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Le terrorisme est une des « valeurs » du Quatorze juillet
Le terrorisme a encore frappé et, cette fois, en un jour hautement symbolique : le jour de la fête nationale de la république. Si, après cet horrible massacre de Nice, les hommes politiques de ce régime, de droite comme de gauche, n'ont pas compris qu'il ne sert à rien de rappeler sans cesse les "valeurs" républicaines pour intimider les djihadistes, nous aurons la preuve de leur incompétence et de leur aveuglement. Foin des dissertations sur les Droits de l'Homme et la Laïcité : les nouveaux barbares ne comprennent que l'implacable répression. Et si ces discours n'ont pour but que de consoler les rescapés du terrorisme en les rendant fiers d'être du pays ayant inventé ces concepts faussement philosophiques, que nos bavards médiatiques cessent enfin d'ajouter au deuil des familles éprouvées le pire des mensonges !
D'abord, loin de toute fausse éloquence, les quatre-vingt-quatre victimes de la Promenade des Anglais ont besoin des prières de la communauté nationale. Qui donc y a songé ? Dire que ces hommes, ces femmes, ces enfants, sont morts en "héros", leur rendre hommage à longueur de lamentations, organiser des marches blanches, n'est pour leur âme d'aucune utilité : les média nous enivrent depuis le soir de 14 juillet de larmes de crocodiles, alors qu'il serait plus utile pour ces morts et même pour les survivants d'observer de grands moments de recueillement et de se demander s'il n'est pas imprudent de jeter le peuple en masse dans la rue, le soir d'un jour historique marqué par le souvenir de tant de scènes de cannibalisme, pouvant donner des idées à des assassins en puissance...
Le terrorisme a commencé en 1789
Nous savons ce que fut en 1789 le premier Quatorze Juillet où Paris se trouva livré à des agitateurs sans foi ni loi, sans attaches et sans mémoire. Chaque année à la mi-Juillet la république nous fait commémorer le souvenir des assassins de nombreux Invalides et de nombreux Suisses, qui se saisirent du marquis de Launay, gouverneur de la Bastille, le blessèrent, le massacrèrent et le jetèrent au ruisseau, tandis que le "patriote" garçon boucher Desnos, qui « s'y connaissait en viandes », dit Rivarol, lui coupa la tête. Jacques de Flesselles, prévôt des marchands, s'étant porté à la rencontre de ces sauvages ivres de meurtre, connut le même sort.
Ces barbares mirent les têtes sanglantes et les viscères de ces malheureux au bout des piques que l'on escorta jusqu'au Palais Royal : ce fut le premier défilé du Quatorze Juillet ! Et là on mit le feu, le soir, à toutes ces chairs, et on farandola autour : ce fut le premier bal du Quatorze Juillet !
Les jours suivants on continua d'égorger à tour de bras. Bertier de Sauvigny, intendant de Paris, soupçonné de vouloir affamer la capitale, fut massacré, place de l'Hôtel de Ville, devant un grand concours de peuple. Même sort pour son beau-père Foulon de Doué, intendant avisé et vieillard de soixante-quatorze ans, arrêté à Viry-Châtillon et ramené à Paris, pieds nus et un collier de chardons au cou, puis pendu à un réverbère place de Grève ; la corde ayant cassé, on le décapita, puis un soldat arracha le cœur du cadavre et le présenta sur un coussin d'œillets à Bailly, maire de Paris, et au marquis de La Fayette...
La « grande peur »
Ces scènes d'orgie meurtrière ne tardèrent pas à gagner la province où s'installa la Terreur, bien avant 1793. La hiérarchie ne disposant ni de l'indépendance ni de la faculté de protéger, et l'autorité, à quelque échelon que ce fût, n'étant plus exercée par des cadres légitimes, la Grande Peur régnait partout. La Révolution ne fut pas terroriste par suite d'un dérapage en 1792-1793 ; elle portait le terrorisme en elle dès ses débuts car elle voulait forcer la nature, violer l'ordre naturel, anéantir les communautés naturelles... On ne peut s'étonner que les jeunes terroristes d'aujourd'hui essaient de s'inscrire dans cette continuité en massacrant même, et peut-être surtout, le jour de la fête nationale de la république qu'elle engendra.
