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  • C’était un 17 juillet : mort d’Henri Poincaré, un génie français.

    Ce brillant scientifique français s’est éteint le 17 juillet 1912.
    On le considère généralement comme l’un des derniers grands savants universels, maîtrisant en particulier l’ensemble des branches des mathématiques de son époque.
    Son œuvre, qui précède en réalité les principales découvertes d’Einstein (qui le pilla), concerne principalement les mathématiques pures, la physique et l’astronomie.

    Ci-dessous vous pouvez écouter une émission de Serge de Beketch en 1991, consacrée au pillage de Poincaré par Einstein, avec un spécialiste.

    Source : T. de Chassey

    http://www.contre-info.com/henri-poincare-un-genie-francais

  • La « Caste » réplique au Brexit par Georges FELTIN-TRACOL

    Trois semaines après l’approbation référendaire du Brexit, examinons les dernières péripéties politiciennes survenues outre-Manche au moment où le 10 Downing Street, la résidence officielle du Premier ministre de Sa Gracieuse Majesté, accueille un nouveau locataire en la personne de Theresa May, jusque là secrétaire d’État à l’Intérieur (Home Office). 

    Le résultat du 23 juin 2016 dévoile des Îles Britanniques déchirées par de profondes et durables antagonismes sociaux, géographiques, identitaires et générationnels, conséquences désormais tangibles de trente-cinq ans d’ultra-libéralisme débridé. Plus que polyfracturé, le Royaume d’Élisabeth II est en cours de désunion. C’est dans ce contexte d’instabilité et d’incertitudes, le Premier ministre (Prime Minister) conservateur-libéral David Cameron démissionne, vaincu par le référendum qu’il a organisé et refusant de diriger un gouvernement qui devra négocier avec Bruxelles la sortie de la Grande-Bretagne de l’Union pseudo-européenne. Inhabituelle en Grande-Bretagne même si le Premier ministre écossais (First Minister), Alex Salmond, quitta lui aussi sa fonction après la défaite du référendum sur l’indépendance de l’Écosse en septembre 2014, cette démission peut paraître très gaullienne pour les Français. 

    D’étranges renoncements 

    L’étonnement porte surtout sur le retrait soudain des deux chefs de file du Brexit, le conservateur libéral Boris Johnson et le chef de l’UKIP, Nigel Farage. L’ancien maire mondialiste, cosmopolite et financialiste de Londres, « BoJo », convoitait le poste de son cher « copain » d’université huppée Cameron. Son choix en faveur du Brexit confirmait cette ambition. Il y a renoncé. Lui a-t-on fait comprendre un risque élevé de révélations d’ordre sexuel jetées en pâture à des journaleux friands de rumeurs sordides et croustillantes ? Cette menace n’est pas anodine dans un pays où persiste une sévère mentalité puritaine, féministe et néo-pudibonde. En outre, depuis le décès du présentateur-vedette de la BBC en 2011, Jimmy Savile, la police a révélé une gigantesque affaire de pédophilie touchant l’Establishment… Cependant, Boris Johnson pourrait se révéler en tacticien politique hors pair. devinant très tôt l’apparition de rivalités au sein des Tories ainsi que les haines que sa campagne a suscitées, il ne revendique plus la place vacante par Cameron. Mieux, ce polyglotte madré devient le nouveau ministre des Affaires étrangères de Theresa May. 

    L’abandon de Farage s’expliquerait soit par des menaces physiques plus ou moins implicites de la part de quelques officines euro-atlantistes, soit par des problèmes de santé. La lassitude y serait aussi pour beaucoup. Farage est par ailleurs en conflit ouvert avec le seul député de l’UKIP, Douglas Carswell, pro-immigration extra-européenne et mondialiste ! Dans tous les cas, Johnson et Farage ne sont pas audacieux et ne font guère preuve de verticalité puisqu’ils préfèrent leur confort plutôt que l’esclandre, la contestation et le renversement de la table. 

    D’abord sonnée par un Brexit inattendu, la « Caste » politicienne, l’Establishment, a assez vite riposté. Le départ de Cameron était prévu pour octobre prochain. L’avoir annoncé si tôt ouvrait une longue compétition interne pour la direction du Parti : Michael Gove, Andrea Leadsom et Theresa May présentèrent leur candidature. Les 331 députés Tories désignèrent rapidement les deux candidats que les adhérents devraient ensuite départager. Mais cette procédure semi-démocratique n’arrivera pas à son terme, car Gove, troisième, en fut bien sûr exclu et la deuxième, Leadsom, se retira peu de temps après, laissant May seule en lice, ce qui rendait la consultation inutile. La nomination de Theresa May repose donc sur des manœuvres d’appareil et de coulisse parlementaire sans aucune légitimité populaire. La partitocratie a bien joué. 

