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  • Le Bloc Identitaire devient Les Identitaires

    Communiqué officiel

    Chers amis, chers camarades,

    Le réel change à chaque instant. Imperceptiblement apparaissent de nouvelles réalités. Face à cette évolution, il est plusieurs attitudes. La première, assez répandue dans l’espèce humaine, et nous pouvons le constater chaque jour chez nombre de gens de gauche, est de dénier au réel toute réalité, de le doubler, d’une réalité factice mais plus agréable à supporter. C’est, par exemple, le fameux : « oui, il y a peut-être beaucoup de femmes voilées, mais n’oublions pas que beaucoup d’immigrés sont médecins ou scientifiques et tout ce qu’ils nous apportent ».

    Dans le domaine de l’action politique, le réel impose sa loi : la suivre, c’est être en mouvement. Là est la seule condition de l’efficacité.

    Cette condition, le mouvement identitaire s’est attachée à la remplir depuis 2002. D’abord avec les Jeunesses identitaires, puis avec le Bloc Identitaire, venu en renfort, ce même Bloc que nous avons transformé en parti politique en 2009, puis sont venues L’Autre Jeunesse et Génération Identitaire. A chaque fois, les mues répondaient à un impératif de développement dans un contexte différent.

    Depuis quelques années, nous avons cessé toute confrontation électorale avec le Front National. Nous n’avons pas persisté dans une concurrence sans issue. Nous avons taché de nous inscrire dans une complémentarité. Partout, nos militants ont agi là où les militants du FN ne le pouvaient. Du reste, partout, souvent, nous avons agi là où aucun mouvement patriote n’agissait.

    Nous avons imposé nos méthodes, nos slogans, nos combats, dans le paysage médiatique. Nous ne nous sommes jamais contentés de vouloir, toujours nous avons poussé au plus loin notre capacité d’action. Rappelez-vous ! Pour ses seules récentes années, de l’occupation de la mosquée de Poitiers au blocage des ponts de Calais, de la marche des cochons de Lyon aux Assises pour la remigration, partout les Identitaires ont mis le poids de leur courage physique et de leur volonté politique au service de la France et de l’Europe.

    Europe ! Là n’est pas le moindre de nos succès. En Italie, en Suisse, en Autriche, en Tchéquie, en Allemagne, nous avons transmis notre ligne politique, nos méthodes d’actions, créant ainsi des mouvements identitaires locaux.

    Fort de ces succès, à un an d’une échéance présidentielle capitale qui verra peut-être de profonds bouleversements politiques, le mouvement identitaire a décidé de se recomposer.

    Génération Identitaire continuera sa route sous son nom. Fort de ses 2 000 adhérents et de ses 113 000 partisans sur Facebook, il est un des plus importants mouvement de jeunesse de France. Et ce, sans un centime de subventions publiques contrairement à toutes les organisations de jeunesse des grands partis.

    Le Bloc Identitaire est devenu au 1er juillet le mouvement associatif Les Identitaires.

    Les Identitaires sera une centrale d’agitation et de formation. Seule habilitée à décerner un label identitaire, elle sera la rampe de lancement des principales offensives identitaires, qu’elles relèvent de l’agit-prop ou de la pénétration de nos idées dans la société française, les deux étant d’ailleurs intimement liées, l’action de terrain n’étant que la projection d’une pensée, la traduction d’une formule.

    Les Identitaires sera dirigé par 2 directeurs nationaux :

    Jean-David Cattin, 31 ans, économiste d’entreprise, directeur national à la formation.

    Fabrice Robert, 44 ans, chef d’entreprise, directeur national à l’action.

    Né avec le siècle, le mouvement identitaire a changé, change et changera encore. Une seule chose restera immuable. La volonté de ses chefs et de ses militants de mener le combat pour la France et l’Europe quoiqu’il en coûte. Car l’identité est la liberté d’un peuple, et parce que nul ne peut vivre une vie d’homme sans liberté, aucun patriote, aucun identitaire, ne marchera jamais seul tant que nous serons là.

    Vous pouvez compter sur nous. Nous comptons sur vous.

    Les Identitaires

    PS : Tous les adhérents du Bloc Identitaire recevront une carte d’adhérent Les Identitaires avec la même date de validité.

    http://fr.novopress.info/202573/bloc-identitaire-devient-identitaires/

  • Prorogation de l'état d'urgence : les politiques font payer à la nation quarante ans de démission

    L'Assemblée nationale a voté ce matin la prolongation de 6 mois de l'état d'urgence. Le Figarovox interroge le professeur Guillaume Drago, professeur de Droit public à l'Université Panthéon-Assas (Paris II) et directeur du Centre d'études constitutionnelles et politiques, qui estime que nous possédons un arsenal juridique suffisant, mais qu'il manque la volonté de l'appliquer :

    "Derrière le paradoxe de l'état d'urgence, se pose la question de la volonté politique. Les politiques font payer à la nation quarante ans de démission, à la fois éducative et sociale à l'échelle nationale. Ils font également payer à la nation une diplomatie hésitante, qui a conduit la France à des actions erratiques, notamment au Moyen-Orient, et qui a produit les effets en chaîne que nous subissons aujourd'hui. Cet ensemble d'abandons et d'égarements dépasse complètement le paradoxe de l'état d'urgence, qui n'est somme toute qu'une méthodologie primaire. La réponse concrète doit passer par une réponse pénale, qui existe déjà.[...]

    La réponse, ce n'est pas la loi, mais l'action, la détermination et la définition d'une doctrine d'action. Disons-le clairement: tout existe déjà dans le dispositif législatif, comme on l'a vu d'ailleurs avec le dispositif sur la déchéance de nationalité ou l'état d'urgence. Ceux-ci n'avaient pas besoin d'être constitutionnalisés. Mais aujourd'hui, la volonté politique est manifestement faible, elle l'est même intrinsèquement parce qu'elle n'est pas soutenue par une doctrine et qu'elle est affaiblie par un certain nombre de dogmes idéologiques."[...]

    Marie Bethanie http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/web.html

  • Les acquisitions ciblées des informations personnelles

    Une agence d’espionnage ne se contente pas d’écouter tout ce qui se passe sur des câbles et de poster des injonctions judiciaires, elle a aussi vocation à aller chercher des informations qu’elle désire spécifiquement. Parfois, elle attend patiemment que sa proie se mette à sa merci, comme David House, soutien actif du soldat Manning, lorsqu’il a voulu se rendre au Mexique en 2010 : bien qu’il ne représente pas une menace pour la sécurité du pays, tous ses appareils électroniques (ordinateur, téléphone, appareil photo, clef USB) ont été confisqués au passage de la frontière
         A l’autre extrême, le Special Collection Service (SCS), surnommé « Mission impossible », mène depuis ses 75 stations permanentes autour du monde des opérations de surveillance, vol, écoute et cambriolage dans les endroits les plus difficiles : gouvernements, ambassades, centres de communication, réseaux de fibres optiques... C’est lui qui a récemment permis d’espionner le quartier général du Conseil européen et la représentation diplomatique de l’Union européenne aux États-Unis et à l’ONU
         Lorsque Snowden rencontrait ses avocats, il leur demandait de ranger leurs téléphones dans le frigo, car il était bien placé pour savoir que leurs micros pouvaient être déclenchés à distance, de manière indétectable, pour connaître tout ce qui se disait dans la pièce. De même, la webcam intégrée à un ordinateur portable appartenant à un service de renseignement est toujours bloquée par du gros scotch, parce qu’elle aussi peut être déclenchée à distance, sans aucun signe extérieur
         Il est bien difficile d’arrêter une agence motivée : lorsque les États-Unis déterminèrent que Ben Laden était susceptible d’être caché dans une maison d’Abbotabad (Pakistan), le SCS loua un appartement distant d’un mile (1,6 km) depuis lequel ils utilisèrent des lasers pour mesurer les vibrations des fenêtres. Cela leur permit de compter les personnes et de constater que l’une d’elles ne sortait jamais. 
         Ces exemples spectaculaires donnent une idée des capacités de la NSA. Comment se transposent-elles lorsque leurs cibles sont accessibles par un réseau ? Comme pour l’aspiration de données, la NSA est passée à l’échelle industrielle. Sa branche Tailored Access Operations, chargée d’identifier, surveiller et infiltrer les installations, dispose de bibliothèques de programmes lui permettant de pénétrer dans les systèmes courants, notamment des routeurs et des pare-feu (souvent appelés firewalls dans un contexte informatique). Les attaques peuvent être menées sans intervention humaine ou presque, en testant la présence de failles connues, ou de logiciels présentant des backdoors (« portes dérobées ») dont la NSA aurait connaissance, ou encore en essayant de deviner un mot de passe. Dès qu’une faille est trouvée, l’ordinateur attaquant installe une ou plusieurs backdoors sûres, efface discrètement les traces de l’attaque, et installe les logiciels qui rempliront la mission : un keylogger pour enregistrer tout ce que tape un utilisateur, un mouchard pour exfiltrer des données, etc. 
         Pour compléter sa panoplie d’attaque, pour avoir connaissance de nouvelles vulnérabilités dans des logiciels, pour former ses recrues ou pour mener certaines missions à sa place, elle peut compter sur des entreprises spécialisées dans l’intrusion de systèmes, analogues informatiques des sociétés militaires privées (comme Blackwater) dont les Etats-Unis avaient fait grand usage en Irak. Par exemple, HackingTeam vend une suite logicielle baptisée « Système de contrôle à distance Da Vinci : les outils de hacking pour l’interception gouvernementale ». Ou Finfisher, qui avait par exemple équipé l’Egypte de Moubarak. Ou encore Vupen, entreprise française « leader mondial de la recherche sur les vulnérabilités », qui fournit à la NSA depuis le 14 septembre 2012 une analyse en profondeur de chaque nouvelle vulnérabilité connue, donc un moyen d’en tirer le plus grand avantage. Le choix est vaste ; l’an dernier, les salons organisés par ISS World Training (Intelligence Support Systems, « Systèmes d’appui au Renseignement ») avaient réuni 4635 personnes provenant de 110 pays, de l’Afghanistan au Zimbabwe. 41 % représentaient des entreprises spécialisées. 
         Cette automatisation est ce qui a permis à la NSA de mener 61 000 opérations d’intrusion en Chine. L’un des résultats est que la NSA enregistre les métadonnées et les SMS d’un milliard d’abonnés au téléphone portable dans ce pays
         Ce n’est qu’en cas d’échec des méthodes industrielles qu’une attaque est pilotée en direct par des humains, pour les sites les mieux sécurisés. Ils prennent alors soin de se faire passer pour d’autres, notamment des hackers chinois, pour le cas où ils seraient découverts. (La Chine, de son côté, lance aussi beaucoup d’attaques. Lors de son espionnage des vidéoconférences au sein de l’ONU, la NSA s’est aperçue que des Chinois tentaient de faire la même chose au même moment). En 2011, ce sont 231 attaques ciblées que la NSA à menées « à la main »
         Lorsque les « logiciels de guerre » échouent, la NSA sait revenir aux méthodes traditionnelles, comme la copie de disques durs lors d’un raid du SCS ou, plus souvent, l’infiltration d’une organisation ou le retournement d’un de ses membres. 
     
