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On le pressent, une fois ce diagnostic établi, la solution proposée par Lasch n’a rien de bien « transgressif », en apparence du moins. Lasch propose simplement de retrouver le sens des limites. Sur ce point, il convient cependant de ne pas se méprendre. Que l’individu doive retrouver le sens des limites n’a jamais signifié pour Lasch l’impératif de rétablir par la force l’autorité qui châtie et punit aveuglément. C’est ici que des « conservateurs droitiers » tels qu’Alain Finkielkraut ou Pascal Bruckner cessent de de pouvoir se référer sans mauvaise foi à Lasch. La permissivité et la peur du conflit d’une part, l’autorité qui ne sait qu’interdire d’autre part, forment pour Lasch deux faces d’une même médaille. A moins que les normes éthiques, suggère-t-il dans Le Moi assiégé, ne s’enracinent dans une identification émotionnelle avec les autorités qui les font respecter, elles n’inspireront rien de plus qu’une obéissance servile.En réalité, aux yeux de Lasch, un ordre humain conforme aux idéaux révolutionnaires d’égalité, de liberté et de décence ne semble possible que si les individus cultivent la modestie face à la vie, la loyauté dans leurs rapports et un esprit général de gratitude. Or, cette culture-là, Lasch pense la trouve dans le fonds de valeurs du populisme américain, dont il recompose les origines et les luttes du XIXe au XXe siècle dans Le Seul et Vrai Paradis. Alors que sous l’impulsion d’intellectuels experts en politologie tels que Dominique Reynié le « populisme » en est venu aujourd’hui à incarner une sorte de peste politique, remettant prétendument en question par son appel racoleur au peuple les fondements de la démocratie parlementaire, l’insigne mérite de l’ouvrage Le Seul et Vrai Paradis est de rendre au populisme sa vigueur critique et révolutionnaire face aux promesses du progrès capitaliste.Dans une enquête de grande ampleur, qui évoque notamment le radicalisme chrétien d’Orestes Brownson (1803-1876), le transcendantalisme de Ralph Waldo Emerson (1803-1882), le mouvement de résistance non violente de Martin Luther King (1929-1968), en passant par le socialisme de guilde de George Douglas Howard Cole (1889-1959), Lasch met en évidence tout un gisement de valeurs relatives à l’humanisme civique, dont les Etats-Unis et plus largement le monde anglo-saxon ont été porteurs en résistance à l’idéologie libérale du progrès. Il retrouve, par-delà les divergences entre ces œuvres, certains constances : l’habitude de la responsabilité associée à la possession de la propriété ; l’oubli volontaire de soi dans un travail astreignant ; l’idéal de la vie bonne, enracinée dans une communauté d’appartenance, face à la promesse de l’abondance matérielle ; l’idée que le bonheur réside avant tout dans la reconnaissance que les hommes ne sont pas faits pour le bonheur. Le regard historique de Lasch, en revenant vers cette tradition, n’incite pas à la nostalgie passéiste pour un temps révolu. A la nostalgie, Lasch va ainsi opposer la mémoire. La nostalgie n’est que l’autre face de l’idéologie progressiste, vers laquelle on se tourne lorsque cette dernière n’assure plus ses promesses. La mémoire quant à elle vivifie le lien entre le passé et le présent en préparant à faire face avec courage à ce qui arrive. Au terme du parcours qu’il raconte dans Le Seul et Vrai Paradis, le lecteur garde donc en mémoire le fait historique suivant : il a existé un courant radical très fortement opposé à l’aliénation capitaliste, au délabrement des conditions de travail, ainsi qu’à l’idée selon laquelle la productivité doit augmenter à la mesure des désirs potentiellement illimités de la nature humaine, mais pourtant tout aussi méfiant à l’égard de la conception marxiste du progrès historique. Volontiers raillée par la doxa marxiste pour sa défense « petite bourgeoise » de la petite propriété, tenue pour un bastion de l’indépendance et du contrôle sur le travail et les conditions de vie, la pensée populiste visait surtout l’idole commune des libéraux et des marxistes, révélant par là même l’obsolescence du clivage droite/gauche : le progrès technique et économique, ainsi que l’optimisme historique qu’il recommande. Selon Lasch qui, dans le débat entre Marx et Proudhon, opte pour les analyses du second, l’éthique populiste des petits producteurs était « anticapitaliste, mais ni socialiste, ni social-démocrate, à la fois radicale, révolutionnaire même, et profondément conservatrice ».Après avoir exposé avec le narcissisme et le populisme deux registres de valeurs et deux visions de la société humaine, Lasch en a finalement appelé à la résurgence de la critique sociale, en posant une question fondamentale : « La démocratie mérite-t-elle de survivre ? »Renaud Garcia, « Christopher Lasch, le culte du narcissisme » in Radicalité, 20 penseurs vraiment critiques
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Immigration, le référendum slovaque dont les médias ne vous parleront pas – « La Slovaquie n’est pas l’Afrique », clame le peuple
L’immigration semble partout s’imposer comme le sujet du moment.
Un accord de coopération en matière d’asile signé le 21 juillet 2015 entre la Slovaquie et l’Autriche prévoit que 500 « réfugiés » qui séjournent au centre d’accueil de Traiskirchen en Autriche seront transférés en Slovaquie où ils seront hébergés dans un bâtiment désaffecté au sein de l’Université technique slovaque située à Gabcikovo.