Il est aujourd'hui de bon ton de dire que le 14 juillet commémore non la prise de la Bastille, mais la Fête de la Fédération du 14 juillet 1790. Mais celle-ci ne renia aucune des exactions commises l'année précédente : au cours d'une cérémonie ridicule où le roi Louis XVI semblait bien être le seul à croire à ce qu'il faisait, on continua d'exalter la Liberté telle que l'avaient gagnée les "vainqueurs" de la Bastille et sur laquelle on voulait aligner toute la population française, au mépris de son histoire et des données naturelles de l'épanouissement des provinces.
L'ivresse de meurtre marqua aussi la seconde "journée" révolutionnaire, celle du 6 octobre 1789, quand le roi Louis XVI et la reine Marie-Antoinette, et leurs deux enfants Marie-Thérèse - Madame Royale -, dix ans, et le dauphin Louis-Charles, quatre ans, furent ramenés de Versailles à Paris. Pierre Gaxotte donne une idée de l'horreur de ce cortège : « D'abord en guise de trophées, les têtes sanglantes des gardes ; puis une cohue de femmes, de brigands, de soldats ivres, débraillés, hurlant, tenant les propos les plus obscènes et faisant les gestes les plus immondes... ; encore des soldats en désordre qui déchargent leurs armes au hasard ». À la suite de quoi, le roi et sa famille furent pris en otage à Paris au Palais des Tuileries, par la Commune de Paris, c'est-à-dire par ce qu'il y avait derrière : les clubs, la franc-maçonnerie, les semeurs patentés de haine...
Tout cela n'était qu'un début : d'autres massacres allaient avoir lieu dans les années 1792-1793. Citons pour mémoire : les noyades de Nantes en juin 1794 où périrent en masses des prêtres et des familles entières, le massacre des Lucs-sur-Boulogne en mars 1794 où les républicains des Colonnes infernales mirent le feu à l'église, faisant mourir des centaines d'hommes, de femmes et d'enfants qui s'y étaient réfugiés, l'extermination de la ville de Lyon en octobre 1793 où plus de mille cinq cents personnes furent tuées. Comment un pays qui ne cesse de s'honorer des « grands ancêtres » ayant commis ou toléré de si horribles carnages peut-il encore prétendre faire la morale aux jeunes tentés par le terrorisme ?
L’occident sans réponse
Permettez, chers lecteurs, que je vous ramène sur la Promenade des Anglais, endeuillée aujourd'hui, mais où je me souviens d'avoir assisté, les 13 et 14 décembre 1990, dans les salons de l'hôtel Westminster, à un colloque sur les religions et la guerre. Tous les participants, catholiques, juifs et musulmans, s'entendaient sur le fait que les religions du Livre sont porteuses de paix puisque la paix est un attribut de Dieu et que la sanctification des hommes est le seul moyen d'édifier un monde juste et pacifique. Mais de quelle paix parlaient-ils ? Les musulmans avaient du mal à cacher à ce sujet que le Coran contient des contradictions et qu'une doctrine de limitation de la guerre, remplaçant la force par la confrontation pacifique entre morales différentes, n'était pas encore généralement reçue dans le monde musulman. Certains affirmaient que le dji-had a pour origine le droit de Dieu « et doit aboutir à la soumission de l'humanité entière ». Le terrorisme peut donc avoir une connotation religieuse : « la logique du martyre ne conduit-elle pas à concevoir l'acte terroriste dans le cadre islamiste comme un rapport avec Dieu, l'accomplissement d'un acte de foi ? C'est la reformulation dramatique de la lutte universelle entre le bien et le mal », concluait l'un des orateurs. Quant au phénomène islamiste, j'avais compris qu'il était "complexe" mais que c'était « la revendication du croyant agressé dans son être comme dans son identité collective par l’occidentalisation de ses gouvernants et de la société ».
