Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 26

  • Jacques Bompard : "La censure socialiste est une maladie de l’esprit"

    Jacques Bompard répond à la tentative de censure à son égard initiée par Bruno Le Roux :

    Jacquers_bompard_afp1_01_11"La censure socialiste est une maladie de l’esprit. Mais une maladie fort heureusement contenue : les fièvres de Bruno Le Roux comme l’anxiété de Manuel Valls ne touchent pas les Français. La bien-pensance est une épidémie qui a été contenue par un remède bien simple : le réel. Si aujourd’hui dénoncer le Grand Remplacement, l’implication de l’État dans l’islamisation de notre pays, la participation des frères musulmans au débat public relève du scandale, alors décidément j’assume l’intégralité de mes propos.

    Je comprends parfaitement l’ire du Système, puisque j’ai montré dans ma proposition de résolution sur les liens entre la France et l’Arabie Saoudite combien les collusions liées à Ryad posent question. Qu’ils se rassurent : j’en prépare une autre sur nos relations avec la Turquie d’Erdogan, dont le parti AKP se distingue par son radicalisme.

    S’il se trouvait que Claude Bartelone acceptât d’attenter à mon immunité parlementaire, la Gauche prouverait alors qu’elle nous fait bien retomber dans les heures les plus sombres de l’histoire. J’ai déposé une proposition de loi créant un moratoire sur la construction de mosquées en France. Face au Grand Remplacement, face à l’islamisation forcée, face aux communautarismes, je tiendrai ma place !

    Comme Philippe de Villiers, je ne veux pas que la France devienne la fille aînée de l’Islam, comme Éric Zemmour je ne veux plus du Suicide Français.

    Pardon, amis bien-pensants, mais l’Histoire avance, et le vrai monde est de retour !"

    Philippe Carhon

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les médias français sont aux ordres... ou fermés !

    Aujourd'hui 15 octobre 2015, deux informations concomitantes nous plongent dans le monde merveilleux du social-facisme.

    Une décision historique vient d'être prise hier par le CSA : Il a décidé de retirer son autorisation de diffusion à la chaîne Numéro 23 à partir du 30 juin 2016.

    Pour quel motif ? Cette chaîne a-t-elle fait l'objet d'une condamnation en justice ? Que nenni. A-t-elle contrevenu à la loi sur l'audio-visuel ? Pas le moins du monde. A-t-elle porté atteinte aux intérêts supérieurs de l'Etat. Peut-être bien....

    La chaîne a commis une erreur majeure, elle s'est crue en démocratie, elle s'est crue dans un pays libre où se développe la libre entreprise... Erreur !

     

    Numéro 23 a fait entrer à son capital fin 2013 le groupe russe de télévision UTH à hauteur de 15 % ! Un groupe russe actionnaire d'une TV française, vous imaginez le scandale au moment où Hollandouille 1ier fait perdre des centaines de millions à la France en trahissant sa parole dans l'affaire des bateaux « Mistral ». Un groupe russe actionnaire d'une TV française au moment où Poutine ridiculise la position française dans l'affaire de la Syrie ! Un groupe russe actionnaire d'une TV française au moment où Poutine apparaît comme le seul défenseur de la culture européenne face au péril islamique ! Crime de lèse-majesté.

    Pour la première fois, la CSA, dont d'aucuns vous diront qu'il est « indépendant » alors que la seule indépendance de ce comité aux ordres du gouvernement n'existe que que vis à vis de la justice et de la loi, suspend l'autorisation de diffusion de la chaîne. Le prétexte (car il faut tout de même un prétexte...) ? L'existence d'un pacte d’actionnaires qui aurait (selon le CSA) prévu une « cession rapide » de la chaîne. Or celle-ci se trouvait encore dans la période d’interdiction de revente, qui est de deux ans et demi après son démarrage.

    Ce n'est pourtant qu'après cette période que le groupe « NextRadioTV » d'Alain Weill a déposé une offre de rachat.

    Voilà qui se permet de critiquer la gestion des médias audiovisuels en Russie ! Une instance politique composée de membres désignés par le pouvoir peuvent décider de la vie et de la mort d'une chaîne de TV, de qui peut et de qui ne peut pas être actionnaire d'une chaîne de télévision en France.... Vive la liberté d'expression ! Vive l’État de droit !