Gabcikovo se trouve en Slovaquie. à la frontière Sud-Ouest du pays, proche de l’Autriche, dans une région de langue hongroise.
Mais le maire de Gabcikovo ne l’entend pas de cette oreille. Le dimanche 2 août 2015, il a donc organisé un référendum dont les médias du système se garderont bien de vous parler.
La question était simple et demandait si la population de cette municipalité de 5.100 habitants était d’accord d’accueillir 500 immigrés.
La réponse a été aussi claire que la question. Les 50 % de participation des habitants nécessaires à la validité du référendum ont été largement atteints et les habitants ont dit « Non » à 97 %.
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Francis Cousin - Restauration de l'être
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Washington réoriente sa propagande contre Assad
Washington accuse le gouvernement de Damas d’être responsable de la montée en puissance de l’Etat islamique, quelques jours à peine après avoir bombardé des positions de Daesh en Syrie au départ de bases militaires turques.
Le Département d’Etat américain, à travers le porte-parole adjoint du département d’Etat Mark Toner, a accusé le gouvernement de Bachar al-Assad d’être responsable de l’ascension de Daesh dans la région.
Ce genre de déclaration n'est pas inédit de la part de l'administration Obama, mais ce qui a changé, c'est le contexte. En effet, depuis quelques jours, les forces aériennes de Washington sont désormais capables de bombarder les positions de tout groupe susceptible d'attaquer l'opposition syrienne «modérée», formée conjointement par des militaires turcs et américains, et ce en utilisant les bases militaires turques mises à disposition par Ankara.
Washington n'a pas ouvertement désigné les forces d'al-Assad comme cibles directes, mais «si besoin est», des frappes pourront être dirigées contre elles. Concrètement, si les militaires américains estiment qu'une quelconque menace existe pour les troupes d'opposition «modérées» entraînées par leurs soins, ils n'hésiteront pas à recourir à la force, quel que soit l'agresseur.
Une opération militaire sans base légale
Il y a encore deux jours, le même porte-parole adjoint a déclaré à des journalistes qu’il ne savait pas sur quelle base juridique les Etats-Unis se basaient pour bombarder l’armée syrienne, si elle en vient à attaquer des rebelles entraînés par les militaires américains.
Des frappes ont d'ores et déjà eu lieu en territoire syrien, et ce sans l’accord du Congrès américain, ni celui du Conseil de Sécurité de l’ONU.
Après avoir porté les premières frappes par des drones dans le nord de la Syrie, les Etats-Unis prévoient également des raids pilotés depuis des bases aériennes turques.
Phyllis Bennis, journaliste et militante du think-tank Institute for Policy Studies, estime que Washington n’a pas de base légale pour effectuer ces bombardements.
L’experte cite la charte de l’ONU qui dicte la loi internationale et détermine si une guerre est légale ou illégale. Selon cette charte, il y a seulement deux cas où on peut mener une guerre : si elle est autorisée par le Conseil de Sécurité de l’ONU ou bien si le pays est directement attaqué et essaie de se protéger. Aucun de ces cas ne répond à la situation actuelle en Syrie. «L’utilisation de la force dans tout autre cas est illégale», a souligné la journaliste.
Les Etats-Unis ont déclaré que le nord de la Syrie est «une zone de non droit», et, selon Phyllis Bennis, Washington utilise toujours la même excuse, qui leur permet de «faire tout ce qu’ils veulent», le droit de bombarder, d’envoyer des troupes terrestres. «C’est une pente dangereuse», dit-elle en guise de conclusion.
La genèse de l'Etat islamique en Syrie
Tandis qu’Abu Bakr al-Baghdadi et ses troupes profitaient de l’instabilité en Irak résultant de l’invasion des troupes américaines pour étendre leur pouvoir, Daesh s’est infiltré à travers la Syrie à la faveur de la guerre civile débutée au printemps 2011 par des contestations civiles contre le gouvernement de Bachar al-Assad.
Les extrémistes ont bénéficié des aides logistiques et financières américaines, en combattant aux côtés de l’Armée syrienne libre (ASL) et ce, jusqu’en septembre 2013, au moment où ces djihadistes ont affiché leur ambition de former un califat dans le nord de la Syrie.
Mais même après la séparation officielle de ce que l’Occident dénomme entre l’opposition «modérée» et l’Etat islamique, celui-ci a continué à profiter du support américain en prenant possession de matériels militaires laissés à l’abandon à la suite des combats. Ce qu’ils n’ont pas manqué de fièrement diffuser sur les réseaux sociaux.
Selon l'Observatoire syrien des droits de l'Homme, la guerre en Syrie a fait en quatre ans plus de 240 000 morts, dont 12 000 enfants, selon un nouveau bilan, rapporté par l'AFP. (…)
Si al-Assad est renversé, Daesh hissera son drapeau noir au-dessus de Damas
Daniel McAdams, directeur exécutif de l'Institut Ron Paul Institute for Peace, interrogé par RT estime que si Bachar el-Assad est destitué, Daesh s’emparera de Damas. «Il n’est pas obligatoire d’être supporteur d’al-Assad pour reconnaître que si les frappes américaines sur les positions de l’armée syrienne et Damas se poursuivent, l’Etat islamique hissera bientôt son drapeau au-dessus de la capitale syrienne. Et personne ne dira, même ceux qui ne tolèrent pas le dirigeant syrien, que c’est ce qui pouvait arriver de mieux», a expliqué l’expert.