Je m'étais demandé, en entendant cela, quelle figure montre l'Occident face à l'émergence religieuse dans les pays islamiques et parmi les immigrés chez nous. Nos sociétés marchandes, laïcisées, apostates, avachies moralement et intellectuellement ont-elles une réponse à cette soif d'idéal ? L'islam profite du vide créé par le laïcisme ambiant car ses "certitudes" rassurent. Rien n'est plus étrange aux yeux d'un musulman pratiquant que la laïcité. Il respecte ceux qui ont une autre foi que la sienne et qui y croient fermement mais il méprise ceux qui mettent toutes les religions sur le même plan ou qui n'en ont aucune - ce qui revient au même. Et quand, en plus, il voit passer dans les rues de nos grandes villes une bacchanale comme la Gay Pride, on peut deviner qu'il n'a guère envie de s'assimiler à une société aussi fière d'exhiber son nihilisme.
Culte de l’homme et culte d’allah
Tel est, hélas, l'état de la société française après plus de deux siècles de règne des principes de la Révolution de 1789. Non seulement elle est incapable d'intégrer, mais elle diffuse par son école « laïque, gratuite et obligatoire » des verges pour se faire fouetter. J'ai écrit, il y a quelques mois, dans un raccourci quelque peu audacieux que les terroristes d'aujourd'hui étaient « les enfants de Marat et de Robespierre » ; j'aurais pu ajouter de Rousseau, car le "philosophe", dit-on, éprouvait un certaine fascination pour l'islam. Sa théorie de l'Homme libéré de tout ce qui le caractérise, n'étant sur terre que pour y chercher un moyen de survie de son égoïsme, jouissant de droits purement subjectifs puisque non reliés à des devoirs et ne puisant pas leur source dans leur conformité avec l'ordre naturel, a donné naissance à la Déclaration des Droits de l'Homme du 26 août 1789, laquelle a voulu organiser la société de façon que le citoyen, n'ayant plus d'intérêt particulier, familial, paroissial, provincial ou professionnel, à considérer, pût être "vertueux" et fondre sa volonté dans la volonté générale. On préparait ainsi le règne de "purs", de ceux qui seraient le plus déconnectés des forces vives où ils puisaient leur sève, de ceux qui se seraient le plus dépouillés des traditions pour devenir des hommes nouveaux.
En l'absence de toute référence transcendante pour juger de la vertu, donc de la pureté de tel individu, cela pouvait déboucher sur une espèce d'eugénisme, voire sur le culte du surhomme. Cette idéologie arme aujourd'hui les djihadistes, les plus purs entre les purs du terrorisme moderne, dont la philosophie se calque presque exactement sur les principes qui engendrèrent la Terreur de 1793-1794 : si chacun peut refaire le monde d'après soi, quelle chance pour les ratés, pour les envieux, pour les aigris, pour les névrosés, pour ceux qui ne surmontent pas l'épreuve d'être privés de ce à quoi ils croyaient avoir "droit", pour tous ces gens que fabrique à longueur d'année l'école sans Dieu ! Sous couvert de religion, ils peuvent alors prendre leur revanche et imposer leur loi par la violence à tous leurs contemporains ! On assiste alors à la rencontre explosive de deux principes totalitaires : celui du culte de l'Homme et celui du culte d'Allah, les deux étant sans amour, sans clergé, sans médiateur entre la créature et son créateur, sans Sauveur, et écrasant l'homme de leur toute-puissance faussement divine.
