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Les subventions versées par la Région Pays de la Loire à des associations idéologiques
Communiqué de Brigitte Neveux, Secrétaire départemental du Front National de la Vendée, élue régional, membre de la Commission culture :
"Ce lundi 4 juillet, les élus régionaux de la commission culture, présidée par Laurence GARNIER, ont voté de faramineuses subventions à tout un ensemble d’associations toutes plus marquées idéologiquement les unes que les autres. La majorité de droite, qui a pourtant fait campagne sur les valeurs, persiste à reconduire les politiques culturelles de la gauche bobo-sociétale.
La Ligue pour l’enseignement, s’est vue verser une gracieuse subvention pour sa « semaine d’éducation contre le racisme », véritable œuvre de propagande idéologique, en partenariat avec des associations telles que le Centre LGBT, AIDES et CONTACT, qui portent leur sexualité comme étendard communautariste ; ainsi que le MRAP et la LICRA, associations dont le message politique procède davantage du racisme anti français que d’une lutte sincère contre les discriminations. La majorité a récidivé ses subventions au Planning familial, et au Pass-contraception, qui diffusent dans les lycées leur culture de mort, se substituent au rôle éducatif des parents, et propagent d es théories fumeuses sur l’identité de genre. Au programme : « - Intégrer dans la pratique professionnelle l’approche genre ».
Qu’en pensent les élus de Sens Commun membres la majorité ?Enfin, le Front National a rappelé qu’il n’était pas normal de verser des sommes abusives pour l’organisation de spectacles aux thèmes parfois douteux, citons le « Presque X » de Madame Suzie production qui exalte la pornographie ; quand d’autres associations qui proposent une culture de qualité, telle Egregor Vocal, se sont vues refuser des aides régionales.
Le groupe Front National des Pays de la Loire s’est vivement opposé aux subventions à caractère idéologique, et a rappelé sa volonté de promouvoir une culture populaire et enracinée, plutôt qu’une culture élitiste qui érige la provocation comme fin en soi."
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La grande dissimulation : l’histoire secrète de l’UE révélée par les Anglais (Christopher Booker et Richard North)
Christophe Booker est journaliste. Richard North est ancien directeur de recherches au Parlement européen.
Ce livre est la traduction d’un ouvrage publié en anglais en 2003. Il donne une lecture britannique de la construction européenne et en établit de manière rigoureuse la généalogie. Le calendrier de l’éditeur de cette traduction française ne pouvait pas mieux tomber. Le Brexit lui donne une saveur toute particulière.
Les cercles européistes tentent fréquemment de faire croire que cette construction européenne est un objet « sui generis » dont l’origine est relativement récente. Ce mensonge a pour but de masquer des origines plus que discutables, notamment le projet des Etats-Unis de contrôle indirect du continent. Les auteurs de cet ouvrage retracent le rôle des agences de renseignement américaines dans le processus de création des institutions européennes, ainsi que les liens que certains des acteurs européens, dont Jean Monnet, avaient avec ces services secrets américains.
Dès lors, il n’est plus possible de croire que l’Union européenne « défend » l’indépendance des Européens.
D’autre part, cet ouvrage démontre comment, sous prétexte de nous assurer la paix, cette Union européenne s’est développée sur un modèle d’abandon des souverainetés au profit d’une entité supranationale selon un plan conçu dès les années 1920 par Monnet et Salter.
Pour les auteurs de ce livre, cela ne fait aucun doute : l’Union européenne s’est construite sur une succession de tromperies. Et c’est une véritable entreprise de propagande mensongère qui a été utilisée depuis des décennies pour obtenir l’assentiment des populations à ce projet devenu un dogme.
La grande dissimulation, Christophe Booker & Richard North, préface de Jacques Sapir, éditions de l’Artilleur, 832 pages, 27 euros
A commander en ligne sur le site de l’éditeur
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Présidentielles en Autriche : bien sûr qu’ils ont triché
Pendant la soirée électorale du second tour de l’élection présidentielle autrichienne, le vote par correspondance était devenu pour les commentateurs télés « l’ultime espoir et l’ultime pensée ».
