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  • Face aux attentats islamistes : les 10 mesures prônées par le Bloc Identitaire pour défendre la sécurité et l’identité de la France

    Face aux terribles attentats qui ont durement frappé notre peuple, l’émotion et la compassion légitimes doivent rapidement voir l’action leur succéder.
    Qu’il s’agisse de politique migratoire, de sécurité intérieure, de lutte contre la progression de l’islamisme, ou encore de politique étrangère, le Bloc Identitaire réclame l’application immédiate de 10 mesures d’urgence et de salut public.

    1 – Le gel de l’immigration légale.
    2 – La lutte accrue contre l’immigration illégale et l’expulsion des clandestins.
    3 – Le rétablissement des frontières nationales pour permettre d’empêcher l’entrée de nouveaux djihadistes sur notre sol.
    4 – La fermeture administrative des mosquées radicales.
    5 – Le gel de toute nouvelle construction de mosquées.
    6 – L’interdiction des organisations islamistes (qu’elles soient d’obédience salafiste ou liées aux Frères Musulmans comme l’UOIF).
    7 – L’expulsion de tout étranger lié aux réseaux islamistes dans notre pays.
    8 – L’application ferme de la déchéance ou du retrait de la nationalité française pour tout binational impliqué dans une entreprise djihadiste, et l’interdiction de territoire.
    9 – Un grand plan de désarmement des banlieues et le renforcement des moyens humains et matériels des forces de l’ordre et de l’armée.
    10 – La rupture des liens indécents entretenus par l’État français avec des pays liés au financement du djihadisme.

    Nous sommes bien loin de la politique menée hier par Nicolas Sarkozy, lequel a laissé entrer un million d’immigrés en cinq ans, a invité les islamistes de l’UOIF à la table de la République et a renforcé les liens de la France avec le Qatar. Nous sommes tout aussi loin de la politique menée aujourd’hui par François Hollande, lequel a appuyé les groupes islamistes en Syrie, a ouvert grand notre pays à la déferlante de l’immigration clandestine, et a démontré toute sa faiblesse face à la menace islamiste avec les ridicules épisodes des numéros verts.
    Ceux-là seront jugés durement par l’histoire.
    Seule l’application ferme et décidée de ces 10 mesures peut permettre de défendre l’identité et la sécurité de la France et des Français.

    http://fr.novopress.info/195011/face-aux-attentats-islamistes-les-10-mesures-pronees-bloc-identitaire-defendre-securite-lidentite-france/

  • JT du Lundi 16 Novembre 2015 - Edition spéciale attentats du 13 Novembre 2015

  • Un Arrêté du Samedi 14 novembre 2015 autorise l’utilisation d’antidotes injectables contre les neurotoxiques de guerre

    Suivant les dernières informations,l’utilisation de sulfate d’atropine en solution injectable de 40 mg/20 ml vient d’être autorisée en France, cette solution est un antidote aux neurotoxiques organophosphorés. Cela ne signifie pas qu’un risque d’attaque chimique soit imminent, mais que l’état français se prépare à toute éventualité, surtout à l’approche de la COP21. En effet, Manuel Valls a expliqué que cela n’était pas terminé et que d’autres frappes pourraient avoir lieu dans les jours et les semaines à venir. Mais si l’avertissement est lancé, aucune précision n’est donnée sur le type d’attaque à envisager, tout simplement par ce que tous les scénarios seraient donc envisagés. C’est donc par mesure de précaution que cet Arrêté est passé, maintenant, les termes sont relativement techniques, des précisions sont donc les bienvenues dans les commentaires.

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  • Vous reprendrez bien du Padamalgam

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    http://www.oragesdacier.info/

  • La vague migratoire - Orages d'acier - 04/10/2015

  • Valls, qui a inauguré la mosquée radicale de Cergy, doit démissionner

    En 2012, Manuel Valls inaugurait la mosquée de Cergy, mosquée qui publiait surson compte Facebook la photo suivante :

    12187685_910240642347218_4729310435170224857_nLe premier imâm de la Grande Mosquée de Cergy, "intronisé" par Valls, soutient les Frères Musulmans.

    En mai 2015, Marianne réalisait un dossier sur le sujet, sans citer toutefoisl'enquête très approfondie de Joachim Véliocas, qui met en lumière les complicités actives de nombre de politiques, de Sarkozy à Estrosi, en passant par Manuel Valls.

     

    Marie Bethanie

  • Islamoterrorisme : la France n’est plus épargnée

    Les Français sont abasourdis par l’ampleur de la tragédie. Face à cette nouvelle vague d’islamoterrorisme, les slogans formatés et officiels (« je suis Charlie », « l’union nationale », « halte à la barbarie ») vont certainement refleurir pour rassurer l’opinion publique et une probable marche blanche gigantesque sera organisée pour dire non à la haine. Mais allons-nous réellement comprendre ce qui se passe chez nous ?