Le pire terrorisme
Il résulte de tout cela que la république dite française est bien mal armée pour lutter contre le terrorisme. Il lui faudrait tout repenser de ses prétendues "valeurs" et renouer avec sa tradition chrétienne hautement civilisatrice. Alors, la France oserait se faire respecter dans le monde, car elle aurait cessé de donner aux nations l'exemple quotidien de l'acte le plus sauvagement terroriste qui soit : l'avortement, qui massacre chaque jour, au nom de la Liberté absolue fêtée chaque Quatorze Juillet, les plus petits, les plus innocents, les plus démunis, d'entre les hommes. Ces enfants-là méritent bien autant de pitié et de larmes que ceux de Nice !
Michel Fromentoux. rivarol du 21 juillet 2016
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Et pendant ce temps, l'islam s'installe en France
Après les mosquées et les écoles, l’Union des organisations islamiques de France s’attaque à un gros chantier : le Centre An-Nour en Alsace, un lieu cultuel, culturel et commercial de plusieurs milliers de mètres carrés à Mulhouse :
La démographie est une science prospective qui permet de constater que le remplacement de population en France est un fait : si le suicide démographique des Français et l'immigration massive ne sont pas enrayés, il est indéniable que les chrétiens de France connaîtront le sort des chrétiens d'Orient.
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LE PINGOUIN, LE CATALAN, LE CROQUEMORT ET LA FRISONNE
Le Bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Mon premier est Président d’une République en complète déconfiture, surnommé ainsi dans une chanson par l’épouse de son prédécesseur. Mon second, naturalisé en 1982, quatre ans avant d’être élu conseiller socialiste à la Région d’Ile de France, est célèbre pour ses coups de menton « à la Mussolini »… Mon troisième, « s »inistre de l’Intérieur des deux premiers, a toujours une mine de chien battu, sans doute a-t-il été formaté par les cours du soir donnés aux PFG ! Quant à ma quatrième, elle est la plantureuse Chancelière d’une Germanie volontairement colonisée par des hordes venues d’Asie mineure. Mon tout est une superbe bande de « bras cassés » européens ou un trio de Pieds nickelés à qui il manquerait leur « Tartine Mariole » pour faire un quatuor tragi-comique….
TROP, C’EST TROP !
En Germania comme en Francia, les frappes de Dae’ch se suivent et ne se ressemblent pas. En une semaine, la RFA a subi trois attaques islamistes, sans compter la tuerie d’un « déséquilibré » d’origine iranienne commise au super centre commercial de Munich. Ce fut d’abord l’attaque à la hache des passagers d’un train par un Afghan agissant au nom de « l’Emirat islamique » et au cri « d’Allah Akbar », puis le dimanche 24 juillet le meurtre par un « réfugié » syrien de 21 ans, à Reutlingen en Forêt noire, d’une jeune femme à coups de machette. Le soir du même jour, à Ansbach, c’était un « kamikaze » - encore un « réfugié » syrien – qui se faisait exploser dans un restaurant situé à proximité d’un festival de musique, attentat entrainant des blessures sur douze personnes, dont trois très grièvement atteintes. Les Franconiens comme les Bavarois sont des gens réputés calmes. Pas sûr qu’aux prochaines élections « la Frisonne » en tire un bénéfice, car ça commence à « ruer dans les brancards » du côté de la CSU, partenaire gouvernemental bavarois de la chancelière. Du grain à moudre pour PEGIDA et l’AFD ? C’est tout le mal que nous leur souhaitons….
LA FRANCE FRAPPEE DEUX FOIS DANS SA CHAIR EN MOINS DE DEUX SEMAINES
Crime de masse avant-hier à Nice, ville symboliquement touchée le 14 juillet - le jour même où la France, 4èmepuissance nucléaire mondiale étalait sa force de colosse aux pieds d’argiles – aujourd’hui Saint-Etienne de Rouvray où un prêtre de 86 ans (!) est égorgée sous les yeux de quelques paroissiens par un duo de jeunes islamistes. Et qui demain, quoi, où ? Tragique interrogation face à l’incapacité de nos gouvernants à prendre les mesures efficaces qui permettraient d’éradiquer un mal sournois qui ronge la nation. Dans ces deux derniers cas, si la loi avait été appliquée, sans entorse aucune à « l’Etat de droit » si cher à toutes ces belles consciences de « gôôôôôôche », les massacres auraient été évités. Le Tunisien « niçois » aurait été expulsé dès sa condamnation et l’apprenti-djihadiste au bracelet aurait été enfermé au lieu de bénéficier de la clémence absurde d’un magistrat anonyme. Tous ces crimes sont commis par des fanatiques se réclamant explicitement de la religion du Prophète. Qu’attendent les musulmans de France pour, massivement, s’en désolidariser ? Le recteur de la Grande mosquée de Paris, Dali Boubaker, a bien exprimé le mercredi 27 juillet, avec des paroles fortes, son indignation et sa compassion devant ce crime horrible symboliquement commis dans une église de France, pour frapper la religion des « mécréants » comme ils disent. Cela suffira-t-il à désarmer les esprits fêlés nourris des lectures coraniques les plus extrémistes, jusqu’à plus soif ? Il y a bien eu un rassemblement de quelques milliers de Mahométans après l’assassinat des deux policiers dans les Yvelines, c’est vrai. Des gens venus « en voisins », très visiblement pour exprimer leur horreur face à un crime perpétré à leur porte par l’un des leurs. C’était un premier pas dans le bon sens. Mais depuis… Les citoyens français après la tuerie de « Charlie Hebdo », sont-ils descendus eux aussi en masse dans les rues de nos villes après les massacres du Bataclan et de Nice ? Que nenni. C’est incompréhensible… Le pouvoir en place n’a mobilisé semble-t-il, que pour « les siens », une équipe de journalistes et de dessinateurs anarcho-gauchistes. La peau d’un « Franchouillard » de base vaudrait-elle moins cher que celle d’un artiste à la plume sulfureuse et provocatrice ? Tout change et rien ne change. Hollande, jugulaire, jugulaire, genre « chef de guerre », annonce l’envoi de canons en Irak pour appuyer l’armée de ce pays dans sa campagne de reconquête de Mossoul. Fort bien. Ne vaudrait-il pas mieux parallèlement, assigner à l’opération « Sentinelle » des objectifs plus dynamiques que de monter une garde statique devant les ambassades, mosquées, synagogues et autres lieux de culte ? Par exemple l’investissement de cités à problèmes en passant au peigne fin les cages d’escaliers, les caves et les paliers ? En 1956, un gouvernement de gauche donna à l’armée les pleins pouvoirs pour stopper une vague d’attentats à Alger. En quelques mois l’affaire était pliée ! Il faut ratisser systématiquement les banlieues de nos villes abandonnées aux trafics et aux prêches inconsidérés d’imams étrangers, fermer les mosquées salafistes, incarcérer tous les djihadistes potentiels, ces fameux « fichés S », et rétablir la peine de mort pour les terroristes assassins puisque nous sommes en guerre, parait-il, et que le code militaire prévoit cette disposition. L’Etat d’urgence, c’est un cataplasme sur une jambe de bois ! Il est temps d’embrayer la vitesse supérieure et cela s’appelle l’Etat de siège. Tout le reste n’est que polémique stérile et littérature. Combien de temps les Français seront-ils passifs et patients ? Les élections de 2017 risquent d’être… « explosives » !
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Le FLNC du 22 octobre lance un avertissement à l’État islamique
Le mouvement nationaliste corse du FLNC du 22 octobre vient de mettre en garde l’État islamique.
Dans un communiqué transmis au journal Corse-Matin, jeudi 28 juillet, le FLNC du 22 octobre prévient les islamistes que toute attaque de leur part déclencherait « une réponse déterminée, sans aucun état d’âme ».
La volonté des salafistes est clairement de mettre en place chez nous la politique de Daesh et nous nous y sommes préparés. Votre philosophie moyenâgeuse ne nous effraie pas. L’amalgame n’existe que dans l’esprit des faibles et le peuple corse est fort (…) de choix politiques difficiles qui ne nous ont jamais fait basculer comme vous dans la barbarie.
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Amine El Khatmi, élu PS : « Que les musulmans fassent le ménage »
Amine El Khatmi est adjoint au maire (PS) d’Avignon, et l’un des initiateurs, avec l’universitaire Laurent Bouvet, du Manifeste pour un Printemps républicain. Il a accordé un entretien à La Provence dont nous extrayons ce passage.
Ne paie-t-on pas aujourd’hui le « politiquement correct » et l’achat de la paix sociale dans certains quartiers ?
A.E.K. : Bien sûr. Il y a des élus qui ont assuré leur élection et leur réélection en achetant la paix sociale, en se fourvoyant et en s’asseyant sur leurs valeurs pour quelques paquets de voix. Il y a des gens qui expliquaient en tribune qu’ils étaient des républicains et des laïcs et qui, sitôt descendus, allaient s’enfermer dans des caves avec des imams salafistes. Oui, ça existe, et il ne faut pas avoir peur de le dénoncer. Désormais, dès que vous dites un mot sur l’islam, on vous traite d’islamophobe. L’islamophobie, c’est un concept politique créé pour étouffer toute critique de la religion. Moi, dans le pays de la liberté d’expression, j’ai le droit de critiquer la religion, la mienne et celle des autres. Et ceux qui ne croient pas ont le droit de critiquer le fait que, moi, je crois en quelque chose. Aujourd’hui, il y a cette espèce d’épée de Damoclès dès que vous dites un mot sur l’islam. […]Le Conseil français du culte musulman est-il un interlocuteur crédible ?
A.E.K. : Non. Dès sa création, il était traversé par des tensions entre Marocains, Tunisiens et Algériens. Et puis, je ne suis pas sûr qu’un ministre de l’Intérieur, Nicolas Sarkozy en l’occurrence à l’époque, ait vocation à créer une structure religieuse. Il fallait que cela émane des musulmans de France spontanément. Autrement, ça ne pouvait pas marcher.Faut-il voir naître un « islam européen », comme le souhaite le vice-président de la Conférence des imams de France, Houcine Drouiche ?
A.E.K. : Il ne faut pas que les musulmans attendent de la sphère politique qu’elle vienne s’ingérer dans leurs affaires. Il faut qu’ils se prennent en main et qu’ils fassent d’abord le ménage chez eux. Qu’ils commencent par ça. Parce qu’il y a trop de complaisances, de choses qu’on laisse passer…Peut-on encore tolérer prêches en arabe et financements étrangers ?
A.E.K. : Non, ce n’est pas acceptable. Et là aussi, la situation récente le rend encore plus nécessaire. Mais je crois aussi, et c’est un point de désaccord avec Manuel Valls, qu’on ne peut pas poursuivre des relations diplomatiques avec l’Arabie Saoudite et le Qatar, qui sont des pays dont on sait qu’ils ont financé des mouvements djihadistes. -
Europe, Jeunesse, Révolution : Vers l'ultra-droitisation des nouvelles générations blanches
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La crise actuelle fraye avec la crise de régime
Guilhem Golfin me fait part de cette réflexion :
Si les valeurs républicaines ne nous sont d'aucun salut, c'est que ce sont pas des "valeurs", autrement dit, car ce mot lui-même importé de la science économique est absolument déplacé, ce ne sont pas des vertus. Elles ne peuvent pas l'être, car fondées sur l'individualisme, négateur de toute vertu au bénéfice de la seule jouissance individuelle. Mais alors, il faut aller jusqu'au bout du raisonnement : car le régime républicain, la "démocratie" est inséparable de ces "valeurs". C'est donc lui qui est touché au cœur par l'actualité - et l'on ne peut que s'étonner que des personnes aussi avisées que M. Robert Ménard (par exemple) semblent encore croire que l'on peut redresser les choses en restant dans le cadre actuel et en changeant seulement, par conséquent, la politique menée. Certes, il y a une marge de manœuvre, et l'on pourrait déjà faire beaucoup de bien, mais très vite cela atteindra ses limites. Le fait est qu'en quelques deux cent ans, le ferment individualiste a eu le temps de faire son œuvre, et croire que l'on pourrait revenir à une "république saine", c'est un peu croire que l'on pourrait réanimer un cadavre en décomposition. Cela dépasse les capacités humaines.