L’activiste a souligné que Washington a scandé pendant de long mois que Daesh est la pire chose possible. «Si on ne lutte pas contre ses combattants, ils pénètreront sous nos lits et nous attaqueront», a-t-il rappelé, citant les mots du gouvernement.
D’après McAdams, les Etats-Unis semblent réorienter en ce moment leur propagande contre al-Assad. «Et malheureusement, la propagande fait son chemin à travers l’histoire comme nous le voyons, semant le chaos et donnant le goût pour la guerre», a-t-il poursuivi.
source : Al manar lien
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Des paysans et de la terre de France
Depuis le bon roi Henri IV le Vert Galant, « Labourage et pâturage sont les deux mamelles de la France » comme aimait à le dire son excellent ministre Maximilien de Béthune duc de Sully.
Le labourage était alors ce qui correspond aujourd’ hui à l’ agriculture : c’ est à dire la culture des plantes et des céréales ; le pâturage était donc ainsi ce qui correspond aujourd’ hui à l’ élevage des animaux et essentiellement et plus particulièrement les ovins tels les moutons et les caprins ainsi que et surtout les bovins et les équidés le plus souvent dans les prairies ou en alpages à proximié. Les lapins, les volailles et les cochons étaient élevés dans des espaces clos réduits et même ces derniers accédaient fort peu aux prairies réservées aux ovins, caprins, équidés et bovins… même s’ il arrivait que la nature permit aux volailles et, en particulier aux palmipèdes, de parcourir lesdites prairies, voire d’ accéder aux eaux courantes pour les derniers.
Dans notre monde moderne post-industrialisé et tertiarisé, l’ agriculture est vouée à la disparition par la république préférant la mal-bouffe aussi artificielle qu’ importée et que dire de l’ élevage si ce n’ est qu’ il est déjà en cours d’ extinction par la volonté républicaine préférant les produits étrangers ? Autant dire que l’ agriculture française est dans une situation d’ impasse fort catastrophique et que l’ élevage se trouve d’ ores et déjà en situation désastreuse. Voilà la détresse républicaine.Aujourd’ hui, je vais traiter de ce dernier à l’ occasion des journées d’ actions multiples des éleveurs en cette fin juillet 2015, laissant à plus tard l’ agriculture à moins qu’ un autre contributeur à Euro-Reconquista s’ y attelle.
In limine, à titre historique, il convient de rappeler qu’ il y a encore cinquante, soixante ans, la plupart des agriculteurs étaient aussi éleveurs et vice-versa. Au demeurant, la plupart des exploitations se livraient à une agriculture diversifiée allant des grandes cultures des céréales aux petites cultures des légumes et à l’ arboriculture en particulier des arbres fruitiers ainsi que la vigne jusqu’ à l’ élaboration du vin sans oublier l’ indispensable bois fournissant matériaux et combustible ; de même, la plupart des exploitations se livraient à un élevage diversifié allant des bovins et des équidés aux ovins et caprins mais aussi aux volailles de toutes sortes jusqu’ aux lapins, sans omettre plusieurs cochons au minimum par exploitation et même les simples particuliers en élevaient souvent un ou deux par an. En bref, les agriculteurs-éleveurs étaient généralistes et, non seulement étaient en autosuffisance permettant l’ autarcie au moins alimentaire voire plus mais, même en cas de contrariétés climatiques et/ou naturelles, de mauvaises saisons ou années, d’ épidémies et autres fléaux, ils étaient si diversifiés dans leurs activités que les pertes de certaines de ces dernières étaient largement compensées par les bénéfices des autres. La sagesse paysanne expliquait qu’ il ne faut pas mettre tous ses œufs dans le même panier.Certes, il existait déjà des exploitations plus spécialisées : dans certaines grandes cultures, les maraichages, le tabac, la vigne… les équidés, les bovins, les caprins, les ovins, les porcins… mais aussi les canards, les oies… mais elles demeuraient l’ exception et celles-ci étaient viables car il arrivait aussi que des exploitations généralistes fassent appel à des spécialistes… notamment dans l’ élevage… par exemple pour les saillies par des étalons des haras ou pour les poulinages par des juments dans les jumenteries… mais les exploitations demeuraient dans l’ ensemble très autonomes y compris malgré ces collaborations ponctuelles. Les exploitations étaient alors rentables et les paysans, ainsi qu’ étaient alors appelés les agriculteurs et les éleveurs, gagnaient bien leur vie sur le plan financier et constituaient un important patrimoine, malgré la tronçonneuse d’ abattage qu’ était déjà le code civil républicain, alors même que les paysans étaient très nombreux et employaient une main d’ œuvre très nombreuse créant le lien social qui nous fait si cruellement défaut aujourd’ hui et animant ainsi nos campagnes riantes assurant une excellente occupation du territoires jusque dans les endroits les plus reculés. Le nom même de paysan démontrait même à quel point ils étaient inséparables de leurs terres et de la France même : très attachés à leurs terres comme à la France royaume du Fils aîné de l’ Eglise, ils étaient l’ essentiel dans tous les sens du terme de la France et des Français et donc se situaient parmi les plus honorables et honorés et donc récompensés pour leur labeur.