Le candidat de l’opposition nationale au système européïste classé à l’extrême droite ne pouvait être battu sur le fil, par celui soutenu par les écolos bobos et les frileux des partis traditionnels étrillés au premier tour, que grâce aux 900.000 votes par correspondance. Entendez les Autrichiens de l’étranger, plus jeunes, ouverts et diplômés qui allaient barrer la route à l’Autriche en culotte de peau, rance et xénophobe. Déjà une présentation d’un vote supérieur à un autre, qu’on retrouve pour la Grande Bretagne.
Et bien il n’y eut au final que 30.000 suffrages d’écarts.
Il est évident qu’il y a eu des tripatouillages pour faire gagner Alexander Van der Bellen. La Cour constitutionnelle autrichienne a, fort justement, invalidé, ce vendredi 1er juillet, les résultats du second tour de la présidentielle du 22 mai. L’écologiste Van der Bellen, 72 ans, l’avait emporté sur le fil (30 863 voix d’avance, sur 4,3 millions de votants) devant le candidat d’extrême droite, Norbert Hofer, 45 ans.
Il y a donc eu des …. Irrégularités. Si le scénario contraire s’était produit, on aurait bien entendu parlé de fraudes. Mais ceux qui s’opposent au camp identitaire ne peuvent tricher, ils commettent sans le vouloir des irrégularités, ils fraudent mais « à l’insu de leur plein gré. » C’est beau tout de même, l’analyse politique objective des médias idéologiques.
Le président sortant, Heinz Fischer relativise à sa manière : «Au moins, maintenant, c’est clair. Ce sont des choses qui arrivent.» Normalement pas en démocratie, cher président.
Ces «choses qui arrivent» en Autriche, ce sont ces irrégularités constatées dans quatorze circonscriptions. Dans la région de Graz, les enveloppes des votes par correspondance ont été «pré-ouvertes» la veille du décompte. A Villach, en Carinthie, le dépouillement avait commencé avant l’heure légale de 9 heures. Dans de nombreux cas, les assesseurs n’étaient pas présents, ce qui ne les avait pas empêchés de signer les procès-verbaux…
On est consterné par le manque de sérieux, le désordre électoral, mais on n’évoque pas ce qui est évident, une manipulation du suffrage pour aboutir au résultat souhaité par le système.
Le mouvement national autrichien va pouvoir récupérer une victoire qui de toute évidence lui a été volée. Ce déni démocratique donne un argument de poids au FPÖ ( Parti de la Liberté d’Autriche), qu’il ne manquera d’utiliser dans son argumentaire. Victimes d’un «système» politico-médiatique corrompu, les «Bleus» sont les seuls à dénoncer certaines pratiques . L’argument a déjà été utilisé en 1970 et en 1985, lorsque certaines circonscriptions avaient dû revoter pour des législatives, après des plaintes du FPÖ. Leur chef, Heinz-Christian Strache, en a ainsi profité vendredi pour enfoncer le clou. «La Cour n’a pas constaté une absence de manipulation, constate-t-il. Elle n’a tout simplement pas recherché de manipulation.»
Les Autrichiens le savent bien et ne sont pas dupe des irrégularités sémantiques médiatiques qui sont des fraudes pour dissimuler la vérité. Certains notamment aux commandes sont prêts à tout pour fausser le vote du peuple, quand celui selon eux vote mal.
Après la Grande Bretagne et l’Autriche, qui peut croire encore que les démocrates autoproclamés le soient vraiment ? Moins en tout cas que l’ancien président iranien Ahmadinejad, qui lui s’est présenté devant les électeurs et a accepté sa défaite. On notera tout de même que seuls les «mondialistes» remettent régulièrement en question le vote quand ils n’ont pas réussi à le manipuler suffisamment pour qu’il leur donne satisfaction.
Ils devraient un un peu nous lâcher la grappe avec les valeurs universelles qui s’arrêtent de plus en plus au résultat du scrutin.Jean Bonnevey : Metamag :: lien
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Juill/Août 2016 –Le programme économique du Front national décortiqué
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La voix du peuple La voie de la liberté
Consternation de toutes celles et de tous ceux qui, à un titre ou à un autre, sont partie prenante dans le fonctionnement du Système : le peuple anglais et le peuple gallois ont osé l’impensable. Ils ont osé dire non au Système, dont une des illustrations majeures est l’Union Européenne.
Pourtant tout avait été fait pour les dissuader de ce crime de lèse-majesté, tous les épouvantails avaient été brandis. En vain : avec flegme et bon sens, les « gens d’en bas » ont envoyé « les gens d’en haut » se faire foutre. C’est donc possible et ce premier enseignement du référendum britannique met la panique au sein de l’Etablissement car il démontre la force du populisme.
Un populisme qui dit non à la City et donc au pouvoir du fric, non à Bruxelles et donc à la tyrannie bureaucratique et technocratique prétendant penser et décider à la place du peuple. Non à l’immigration et à la destruction des identités nationales. Et les gens du Système avouent redouter l’onde de choc : les Anglais montrent aux autres peuples d’Europe qu’il est possible de se libérer et de choisir une Europe des peuples et des patries.
Et l’appel à un référendum se répand comme une traînée de poudre de pays à pays. Car il est temps de mettre au pied du mur ceux qui se gargarisent en permanence avec le mot « démocratie » : « Vous êtes démocrates ? Alors donnez la parole au peuple ». Un refus montrerait que les populistes ont raison et qu’ils représentent donc l’avenir.
Décidément le 23 juin 2016 s’inscrit d’ores et déjà comme un grand jour dans l’Histoire du combat pour la liberté et l’identité. -
Politique magazine, un numéro d'été exceptionnel : « Aujourd’hui, le royalisme »
Découvrez le numéro d'été !
Où en est, 146 ans après l’établissement de la République, l’idée royale en France ?
Quelle est aujourd’hui sa signification et sa portée ? Qui sont les royalistes ? Chroniques, entretiens, reportage au cœur de l’Action Française, Politique magazine mène l’enquête jusqu’ au domaine royal de Dreux où réside l’héritier des rois de France.
Dossier
Retrouvez les analyses de Jean Sévillia, historien et rédacteur en chef adjoint au Figaro, Frank Ferrand, historien et animateur sur Europe 1 et France TV ,Jacques Trémolet de Villers, avocat et écrivain, Christian Franchet d’Esperay, rédacteur en chef de la Nouvelle Revue Universelle, Philippe Ménard, rédacteur en chef de l’AF 2000…
Un entretien exclusif avec le prince Jean d’Orléans : « La monarchie s’incarne dans la famille »
Et aussi dans ce numéro… 54 pages d’actualité et de culture !
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Réveil des peuples européens et prospectives
L’élite globalisée qui nous mène tranquillement vers le grand carnage ne s’attendait guère à l’apparition d’une nouvelle réalité : le réveil des peuples européens. Car, oui, même si ce réveil a tardé à se réaliser force est d’admettre qu’il est désormais en train de s’opérer. Et à une vitesse insoupçonnée…
Plusieurs témoignages concrets viennent corroborer ce constat.
En premier lieu, de manière très prosaïque, les résultats des derniers scrutins s’étant déroulés en Europe : le vote autrichien et son annulation, les élections municipales italiennes et le référendum britannique.
Sur ce plan, il faudrait remercier Angela Merkel pour ses décisions concernant les « migrants »…
Mais d’autres observations peuvent se faire, hors du champ purement politique. Partout, le succès des « œuvres enracinées » ne se déments pas. Les émissions de télévision traitant de l’histoire battent des records d’audience et des centaines de milliers de personnes se pressent au Puy du Fou, parc où l’on ne trouve aucun manège (si ce n’est un carrousel) mais essentiellement des spectacles exaltants les grandeurs passées de la France. On ne parle pas suffisamment du succès des sites de généalogie.