C'est ici que la tribune de l'abbé Vénard intervient : à rester dans un cadre républicain, il faut reconstruire celui-ci. Je suppose que l'abbé mesure la portée de son propos : une réconciliation de la République avec le catholicisme serait un reniement complet du régime par lui-même, si vraiment celui-ci repose sur la négation de la légitimité de la religion historique et révélée. Ce pourquoi, tout en saluant haut et fort les propos de l'abbé, on ne peut hélas qu'être sceptique sur les suites que le pouvoir serait susceptible de lui donner. Le propos de l'abbé Vénard serait plus à portée de main si la question n'était qu'historique, mais elle engage trop les fondamentaux du régime. Cela étant, les miracles existent.
Une dernière chose, concernant l'Islam. On a bien entendu eu droit au mantra "c'est pas ça l'Islam", etc. C'est pénible, mais pourquoi ne pas prendre les musulmans au mot. M. Boubakeur veut une réforme de l'Islam de France - mais il reste bien vague sur la question... En voilà une précise à faire : si ces terroristes ne sont pas des musulmans, que les autorités musulmanes trouvent un moyen de les excommunier. Aux autorités de se débrouiller pour déterminer lequel, mais il faudrait que le reniement soit officiel, public, et assorti d'une interdiction faite à tout musulman de les fréquenter sous peine d'être eux-mêmes excommuniés. Bref faire de tout djihadiste un paria. C'est bien entendu trop tard pour tous ceux qui sont passés à l'acte en France et tués par la police, mais s'appliquerait à ceux qui reviennent de Syrie ou sont interpellés dans les filières, etc.
Je ne fais pas d'illusion sur cela non plus, mais il y a là une voix me semble-t-il, pour une communauté appelée à être sinon toujours du moins longtemps sur notre territoire.
Ultima verba : que l'Eglise prie officiellement pour la conversion des musulmans, et de tous les païens !
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LE PRIX DE LA LACHETE
Pierre Vial Président de Terre et Peuple
Les Allemands payent, lourdement, le prix du sang. Dont la responsable s’appelle Merkel. Merkel et sa folie idéologique, suicidaire pour le peuple allemand. Mais cette fille de pasteur, employée longtemps par la Stasi avant de s’acheter un passeport d’honorabilité en passant au service des chrétiens-démocrates, ces larbins du Vatican et de la Maison Blanche, n’a que faire du peuple allemand. Qui doit expier pour tous les péchés qu’il a commis, comme le dit l’enseignement de la Bible. Mais il faut, paraît-il, aimer ses ennemis, si l’on en croit les chrétiens. Et ceux-ci doivent ouvrir grands leurs bras à leurs frères musulmans, car l’islam est une religion d’amour, de paix et de tolérance. En a fait l’expérience le malheureux prêtre catholique égorgé le mardi 26 juillet, au cri de « Allah Akbar », alors qu’il célébrait la messe dans l’église de Saint-Etienne-du-Rouvray, en Normandie. Il avait 86 ans. Bel exploit de ses courageux assassins. Le pape exprime « sa douleur ». Pauvre type. S’il était digne de sa fonction il appellerait à la croisade. Mais il préfère se joindre au chœur des lamentations, qui fait bien rire les fous d’Allah. Tandis que les « autorités musulmanes » dûment estampillées par la République française versent des larmes de crocodile. En serrant quand même un peu les fesses : des fois que les Gaulois finiraient par se réveiller et par appliquer la loi du talion… Mais il faudrait, pour cela, qu’ils s’émancipent de la chape de plomb du politiquement correct, mise en œuvre par les autorités officielles et les media aux ordres. Hollande découvre la lune et déclare, effaré, qu’on est en guerre. Bien.