    Labour en grand chaos 

    Une situation similaire touche le Parti travailliste (le Labour). Accusé d’avoir mené une campagne molle et inaudible en faveur du maintien, Jeremy Corbyn de nature eurosceptique voit son autorité vivement contestée : la moitié des membres de son cabinet fantôme le quitte, 80 % de ses propres députés adoptent une défiance contre lui et une certaine Angela Eagle, militante LGTB, brigue la direction du parti sans passer par un nouveau vote des adhérents, oubliant que Corbyn fut élu par eux à 59,5 %. 

    En raison de l’imprécision des statuts du Labour, Jeremy Corbyn craint de ne pas pouvoir se représenter, ne disposant pas du parrainage de 20 % des députés et députés européens. Les parlementaires seraient ravis d’éjecter plus tôt que prévu ce partisan agaçant d’une gauche pacifiste et anti-austérité. Qu’il ait été largement adoubé par les militants et qu’il garde auprès d’eux une très grande popularité ne dérangent pas les membres travaillistes du Parlement, ces privilégiés parmi les privilégiés. 

    La crise interne au Labour est plus profonde et plus grave que chez les Tories, car l’affrontement est d’ordre idéologique entre les héritiers du blairisme ultra-libéral, progressiste, sociétaliste et belliciste, et les tenants du Old Labour d’inspiration ouvriériste et syndicaliste. Se dirige-t-on vers une scission qui bouleverserait la scène politique ? Fort de ses 54 élus à Westminster, le SNP (Parti national écossais de centre-gauche pro-européen et cosmopolite) réclame déjà d’être reconnue comme la nouvelle opposition officielle de Sa Gracieuse Majesté ! La recomposition politique passe par une nécessaire décomposition mais celle-ci se trouve dès à présent sous la coupe d’une « Caste » partitocratique qui en maîtrise le processus de bout en bout. Albion n’est toujours pas prête pour une seconde révolution.

    Georges Feltin-Tracol

    http://www.europemaxima.com/

  • Nice : la voix du bon sens

    Quand LCI interroge le "mauvais" témoin sur le drame de Nice, à une heure de grande écoute :

     

    Marie Bethanie

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Dijon : l’imam était proxénète !

    Source : Boulevard Voltaire

    Le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde.

    Il s’agit là d’une vieille blague anticléricale, certes pas très finaude, mais qui peut faire marrer tout le monde, même les copains curés : « La première phrase qu’un flic dit à un pédophile consiste à l’obliger à descendre sa soutane sur ses chaussettes ! » Mondialisation et flux migratoires obligent, l’humour se fait plus fluctuant : les délices de la chair tarifée étant depuis longtemps sans frontières.

    D’où cet imam de Dijon qui vient de se faire poisser dans une vilaine affaire de proxénétisme, à en croire Europe 1. Ce clerc, dont l’identité n’a pas été dévoilée, et dont on ne sait s’il était de tendance libérale ou progressiste, était donc plus porté sur le pain de fesses que les cinq piliers de la foi, même en période de ramadan.

    Certes, être gardien de chèvres pour prostiputes relève du plus vieux métier du monde, et l’islam, même respectueux des cultures et religions ayant précédé son avènement, ne saurait non plus autoriser ces sortes de dérives plus ou moins déviantes. Bon, si l’on résume, le barbu qui louait celui de ses petites protégées officiait dans la capitale de la moutarde ; mais de là à faire commerce de tartes aux poils plus épicées, il y a un pas que même un pied pieux ne saurait franchir de la babouche – ou de la Nike, les chiens d’infidèles, eux aussi, sachant se trouver dans le sens du vent américain dominant.

    Pourtant, les amateurs de la petite entreprise ne pourront que louer l’évident sens du commerce de ce Julot casse-croûte – ou Mouloud kebab –, sachant que le hareng mahométan possédait quelques appartements tournant à plein régime dans la ville d’Amora. Pour tout arranger – la famille, un peu comme la religion, qu’on y croie ou non, demeure une notion forçant immanquablement le respect -, le chéri de ces dames travaillait aussi avec sa fifille, elle-même connue pour monnayer son entrecuisse au premier amant venu disposant d’un brin de liquidités, bancaires comme physiologiques. Bref, une donzelle dont la vertu se réduisait un peu au string minimum.

    Soucieux de son confort, il va de soi que notre maquereau ne roulait pas en Twingo, mais en Porsche Cayenne, lequel véhicule a évidemment été saisi par les autorités judiciaires. Mieux : l’olibrius était aussi aumônier carcéral. C’est-à-dire homme chargé de convaincre ses ouailles de revenir dans le droit chemin ; un peu comme si les époux Balkany ouvraient une école de maintien.

