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« Nous venons en paix », mais avec nous, mieux vaut des mosquées que des bonshommes de neige !
« Nous venons en paix », c’est notre chronique de choses vues sur le web et les réseaux sociaux à propos de nos chers « migrants » / « réfugiés » / Bisounours… une petite pastille de vérité dans un océan de propagande aux bons sentiments… mais chut… PADAMALGAM ! Aujourd’hui, la vague de froid en Grande-Bretagne a des conséquences inattendues : elle nous apprend que les bonshommes de neige, c’est haram. Petits anglais, cessez donc de faire ces bonshommes blasphématoires pour l’islam !
Avec la vague glaciale qui vient de s’abattre sur l’est de la Grande-Bretagne, avec des températures atteignant — 12°, les petits Anglais s’amusent dans la neige comme ici à Bradford.
Cependant les mosquées remplacent maintenant les traditionnels bonshommes de neige, respectant ainsi la fatwa lancée en 2015 par cet érudit religieux d’Arabie Saoudite contre les bonshommes de neige, affirmant que cette pratique n’est pas acceptable pour l’Islam.Personne ne doit construire des bonshommes de neige ou des représentations d’animaux, a déclaré Mohammad Saleh Al Minjed. Mais faire des constructions en neige des choses sans vie, comme les navires, les fruits et les bâtiments, est acceptable.
Sources : Telegraph /Daily Mail
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Le développement économique : mission essentielle des régions - Programme économique du FN #06
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Le numéro anniversaire de Charlie : un acte de soumission
Qu’importe que le numéro spécial anniversaire de l’attentat de Charlie, tiré à un million d’exemplaires, ne se soit pas vendu aussi bien qu’on l’a dit. L’important est qu’il constitue non point un acte de liberté mais, au contraire, de soumission à l’islam radical qui avait frappé l’hebdomadaire. Soumission qui se dit précisément « islam ». L’attentat a été commis par des islamistes et des islamistes seuls, mais pas d’amalgame ! Le numéro s’en prend au Dieu des chrétiens et lui seul, comme si c’était les chrétiens qui étaient responsables de l’attentat contre Charlie.
Sauf le respect que nous devons aux victimes du 7 janvier, qui ne sont plus là pour donner leur avis (on aurait aimé connaître celui de Charb), c’est bien ainsi qu’il faut décrypter le dessin de couverture.
Au premier abord, ce sont , au travers de ce vieux barbu familier, désigné comme l’assassin qui « court toujours », les trois religions monothéistes qui sont, ensemble, mises en cause. C’est le Dieu unique qui est coupable des attentats terroristes (sans doute l’était-il aussi des 40 millions de victimes de Staline et des 60 millions de Mao Tsé-toung, éliminées au nom d’une idéologie athée ?).
Il est vrai que les trois religions du Livre, comme on dit, se méfient de la représentation de Dieu. Donc, en un sens, ce dessin ne vise personne. Mais ce Dieu assassin porte derrière la tête le triangle qui signifie la Trinité : il ne peut donc être que celui du Nouveau Testament.
On dira que les Français ignorent ces détails et que, d’ailleurs, ils s’en moquent. Peut-être, mais les islamistes, eux, ne les ignorent pas. Les musulmans abhorrent la Trinité : le Coran n’a pas de mots assez durs pour dénoncer les « associateurs », comme il appelle ceux qui y croient. Et ils auront parfaitement compris, à ce signe discret, que cette caricature ne les vise pas.
Ils auront compris, en même temps, qu’on a eu le souci de les ménager et que, donc, ils font désormais assez peur pour dissuader les attaques frontales. En ce sens, ils ont réussi leur coup du 7 janvier dernier. Les journalistes de Charlie ont-ils compris ce qu’ils faisaient ? À moins de les croire complètement incultes (ce qu’il ne faut pas exclure), bien sûr. Courageux mais pas téméraires, ils ne s’en prennent désormais plus frontalement aux musulmans. Comme ils sont aussi très prudents avec le judaïsme, leur seule cible est désormais la religion chrétienne.