Alors il faut faire la guerre. La vraie. Celle qui frappe sans faiblesse, sans hésitation. Mais pour cela il faut avoir quelque chose dans le ventre – et plus bas. Les occidentaux payent leur lâcheté et leur bêtise. Tant pis pour eux. Mais la colère monte contre les incapables et les traîtres censés protéger la population. Aux Européens qui méritent encore ce nom de savoir ce qu’ils ont à faire. En envoyant se faire pendre les pleurnicheurs et les donneurs de leçon de morale.
http://synthesenationale.hautetfort.com/archive/2016/07/27/le-prix-de-la-lachete-5830590.html
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Angela Merkel, divinité maléfique de l’Europe
« Angela Merkel, divinité maléfique de l’Europe » : tel est le titre du numéro de cette semaine de l’hebdomadaire Minute, qui consacre son dossier aux liens entre l’afflux de migrants et le développement du terrorisme. Le journal, qui impute à la chancelière allemande l’immense responsabilité d’avoir entraîné l’Europe dans une folle politique migratoire, et à la France celle de l’avoir aveuglément suivie, ne voit le début du salut que dans la chute de l’idole Merkel. Extrait.
« L’Europe, du moins celle qui ne s’est pas regroupée dans l’alliance de Visegrad, s’en est entièrement remise à Angela Merkel, ou s’y est soumise, ou s’est résignée à accepter ses décisions, tant dans l’ouverture des frontières que dans l’accord passé ensuite avec la Turquie, comme si “Mummi“, le surnom qui lui est donné en Allemagne et qui signifie aussi bien “maman“ que “petite mère“, n’était pas seulement la “Mummi“ des Allemands mais était devenus la “Mummi“ de tous les Européens.
« Or il s’avère que Mummi, qui, en tant que telle, aurait dû être la protectrice de ses enfants, troquant ta tunique teutonne pour une tenue grecque, a plongé dans la tragédie, et l’Europe avec elle. “La mère kachoube des romans de Günter Grass, dont les jupes amples, déployées au milieu des champs glacés du monde, accueillent et réchauffent ses innombrables enfants“, comme l’écrivait Bruno Le Maire, alors ministre de l’Agriculture, dans Paris Match en septembre 2013 dans un portrait enamouré qui fait sérieusement douter des capacités d’homme d’Etat du candidat à la primaire que l’on présente comme le plus brillant de sa génération,s’est muée en mère livrant ses propres enfants à ceux qui les dévorent.
« Au moins, en ce début de XXIe siècle, l’Histoire, avec un grand H, est-elle de retour, dans toute sa dimension tragique et sacrificielle, qui demande maintenant à ce que le meurtre – symbolique – de la grande prêtresse soit accompli. C’est le plus difficile tant sont venus se prosterner devant elle tous les grands de ce monde, qui en ont même fait, dans une inversion des valeurs qui prend tout son caractère odieux au fur et à mesure des attentats en Allemagne et en France, une seconde mère Teresa. Le temps est venu de brûler l’idole d’une société qui se meurt, pour que disparaissent avec elles ses serviteurs et ses funestes inspirations. Après quoi pourra naître un nouveau cycle. »
http://fr.novopress.info/202769/angela-merkel-divinite-malefique-de-leurope/
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