    Depuis plusieurs années, notre politique est surveillée par les groupes islamistes et djihadistes. Souvenez-vous ; les journalistes français Christian Chesnot et Georges Malbrunot furent pris en otage en Irak dans le seul but premier de dénoncer la loi sur le voile et de demander au gouvernement français de la supprimer. Ce sont les mêmes qui exécutèrent sauvagement le journaliste italien Enzo Baldoni, marié et père de deux enfants, pour que l’Italie retire ses troupes d’Irak. La peur, la menace, le chantage leur assurent un large champ d’action. La vie humaine ne compte pas à leurs yeux.

    Les « Français » musulmans, qui s’engagent dans ce combat, sont capables de commettre les pires actes qu’il soit. Richard Robert, alias Abou Abderrahmane, originaire du Chambon-Feugerolles dans la Loire, participa activement aux attentats de Casablanca. Redouane El Hakim, provenant de Paris, trouva la mort dans un faubourg d’Irak en combattant les Américains.
    Au début 2005, trois autres français furent capturés à Faludja. Lors de la même année, deux Parisiens, Abdelhalim Badjdoudj et Idris Bazis, décédèrent en commettant des attaques suicides en Irak. Ces expériences malheureuses attirent autant de respect que de crainte chez les jeunes des cités. Ces exemples servent à édifier des légendes. Safé Bourada, ex-éducateur et ancien militant socialiste de la région parisienne ayant épousé la cause islamiste, confessa aux enquêteurs qui l’interpellèrent dans les Yvelines : « Le sens de l’islam est de s’appliquer à la terre entière. Nous désirons être acteurs de cette victoire, participer à cette œuvre d’islamisation de la planète. » Selon un éducateur en poste à Toulouse, certains jeunes comptabilisaient même « le nombre de morts américains jour après jour » et prennent pour modèle et référence les kamikazes.

    Il n’y a pas d’âge pour mourir au nom de l’islam.
    Un jeune Français d’origine malienne est allé se faire tuer, à 14 ans, aux côtés des terroristes qui ensanglantent l’Irak. De son côté, Zacarias Moussaoui, jugé aux États-Unis, dans le cadre des attentats du 11 septembre 2001, est devenu, par son entêtement à se revendiquer d’Al-Qaïda, un symbole à lui tout seul. Une cellule de recrutement, liée aux « filières irakiennes », avait déjà été démantelée en 2006 à Montpellier et démontre que ce fléau touche tous les milieux et toutes les classes sociales.
    Dans l’Hérault, ce sont des élèves ingénieurs, au-dessus de tout soupçon, provenant de milieux aisés parfaitement intégrer, à être candidats au djihad. Au contraire du communisme, l’islamisme transgresse les différences entre les classes sociales et rassemblent tous ces combattants sous l’étendard vert de l’islam. Dans un article paru dans le Géo du mois de janvier 2008, Lesly Joseph, jeune pasteur évangéliste, vivant et travaillant à Argenteuil, dans le 9-3, témoignait : « La France est la fille aînée de l’Église. Mais du point de vue évangélique, c’est un tiers-monde spirituel, une terre de mission » et il mesurait « chaque jour l’influence grandissante des fondamentalistes musulmans, au sein des quartiers. »

    La guerre au Mali du soldat Hollande, suivie par notre politique calamiteuse au Proche Orient, confirme malheureusement ce constat d’échec du bien vivre-Ensemble. Aux côtés des islamistes, des « Français » combattent notre armée en Afrique, en Irak et en Syrie. Notre jeunesse ainsi que l’avenir de notre pays sont sacrifiés au nom de l’utopie multiculturelle, de notre bonne conscience, obéissant aveuglément à sa politique de l’autruche ; construite sur les cendres des valeurs occidentales.
    Selon les renseignements français, il y aurait près de 2000 djihadistes français. Combien seront-ils demain ? Nous sommes en droit de nous poser cette question puisque le nombre ne cesse d’augmenter. La France ne sera plus épargnée par ce problème, car nos politiques ont tout fait pour que l’islamisme le plus dur s’installe solidement chez nous. Alors que Manuel Valls n’avait pas d’autre souci que de faire battre le Front National aux prochaines élections régionales, les attentats tragiques de ce week-end à Paris sont là pour nous rappeler tous nos échecs et nos mensonges.