Le message est clair: nous ne nous en prendrons plus à vous directement, nous ne nous en prendrons qu’à ces braves bêtes de chrétiens: avec eux, nous ne risquons rien.
Messieurs les assassins du 7 janvier 2015, vous avez atteint votre objectif. Bravo !Roland Hureaux
Boulevard Voltaire :: lien
http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EuVFpEZFFVZYIENImH.shtml
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ZOOM - La petite histoire des animaux à l'échafaud
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Dominique Venner, Le blanc soleil des vaincus
Le livre était devenu introuvable. Il avait été publié en 1975. Via Romana le réédite donc en 2015, ce qui est fort heureux. Le bouquin vaut en effet le détour !
La Guerre de Sécession (que les Américains appellent très sobrement « Civil War ») a toujours occupé une place de choix au sein de nos mouvances. Le Sud mythifié est en effet l'incarnation de nombres de nos rêves. L'esprit de fronde et d'indépendance, le mépris de l'argent et des affaires, les femmes vénérées et courtisées, les planteurs galants à égalité avec les plus humbles fermiers. Le roi coton. La douceur de vivre. Le soleil.
La préface d'Alain de Benoist est une excellente introduction au livre. Ce dernier révèle sa maîtrise du sujet et apporte des éléments forts pertinents.
Cet ouvrage est, on peut le dire, polymorphe. Il s'agit avant tout d'un essai historique. Néanmoins Venner sait, à travers sa plume, rendre les faits et les personnages étonnamment palpables. Le style est concis, net, mais malgré tout très vivant. Des documents en annexe viennent apporter du relief au sujet.
Le tableau est exhaustif. Venner traite non seulement des opérations militaires stricto sensu, et avec brio (on reconnaît la patte de l'ancien militaire et du spécialiste des armes), mais il explore aussi les racines profondes de cette guerre, ses causes secrètes et enfouies (ici, c'est l'historien qui parle).
Les amateurs de géographie et d'histoire politique y trouveront très largement leur compte. Moi-même, qui ai beaucoup lu sur ce conflit, plus particulièrement dans le domaine purement militaire, ai été littéralement bluffé par la maîtrise de Venner. Les opérations, les hommes, les équipements, les communications, les récits de combats, les progrès techniques, etc. Tout y passe, de manière sobre et claire. C'est un sans fautes.
Le récit est partial, on ne peut le nier, et c'est à travers le prisme de Venner que nous découvrons l'époque et les hommes. On reconnaît ici une œuvre très personnelle. L'auteur a de toute évidence mis beaucoup de cœur et de travail à l'ouvrage. Le rédacteur met en scène avec brio les efforts désespérés de ce « petit peuple » du Sud luttant pour ses libertés et sa souveraineté.
Il y a beaucoup à dire sur ce conflit. C'est une guerre profondément américaine de par ses causes et ses conséquences. S'intéresser à la « Civil War » c'est plonger au cœur de l'Amérique, de ses origines jusqu'à aujourd'hui. Avec la Crimée (1853-1856), la guerre de 1870, la guerre russo-japonaise (1904-1905) et la guerre des Boers (1899-1902), la « Civil War » laisse entrevoir les futurs horreurs de la guerre industrielle. La guerre de Sécession est, d'un point de vue militaire, l'annonce de la Grande Guerre.
Jacques Thomas / C.N.C.
http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Femmes enceintes : le guide intégral des aides
Proposé par l'Alliance Vita, ce guide tombe à pic à l'heure où le gouvernement encourage l'avortement de masse :
"Jesuisenceinteleguide.org est édité et animé par Alliance VITA et son service d’aide et d’écoute SOS Bébé. Il s’appuie sur notre expérience et notre travail sur le terrain depuis de longues années. Il rassemble en un site unique toutes les aides, les droits et les démarches à entreprendre pour les femmes enceintes. Ces informations sont souvent éparses, certaines sont difficiles à trouver, parfois méconnues. Il est destiné aux femmes enceintes, spécialement à celles qui rencontrent des difficultés, et aussi aux professionnels qui les accompagnent (travailleurs sociaux, médecins, associations…)"
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Quand les « Décodeurs » s’en prennent à Marine Le Pen : entre mauvaise foi et bêtise
À nos "décodeurs" avides de décrypter les faits et les discours, on pourrait proposer d'exercer leur sagacité sur le silence embarrassé des féministes officielles après Cologne.