Une prise de conscience accélérée et globale semble ainsi se produire autour de thèmes tels que le localisme, l’alimentation, l’écologie, la décroissance, etc.
Un ré-enracinement des peuples semble s’opérer.
La méga-machine tente de récupérer pour son compte une part de ce mouvement mais n’y parvient que difficilement. Cette dynamique est bien trop étrangère à son logiciel cosmopolite et marchand.
La question qui commence donc à se poser pour l’oligarchie est donc la suivante : comment endiguer le retour de l’Histoire et se maintenir en place ?
Plusieurs scénarios semblent se dessiner, plus ou moins heureux.
La stratégie de la tension (après nous le déluge)
Le système pousse la logique de l’état d’urgence à son paroxysme.
Un système répressif et tyrannique inouïe se mets en place, avec un contrôle poussé d’internet, des moyens de communication et de l’ensemble de la population. Les discours alarmistes se succèdent. Les instances internationales grondent et des menaces d’interventions militaires pèsent sur les Etats désirants quitter l’Union Européenne. Les élections où les « populistes » l’emportent, véritables dangers pour la démocratie, sont invalidées.
La submersion migratoire se poursuit et s’accélère.
La récupération (le « populisme bis »)
L’oligarchie parvient à construire un discours alliant libéralisme et autoritarisme, une sorte de « populisme bis ».
Les populations se tournent vers les leaders incarnant cette voie. Ces derniers semblent être enfin en phase avec leurs préoccupations (remplacement de population, emploi, avenir des futures générations, etc.). Le système feint et parvient à récupérer à son avantage les crises qui se succèdent. Néanmoins rien ne change sur le fond, l’UE se maintien malgré quelques soubresauts.
Surtout, l’invasion migratoire se poursuit malgré quelques restrictions « cosmétiques » et les effets d’annonce.
L’abdication (les peuples reprennent la main)
La méga-machine ne contrôle plus la situation.
Les attentats se succèdent à une cadence de plus en plus rapide. La crise économique et financière s’aggrave. Les forces de l’ordre abandonnent progressivement les populations à leurs sorts. Elles se concentrent sur la garde des grandes métropoles, des lieux de pouvoir, des infrastructures et surtout sur leur propre sécurité. Plusieurs nations quittent l’Union Européenne. Partout les mouvements populistes prennent le pouvoir, tant au niveau local que national. L’oligarchie abandonne le navire et les peuples d’Europe reprennent peu à peu les rênes de leurs destinées.
La remise en place de frontières strictement contrôlées tarie le flux migratoire. Des politiques de remigration sont mises en œuvre.
Un impératif : quitter le bocal et se mêler au peuple
Pour l’heure il semble délicat d’envisager laquelle de ces voies historiques sera empruntée. Il est néanmoins certain, dans l’interrègne que nous traversons, que les trois sont en train de se dessiner.
Les « radicaux », opposés frontalement au système, portent une grande responsabilité car ils ont la capacité de comprendre et surtout d’expliquer les enjeux de l’époque. Jamais, depuis ces 60 dernières années, les peuples européens n’ont été aussi réceptifs et ouverts à un discours de ré-enracinement et de réappropriation identitaire.
L’enjeu consiste à savoir si ces radicaux, qui ont beaucoup réfléchi et qui sont en mesure de proposer de nombreuses pistes, sauront quitter le bocal de laboratoire où ils ont été enfermés et converger vers les peuples. Vers ces peuples qui n’ont jamais été aussi menacé et qui ne sont jamais posé autant de questions…
Jacques Thomas pour le C.N.C.
http://cerclenonconforme.hautetfort.com/le-cercle-non-conforme/
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Tribune libre – Les prisons, zones de « non France », par Vincent Revel
A la suite de Philippe de Villiers, qui ne cesse, avec bon sens, de le répéter, nous savons tous que la question fondamentale des sociétés modernes n’est ni sociale ni économique mais identitaire et religieuse.