    Toujours dans le même secteur, la télévision, qui décidément continue, malgré l'existence désormais de bien d'autres médias, à faire fantasmer les tenants du pouvoir, voici que Fleur Pellerin, ministre de la Culture, a décidé de frapper un grand coup contre Vincent Bolloré. Imaginez ! Un milliardaire blanc, catholique, Breton, hétérosexuel et accessoirement ami de l'ancien Président de la république s'empare du temple audiovisuel de la boboïtude.... Tout fout le camp, camarade !

    Après s'être autoproclamée "garante" du pluralisme des idées et de l'indépendance des rédactions (qu'elle commence par s'occuper de l'indépendance des rédactions de l'empire audiovisuel d’État) parce que le nouveau patron serait intervenu dans la déprogrammation de deux reportages politiquement engagés sur Canal+, voici que désormais elle veut « élargir le statut de lanceur d'alertes" au "monde des médias".

    Ce fameux statut de « lanceur d'alerte » permet aux salariés d'être protégés lorsqu'ils dénoncent « certaines pratiques » de leur entreprise. Encore une belle démonstration de la manière dont les socialo-facistes savent pervertir les meilleures idées. Le statut de « lanceur d'alerte » ne concernait, jusqu'à aujourd'hui, que les « pratiques délictueuses », c'est à dire celles qui sont contraires à la loi.

    Désormais, notre ministre socialiste, en attendant probablement la ré-instauration des soviets, se sert de cet outil pour « appeler les travailleurs à la délation idéologique ».

    Vive la liberté d'expression ! Vive l’État de droit !

    TDK édite entre autres le site d'informations économiques "MaVieMonArgent"

    http://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/les-medias-francais-sont-aux-173011

  • Plaidoyer pour le rétablissement de la peine de mort

    Le 15 octobre 2015, un petit garçon d’âge pré-pubère a été poignardé par un psychotique dans une cité lorraine. Au-delà de l’actualité et des réactions de colère & d’indignations qu’elle génère, il convient de réfléchir à un grave problème de société pour lequel le « peuple souverain » n’a jamais été consulté : l’invraisemblable stupidité de l’abolition de la peine de mort.

    Un médecin de ma génération (né en 1949, je suis entré dans les hôpitaux vingt ans plus tard comme externe, pour les quitter, en 2011), il est devenu monnaie courante de voir sortir d’hôpital psychiatrique des fous dangereux (des psychotiques délirants et/ou agressifs), nantis de l’étiquette : « équilibré ». De fait, à l’heure des antipsychotiques, tout malade chez lequel un diagnostic a été posé suffisamment tôt peut être stabilisé par son traitement… à condition qu’il soit régulièrement pris et c’est là que le bât blesse.

    Le psychotique de forte conscience morale (ou éthique, comme on voudra) prend son traitement, à la fois parce qu’il se sent mieux avec lui que sans, même s’il endure d’inévitables effets secondaires, et parce qu’il ne veut pas ou plus nuire à autrui (ses proches, ses collègues de travail etc.). Le psychopathe, le sociopathe, le psychotique dépourvu de conscience sociale abandonnent vite leur traitement, parce que cela leur plait de terroriser autrui, de faire mal, de blesser physiquement ou moralement. Tous les médecins le savent, mais nul dans le monde merveilleux des politiciens ne demande l’avis des vrais praticiens, pas des médicastres de secte, de parti ou de boudoir.

    De toute antiquité, on admet dans toute civilisation orientée vers le « Bien commun », à la fois la légitime défense de qui est réellement et immédiatement menacé dans sa vie et l’adage « œil pour œil, dent pour dent », ce principe du talion pouvant être généralisé en : vie pour vie.

    On se moque des éjaculations verbales des avocats sur la non-exemplarité de la peine de mort et pour une excellente raison : aucune étude scientifique n’a jamais été réalisée sur le sujet. Bien au contraire, de nombreuses études éthologiques et sociologiques (notamment celles menées sur des jumeaux éduqués séparément) ont démontré l’innéité – pour au moins 80% - des comportements… donc le risque, génétiquement commandé, de la récidive chez des assassins et des violeurs, après leur libération de prison, souvent anticipée pour raison de « bonne conduite ».