Certes, à cette époque bénie et que certains qualifieront, de fort mauvaise foi, d’ imaginaire, il n’ y avait ni crédit agricole ou patate, ni mutualité sociale agricole… ni même de groupama… et pourtant les exploitations et les paysans étaient prospères et se développaient sans cesse… se modernisant constamment pour rendre la France non seulement autosuffisante mais aussi exportatrice. Les paysans connaissaient alors une vieillesse digne et heureuse dans le respect qui leur était dû et au milieu de leurs familles ; ils ne finissaient pas leurs vieux jours dans la misère du fait d’ une retraite symbolique versée en échange de très lourdes cotisations durant 4 et 5 décennies voire plus. L’ agriculture et l’ élevage étaient le pétrole vert de la France. Ah, il n’ y avait pas non plus de politique agricole européenne… et les étrangers n’ envahissaient alors pas la France pour s’ y voir attribuer force allocations de toutes sortes sans jamais y travailler.
De très nombreux paysans… plus de huit millions en 1950… soit plus de 20 % de la population française… alors de moins de 40 millions d’ habitants… et des troupeaux de une vache à quelques vaches… une vingtaine de vaches étaient déjà un très grand troupeau… les troupeaux de plus de cent têtes étaient rarissimes… un troupeau de cent moutons était déjà un très grand troupeau… laissons de côté les chevaux très nombreux mais essentiellement destinés à la traction… à chaque fois de très nombreux domestiques de ferme et ouvriers agricoles spécialisés… bergers, chevriers, pâtres… en moyenne, une douzaine pour un troupeau de cent moutons par exemple… une demie-douzaine pour une vingtaine de vaches et bien plus s’ il s’ agissait de vaches laitières… ceci sans compter que toute la famille était aussi très impliquée dans l’exploitation… tous les enfants du chef d’ exploitation mais aussi très souvent les frères et sœurs et leurs conjoints et tous en vivaient fort bien…
Aujourd’ hui, un troupeau de 500 moutons est un petit troupeau et n’ emploie plus que deux personnes au maximum dans le meilleur des cas : les deux conjoints. Rares sont les troupeaux de moins de cinquante vaches… la moyenne est au dessus de 80 têtes et les troupeaux de plusieurs centaines de têtes sont très nombreux… il existe même des troupeaux de plus de mille têtes… mais un homme seul suffit jusqu’ à une centaine de têtes et le conjoint s’ y met s’ il s’ agit de laitières… deux à quatre pour plusieurs centaines de têtes… une demie-douzaine suffit pour plus de mille têtes… ne parlons pas des porcins dont l’ élevage est hyperindustrialisé avec un homme pour plusieurs centaines de têtes ! En résumé, l’ élevage est de plus en plus intensif, industriel et accéléré… et nécessite des investissements de plus en plus lourds afin de limiter la main d’ œuvre générant ainsi de plus en plus de chômage… parfois au détriment de la qualité… celle-ci alourdissant considérablement le coût de production quand elle est privilégiée… et, dans tous les cas, l’ endettement galopant conduit à d’ autant plus de faillites que la baisse des prix est accentuée par la concurrence étrangère souvent de moindre qualité. Et les faillites entraînent les suicides : le monde paysan aujourd’ hui réduit à moins de 100000 exploitations, pour environ 60 millions de Français de souche française et européenne et plus de 20 millions d’ afro-arabo-mahométans, est surreprésenté parmi les suicidés.
Pour compromettre l’ élevage français, tout a été organisé depuis plusieurs décennies pour faire disparaître les éleveurs du circuit de distribution et de leur accès au réseau de bouchers indépendants lesquels sont aussi en cours d’ extinction au demeurant… des bouchers qui n’ ont plus le droit d’ abattre eux-mêmes les bêtes dont ils vendent la viande obtenue à leur clientèle comme il était de tradition. Cette exclusion du réseau de distribution est due à l’ apparition de nouvelles réglementations le plus souvent justifiées par de soit-disants impératifs d’ hygiène, de salubrité, de qualité et de protection des consommateurs… en voilà une belle logorrhée maçonnique satanique mondialiste ! Cela a commencé par les abattoirs au départ : point de rencontre et d’ équilibre entre éleveurs et bouchers… abattoirs municipalisés (le socialisme municipal !) puis privatisés et enfin passés entre les mains de groupes financiers… le nœud gordien serre alors les éleveurs à la gorge ! Je n’ évoque même pas les grands marchés nationaux aux bestiaux qui ne font plus que vivoter dans le meilleur des cas depuis la fin du XXe siècle… En effet, le suivi vétérinaire et l’ informatisation des troupeaux jusqu’ à l’ identification de chaque individu le composant ont abouti à la négation même de facto sinon formelle de ces marchés… et les prix sont fixés aux producteurs par les groupes détenant les abattoirs d’ abord et non pas par les producteurs eux-mêmes !!! D’ où des prix payés aux éleveurs bien inférieurs aux coûts réels de production… Au demeurant, les quelques abattoirs coopératifs paysans sont gérés comme des centres de profit autonomes, indépendants, et écrasent leurs membres producteurs pour ne se soucier que de leurs propres intérêts.
Même si l’ essentiel de la chaîne des intermédiaires a disparu aujourd’ hui du fait des groupes détenant les abattoirs comme du fait des centrales d’ achat de la grande distribution constituant ensemble un circuit court, le réseau de bouchers indépendants étant aujourd’ hui dérisoire… les bouchers professionnels étant désormais salariés pour la plupart des enseignes de la distribution. Résultat : les enseignes de la distribution et leurs centrales d’ achat poussent aussi à la baisse des prix afin de préserver leurs marges et les conforter. La collusion est totale entre les abattoirs et la distribution. Et la qualité est la grande oubliée car la baisse des prix en est la plus grande ennemie tant pour produire à des prix toujours plus bas la qualité est toujours sacrifiée. Mais peut-on encore parler de qualité ?
En effet, quels que soient les efforts consentis par les producteurs pour élever des animaux de très grande qualité alors même qu’ ils n’ y sont guère incités par le prix qu’ ils obtiennent en retour, la qualité la meilleure possible est mise à mal, annihilée, anéantie par l’ abattage halal généralisé et imposé pour complaire aux disciples de la religion d’ amour, de tolérance et de paix issue de ce manuel du parfait sale môme qu’ est le coran de ce chamelier pseudo-prophète pédocriminel et antisémite connu sous le sobriquet mahomet ! En effet, l’ abattage rituel mahométan par égorgement sans étourdissement et sans mort immédiate conduit à une très longue et atroce agonie provoquant une évacuation des viscères et de l’ œsophage par la gorge entaillée provoquant ainsi la prolifération bactériologique dans toute la carcasse avec d’ énormes risques sanitaires subséquents ainsi que l’ explique fort justement le docteur Alain de PERETTI, vétérinaire à Bordeaux. Or il y a là dans l’ abattage rituel mahométan d’ énormes et très nombreux enjeux politiques et financiers.
Politiques d’ abord car il s’ agit de satisfaire les malsaines exigences de plus de 15 millions de mahométans occupant la France qui sont sensés être d’ excellents électeurs républicains et même socialistes… il s’ agit aussi de maintenir un semblant de tranquillité à défaut de paix dans les quartiers. Plus encore, il s’ agit de lécher les babouches du fellagha bouteflicka, de l’ émir du Qatar et du roi d’ Arabie qui privatise la plage publique de Vallauris et en interdit l’ accès au public y compris aux Français !Financiers ensuite car l’ estampillage hallal est le privilège des mosquées de Paris, Evry et Lyon qui en ont le monopole national et emploient une armée de sacrificateurs aussi certifiés que sanguinaires et sauvages… au demeurant, certainement s’ agit-il pour eux d’ une activité temporaire mise à profit à titre d’ entraînement à l’ égorgement et à la décapitation des kouffars blancs et judéo-chrétiens dans le Pré Carré ! Mais l’ enjeu financier est bien plus lourd car l’ animal abattu en mode hallal est alors directement et immédiatement frappé d’ une taxe imanesque de 0,15 euro au kilo… certes, pour un agneau de 10 kilos, cela ne fait que 1,50 euro… et pour un taureau d’ une tonne 150 euros… mais ces chiffres sont à multiplier par des dizaines de milliers de têtes ! D’ où une immense manne financière pour le financement des mosquées et de l’ armement des disciples de la prétendue ratp, l’ imanerie déversant la manne financière dans les mosquées. Certes, cette taxe ne frappe pas les porcins pour l’ instant. Pour l’ instant car cela ne saurait tarder au vu des colossaux montants en jeu.
Certains penseront que ce pronostic, hélas à très court terme, est une pure exagération, une fantasmatique vue de l’ esprit de votre serviteur car les mahométans ne consomment pas de porc qui est stipulé haram, c’ est à dire interdit contrairement au hallal c’ est à dire autorisé en bédouin des déserts d’ Arabie. Qu’ ils se détrompent donc car les mahométans ne consomment que certains morceaux des animaux abattus hallal : donc ils ne payent que ce qu’ ils consomment… or tout le reste devrait être passé en pertes et grèverait lourdement les bénéfices des opérateurs d’ abattage qui seraient alors amplement déficitaires… les morceaux qui ne sont donc pas consommés par les mahométans sont donc fourgués aux Blancs judéo-chrétiens… y compris aux agnostiques et aux athées au demeurant ! Ce qui les conduit tous à financer personnellement à leur insu -même de leur plein gré ce bon gré mal gré- et les mosquées et l’ armement des mahométans !
Certains -les mêmes !- objecteront qu’ il s’ agit là d’ une vénielle égratignure à la laïcité républicaine sur laquelle il convient de fermer les yeux en raison de prétendus nécessaires accommodements raisonnables… qu’ ils se détrompent aussi car la laïcité républicaine est en fait l’ allahicité bien comprise ! En effet, les abattoirs pratiquant le hallal, en fait l’ immense majorité car ceux restant à la pratique de l’ étourdissement et de la mort immédiate se font de plus en plus rares chaque jour dans le royaume du Fils aîné de l’ Eglise mis en coupe réglée par la république véritable parti de l’ étranger, n’ abattent pas en hallal que les bêtes destinées aux mahométans mais abattent en hallal toutes les bêtes y transitant, y compris celles destinées aux non-mahométans : en effet, pour respecter les normes sanitaires de l’ abattage traditionnel avec étourdissement et mort immédiate, il faudrait désinfecter toute la chaîne d’ abattage après l’ abattage hallal ce qui serait d’ un coût financier faramineux… de plus, les sacrificateurs certifiés par les mosquées s’ y opposeraient au nom de la pureté de l’ abattage hallalisé et pour augmenter la collecte de l’ impôt hallal dont bénéficient les mosquées et le jihad dont l’ inénarrable cazevide affirme, toute honte bue, que le prôner n’ est pas un délit même au prix de la décapitation d’ un chef d’ entreprise, d’ un vol massif d’ explosifs dans un arsenal militaire de Miramas et de l’ utilisation d’ une faible partie de ces explosifs dans l’ explosion de plusieurs cuves d’ une usine Seveso LyondellBasel à quelques dizaines de kms sur l’ étang de Berre ! Afin donc d’ éviter ces coûts financiers de mise aux normes de l’ abattage traditionnel ainsi que les foudres des services vétérinaires sommés de passer sous les fourches caudines en regardant ailleurs par le détournement de la tête et en fermant les yeux voire les narines, toutes les bêtes sont alors abattues en mode hallalique y compris celles entièrement destinées aux non-mahométans ainsi rançonnés au profit des mahométans et de leurs mosquées comme de leurs arsenaux clandestins. Tout ceci explique pourquoi il n’ existe aucun traçage relatif au mode d’ abattage qu’ il soit traditionnel ou hallal car il faut à tout prix fourguer le hallal aux non-mahométans tout en donnant entièrement satisfaction aux mahométans !Comme le démontre fort bien le docteur vétérinaire Alain de PERETTI, l’ abatage hallal fait énormément baisser la qualité des viandes ainsi débitées en sus d’ escroquer les consommateurs non-mahométans. Ainsi donc, aux enjeux politiques et financiers, il s’ ajoute aussi des enjeux sanitaires conditionnant la santé publique à laquelle l’ abattage hallal porte gravement atteinte. Il est donc logique que les prix de la viande soient orientés à la baisse en raison de cette perte de qualité or, dans l’ actuel ciircuit de la viande, la baisse des prix ne peut être pratiquée qu’ à l’ encontre des producteurs qui n’ ont aucune prise après la production car abattoirs et enseignes de la distribution préservent leurs marges et les confortent malgré tout. La baisse de prix est d’ autant plus forte que les consommateurs non-mahométans n’ accordent plus de confiance dès qu’ ils constatent la réalité de la baisse de qualité en raison de l’ abattage hallal dont on se rend très facilement compte par la rareté du sang restant dans les viandes en cause et leur texture d’ autant plus sèche et désagréable alors même que les risques sanitaires encourus augmentent d’ autant plus que, si le mode de préparation de la viande dans la cuisine arabe impose des cuissons très longues par mijotage, le mode de préparation de la viande dans la cuisine occidentale et d’ autant plus moderne réduit la saisie à un très court instant du fait notre goût pour la viande saignante bleue piu juste à point : toutes les bactéries demeurent donc actives au lieu d’ être brûlées. Actuellement, nous allons droit à une crise sanitaire majeure et frappant prioritairement nos personnes âgées et les jeunes enfants sans défenses immunitaires sans que les autres adultes soient à l’ abri de nombreuses maladies contagieuses pour autant. La baisse de qualité entraîne la mévente d’ autant plus que le pouvoir d’ achat des Français est aussi orienté à la baisse. Ceci sans omettre la très forte augmentation de l’ IMC (Indice de Masse Corporelle) due aux difficultés de digestion, voire aux contaminations bactériologiques… en clair l’ obésité et les maladies gastriques… or le seul coût annuel de l’ obésité s’ élève à plus de 54 milliards d’ euros en France. Et cette obésité n’ est qu’ un simple dommage collatéral auquel il faut ajouter des pertes de productivité engendrées par la consommation hallal du fait d’ endormissements fréquents après ingestion générant donc d’ innombrables heures de non-travail en sus de celles consacrées à la coranerie et ceci sans compter les très nombreuses et nauséabondes flatulences que le hallal impose à ses adeptes évacuant ainsi force Co2 et autres gaz à effets de serre et dont les verts écologistes proimmigrationnistes et proclandestins ne se soucient guère fort curieusement… mais il y a là des visées clientélistes électoralistes très républicaines… générant l’ herpès !
Alors, confrontés aux réalités et soucieux des terroirs français longuement façonnés selon le dessein de Dieu, les éleveurs français veulent obtenir une forte hausse des prix à la production car, à juste titre, ils veulent vivre décemment de leur travail et non pas être des assistés à coups d’ aides sur impôts payés par les cons tribuables français ainsi exclus de la consommation de la viande de qualité du fait des multiples réductions de leur pouvoir d’ achat dues aux marges considérables des abattoirs et des enseignes de la distribution comme au scélérat impôt hallal. Au demeurant, les éleveurs français participent énormément et bénévolement à l’ entretien des espaces naturels qui font la richesse intrinsèque et indépassable de la France : à ce titre, ils devraient être rémunérés en compensation de cette lourde charge qui profite à tous les Français et la moindre des choses est qu’ ils soient exemptés de tous impôts directs et indirects et de toutes taxes. Par ailleurs, outre qu’ ils n’ auraient jamais dû accepter de baisser leurs prix et donc leurs marges jusqu’ à les faire disparaître et ce au prix du chômage et de l’ esclavage moderne, ils doivent refuser de livrer leurs bêtes aux abattoirs hallal et ils doivent exiger à la fois le traçage de l’ abattage traditionnel de leurs bêtes dans tous leurs morceaux ainsi que le traçage de l’ abattage hallal des bêtes dans tous leurs morceaux afin d’ assurer une parfaite et sincère information des consommateurs qui retrouveraient ainsi confiance tant dans les producteurs et leurs produits qu’ à l’ égard des intermédiaires. Les éleveurs français doivent cesser toute coallahboration et participer au combat contre la mahométisation de la France et des Français. Au demeurant, les Français judéo-chrétiens constituent toujours l’ essentiel des consommateurs de viande et ce malgré les plus de 15 millions de mahométans occupant le Pré Carré. Enfin, l’ Etat et les collectivités publiques doivent être contraintes à n’ acheter que des produits 100 % français directement aux seuls producteurs français sous peine de lourdes condamnations pour coallahboration et participation à la mahométisation.
Il appartient aussi aux consommateurs d’ être responsables et de devenir même des consommacteurs vérifiant les étiquettes et les décryptant, exigeant une information claire, complète, objective, précise et sincère et surtout n’ hésitant pas à boycotter tout ce qui est hallal combattant énergiquement et sans relâche contre la coallahboration et la mahométisation de la France avec tous les authentiques Français. Y compris à boycotter tous les produits de l’ entreprise traître labeyrie par exemple qui se targue de fabriquer du foie gras hallal ce qui est une énorme aberration, voire une hérésie et un outrage incommensurable et impardonnable à la gastronomie française justifiant le peloton d’ exécution pour tous ses dirigeants et commerciaux.
Au demeurant, il existe déjà de très nombreux éleveurs français, de bovins et d’ ovins principalement, qui intègrent l’ abattage, la découpe, la composition de lots de différents morceaux de viande de poids variables en fonction des familles clientes et la distribution directe par points sectoriels aux familles clientes inscrites et ce à intervalles réguliers et libres : la traçabilité est ainsi parfaite du producteur au consommateur grâce à ce circuit ultracourt direct avec la garantie d’ une très haute qualité aux prix les plus justes tant pour les producteurs que pour les consommateurs, les producteurs bénéficiant ainsi de prix bien plus élevés rémunérant correctement leur travail et la plus value apportée et les consommateurs bénéficiant malgré tout de prix bien plus bas leur permettant de bien mieux s’ alimenter à moindre coût. Nombreux sont les producteurs et les consommateurs à entrer en contact sur le réseau d’ entraide catholique traditionaliste MISSA accessible sur http://www.missa.fr dans toutes les provinces de France et de Navarre.
Chacun aura remarqué que les dommages subis par les éleveurs du fait des loups et des ours n’ a pas été évoqué ici et ce pour trois raisons. D’ abord, parce que ces dommages créés par une centaine d’ ours et un millier de loups pour impressionnants qu’ ils apparaissent sur l’ instant sont en fait très limités tant eu égard au nombre de prédateurs qu’ en regard de l’ importance des troupeaux concernés. Ensuite, il est très aisé pour les éleveurs de renforcer le nombre de chiens, notamment patous, en protection des troupeaux et en affectant les bergers et les pâtres nécessaires à ces troupeaux, ce qui réduira considérablement le chômage structurel ce qui augmentera le pouvoir d’ achat et donc de consommer des viandes de qualité. Enfin, même si les éleveurs n’ ont pas vocation à nourrir exclusivement et intégralement les lupidés et les ursidés, les bêtes qu’ ils perdent du fait des attaques de leurs troupeaux par ces derniers leur sont entièrement payées à un prix intéressant et anticipé avant croissance et vente aux abattoirs par les associations environnementales subventionnées par les directions départementales de l’ Agriculture devenues directions départementales des territoires et cette vente vente anticipée génère une utile trésorerie rapidement acquise. Ainsi, les éleveurs ne visent nullement en réalité loups et ours dans leurs réclamations mais les loups et les ours sont les catalyseurs de leur vif mécontentement amplement justifié et de leur réel désespoir face aux énormes charges qui leur sont imposées par l’ état rps, véritable herpès nuisant à la France et à tous les Français, et aux abus d’ entente et de position dominante des groupes d’ abattoirs et des enseignes de la distribution par leurs centrales d’ achat ravageant toute la filière productive de l’ élevage. Les loups et les ours ont l’ énorme mérite de révéler au grand jour tous ces problèmes et de faire jaillir la nécessaire riposte des éleveurs tout en demeurant, loups comme ours, les témoins vivants de l’ immense et incomparable travail d’ entretien des espaces naturels, ruraux et montagnards, par les paysans de France. A titre subsidiaire, loups et ours imposent paradoxalement les droits naturels de chasser et de posséder toutes sortes d’ armes pour tous les Français en général et pour les paysans en particulier, et ce sans aucune obligation de déclaration préalable ni de droit au contrôle par la gueuse. Cela augmenterait considérablement la sécurité de tous les Français et contribuerait à la diminution de la délinquance et de la criminalité comme c’ est le cas aux USA grâce au second amendement à la constitution américaine garantissant le droit de détenir armes et munitions des citoyens américains.
Que ces informations puissent être utiles au plus grand nombre de Français soucieux de leur santé, de leur pouvoir d’ achat et du respect dû à la France royaume du Fils aîné de l’ Eglise et non pas chasse gardée de la république authentique parti de l’ étranger. Tous les Français doivent respecter et soutenir les paysans de France en les privilégiant dans leurs achats, de préférence dans leurs exploitations ou dans leurs propres points de distribution ou encore dans les réseaux auxquels ils participent hors de l’ emprise des enseignes de la distribution et des groupes d’ abattoirs. Tout Français qui se respecte est un paysan soit parce qu’ il travaille au plus près de la terre et qu’ il en vit, soit par un de ses très proches aïeux, tel un grand-père ou une arrière grand-mère, et le respect dû à ses ancêtres étant sacré n’ a pas de limite. Quatre métiers sont nobles par-dessus tous les autres : celui de l’ enseignement (educatores), celui de la terre (labores), celui des armes qui défend la terre des ancêtres (bellitores), et celui du Service de Dieu, la prêtrise (oratores) à qui incombe aussi l’ enseignement et les soins aux malades. La France sans ses paysans perdrait toute son indépendance et serait à la merci de l’ étranger en tout et pour tout comme le souhaitent les républicains, socialistes en particulier, or l’ herpès nous gangrène déjà et détruit davantage la France jour après jour et réduit les Français en esclavage. La croisade de reconquête passe par l’ arrêt de la coallahboration et de la mahométisation de la France et des Français. S’ il est un combat que la Cercle Légitimiste de France entend mener victorieusement, c’ est bien celui de la défense des intérêts des paysans et des Français de France.
Rejoignez le Cercle Légitimiste de France auprès de fcdc@bbox.fr ou par téléphone au 06 04 08 46 36.
Louis Ferdinand Marie Athanase CORTES de CONQUILLA
Cercle Légitimiste de France -
Sarkozy en appelle à toutes les Madeleine du FN
L’ancien Président est de ces grandes gueules hardies et décomplexées qui ne doutent de rien.
Sarkozy attend Madeleine, il est prêt à ramener du lilas, aux deux millions de votes blancs du second tour de la présidentielle de 2012, aux électeurs cocus du FN qui, sensibles au chant des sirènes durant sa campagne électorale, avaient succombé, sûrs de confier leur vote aux intérêts du pays bien-aimé.
À cette Madeleine, auditrice sur RTL qui lui annonçait, tellement déçue de son quinquennat, « avoir rejoint la cohorte » (concernant les électeurs du FN, les médias emploient le terme peu engageant de « cohorte ») des sympathisants FN, Sarkozy sans complexe et ravalant tout orgueil lance un appel. « À ces millions de Madeleine, je veux dire de ne pas suivre la politique du pire », exhorte l’ancien chef de l’État .
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Utilisation de la loi anti-terroriste contre les opposants à la dénaturation du mariage ?
C'est l'idée d'un député britannique, rejoignant les déclarations de Bernard Cazeneuve lors du vote de la loi sur le renseignement :
"Mark Spencer souhaite que les professeurs qui exposent leur position sur le mariage traditionnel tombent sous le coup desExtremism Disruption Orders (EDO), pris par David Cameron et Theresa May au nom de la lutte contre la radication des djihadistes.
Dans sa lettre, Mark Spencer, député de Sherwood dans le Nottinghamshire, se veut rassurant : les professeurs chrétiens seront toujours « parfaitement autorisés » à exprimer leur avis sur le « mariage » homosexuel… mais seulement dans « certaines situations ».
Le député explique exactement ce qu’il préconise : « Les EDO ne vont pas servir à limiter (la liberté d’expression) mais plutôt à la garantir : ce sont ceux qui cherchent à empêcher les autres d’exprimer leurs croyances qui seront visés. Laissez-moi vous donner un exemple, à propos duquel un grand nombre d’électeurs m’ont écrit – le mariage gay dans les écoles. » Le député poursuit en insistant sur le droit des professeurs à exprimer leur position sur le sujet. Il précise en revanche que la loi doit viser les professeurs qui expliqueraient que le « mariage » homosexuel est un « faux » mariage à leurs élèves…"
Le terrorisme LGBT c'est maintenant.
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In Memoriam - Persona Non Grata [FULL ALBUM]
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Comment les musulmans nous mentent - La Taqiya (Sami Aldeeb 11)
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Les migrants mécontents de l’accueil en France
Actuellement, 25.000 d’entre eux sont logés en CADA (centre d’accueil pour demandeurs d’asile), dont le nombre de places a quadruplé en dix ans.
« La nourriture est mauvaise et insuffisante. Tous les jours, nous sommes contraints de frauder parce que le centre ne nous fournit pas de titres de transport. » Les migrants sont mécontents de l’accueil qui leur est réservé en France, comparé à des « conditions de détention ». Et ils le font savoir, grâce au précieux concours de leur comité de soutien La Chapelle en lutte. Mardi, ils ont bloqué l’accès d’un centre Emmaüs près de l’hippodrome de Vincennes, qui les héberge depuis plusieurs mois. Parmi leurs revendications : des tickets de métro, un lave-linge, un rendez-vous à la préfecture sous deux semaines pour les domiciliés et une domiciliation sous dix jours pour les autres. Le soir même, ils avaient obtenu gain de cause.
« On veut juste un toit », réclament les clandestins qui ont investi le lycée désaffecté Guillaume-Budé, dans le 19e arrondissement. « Juste » un toit. Comme si c’était la moindre des choses, comme si ça tombait du ciel. Les millions de Français mal logés, en attente d’un HLM, chômeurs ou en situation précaire, qui ne bénéficient d’aucun passe-droit, apprécieront. « La France mais surtout Paris leur doivent l’hospitalité », assène Bruno Julliard, premier adjoint d’Anne Hidalgo, qui souhaite engager le « dialogue » avec les clandestins et exclut, pour l’heure, toute expulsion. Nul doute que cette complaisance irresponsable, découlant de motivations purement clientélistes, ne manquera pas de générer un vigoureux appel d’air.