Nous devons pleinement prendre conscience de ce que nous avons à reconquérir et à défendre. Comme le dit Pierre Vial, c’est une « mission d’éveil des intelligences et des cœurs. » La lâcheté et l’indifférence de nos dirigeants doivent nous paraître insupportables. Leur fuite en avant nous promet des lendemains sanglants. En parfait dhimmis, ils acceptent l’intolérable. Avec cette élite déracinée, chaque fin de ramadan se transforme en renoncement.
La prison est l’un des lieux de France où l’atmosphère y devient étouffante, irrespirable tellement la religion islamique y est présente. Avec le silence complice de nos élus, les caïds musulmans y contrôlent tout. Chaque jour, les matons doivent négocier avec eux pour que la paix règne au sein des maisons carcérales. Le lèche-babouche y est devenu une norme acceptée par les hautes instances.
De l’inscription aux ateliers, des droits de visite au parloir, de qui a droit de se déplacer, de l’inscription aux cours de boxe, des horaires de distribution des repas, de l’organisation du racket sur les salaires de l’administration pénitentiaire, en passant par l’acquisition d’un téléphone portable, normalement interdit en prison,tout passe par ces caïds musulmans. Par la volonté et la faiblesse de nos dirigeants, ces délinquants sont devenus des interlocuteurs inévitables.
Grâce à nos élus de pacotille, plus préoccupés par leurs intérêts électoraux, l’islam s’est rendu maître, en simplement deux décennies, des prisons françaises ! La République, celle que notre pseudo-élite aime vanter les vertus, se fissure de toute part. Le bateau France est à la dérive, sans capitaine de valeur pour montrer l’exemple. Nos principes sont piétinés par ceux qui prétendent les défendre.
Nos élus, soi-disant républicains et laïcs, paradent la tête haute de mosquées en mosquées pour interdire dans le même temps, toujours au nom d’une pseudo-laïcité, les crèches de Noël dans les lieux publics ! Pour bien montrer qu’ils sont dans les normes du politiquement correct, qu’ils ont bien appris leurs leçons, ils n’hésitent plus à ouvrir toutes grandes les portes de leurs mairies ou de leurs locaux municipaux pour y fêter en grandes pompes l’Aïd el-Fitr !
Le ramadan est devenu, grâce à la volonté de notre élite, l’un des faits incontournables dans la vie politique, sociale et économique de la France. Anne Hidalgo, maire de Paris, ne cesse de se réjouir, devant des médias complices, que « le ramadan soit une fête qui puisse faire partie du patrimoine culturel français. » Pour Edwy Plenel, ancien marxiste, moralisateur et censeur de notre nouvelle société multiculturelle, « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe. » Les collabos nouveaux ne se cachent plus. Ils prennent leurs désirs les plus fous pour des réalités sans jamais tenir compte des dégâts qu’ils provoquent.
L’avant-dernière semaine de juin, au tribunal de Saint-Etienne, un jeune Français de souche, déjà incarcéré à la prison de La Talaudière pour conduite sans permis, comparaissait pour avoir fait entrer, avec la complicité de sa petite amie lors d’une visite au parloir, 28 grammes de résine de cannabis. Harcelé par des caïds, frappé et menacé à plusieurs reprises, ce détenu tenta d’expliquer ce qui l’avait amené à introduire de la drogue en prison.
La dureté du milieu carcéral, le règne de la violence et « le racisme contre les Français », selon ses propres mots, ne lui laissaient aucune autre alternative.Pour de nombreux détenus non musulmans, la prison s’apparente à la jungle. La loi du plus fort y règne et seule la religion islamique prédomine pour faire de nombreux délinquants de parfaits futurs djihadistes !
Vincent Revel
http://fr.novopress.info/202278/tribune-libre-prisons-zones-de-non-france-vincent-revel/
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Passé Présent n°109 - Le casse du siècle