    À cette heure, on n’en sait guère plus, si ce n’est que 80 % de ses donzelles étaient étrangères, principalement issues d’Europe de l’Est et d’Amérique du Sud. Il n’y a donc pas eu de discrimination au faciès. L’honneur républicain est sauf et notre homme, remis en liberté, est aujourd’hui sous contrôle judiciaire. Une heure libre et l’autre pas. C’est le Coran alternatif.

    Nicolas Gauthier

    http://fr.novopress.info/202524/dijon-limam-etait-proxenete/#more-202524

  • A Paris et sur la route du Tour de France, des jeunes Français réagissent

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    A Paris des militants de l'Action française ont brulé des emblèmes islamiques

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    et sur la route du Tour de France des patriotes ont réagi aussi...

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    Sur l'A 20, c'est le Renouveau français

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

  • Marion Maréchal-Le Pen : « Si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est lui qui nous tuera »

    A la suite de l’attentat de Nice, Marion Maréchal-Le Pen, présidente du groupe FN au conseil régional de Provence-Alpes-Côte d’Azur, a effectué une déclaration solennelle. « Si nous ne tuons pas l’islamisme, c’est lui qui nous tuera », affirme-t-elle, avant de livrer un implacable réquisitoire contre ceux qui mènent une politique multiculturelle, devenue « un véritable cauchemar pour les Français ».

     

  • Très grand succès de la 25e Université d'été de Renaissance Catholique

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    "Lancée en 1992, l'Université d'été de Renaissance Catholique a fêté son 25e anniversaire à Saint-Laurent-sur-Sèvre du 14 au 17 juillet en réunissant 500 personnes (la moitié ayant moins de 30 ans) autour du thème "À quoi sert la Culture ? "

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    Ouvertes par une brillante leçon inaugurale de Michel de Jaeghere qui a bien replacé dans les esprits le vrai sens de la Culture qui prépare l'âme à la contemplation du divin, les quatre journées ont vu se succéder des intervenants de renom (Francois-Xavier Bellamy, Axel Rokvam, Laurent Dandrieu, Alain Lanavère entre autres) tandis que de larges moments permettaient aux participants de parcourir le Grand Parc du Puy-du-Fou ou de pèleriner sur la tombe de saint Louis-Marie Grignion de Montfort.
    Après la messe célébrée en présence de l'anneau de sainte Jeanne d'Arc, Philippe de Villiers a conclu ces journées sous le signe de l'Espérance : "Tout va se retourner ! On est tout prêt !" 

    Il a annoncé que le British Museum venait de révéler que l'anneau de Jeanne avait été authentifié par un comité de scientifiques britanniques dès 1955.

    Il a également indiqué le titre de son prochain ouvrage à paraître le 1er octobre : "Les cloches sonneront-elles encore demain ?" Il y décrit le drame de la France déchirée entre un Occident épuisé et un Islam conquérant. Pour sa part il a confié : "Je ne suis pas un migrant, je suis un sédentaire !" Pour lutter contre l'islamisme, il n'y a qu'une solution, c'est d'avoir un antidote, fondé sur l'amour de la "Douce France", pays de la courtoisie, de la littérature, et surtout de naissance et de tradition chrétiennes, tout ce que le consumérisme et le terrorisme veulent annihiler.
    Au lendemain des manifestations contre le mariage pour tous et des débats cherchant mille solutions pour réinvestir les énergies de la jeunesse, Renaissance Catholique, "mouvement de laïcs investi dans la Cité afin d'oeuvrer au rétablissement du règne social du Christ", semble prendre un nouvel essor pour fédérer les initiatives dans la durée, retisser un univers catholique sans sombrer dans l'arène politique."

    Marie Bethanie  http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • L’état d’urgence ? Une très coûteuse fumisterie à la Hollande

    Ce n’est pas le populisme qui menace la France. C’est François Hollande, en refusant de désigner l’islamisme comme notre ennemi absolu.

    Ne sachant pas comment lutter contre les terroristes islamistes, notre bien-aimé Président François Hollande, dit Flanby-le-Mou, avait pris le taureau par les cornes au lendemain des mortelles fusillades du 13 novembre. Il avait déclaré l’état d’urgence, soutenu par l’ensemble de la classe politique qui ne pouvait qu’approuver une telle mesure sauf à passer pour traître à la nation.

    Et le matin du 14 juillet, tout guilleret, il annonçait que l’état d’urgence, cela suffisait. À partir du 26 juillet, la France pouvait retrouver son état normal. Pour un Président normal, c’était une réaction normale, attendue, vu qu’au bout de neuf mois et des millions d’euros plus tard, notre Président s’est aperçu que, l’urgence n’ayant donné que de piètres résultats et épuisé la troupe, il était urgent d’annoncer sa fin. Ce qu’il fit sans que les deux journalistes, faire-valoir de la communication élyséenne, s’en étonnent.

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