    Vincent Revel

    http://fr.novopress.info/194949/islamoterrorisme-la-france-nest-plus-epargnee/#more-194949

  • Retour à deux "blocs" après 2017 : quand Valls et Le Pen sont d'accord

    À l'approche des régionales, Manuel Valls n'exclut plus la thèse d'un rapprochement droite-gauche pour éviter une victoire de Marine Le Pen.

    Après un quinquennat marqué par le tripartisme, un retour à deux blocs ? Manuel Valls et Marine Le Pen partagent ce pronostic stratégique sur l'après-2017 : affrontement des "progressistes" contre les "réactionnaires" pour le premier, de l'"UMPS" contre les "patriotes" pour la seconde. "Avec un FN à ce niveau-là, il peut y avoir des recompositions", estime-t-on dans l'entourage du Premier ministre. "On ne dit pas que c'est ce qu'on souhaite. Mais qu'il faut s'y préparer ou au moins y réfléchir."

    À l'issue du scrutin de décembre, les régions pourraient se répartir entre PS, "Républicains"-UDI et, pour la première fois, FN, concrétisant une tripartition désormais largement reconnue dans l'espace politique en France. Mais ce tripartisme, "on verra combien de temps il durera", a récemment observé Manuel Valls. En 2017, le scrutin majoritaire à deux tours de la présidentielle et des législatives, les deux élections reines de la Ve République, sera un puissant facteur de rebipolarisation.

    "Le message est passé"

    Si Marine Le Pen parvient au second tour de la présidentielle, et y obtient en plus un score élevé, comme le prédisent les sondages, "il est clair qu'aux législatives les choses ne peuvent pas être comme avant", dit-on encore à Matignon. Face à cela, Manuel Valls n'exclut plus la thèse d'un rapprochement droite-gauche. Sa thèse sur les régionales est apparue concrètement cette semaine, en privé d'abord puis assumée publiquement : le Premier ministre n'exclut pas une fusion des listes du PS et des Républicains pour éviter une victoire de Marine Le Pen en Nord-Pas-de-Calais-Picardie.

    Tollé dans son camp. Mais "le message est passé dans les états-majors", juge un proche. Valls distille pourtant depuis plusieurs mois son idée, comme en octobre 2014, défendant "une maison commune des progressistes" - déjà facteur de remous au PS -, ou dans ses discours, avertissant de la montée du FN et décrivant deux blocs, "progressistes" ou "républicains" contre "réactionnaires". Cette "rebipolarisation" éventuelle de la vie politique française fait sans aucun doute le miel de Marine Le Pen. Le discours du FN depuis ses débuts consiste à se poser, avec plus ou moins d'intensité, en seul opposant aux avatars d'un "système" voué aux gémonies, de la "Bande des quatre" à l'"UMPS".

    "Pourquoi pas", répond François Bayrou

    "Merci", a donc simplement lâché le FN dans un communiqué alors que l'ensemble des têtes d'affiche frontistes se réjouissait sur Twitter. Valls, en adoptant sa thèse favorite, "clarifie le débat", juge le parti. Mais stratégiquement, outre Marine Le Pen, les principaux bénéficiaires d'un rapprochement entre centre gauche et centre droit pourraient être ceux qui se trouvent le plus au centre de l'échiquier politique, comme un certain Manuel Valls, qui pourrait ainsi dépasser un PS dont l'aile gauche risque de rechigner à en faire le chef de l'opposition. Avec ces propos, d'ailleurs, Valls écarte l'option stratégique d'une alliance générale à gauche.

    François Bayrou ne s'en plaint pas non plus. Si la fusion des listes n'est "pas réaliste", le maire de Pau a aussi glissé jeudi qu'à "toute personnalité qui est prête à faire bouger les choses" de ce point de vue, il sera "là pour dire pourquoi pas". D'autres au contraire flairent le piège politique, comme le souverainiste Nicolas Dupont-Aignan, qui pourfend le "choix réducteur entre d'un côté le système politique PS-Républicains et de l'autre le FN", qui l'obligerait à se rallier à l'un ou à l'autre. Chez Les Républicains, surtout, des candidats aux régionales aux ténors, à de rares exceptions près, on balaie tout rapprochement pour décembre.

    Quant à l'idée d'une présidentielle 2017 qui se résumerait au second tour à un affrontement entre un bloc centré sur le PS et un bloc autour de Marine Le Pen, c'est naturellement le parti de Nicolas Sarkozy qui aurait le plus à y perdre : "Un duel Hollande-Le Pen ? On explose", s'inquiète un ténor Républicain. "Une partie rejoindrait Le Pen. C'est un scénario catastrophe, il vaut mieux ne pas y penser !"
    source

    Afp via Le Point ::ien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuuZuFpuZphUNOxPZS.shtml