur la viabilité de ce système. Le FN l’avait dit d’ailleurs, à l’instar de  certains   économistes,  dés la création  de la zone euro, vox clamentis in deserto…  Une opposition nationale  accusée alors, comme  d’habitude note Bruno Gollnisch, de n’avoir rien compris et de  jouer  sur les peurs…

    Sur L’AURORE.overblog.fr,  Manuel Gomez l’affirmait comme beaucoup d’autres le 26 juin, « l’intérêt de l’Europe, l’intérêt de la Grèce même, serait qu’elle quitte l’euro (…) la Grèce dépense moins aujourd’hui que les impôts et taxes qu’elle encaisse. Donc elle ne pourra que remonter la pente avec des sacrifices moins contraignants que l’austérité que l’Europe veut lui imposer, notamment sur les retraites et la TVA. La dévaluation de sa monnaie relancera les 33% de ses exportations et les 14% de son tourisme (…).  Evidemment la grande peur de l’Union européenne est l’effet domino que cette sortie de la Grèce pourrait accélérer : il est tout au aussi certain que ni le Portugal, ni l’Espagne, ni l’Italie ni, bien entendu la France, ne rembourseront jamais leur dettes. La crainte est également qu’en sortant de l’euro la Grèce se relève doucettement, ce qui donnerait des idées à d’autres nations…n’est-ce pas ? »

    Si les banques grecques resteront fermées jusqu’au 6 juillet,  d’autres fermetures, définitives celles-là ( ?), ont été  annoncées, concernant en France des  mosquées suspectes de propager le fondamentalisme djihadiste a affirmé Manuel Valls lors de la séance des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale. Aprés l’attentat commis en Isère vendredi,  « le ministre de l’Intérieur agit et agira avec d’abord les armes du droit (…) pour fermer les mosquées quand il faut les fermer, s’attaquer aux commerces qui alimentent financièrement ce terrorisme », a affirmé M Valls.  Invité du « Grand Rendez-Vous » iTélé-Europe 1- Le Monde ce dimanche, le Premier ministre a estimé « entre 10 000 et 15 000 » le nombre de « salafistes » implantés sur notre territoire. Avec un peu de chance le chiffre que M Valls nous indique est moins bidouillé que ceux des demandeurs d’emploi…

    Ce qui est certain c’est que par rapport aux 4, 5, 6, 7, 8( ?) millions de Musulmans vivant en France – M. Valls est incapable de nous le dire ou ne  souhaite pas le faire- il s’agirait d’une très petite minorité.   Ce dont peuvent parfois douter les Français vivant dans des quartiers pluriels et qui nous font part de leurs témoignages. 

    Reste que la pseudo fermeté affichée par M. Valls achoppe sur l’angélisme multiculturaliste, immigrationniste,   de la gauche, dont  il est aussi un prosélyte. Lors de son discours  en clôture de la réunion de l’Instance de dialogue avec le culte musulman, le 15 juin, le  ministre de l’Intérieur Bernard Cazeneuve nous a refait le coup de Jacques Chirac sur les « racines  musulmanes » de la France et de l’Europe. Il a voulu comme  preuve de cette «vieille histoire que celle de la présence des musulmans en France », l’implantation  de  petites communautés mahométanes  prés de Bordeaux, de Bayonne,  en Provence, « jusqu’au XIIe siècle».  

    Passons par charité (chrétienne)  sur la pertinence  de cet argument pour nous arrêter sur  l’essentiel,  à savoir la lutte renforcée  contre l’explosion, paraît-il,  des actes et des agressions islamophobes,  en y consacrant  de nouveaux  moyens financiers pour et pédagogiques. Il a été promis pareillement  d’accélérer la construction de lieux de culte, via les « collectivités locales », par la « mise à disposition des terrains dans le cadre de baux emphytéotiques », la garantie  « des emprunts », « en contribuant au financement de la partie culturelle de projets immobiliers à caractère mixte ».

    «  L’Etat veillera scrupuleusement » à ce « que les musulmans de France puissent bénéficier de lieux de culte irréprochables sur le plan de l’architecture et de la sécurité (…)  je n’accepterai jamais que des projets de construction de lieux de culte soient bloqués par des élus au mépris du droit, ou en utilisant le droit de l’urbanisme comme un prétexte, par calcul politique » a encore déclaré M. Cazeneuve.

    Bref,  pas un mot du ministre  sur le problème de  la formation des imams, le  financement des mosquées par des pays et des officines  étrangères extrémistes,  l’entrisme salafiste dans des mosquées, la radicalisation d’une partie de la jeunesse mahométane  vivant  sur notre  sol…

    C’est cette politique de l’autruche matinée de  clientélisme  qui indigne nos compatriotes.  Français qui  ont été plus de 500 000 à visionner dernièrement  une vidéo publiée par l’association Contribuables Associés montrant Angelo, jeune père de famille français mis à la rue avec sa famille suite à la perte de son emploi et  réduit à la mendicité. Toutes les structures vers lesquelles il s’est tourné lui ont  adressé une fin de non recevoir. Il explique :  « Si j’avais été demandeur d’asile ou personne en situation irrégulière, on m’a dit qu’il y aurait eu une solution pour un hôtel, mais qui n’héberge que des immigrés ».

    Aveuglement européiste, lâcheté  immigrationniste, préférence étrangère… oui, les Français en ont  vraiment le ras-le-bol!

    http://gollnisch.com/2015/07/01/nest-ce-pas/

  • Suède multiculturelle et tolérante : il viole et défigure une enfant, 180 heures de TIG pour le musulman somalien

    « La Suède incarne probablement le laboratoire le plus avancé de la destruction de la race blanche mise en oeuvre au nom du marxisme culturel. Ce que l’on nomme la « démocratie multiculturelle ».

    En Suède, selon les statistiques gouvernementales, 77% des viols commis en Suède sont le fait de musulmans.

    C’est dans ce contexte apocalyptique qu’une nouvelle affaire de viol défraye la chronique en Suède.

    Un jeune somalien musulman, fraîchement arrivé dans le pays, a brutalement violé une enfant de 12 ans à Sundsvall. Le 10 novembre 2014, le musulman avait entraîné Ida, la jeune fille, dans son appartement, affirmant détenir des photos d’elle qu’il voulait lui rendre.

     

    Là, il l’avait sauvagement violée et battue à coups de poing, [répétant des propos à connotation raciale].

    Après le viol, selon le tribunal, l’enfant « saignait abondamment des parties génitales », la laissant traumatisée physiquement et psychologiquement.

    Arrêté récemment, Muhamad, le sauvage musulman impliqué, affirma qu’il ne pensait pas que l’enfant était mineure et ajouta qu’elle était consentante. Ce que la cour considéra comme faux.

    Ces faits, très graves, n’ont cependant entraîné que 180 heures de Travaux d’Intérêt Généraux. Suite à la polémique engendrée, la justice suédoise a maintenu son verdict, expliquant que le musulman somalien « avait des problèmes d’anxiété et de sommeil » et n’avait que 17 ans en novembre dernier. »

    Source

    http://www.contre-info.com/suede-multiculturelle-et-tolerante-il-viole-et-defigure-une-enfant-180-heures-de-tig-pour-le-musulman-somalien#more-38587

  • Grands travaux technocratiques

    Qui a dit (récemment) « la démocratie est ainsi faite que les Parlements et les opinions publiques passent parfois des mois, sinon des années, à discuter de sujets absolument mineurs, (comme le nombre de dimanches d’ouverture de quelques magasins), et zéro minute sur des sujets structurant pour des siècles l’avenir d’un pays » ? 
    Nous dirons un "réveillé", comme il s'en compte de plus en plus : quelqu'un qui découvre la relativité du sacrement démocratique. c'est Jacques Attali sur son blog de l'Express, le 3 juin 2015. Notre démocratie latine est incapable de bâtir l'avenir sauf à des coûts surenchéris par l'emprunt et la concertation démagogique. Elle est plus lente que toutes ses soeurs du Nord. Ses projets, quand ils sortent enfin, restent parfois inachevés par le changement de majorité politique. Pour fixer les idées, citons le bouclage des périphériques franciliens A86 et A104, l'un achevé sous péage avec 30 ans de retard, l'autre inachevé depuis 20 ans par manque d'autorité, excès de précautions et protections.

    (cliquez pour augmenter)

    Le cas d'espèce débattu par Jacques Attali est une alternative d'investissements lourds entre le grand port d'Ile de France, Rouen-Le Havre, et le canal à grand gabarit vers le Benelux, dit Seine-Nord. La Commission européenne devrait dire d'ici à fin juillet 2015 si elle participe au financement du dit-canal et à quelle hauteur (+/-40%). Même s'il est doué pour mettre en perspective l'avenir, Attali pose une équation d'exclusive qui partout au Nord n'aurait pas lieu d'être. Il soutient que le pouvoir choisissant Seine-Nord ouvre la route aux chargeurs vers la Mer du Nord contre la vocation naturelle du Havre à irriguer la région parisienne (voir son article de l'Express en cliquant ici). Or, on n'a pas à choisir entre ces deux axes, on doit les combiner pour valoriser tous nos atouts. Nous ne devons pas sacrifier le Havre ou Rouen au profit d'Anvers-Gand mais nous ne sommes pas armés intellectuellement pour les englober dans un projet d'aménagement de tout le nord-ouest de la France parce que ce pays n'a pas son grand projet : il bricole.
    Afin de caler le sujet en complétant l'analyse d'Attali, nous rappelons que la logistique n'est plus de nos jours l'organisation des débouchés de l'entreprise mais une fonction stratégique de l'aménagement du territoire qui tend à capter les flux de valeur ajoutée pour s'en nourrir. Gênes, Barcelone, Marseille, Le Havre, Felixstowe sont des ports nationaux qui desservent leur pays quand Anvers, Gand, Rotterdam, Brême, Hambourg sont des ports internationaux d'éclatement disposant d'un hinterland ramifié et qui irriguent très loin derrière eux. Le programme d'European Rail Shuttle Railways en est une démonstration, qui à un moment déchargeait à Lyon et à Milan depuis Rotterdam ! On a pu les calmer, mais la concurrence renaîtra plus forte. Attendre et voir est la pire des positions. Il faut mettre le paquet dans les compartiments gagnants du pays, la France du nord-ouest en est un. Sa compétitivité augmentée déclenchera le détournement à notre profit de plus en plus de flux logistiques de la zone atlantique nord-est. Du moins c'est le but : faire de la valeur ajoutée ici plutôt qu'au Benelux.
    Avec Seine-Nord, il s'agit d'améliorer l'hinterland des ports normands et de Paris par les canaux de gabarit européen et de profiter de retombées économiques le long des voies fluviales et autour des plateformes multimodales, plutôt que de spécialiser le port du Havre dans l'approvisionnement rapide de Gennevilliers en camions ! Passer de la mer au fleuve et du fleuve au canal, quoi de plus "naturel" ? Dans les années 70 on a ainsi tenté de faire entrer Dunkerque dans l'interactivité des ports belges, en vain car cela déplut aux syndicats de rentiers. La situation sociale de Dunkerque s'est redressée depuis avec une nouvelle génération de dockers, mais le train d'opportunités est passé. Il faut attendre le prochain. En revanche, pour la vallée de la Seine c'est maintenant qu'il faut bouger ; l'affaire n'a que trop duré. Paradoxalement Dunkerque et Rouen seront dès lors interconnectés au gabarit européen.

    Jacques Attali

    Le lecteur trouvera en note (1) ci-dessous, un commentaire technique d'un ancien de la batellerie, particulièrement au fait des défis logistiques pour avoir navigué longtemps dans le secteur Europe nord-ouest, texte parfaitement éclairant sur les décalages français qui semblent irrémédiables avec la classe politique actuelle. Jacques Attali, pour sa part, termine son billet de dépit :

    « Deux ans avant le cinq centième anniversaire de la création du Havre², on vient de mettre un clou sur son cercueil. Et ceux qui, depuis des décennies, pensent qu’il faut aider Rouen contre le Havre, finiront peut être par comprendre que la mort de l’un précédera de peu la mort de l’autre. Suivra ensuite celle de Paris. Ceux qui auront pris cette néfaste décision ne seront plus là depuis longtemps ».

    Les travaux du Havre ne se limitent pas à l'autoroute ferroviaire, monsieur Attali (cf. son blogue). La profession consultée nous renvoie au dossier ad hoc du journal Le Marin qui dans son numéro du 12 juin 2015 fait dix pages sur l'Axe-Seine (pages 31 à 41). On y voit les Normands se battre avec courage pour relever le défi d'entrer au club du Range Nord par Le Havre ; Rouen de son côté étatisant sa résistance par défaut d'un transit-time concurrentiel. 
    Une agence de bassin, le GIE HAROPA², a été créée en 2012 pour mutualiser à l'international les synergies entre les ports de la Basse Seine pour sauver Rouen et Paris par la voie d'eau. C'est déjà un guichet unique (mais pas exclusif) pour les formalités douanières qui vise aussi les autres maillons de la chaîne logistique. Alain Vidalies, ministre des Transports nous en touche un mot : « L'objectif de HAROPA est de constituer la Supply Chain d'un bassin de vie de 25 millions de consommateurs et de participer activement à la création de valeur ajoutée et d'emplois d'un nouveau territoire unifié par l'axe Seine [...] Fonctionner en synergie doit permettre aux trois ports de mieux répondre aux attentes des clients. C'est notamment la clef pour formuler des offres de bout en bout, du port maritime au dernier kilomètre, en optimisant coûts et CO². C'est aussi la bonne échelle pour développer des systèmes d'information et d'intelligence logistiques qui seront les avantages concurrentiels clés de demain.» D'où l'accent mis sur l'immobilier d'entreposage tout au long du corridor pour gérer le transport massifié. Fin 2014, HAROPA administrait déjà 2,7 millions de mètre-carrés.

    Concept minimaliste du parc éco-industriel Calvados-Honfleur


    L'argument de fonds du GIE est d'être par Le Havre le premier gros complexe portuaire atlantique touché à l’import en Europe et le dernier quitté à l’export, ce qui est vrai. Mais l'avantage géographique doit être valorisé par des hommes motivés et intéressés. Sans méjuger des qualités techniques des équipes impliquées, on jugera de l'efficacité du "guichet commercial unique" avec le temps. Les hommes politiques, maîtres et seigneurs en France, ont hésité trop longtemps à trancher sur un sujet dont ils apprécient peut-être mal les retombées, car le tempo de la mondialisation n'est pas le leur, encadrés qu'ils sont de deux élections rapprochées. Nos voisins du Nord ont le même type de régime mais il y existe un consensus national sur la nécessité d'infrastructures gagnantes que nous n'avons pas dans notre désordre gaulois.

    Notes : 

    (1) Réponse au billet de Jacques Attali paru dans l'Express n°3335 du 3 juin 2015 :
    JC Malbrunot
    « Si l’auteur est homme d’esprit et possède une bonne plume, à mon simple point de vue de batelier retraité qui a effectué souvent des manutentions dans les ports du nord (Anvers, Rotterdam, Amsterdam, Hambourg), quand d’aventure je trouvais du fret à Rouen ou au Havre, j’avais l’impression de venir dans des ports fantômes ! Quand Le Havre annonce 68 millions de tonnes et que Rotterdam réalise 440 millions de tonnes, c’est déclouer le cercueil qu’il faut faire pour sa résurrection ! Un Hollandais m’avait dit un jour «vous les Français vous ne saurez jamais tirer profiter vos voies d’eau» ! J’ai traduit, qu’avec la géographie que nous avons, nous étions des nuls !
    Jamais les Hollandais n’auraient fait Port 2000 sans le raccorder au canal de Tancarville ! Avec la Seine, le port du Havre a une position stratégique pour desservir l’Ile de France, mais bien mieux encore, il reste quelques travaux pour terminer la mise au grand gabarit jusqu’à Nogent-sur-Seine dont une écluse qui fera peut-être 110 mètres entre deux écluses de 180 mètres en service, et le chantier traîne en longueur, il faut encore attendre 2020 pour en voir la finalité !
    Avec une position aussi privilégiée, comment Le Havre, pour le 500 ème anniversaire, ne pourrait-il pas atteindre les 5 millions de conteneurs, et doubler son tonnage ? Les camions sont incontournables, le chemin de fer tout autant, mais sortir l’artillerie lourde pour que ne se fasse pas le canal Seine-Nord, c’est porter une fois de plus un mauvais coup au mode fluvial. Tout le long du Canal Albert de Liège à Anvers, il y a des entreprises et le canal Seine-Nord peut-être lui aussi être un puissant vecteur économique avec ses plateformes multimodales.
    A mon avis, c’est manquer d’ambition pour nos ports maritimes que de ne pas mieux valoriser la voie d’eau ; le plus à craindre c’est notre manque de culture fluviale, et avoir peur du canal Seine-Nord en est encore la triste démonstration ! Pas besoin du canal Seine-Nord pour que les Hollandais nous envoient depuis Rotterdam des camions de toutes nationalités, ce qui nous fait perdre près de 20% d’emplois dans notre secteur routier !» (J-C. Malbrunot)

    (2) Le Havre de Grâce fut fondé en 1517 par le roi François Ier sur des marais que viendront assécher des entreprises hollandaises (déjà !). Le GIE HAROPA diffuse ses ambitions sur un site auquel on accède en cliquant ici. Ceux qui veulent enrichir l'étude de cas liront avec profit le rapport Gay-Granier-Plantrou de 2013 sur la Basse Seine et Paris en cliquant trois fois ici et .

    http://royalartillerie.blogspot.fr/

  • Rentrée du PS : les frondeurs vont devancer La Rochelle

    L'université d'été du PS se tiendra comme chaque année fin août à La Rochelle. Les frondeurs vont griller la politesse à Cambadélis.

    Après une année mouvementée, qui a atteint son climax avec la loi Macron et l'utilisation du 49.3 par le gouvernement pour faire passer le projet, les frondeurs comptent donner le ton de la rentrée. Ils ont décidé de se retrouver avant l'université d'été du PS, qui se tiendra comme chaque année le dernier week-end d'août à La Rochelle.

    Le rendez-vous se tiendra à Marennes, à l'entrée de l'île d'Oléron jeudi 27 et vendredi 28 août. Les frondeurs appellent déjà cela « les journées de Marennes ». « On a une vision politique à défendre, ça s'inscrit dans la tradition des courants structurés du PS », dixit le député Laurent Baumel. L'hôte, le maire de Marennes, Mickaël Vallet, est signataire de la motion B, qui a récolté un peu moins de 30 % des voix au congrès de Poitiers.

    « Taubira, c'est pas notre leader caché ! »

    Benoît Hamon, Christian Paul, Emmanuel Maurel, Marie-Noëlle Lienemann et les autres ne se contenteront pas de déguster des huîtres, spécialité locale, ils réfléchiront aussi à la meilleure manière de structurer un courant né de l'association de plusieurs mouvances du PS, sur la contestation à la politique de François Hollande en général, et plus particulièrement en opposition à la loi Macron.

    Pour l'instant, pas question d'inviter la ministre de la Justice, qui avait fait sensation l'année dernière à La Rochelle en participant à la réunion des frondeurs. « Taubira n'est pas notre leader caché, on ne va pas l'inviter tous les ans ! » lâche un frondeur.

    Charlotte Chaffanjon

    source : Le Point :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuFVylZZyEVgczjajV.shtml

     

  • Quand l’université « pour tous » tente de se rebeller

    Comme chaque année à la même époque, une université téméraire se croyant plus maligne que les autres vient de se faire flinguer à bout portant alors qu’elle s’apprêtait à franchir en douce le mur du nivellement par le bas.

    Cette fois, c’est Rennes I que les Vopos d’une association étudiante ont prise pour cible : dans l’improbable famille « Pourtous », on connaît bien le mariage, l’enfant, la France, mais n’oublions pas, c’est de saison, l’université.

    La faculté de droit vient, en effet, de mettre sur pied un « parcours d’excellence » dont elle entend réserver l’accès à quelques candidats ayant obtenu de bons résultats au bac et passé avec succès un examen créé à cet effet, afin d’en faire un cursus bien visible pour les employeurs.

    Des employeurs ? Après l’université ? Et pourquoi pas aussi un boulot, tant qu’on y est ? L’université française – à l’exception de quelques filières sélectives, se maintenant avec une adresse de funambule, certains évitant soigneusement les mots qui fâchent pour parler « d’orientation active » – est complètement dépréciée. Elle est, le plus souvent, le pis-aller sur APB (admission post-bac), qu’il faut bien cocher parce qu’on y est obligé, parce que si ça se trouve, et on en sera désespéré, toutes les prépas nous auront blackboulés.

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