    Sébastien Desreux, Big Mother

  • Marion Maréchal-Le Pen : Pour lutter contre l’islamisme « ils mettent en place des N°verts et des clips contre le racisme »

    Très énergique contre l’islamisme, Marion Maréchal Le Pen réagit suite à la colère des Niçois contre le pouvoir, « des huées très spontanées, massives, très en colère. »  » Prétendre que ces huées auraient été fomentées par le FN c’est ce voiler la face et ne pas prendre la mesure de la terrible colère des Français. »  » Je comprends qu’Emmanuel Valls ne les ait pas apprécier, mais je les trouve légitimes. » « L’état d’urgence c’est une mesure d’appoint, y aura-t-il des mesures plus globales ? Qu’en est-il de « la politique migratoire, carcérale, pénale ? » « suspension de l’espace Schengen » « fermeture des mosquées radicales, plus d’une centaine en France ? » « La réponse en Syrie est bancale, il faudrait que l’objectif de cette opération soit bien défini. » Elle restera inefficace  » si nous ne travaillons pas avec Bachar el-Assad et avec les Russes et si on arrête de financer l’islamisme. » Cela est « à l’origine de la déstabilisation du Moyen-Orient. » « Le vol c’est grave » « Le Marocain qui a frappé dans les Hautes-Alpes aurait du être expulsé depuis longtemps. « Le risque zéro n’existe pas, mais on peut prendre des mesures préventives comme la restriction du droit d’asile. » « Folle politique migratoire d’Angela Merkel. » « Nous avons un véritable prosélytisme islamiste »

    http://www.medias-presse.info/marion-marechal-le-pen-pour-lutter-contre-lislamisme-ils-mettent-en-place-des-nverts-et-des-clips-contre-le-racisme/58271

  • Jean-Marie Le Pen 1988 : "Il a dit la vérité, il doit être exécuté".

  • Centre islamique : le Maire de Lyon veut faire taire Génération Identitaire

    Vous pouvez témoigner votre sympathie à l’égard de ces militants en faisant poliment part de votre colère par téléphone ou par mail.
    Depuis 2009, un projet de construction d’un gigantesque complexe islamique subventionné fait scandale. En juin dernier, les choses s’accélèrent avec notamment le déblocage d’une subvention d’État d’1 million d’euros et le vote de deux subventions identiques par la Mairie et la Métropole de Lyon.

    Ces dernières semaines, les militants de Génération identitaire ont donc mené campagne pour informer les Lyonnais de ce que les socialistes lyonnais comptaient faire avec leurs impôts grâce à la diffusion d’un tract dans toute la ville et en menant des happenings vidéos.

    Le 4 juillet dernier, ils interpellent directement Gérard Collomb à la sortie du conseil municipal, après que celui-ci ait fait voter une subvention d’1 million d’euros.

    Une semaine plus tard, les jeunes militants récidivent en interrompant bruyamment le conseil de la Métropole du Grand Lyon avec une banderole déployée dans le public et en jetant des tracts dans l’hémicycle. Mais ils n’ont pas pu empêcher le vote de la deuxième subvention, d’un même montant.

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