Quand un journal a pour titre Le Figaro et pour devise « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur », il annonce clairement la couleur : il a des idées, qu’il ne s’interdira pas de défendre. En revanche, le nom de « Décodeurs », un blog du Monde, devrait garantir une analyse et une information objectives. Or, le 15 janvier, Pierre Breteau et Samuel Laurent y menaient une attaque en règle contre Marine Le Pen.
L’article, intitulé « Marine Le Pen, une féministe à la mémoire courte », se veut le commentaire d’une tribune publiée par la présidente du Front national sur le site lopinion.fr, où elle réagissait aux agressions commises à Cologne le 31 décembre. Il est, en réalité, une accusation partiale et même mensongère. -
Effondrement du journalisme : la fève de la discorde
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Pas de France apaisée sans natalité française, pas d’Europe sans Européens !
L’opinion, le Lab d’Europe 1, Le Figaro l’ont fait savoir à leurs lecteurs, «un an avant la campagne présidentielle, Marine Le Pen cherche à rendre son image plus consensuelle. En début d’année la présidente du Front National annonçait une diète médiatique, une relation plus directe avec les Français et une communication moins clivante». « Objectif? Conjurer un récent sondage Ifop qui révèle que 67% des Français trouvent Marine Le Pen sectaire. Interrogé la semaine dernière par Ouest France,le sondeur Jérôme Fourquet sentait que c’était clairement à destination des retraités et des CSP + que l’eurodéputée devait se tourner pour améliorer son score. Une analyse partagée par le FN. »Aussi indique Le Figaro, «une stratégie n’a pas tardé à être mise en œuvre ». «Contacté par Le Scan, Florian Philippot a été interrogé sur La France apaisée, le slogan de la nouvelle affiche nationale puisque «à l’inverse, Manuel Valls excite les tensions, il n’incarne pas l’apaisement», «la France apaisée, c’est justement ce que propose la Nation, assure l’eurodéputé. Il précise que de nouvelles thématiques vont être avancées par le FN comme le stress au travail, la refondation de l’entreprise. Nous allons aussi parler davantage de notre politique étrangère, souligner que nous nous sommes toujours opposés à l’engrenage au Moyen-Orient. L’apaisement, c’est aussi ça, insiste-t-il.»
L’apaisement, Florian a raison, c’est effectivement cela, c’est aussi la capacité à dialoguer avec tous, et notamment sur les questions d’orient a rappelé Bruno Gollnisch ces dernières heures. Il est bon de le rappeler, au regard du déferlement de propos haineux contre le FN qui ont été entendus au cours de cette campagne des régionales, que ce soit dans les rangs de la gauche, de l’extrême gauche ou dans ceux de la droite euro-atlantiste.
Dimanche encore, le président de la région PACA, Christian Estrosi, invité d’Europe 1, a tenu un langage de matamore contre l’opposition patriotique : «Le Front National, que j’ai toujours combattu, est l’ennemi à abattre en 2017 (…) je voterai pour celui ou celle qui aura le plus de chances de battre le Front National en 2017». Une façon d’avouer qu’il glisserait un bulletin Hollande dans l’urne en cas de duel entre le président sortant et Marine au second tour.
Plus largement, il est légitime de se demander aussi si les ennemis à abattre ne sont pas plus pas plus largement les peuples européen rétifs au multiculturalisme d’essence mondialiste, idéologie qui imprègne les « élites » bruxelloises.
Certes, après l’émotion suscitée par les agressions contre les femmes allemandes lors de la saint-sylvestre, la pression populaire a contraint la coalition au pouvoir en Allemagne à promettre le rapatriement dans leur pays d’origine des migrants maghrébins indésirables. Mais au delà de cette annonce, l’objectif reste bien de faciliter l’accueil de migrants et autres réfugiés, dont faut-il le rappeler, une nette majorité d’Européens ne veulent pas.
Le ministre allemand des Finances, Wolfgang Schäuble, a ainsi évoqué samedi, dans un entretien accordé au quotidien Süddeutsche Zeitung, l’instauration d’une taxe européenne sur l’essence. Celle-ci aurait pour vocation de donner « les moyens pour une réponse européenne à la question des réfugiés », «si les budgets nationaux ou le budget européen ne suffisent pas… »
« Le problème du contrôle des frontières extérieures de l’Union européenne doit être réglé sur la scène européenne » a déclaré M. Schäuble, qui expliquait déjà, en janvier 2011, depuis le Forum économique mondial(iste) de Davos et en présence de Nicolas Sarkozy, que pour consolider le système européiste, il était indispensable d’aller plus loin dans la fuite en avant, dans l’effacement de la souveraineté des nations européennes
Une disparition de nos souverainetés qui découle aussi de cette peste blanche décrite et prophétisée dés les années 70 par Pierre Chaunu , à savoir l’effacement de la démographie européenne, de souche.
Déjà, selon les prévisions de l’ISTAT, pour la première fois depuis 1919, la population de l’Italie a diminué l’année dernière rapporte Les Echos. « Les naissances sont tombées en 2015 sous le seuil psychologique des 500.000, à peine 400.000 si les deux parents sont italiens. Le taux de fécondité est l’un des plus bas du monde avec 1,37 enfant par femme ». Même l’Allemagne fait « mieux » avec un taux de 1,39…
En France, pays loué pour sa relative bonne santé démographique, soit 1,99 enfant par femme en 2013, ce qui la place dans le peloton de tête européen avec l’ Irlande, l’Islande, Chypre, le Luxembourg , la natalité aurait baissé de près de 3% sur les onze premiers mois de 2015. Plus que la crise économique, il les démographes pointent la baisse du nombre de Françaises en âge de procréer. Malgré la présence d’une immigration extra européenne très massive, il n’y avait plus que 8,6 millions de femmes âgées de 20 à 40 ans, contre prés de neuf millions en 2006.
Les résultats des travaux d’une équipe de démographes américains qui s’est livrée à une analyse comparée de la natalité en Europe et aux Etats-Unis, entre 2000 et 2009 », viennent d’être publiés dans la revue Population and Development Review. Ils sont aussi très éclairants.
Il est rapporté que 17 pays de notre continent enregistrent un nombre de naissances inférieur à celui des décès, notamment en Allemagne, en Italie, en Russie, nations européennes parmi les plus peuplés. La moyenne européenne se situant à 1,55 enfants par femme, taux qui n’assure pas le renouvellement des générations.
Il y a dix ans déjà, alors commissaire européen aux Affaires économiques et monétaires, le socialiste espagnol Joaquin Almunia, rendant compte d’un rapport préparé conjointement par la Commission européenne et le comité de politique économique, déclarait que « sans réformes profondes des systèmes de retraite, le vieillissement de la population européenne entraînera une réduction de moitié des taux de croissance de l’UE d’ici à 2030. »
Il est donc toujours aussi invraisemblable, incompréhensible que ce défi, cette question essentielle, ce drame des berceaux vides, qui menace la pérennité même de notre civilisation n’interpellent pas nos dirigeants et les instances bruxelloises. Technocrates européistes qui ont un avis sur tout, veulent régenter jusqu’aux aspects les plus intimes de nos existences, émettent des directives contraignantes y compris sur le sujets les plus accessoires, mais qui là sont muets et inertes.
Hors de question pour nos «élites» mondialisées de réfléchir aux conditions d’un rebond démographique en Europe en dehors du recours à l’immigration. Encore un domaine ou l’idéologie, le dogmatisme l’emporte sur la raison, le bon sens, le vœu des peuples.
http://gollnisch.com/2016/01/19/pas-de-france-apaisee-sans-natalite-pas-deurope-sans-europeens/