    L’ego surdimensionné et les professions de foi de pénalistes vexés par la condamnation à mort d’un de leurs clients (et la mauvaise publicité qu’ils en ont ressentie) ne pèsent rien, absolument rien, en comparaison de vies d’innocents gâchées par des fous criminels, des pervers dangereux (les violeurs-assassins), des grossiums du trafic de stupéfiants, des criminels par fanatisme religieux.

    On se moque d’une « rééducation », en réalité illusoire du fait de la génétique défavorable des assassins, violeurs, fanatiques dangereux, sociopathes etc. La peine de mort a pour but d’éliminer la pire des bêtes féroces : l’homme génétiquement programmé pour assouvir ses pulsions criminelles.

    Il ne faut plus s’intéresser au débat stérile sur l’exemplarité de la peine de mort, ou au dogme, antique mais hautement périlleux pour la société, de l’irresponsabilité des « fous ». Éliminer les grands criminels, c’est une mesure de salubrité publique, soit ce qu’en d’autres temps on eût dénommé une « mesure de Salut public ».

    Docteur Bernard Plouvier

    http://www.voxnr.com/cc/di_varia/EuuVVkZyZZaULgNKSw.shtml

  • «Nous venons en paix» , mais ça va vous coûter cher, les Allemands !

    «Nous venons en paix», c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM !
    Aujourd’hui, petit passage en Allemagne, où nos voisins sont en train de déchanter… même ceux qui se fichent de la perte d’identité de leur pays sont en train de réaliser que la vague migratoire va les taper ou ça fait mal… au porte-monnaie ! Les observateur prévoient des « Hausses d’impôts massives » pour financer les clandestins.

    « 409 000 immigrés supplémentaires » : ce sont les chiffres officiels du gouvernement allemand pour la période comprise entre le 5 septembre et le 15 octobre, soit environ 10 000 nouvelles arrivées par jour. À ce rythme, le seuil du million sera dépassé avant la fin de l’année.

    De plus en plus d’observateurs relèvent que cette gigantesque vague d’immigration sera tout simplement ingérable. L’économiste Bernd Raffelhüschen, professeur de finances publiques à l’université de Fribourg en Brisgau, a ainsi averti que « les systèmes allemands de protection sociale ne sont prêts en aucune façon pour l’immigration de plus d’un million de personnes. Les conséquences seront des hausses d’impôts massives ».

    Le Professeur Raffelhüschen a souligné que l’Allemagne comptait déjà plusieurs centaines de milliers de chômeurs sans qualification. « Il arrive maintenant jusqu’à 1,5 million de personnes supplémentaires, dont environ 70 % sont également sans qualification ». L’économiste doute que la majorité des immigrés puisse être intégrée dans le marché du travail : « Il s’agira plutôt d’une intégration dans les systèmes de protection sociale ». Or le coût en incombera forcément au contribuable. « Il n’y a aucune alternative ».

    Le Professeur Raffelhüschen prévoit en outre, dans les décennies à venir, une forte augmentation de la pauvreté des personnes âgées. « En effet, des personnes qui arrivent en Allemagne à 30 ans n’ont aucune chance de pouvoir cotiser les 45 années requises pour la retraite ». Là encore, la prise en charge des immigrés âgés ne pourra être financée que par l’impôt.

    Autant de conséquences inéluctables que le gouvernement d’Angela Merkel semble pourtant n’avoir pas pu, ou pas voulu, envisager.

    http://fr.novopress.info/

  • Jean-Marie Le Pen invité de Z&N : « Nous sommes en guerre ! Les troupes de cette guerre sont des civils »

    « Il faut procéder à une mobilisation car contrairement à ce que croient beaucoup de Français nous sommes en guerre. C’est une guerre très différente des précédentes qui étaient des guerres militaires. Dans cette guerre les troupes sont civiles. Par conséquent la manière d’agir contre ces assauts est très différente, il faut de l’imagination. »

    (à partir de 45′)

    Source

    http://www.fdesouche.com/660483-jean-marie-le-pen-invite-de-zn-nous-sommes-en-guerre-les-troupes-de-cette-guerre-sont-des-civils

  • Marine Le Pen et le réquisitoire du procureur de Lyon

    C’est avec beaucoup d’étonnement que j’ai pris connaissance du procureur de la République de Lyon sollicitant la relaxe de Marine Le Pen dans le cadre de poursuites exercées par différentes associations de partie civile. Ces dernières reprochaient à la présidente du Front national ses propos comparant les prières de rue à l’Occupation allemande pendant la Seconde Guerre mondiale. Non pas que ces poursuites soient justifiées : mais il est effectivement rare, en la matière, de ne pas voir le ministère public requérir une condamnation en ces temps où la liberté d’expression se réduit comme peau de chagrin.

    Peut-être faut-il y voir une crainte de faire de madame Le Pen une martyre de la liberté d’expression à quelques semaines des régionales et donner l’impression, dans un contexte où les voyous semblent bénéficier de la mansuétude de la justice quand ils ne s’échappent pas carrément lors d’une permission pour abattre ici ou là un policier, que le pouvoir s’acharne par tous les moyens contre les véritables opposants politiques.

    Mais nul ne peut sonder les reins et les cœurs, et il est difficile de savoir ce qui a pu déterminer le procureur à requérir de la sorte. Et au-delà des interprétations subjectives, il existe bien des éléments parfaitement objectifs qui justifient une relaxe de madame Le Pen.

    La première, c’est que nous sommes dans une affaire entre parties. Il n’est pas rare, en la matière, de voir le parquet se désintéresser de l’affaire lorsqu’il n’a pas l’initiative des poursuites et que celles-ci ont été engagées par des particuliers. Mais cela est cependant plus rare en matière de racisme réel ou supposé et, en général, le parquet s’associe aux poursuites des éternels ligues de vertu – LICRA, MRAP, SOS Racismev – qui prétendent dicter aux citoyens les limites admissibles de la liberté d’expression. En l’espèce, l’enjeu politique et juridique était réel et le parquet ne pouvait se permettre de se désintéresser d’une telle affaire.

    Une deuxième explication plausible est que les propos visent la pratique d’une religion controversée – l’islam – qui pose objectivement de réels problèmes. Et quelques mois après le massacre de Charlie Hebdo, dont les dessinateurs ont été assassinés parce qu’ils avaient osé blasphémé le prophète Mahomet, poursuivre madame Le Pen pour des propos relatifs à des pratiques critiquables aurait paru contradictoire. Certes, les praticiens du droit de la presse savent depuis longtemps que le « deux poids deux mesures » trouve régulièrement à s’appliquer. Un ahurissant jugement de la 17e chambre correctionnelle déboutant et condamnant l’AGRIF parce qu’elle avait dénoncé le racisme anti-blanc d’Anne Lauvergeon et de la société L’Oréal en témoigne. Mais en l’espèce, lesdites prières de rue étaient pratiquées en toute illégalité : entrave à la libre circulation, discrimination à l’encontre des femmes puisque celles-ci ne peuvent circuler librement sur cet espace objectivement occupé – les motifs d’interdiction de tels rassemblements étaient nombreux.

    Enfin et surtout, le ministère public a opéré une distinction entre les musulmans et des musulmans. Ces prières sont bien le fait de radicaux prosélytes. Il est donc parfaitement légitime d’exprimer une opinion contradictoire sur une telle pratique. Le fait est que la mouvance salafiste constitue, au sein de l’islam, une composante non négligeable et il doit pouvoir être possible de la critiquer sans s’exposer aux foudres des ligues de vertu.

    Cette distinction, au demeurant, constitue une heureuse nouvelle pour d’autres personnalités poursuivies, et en premier lieu Aymeric Chaupradre, poursuivi également devant la 17e chambre correctionnelle le 16 janvier prochain à la diligence de la LICRA pour une vidéo publiée, pourtant, dans les dépendances du Parlement européen et faisant suite à des débats parlementaires. Dans cette vidéo, le géopolitologue, dans une brillante analyse, rappelait que la France était en guerre avec des musulmans opérant de facto une distinction entre l’islam qu’il qualifiait d’acclimaté et l’islam global. Espérons que le parquet de Paris fera application de la même jurisprudence que ses collègues lyonnais…

    Me Frédéric Pichon

    source : Boulevard Voltaire :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuuVuAEEuuWHbMxMNd.shtml